jeudi 23 juin 2016

« 10 bonnes raisons de bouter les Britanniques hors de l'UE » dans le blogiblag du 23/06/2016 (LJ ©2016).

Voilà... le grand jour est arrivé : " Brexit or not brexit, that is the question ! ". Si les britanniques ont des doutes sur l'Union Européenne, les Français ont eu leur Frexit ou Frogxit en 2005 avant d'être enrôlés de force par un vulgaire tour de passe-passe ! Avec l'Euro, notre monnaie nationale a été diluée et absorbée, dévaluée par dix et nous avons survécu ! C'est ça, la résilience. Mais combien de Jo Fox, la jeune député anglaise assassinée, devront mourir pour comprendre qu'un ultra-nationalisme mondialisé nous menace qui recrute des demeurés et des fous. Plus que le nationalisme, il nous faudrait parier sur la conservation de nos paysages, de notre douceur de vivre et de notre liberté contre les multinationales, les mafias et les lobbies de la manipulation et du crime organisé. Des centaines d'autochtones en meurent chaque année, dépossédés de leurs terres et assassinés comme la militante écologiste hondurienne Berta Caceres et bien d'autres. Cette lutte s'appelle l'écologie.
En attendant, voici dix bonnes raisons pour nous de bouter les britanniques hors d'Europe :

1) Contre le «french bashing*» quotidien, contre la «waterloo-isation» de la France par une poignée de magnats britanniques, contre leurs tabloïds méprisants, contre la City de Cameron et de Boris Johnson (le maire de Londres qui appelle les riches Français à s'expatrier), Paris doit montrer ses muscles et réaffirmer sa suprématie.
 
2) L’Écosse doit reprendre sa liberté et rejoindre d'urgence l'UE de plein droit, en adoptant l'euro comme monnaie unique. Seule l'Europe pourra ainsi la protéger contre l’hégémonisme américano-britannique. Surtout, le combat a commencé contre la destruction de la planète et la " fuite en avant " technologique sur une Terre aseptisée.

3) Mais pour qui travaillent les Britanniques ? Pour les Américains. À force soit-disant de vouloir « le meilleur des deux mondes », ils finissent par un sabotage systématique de toutes les initiatives de l'UE. Leur vision antique et figée est celle du Commonwealth, du colonialisme et de la City, quand ils veulent imposer leur « protectorat » financier à une Europe obèse qu'ils affaiblissent par tous les moyens. Comme disait le général de Gaulle, les Britanniques sont « le cheval de Troie des États-Unis ». En négociant un "statut spécial" pour le Royaume-Uni, Lord Cameron bloque toute initiative en UE. La prochaine concession sera de nous imposer le traité de libre-échange transatlantique avec les États-Unis (le Tafta), c'est à dire l'hégémonisme industriel américain, sont droit, l'indépendance de ses multinationales et les pleins pouvoirs pour Wall Street. Le journal Libération précise : « C’est Londres qui a tué à petit feu, avec des relais très efficaces au sein de la Commission, toute politique industrielle en Europe ».

4) Politique, défense et budget communs sont ensemble impossibles sous leur coupe, quand les Britanniques s'extraient de tout devoir vis à vis de l'UE. Leur refus de la monnaie européenne est symptomatique de leur double-jeu contre le sacrifice muet des autres nations dont la France. Que ces messieurs fassent donc un pacte commercial de libre-échange avec l'Amérique et qu'ils aillent se faire ubériser.

5) Mais pourquoi les Britanniques font-ils semblant de croire qu'ils n'ont rien à perdre en quittant l'UE, avec laquelle il font 90 % de leurs échanges commerciaux ? Il ne s'agit pas simplement de quelques millions d'Euros trop perçus par l'Europe mais de leur PIB qui se compte en milliers de milliards de dollars : que représentent pour eux 1 % de PIB ? Plusieurs milliards de livres sterling à perdre et un demi-point de croissance.

