4 mois après cet article, Nicolas Hulot a démissionné et l'Australie à son tour est en feu, avec des températures proches de 50°.
Au moment où l'Amazonie brûle, le Canada brûle, la Californie brûle et surtout les glaces des pôles fondent, Trump a exclu l'Amérique de l'accord sur le climat.
Si les Mayas avaient annoncé la fin du monde pour 2012, voici donc les premiers effets : l'enfer climatique.
Et notre ministre de la Transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot, de prévenir aimablement :
« Nous venons de vivre une semaine d'extrêmes climatiques: incendies en Grèce et en Suède, record de température en France, inondation puis canicule au Japon. Les scientifiques nous préviennent que ce n'est qu'une bande-annonce. Pendant ce temps, nous regardons ailleurs...
Nous avons collectivement une immense responsabilité, poursuit le ministre. Nous ne pouvons plus entretenir des divisions, réelles ou factices, alors que cet enjeu appelle une réponse universelle. La confrontation politique est nécessaire, mais sur ce point, faisons la paix. J'appelle à une union sacrée sur le climat...
Le feu est à nos portes, au sens propre comme au sens figuré... [quand] certains partis politiques rechignent encore à faire figurer le changement climatique et la biodiversité dans l'article premier de la Constitution, comme si c'était une préoccupation mineure ».
Au moment où l'Amazonie brûle, le Canada brûle, la Californie brûle et surtout les glaces des pôles fondent, Trump a exclu l'Amérique de l'accord sur le climat.
Si les Mayas avaient annoncé la fin du monde pour 2012, voici donc les premiers effets : l'enfer climatique.
Et notre ministre de la Transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot, de prévenir aimablement :
« Nous venons de vivre une semaine d'extrêmes climatiques: incendies en Grèce et en Suède, record de température en France, inondation puis canicule au Japon. Les scientifiques nous préviennent que ce n'est qu'une bande-annonce. Pendant ce temps, nous regardons ailleurs...
Nous avons collectivement une immense responsabilité, poursuit le ministre. Nous ne pouvons plus entretenir des divisions, réelles ou factices, alors que cet enjeu appelle une réponse universelle. La confrontation politique est nécessaire, mais sur ce point, faisons la paix. J'appelle à une union sacrée sur le climat...
Le feu est à nos portes, au sens propre comme au sens figuré... [quand] certains partis politiques rechignent encore à faire figurer le changement climatique et la biodiversité dans l'article premier de la Constitution, comme si c'était une préoccupation mineure ».
Il a raison. Quoi ? Hélas, si nous prenons tous les hommes et femmes politiques des 50 dernières années, par exemple en Amérique, au Canada, en Chine, en Russie, en Espagne comme en France, tous on nié en bloc le réchauffement climatique ou sinon, une fois arrivés au pouvoir, leurs entreprises pour enrayer le réchauffement et la destruction de la biosphère ont été nulles contre les intérêts industriels et les lobbys tout-puissants.
Notre président Macron n'échappe pas à cette tare politique : lui qui se prenait pour Jésus Christ avec son slogan «... en marche» finit par distribuer les «petits pains» directement dans la gueule des récalcitrants de la République. Et sous Hollande ? Les CRS envoyaient des «grenades à main» explosives jusque dans la capuche des manifestants pour se désencercler... au milieu des champs ! Pourtant, les zones vertes ne sont-elles pas essentielles pour faire respirer la Terre, absorber les eaux de ruissellement et rafraîchir l'atmosphère pendant les périodes de sécheresse ? Pourquoi bétonner inutilement des hectares de terre, à la campagne comme à la ville, sous prétexte de combler «une dent creuse»?
Vu du ciel, la Terre devient un désert brun quand la végétation disparaît.
Notre civilisation se mesure-t-elle en tonnes de béton, d'asphalte, d'acier et de pétrole ? Cette idée donnerait raison à Trump-le-bétonneur qui prétend construire le «mur du con» le plus grand du monde.
En France, Jacques Chirac fut parmi les plus braves en déclarant déjà en 2002 : «Notre maison brûle et nous regardons ailleurs».
En Europe, le président espagnol Mariano Rajoy de 2011 à 2018 a nié ouvertement le réchauffement climatique, les archives en témoignent, tout comme une majorité de politiciens et de lobbyistes industriels qui nous condamnent à l'Enfer et au feu de la géhenne pour leur seul profit.