Pour l'Europe continentale, La City est la place de toutes les spéculations, des bulles financières et du blanchiment d'argent sale en provenance de France et d'ailleurs vers leurs paradis fiscaux, soit des milliers de milliards ! Elle fait la part belle aux industries sales de la mondialisation et du crime organisé, aux Américains dominateurs et à la Chine des " petites mains ".

6) Les Britanniques contournent toutes les lois sociales en dissimulant 1 million de travailleurs clandestins et ils exigent de continuer à profiter d'un « statut » à part pour organiser leur esclavage. Pour les concurrencer, l'Allemagne vient de faire entrer à son tour 1 million de travailleurs exilés en sabotant l'Europe sociale et les efforts humains de la France, qui peu à peu se voit obligée de s'aligner sur ces trafiquants de main d’œuvre bon marché. « Si l’UE n’a aucune dimension sociale et fiscale, c’est parce que Londres s’y est toujours opposé » suivant Libération.

7) Les Britanniques imposent la langue anglaise dans toutes les transactions, contre le cours de l'histoire et contre la France. Il faut remettre la City et ses élites affairistes et mondialistes qui lisent « The Economist » et le « Financial Times » à leur place. Mais « beaucoup d’entreprises internationales ont leur siège en Grande-Bretagne. Cela leur garantit l’accès au Marché unique, ce qui ne sera plus le cas s’il y a Brexit. De même, la City est la place financière de l’euro en raison de son expertise, bien qu’elle ne soit pas dans la zone euro. La Banque centrale européenne a essayé de rapatrier une partie de cette activité sur le continent, mais la Cour de justice européenne s’y est opposée au motif que Londres était dans l’Union », toujours suivant Libération.

8) Les britanniques imposent ainsi à la France depuis la défaite de Napoléon un « Waterloo » quotidien et artificiel pour minimiser son poids et la déclasser. En les éjectant de l'UE, la France doit retrouver le niveau réel d'un pays majeur d'avant la réunification des deux Allemagnes, ainsi que son influence politique et financière. Elle doit conserver contre ces manipulateurs son niveau de protection sociale. Elle ne doit pas transiger sur la diminution du temps de travail et la redistribution de l'activité vers les chômeurs. Son savoir-vivre et sa douceur de vivre comme une grande Suisse sont incompatibles avec le mépris des marchés : l'Europe ne doit plus s'aligner sur l'Angleterre, l'Amérique, l'Asie de la mondialisation car leurs procédés sont méprisants et antisociaux. Surtout, la Grande-Bretagne donne le pire des exemples aux pays du Nord de l'Europe, comme la Russie aux pays de l'Est.

9) Hélas, le parti LR en France s'affiche maintenant favorable aux OGM, au gaz de schiste, aux biotechnologies dangereuses, aux nanotechnologies, à l'exploitation du pétrole jusqu'aux cercles polaires et au fond des océans-poubelles, au bétonnage systématique, à la surexploitation des mers et des forêts, contre toute forme d'écologie, pour les lobbys américains du tabac et des armes en plus de la financiarisation forcenée des forces de travail au service des actionnaires et des fonds de pension. Ce parti républicain, conçu par Nicolas Sarkozy sur le modèle républicain américain, est un danger public : il faut vite le relayer au second plan en France et en Europe, à l'égal du parti des "Le Pen", pour promouvoir à sa place une écologie salvatrice. L’Écosse-Verte elle a toute sa place aux côtés d'une France-Verte et d'une Allemagne-Verte, en UE. Mais attention que Hollande ne nous engage pas dans la mauvaise direction en nous alignant à son tour sur les Américains.
 
10) Les Britanniques eux doivent être poussés à s'asseoir à une CEE élargie au Commonwealth, aux côtés de l'Ukraine, de la Turquie etc. et sans aucun pouvoir décisionnel sur l'UE de base. C'est là qu'ils nous rendrons le plus de services. Ils ne pourront ainsi faire chuter qu'eux-mêmes, d'autant que le Portugal a pris leur place dans le cœur des Français et que l'Italie de Matteo Renzi nous fait de l'œil.

* Le « French bashing » désigne aussi bien le dénigrement de la France à l'étranger que l'auto-dénigrement français en lien avec un certain déclinisme.

samedi 11 juin 2016

Ouverture de l'Euro foot 2016 :« Paris-Junk-Capital, cholérats et cæterats » dans le blogiblag du 11/06/2016 (LJ ©2016).

Euro les imbéciles car il leur sera beaucoup pardonné. Bien sûr, la France à réussi son entame par la victoire 2 à 1 du match de foot contre la Roumanie. Mais Paris s'est transformée en ville-poubelle ces derniers jours à cause des grèves à répétition. Et puisque le parti des Républicains favorise grandement ces révoltes ouvrières, comment penser dans ces conditions réélire Sarkozy à la présidence en 2017 ?

Si le Sénat, passé aux mains d'une Droite méprisante, avait osé seulement voter la « loi Travail » voici deux mois, aujourd'hui la France serait en ordre de marche comme une seule armée ! Le contenu de cette loi fourre-tout ? Licenciements facilités pour soi-disant embaucher plus, flexibilité du travailleur en caoutchouc, nivellement du droit du travail par le bas, formation continue à tout et n'importe quoi, restrictions sévères des indemnités en cas de divorce devant les prud’hommes et optimisation de la précarité qu'il faudra ajouter au travail les dimanches, à la dévalorisation de la connaissance et de l'ancienneté, au cumul désespéré des petits boulots (sans espoir d'accéder à la propriété) et au renoncement explicite à toute carrière, soit au final une loi scélérate offerte en sacrifice propitiatoire au patronat par Hollande et Valls dans le but d'alimenter les chaînes vertueuses de notre production nationale. Et résultat de toutes ces délibérations : le NON incroyable de la droite, le NON obligé de l'extrême gauche et le merdier total ! Voici donc comment et pourquoi Paris est devenue une Junk-Capitale, la capitale des poubelles puantes.

Alors, félicitons Martinez, le syndicaliste cégétiste en chef, et mille bravos aussi à Sarkozizy-le-petit quand ils ne valent pas mieux l'un que l'autre : tous deux sont de pauvres maîtres chanteurs bouffis d'orgueil et des traîtres à l'intérêt de la nation. Moi personnellement, je ne leur confierais même pas les clefs de ma voiture, alors les codes de l'arme nucléaire, vous pensez ! Maintenant, la loi Travail, ils peuvent bien se la mettre au cul... pour la remanier en juillet, pendant les grandes vacances et donc dans l'indifférence générale. Oui, bande de manipulateurs, je vous conchie.

C'est que Sarko est revenu prématurément dans l'aquarium géant de la politique montrer les dents et rejouer (indéfiniment) son échec aux élections de 2012 : « Hollande est un menteur et voyez le résultat... C'est scandaleux ! » brame-t-il sur Europe 1 au moment de célébrer « l'Euro 2016 ». Edmond Dantesque, le retour ! Ah, mais quel petit malfaiteur ce Paul Bismuth ou plus familièrement « mon Raymond » : pro-TAFTA-américain, pro-vente de la France à la découpe, pro-milliardaires, pro-Fouquet's, pro-Bolloré, pro-Bettancourt, pro-émirats arabes, pro-lobbies, pro-multinationales, pro-croissance à deux chiffres en pompant le tiers et le quart-mondes, adepte de la précarité et de l'esclavage à 200 dollars par mois en Turquie ou ailleurs, pro-MEDEF, pro-licenciements à la pelle, irréductible anti-35 heures, pro-pétrole-charbon et réchauffement climatique, pro-atome-Tchernobyl-Fukushima, pro-air irrespirable et morts prématurées par asphyxie, pro-agriculture intensive, pro-glyphosate Monsento et compagnie, pro-bœuf aux hormones, pro-épuisement des sols et épandages chimiques, pro-OGM, pro-nanoparticules jusqu'à coloniser nos cerveaux et saturer nos synapses, pro-dégénérescence Parkinson Alzheimer, pro-manipulations génétiques, pro-cigarettiers et anti-paquets neutres, pro-cancer du poumon pour un fumeur sur deux, pro-aéroports, anti-zadiste évidemment, pro-bétonnage et inondations, pro-pollutions des mers, anti-écologiste forcené, serial-killer au service des industries de l'armement, de l'automobile, de la chimie, va-t-en guerre patenté etc... Faudrait évoquer ici un Junk-Brain dans les petites têtes de tous ces politocards de droite, en concurrence directe avec les gauchistes.