«Par la grand'porte ouverte, on croyait assister à quelque scène de géhenne, parmi les ricanements des démons» (Pesquidoux).
Et Trump, dit «le Grand Foutre», démon entre les démons, le sait bien car ce diable nous entraîne allègrement dans les flammes. En attendant, il joue au "billard à trois bandes de cons", comme à son habitude : «Je prends la Russie pour taper sur l'Europe pour taper sur la Chine». terrorisé, Junker a promis au nom de l'Europe d'acheter à l'Amérique de Trump plus de produits chimiques et pharmaceutiques, plus de gaz de schiste et de soja transgénique (le soja que les Chinois boycottent pour lutter contre les surtaxes américaines). En échange de toutes ces saletés contaminantes, l'Allemagne pourra vendre ses voitures outre-atlantique sans surtaxes douanières, fournir ses fermes automatisées de milliers d'animaux en tourteaux transgéniques à la place des céréales et du fourrage brûlés par la sécheresse (en provenance de Russie) et elle continuera d'arroser l'Europe (suivant l'accord Monsento-Bayer) de «round up» et autres pesticides qui exterminent la faune et la flore, les rejetons du trop célèbre «agent orange». Nous achèterons aussi aux laboratoires américains, les yeux fermés, tous les traitements pharmaceutiques vendus "à prix d'or" à la France et aux immigrés qui viennent s'y faire soigner gratuitement, au travers de nos hôpitaux, cliniques, cabinets médicaux et pharmacies, pour espérer lutter contre le sida, les cancers et les épidémies.
Pris entre deux feux, le réchauffement climatique et les bombardements, des millions de réfugiés fuient l'enfer de leur pays de naissance pour venir nous demander secours. Mais Trump-la-Mort s'en lave les mains...
Si Trump joue sale avec l'Afrique et l'Europe, il épargnera si possible Merkel qui détient les clefs de la banque et Theresa May à qui il a expliqué comment quitter l'Europe avantageusement, et ne parlons pas des accords de convenance avec Poutine qui poursuit ses «poutinades diaboliques» et Kim-de-la-Jungle rebaptisé joyeusement «Rocket man» pour sa puissance de feu infernale !
En France, même nos philosophes de salon sont diaboliques et négationnistes (à l'inverse du siècle des Lumières) : Luc Ferry , alias Lucifer, milite en faveur des OGM «qui sont bons pour la santé», Michel Onfray lutte contre le christianisme en utilisant l'islamisme, nie le réchauffement climatique et annonce l'apocalypse, quant à Raphaël Enthoven, ce bellâtre viandard, il nie que la Terre soit devenue la plus grande boucherie de tous les temps et l'antichambre de la mort par asphyxie, égorgement, électrocution, tranchage, par balles ou piégeage etc. et tout ça au nom de quoi ? De notre grande CIVILISATION décrite par ces mêmes philosophes de crotte mais je devrais dire plutôt «de pétrole bitumineux», ceux qui par leur présence prétentieuse et leurs écrits polluent l'air autant qu'un million de camions, exactement comme le fait le plus grand navire de croisière en arrivant au port, le «Symphony of the Seas».
Ces soi-disant philosophes sont les complices dévoyés des plus grands arnaqueurs/pollueurs de la planète, les Trump, Trudeau, Temer, Xi Jinping, Poutine etc. dont ils s'imaginent profiter du succès, à défaut de sagesse. Leurs mesures diaboliques sont le PIB, le dollars, l'or et le baril de pétrole. Et le battage médiatique autour d'eux agrègent les disciples de leurs théories absurdes comme la merde attire les mouches :
_ …Mais respirez moi ce délicieux gaz carbonique, cet ozone transparent, ces vapeurs bleutées toxiques d'hydrocarbures extra-lourds et leurs particules fines dignes des plus grands aristocrates de la pensée, ces pesticides réconfortants... Ah, merveille de nous ! Ne cessent-ils de s'autocélébrer à cor et à cri, ces pignoufs, ces asticots lubriques, ces bousins à crête jaune, ces fientes mondialistes.
Alors, mes amis, à qui se fier maintenant, mis à part notre bon mais très impuissant ministre Nicolas Hulot ? Merde in France.