Et dire que les Suisses ont délaissé le « revenu universel » et l'idéal de « l'homme affranchi » pour protéger une industrie esclavagiste. Fallait-il qu'une grosse minorité de millionnaires craignissent la concurrence des « nouveaux rentiers » à raison de 2 500 francs suisse par mois ? Et qui viendrait après cette aumône de luxe se sacrifier dans les mines, dans les usines, ramasser les poubelles, retourner les meules de gruyère et garder les vaches ? La monnaie Suisse ne s'en trouverait-elle pas dévaluée d'autant ? Déjà que la France a adopté le RSA à 524,68 euros pour ses nouveaux pauvres et voyez où cela l'a menée : bande de fainéants, chômeur n'est pas une profession mais une honte !

Sérieusement, pourquoi devrait-on réélire Sarko à la présidence de la République l'année prochaine ? Je le vois revenir avec ses gros sabots tous crottés au seul titre de « la Renaissance de la Nation ». Après pourrait-il d'une façon soi-disant très républicaine, pour ne pas dire putassière, nous taxer dans les premiers quinze jours de sa présidence et devant tous ses barons d'une « loi Travail » puissance dix et d'une nouvelle « flexisécurité » ? Sarkozy, Copé, Fillon, Juppé , Le Maire prétendent diriger la France par des clauses de contrat, des décrets et des ordonnances. Après, suffirait-il d'introduire une « petite dose de social » comme un gros suppositoire dans le cul pour nous réjouir l'anus ? Et puis, curieusement ils confondent les zadistes, les syndicalistes et les casseurs qu'ils associent aux islamistes radicaux : tous dans le même panier à salade ! Surtout, pas d'amalgames ! Ah, les gros finauds, mais pour quel libéralisme de mauvais aloi ? Pour quelle junte militaire à venir ? Pour quelle guerre civile ? Pour imiter Madame Thatcher ou le réformateur italien Matteo Renzi dit « Le démolisseur » , ou bien encore le self-made man Donald Trump ? Copieurs, imbéciles de bas étages, crétins des Alpes... Faut se figurer le bordel total attendu avec leur programme de droite ! Faut imaginez la « family Sarkozy » au travail : pompes à merde à tous les étages quand le peuple en crue envahira les Champs-Élysées et Matignon façon 14 juillet, défilés de grévistes ininterrompus toute l'année avec les syndi-cacas dans la rue sous les hauts-parleurs, les casseurs en folies sous les grenades de désencerclement et les fumigènes, les vitrines brisées, les retours de bâtons dans la tronche des passants à tire à larigot ! Se croient-ils à l'abri nos politiciens avec leurs belles petites gueules de nouveaux riches et de faux-culs ? Il y a des claques qui se perdent.
- Sarko au cachot, les prolos auront ta peau !

Car notre beau pays s'est immobilisé rien que par l'incurie crasse de ces politiciens et nous commençons à sentir les poubelles au petit matin à cause de cette Droite fascisante, sans concession aucune. Tout ça pour interdire la loi « Myriam el Khomri », belle comme un printemps arabe, tendancieuse comme une sourate du MEDEF mais désavouée in fine pour cause d'insuffisances manifestes ! Non, ce n'est pas Hollande qu'on doit craindre mais bien le retour de Sarkozy en 2017. Déjà, les conteneurs-poubelles débordant d'ordures participent à l'Euro de football en ce mois de juin. ' Paris No Go Zone ' est devenu par l'inconséquence rageuse du couple Sarko-Martinez : ' Paris Junk Zone '. Oui, la ville-lumière pue à cause de tous ces cons là et non pas à cause du peuple ni de ce petit couple bien propre sur lui : Hollande et Valls.

Fort heureusement, quelle riche idée a eu ce gouvernement de cantonner les supporters des équipes de football de l'Euro dans des « fan zones » protégées et parfumées ! Bien sûr, les quais de Seine seront interdits à la baignade le temps de nettoyer les boues de la décrue mélangées d'hydrocarbures. Tiens, dans ces eaux qui refluent sous les ponts de Paris j'ai cru voir passer l'aileron d'un requin sarkoziste, entre des vieux débris : ça m'a donné des envies de pêche au gros... Hélas, c'est trop tôt pour Paris-plage, quand il suffirait de balancer quelques péniches de sable sur les bords de Seine pour que Paris retrouve des airs de vacances. Mais pourquoi ne pas anticiper, madame Hidalgo ?

Alors, la France est-elle enfoncée jusqu'au cou dans « la gadoue, la gadoue, la gadoue » ? Nos trains par milliers se traînent pour ridiculiser la SNCF, les avions d'Air France peinent à décoller et nos poubelles croulent d'ordures ménagères. La ville la mieux desservie du monde part-elle en vrille ? Que nenni, même pas mal... Car Paris est aussi la capitale la plus fliquée au monde qui sait se protéger : voilà pourquoi elle peut accueillir l'Euro 2016. D'ailleurs, la Seine est revenue gentiment dans son lit comme la femme du boulanger et les Français sont décidément increvables et résilients qui résistent à tout, sauf les morts, ça va de soit. Plaignons plutôt ces pauvres petits Anglais écœurés de l'Europe (après avoir accueilli les JO d'été à Londres en 2012) et qui devraient annoncer le Brexit pendant que nous donnons à notre tour la fête. Ah, les petits joueurs ! Déjà ils sont perdants et je leur souhaite une bonne déculottée : My God, qu'ils repartent vite la queue entre les jambes ! Les Écossais, qui ne craignent rien sous leurs kilts, sont plus sympas.

Et les Américains qui s'attendent à voir venir Donald Trump à la Maison Blanche, après Obama : un éléphant dans un magasin de porcelaines, un aventurier, un cow-boy peut-être, un Poutine de l'Ouest ? À croire que ce faux républicain, un sectaire convaincu, a une tête de sauveur ? Et de rire. Mais de là en France à voter Sarkozy, cela participerait au « grand désespoir suicidaire » organisé par les milliardaires et leurs multinationales défiscalisées pour déposséder les Français de leurs derniers privilèges : la liberté, l'égalité et la fraternité.

François Hollande lui le sait bien qui résiste vaillamment contre l'opinion générale depuis 4 ans : il vous faut du pain, des merguez et les jeux du cirque ? Voilà mais c'est ramadan, je vous l'emballe pour ce soir ma p'tite dame ? A-t-il le sentiment d'avoir été trop chiche pendant ce quinquennat passé ? Avant l'arrivée des élections de 2017, ce mongole-fier dégaze et lâche du lest à tours de bras vers les fonctionnaires, les enseignants, la recherche, les intermittents de spectacle, la SNCF, les syndicalistes de tous poils et il leur offre des certificats de reconduite de tous leurs avantages cumulés depuis des siècles de lutte des classes. Bien sûr, c'est une politique improbable en contrepartie d'une dette nationale abyssale : Hollande se paie ainsi le luxe de mépriser la Droite au moment où ces faiseurs faisandés prétendent économiser d'une traite cent milliards d'euros, programme en main. Et pour quels résultats aujourd'hui mon Nono ? La grève de tous les autres, les faux amis, les alliés communistes de la première heure, les convoyeurs et les éboueurs syndicalisés : « On est bien mal récompensé de tous ses efforts, mon brave ! » Oui, mais... Jésus crie et la caravane passe car on arrête pas le commerce.