Mon cher Nicolas Hulot,
Nul doute qu'en annonçant votre démission du gouvernement Macron le 28 août 2018, au micro de France Inter, vous avez éprouvé le «Syndrome du Titanic*» et j'éprouve moi-même ce mal tous les jours, en parcourant comme un zombie le désert de nos villes puantes, entre béton et asphalte.
Vous êtes un lanceur d'alerte et un modèle, mais «lanceur d'alerte» n'est pas un métier, tout juste une malédiction comme celle de Julian Assange et des journalistes assassinés un peu partout sur la Terre. Et voilà pourquoi les yeux vous piquent... Le ministère de la Décroissance et de la Dépollution n'était que le projet illusoire d'un jeune prétendant à la présidence qui vous a arnaqué en deux temps trois mouvements.
Bien pire que de vivre sous le règne des dinosaures, en plus des militaires et des polices assassines qui officient partout dans le monde, nous voici sous l'emprise totalitaire de Macron-de-Rothschild et plus généralement, dans la société civile, nous sommes sous le règne des empoisonneurs de la planète et des dépeceurs, par exemple des agriculteurs-jardiniers imbéciles qui aspergent les plantes de pesticides ou des bourreaux-équarrisseurs-bouchers obtus qui se prennent pour des grands professionnels indispensables à la société. Mais où va-t-on? Demandez ce qu'en pensent les végans...
Car ce monde n'est pas «simplement cruel» mais «absolument ignoble»: nous sommes la plus grande boucherie «à ciel ouvert» de notre galaxie (et peut-être de l'univers) avec 140 milliards d'animaux terrestres exécutés chaque année dans le monde entier pour nous servir de viande (20 animaux en moyenne par personne) et 2740 milliards d'animaux marins transpercés et asphyxiés (des centaines de poissons, mammifères marins, coquillages et crustacés par personne) car oui, nous vidons les océans «nourriciers», ce réservoir de vie sauvage comme un merveilleux aquarium planétaire emporté au grès des courants cosmiques, pour en faire un égout puant, c'est à dire l'évacuation de nos chiures, de nos poisons et de nos emballages plastiques dans des mers mortes.
Les hommes aussi sont à leur tour traités «en gros», vu leur masse grouillante, par les gouvernants et c'est ce qui fait dire à notre bon président Macron arrivé aux Antilles Françaises le 27 septembre 2018 à propos de l'empoisonnement de générations d'Antillais au chlordécone, le pesticide utilisé dans les bananeraies: «L’état a sa part de responsabilité … mais si je disais qu’on va indemniser tout le monde, c’est impossible même budgétairement, et ce serait irresponsable... Il n’y a pas aujourd’hui de preuve scientifique établie!». Sauf que 97% des Antillais sont contaminés et que l'on trouve près de 200 composés chimiques nouveaux dans les cheveux, le sang et les urines des Français: nous sommes des bombes chimiques vivantes susceptibles «d'exploser» à tout moment d'un AVC, d'un infarctus ou d'un cancer.
Curieusement, au grès des «scandales sanitaires» nos présidents passés ont dit de même pour l'amiante, pour les contaminations radioactives (Moruroa ou Tchernobyl) et il faut s'attendre à un scandale à venir encore plus grand avec tous les pesticides pulvérisés sur les cultures "innocemment" par les Français (comme le Roundup) au nom d'une agriculture scientifique, quand les composants chimiques actifs sont des poisons violents tel l'arsenic associé au trop fameux glyphosate, dans des formules tenues secrètes par les grandes sociétés chimiques et pharmaceutiques, Monsanto-Bayer et les autres.
Tiens, Macron baisse les yeux et met son mouchoir par-dessus... On pourrait aussi parler de l'air devenu irrespirable en France et dangereux pour nos poumons, des millions de morts dus aux accidents de la route, à la malbouffe, à l'alcool, aux drogues ou en fumant des cigarettes etc... et toujours cet «État complice» derrière qui s'occupe seulement de remplir ses caisses au dépens des imbéciles mais aussi des enfants qui ne seront jamais que des victimes.
Alors, mon cher Nicolas Hulot, je comprends ce divorce entre toi et ces vendus. Ton message de préservation de la planète est sali, réduit à peau de chagrin quand les partisans de la décroissance sont décrits comme des « pro-tiers-mondistes anti-capitalistes»: la pensée humaniste est ainsi continuellement détournée ou simplement méprisée au profit des commerces criminels et des industries sales. Oui, Nicolas, notre gouvernement est plein de technocrates et d'incultes des grandes écoles et les lobbys œuvrent librement en son sein.
Nul doute qu'en annonçant votre démission du gouvernement Macron le 28 août 2018, au micro de France Inter, vous avez éprouvé le «Syndrome du Titanic*» et j'éprouve moi-même ce mal tous les jours, en parcourant comme un zombie le désert de nos villes puantes, entre béton et asphalte.
Vous êtes un lanceur d'alerte et un modèle, mais «lanceur d'alerte» n'est pas un métier, tout juste une malédiction comme celle de Julian Assange et des journalistes assassinés un peu partout sur la Terre. Et voilà pourquoi les yeux vous piquent... Le ministère de la Décroissance et de la Dépollution n'était que le projet illusoire d'un jeune prétendant à la présidence qui vous a arnaqué en deux temps trois mouvements.
Bien pire que de vivre sous le règne des dinosaures, en plus des militaires et des polices assassines qui officient partout dans le monde, nous voici sous l'emprise totalitaire de Macron-de-Rothschild et plus généralement, dans la société civile, nous sommes sous le règne des empoisonneurs de la planète et des dépeceurs, par exemple des agriculteurs-jardiniers imbéciles qui aspergent les plantes de pesticides ou des bourreaux-équarrisseurs-bouchers obtus qui se prennent pour des grands professionnels indispensables à la société. Mais où va-t-on? Demandez ce qu'en pensent les végans...
Car ce monde n'est pas «simplement cruel» mais «absolument ignoble»: nous sommes la plus grande boucherie «à ciel ouvert» de notre galaxie (et peut-être de l'univers) avec 140 milliards d'animaux terrestres exécutés chaque année dans le monde entier pour nous servir de viande (20 animaux en moyenne par personne) et 2740 milliards d'animaux marins transpercés et asphyxiés (des centaines de poissons, mammifères marins, coquillages et crustacés par personne) car oui, nous vidons les océans «nourriciers», ce réservoir de vie sauvage comme un merveilleux aquarium planétaire emporté au grès des courants cosmiques, pour en faire un égout puant, c'est à dire l'évacuation de nos chiures, de nos poisons et de nos emballages plastiques dans des mers mortes.
Les hommes aussi sont à leur tour traités «en gros», vu leur masse grouillante, par les gouvernants et c'est ce qui fait dire à notre bon président Macron arrivé aux Antilles Françaises le 27 septembre 2018 à propos de l'empoisonnement de générations d'Antillais au chlordécone, le pesticide utilisé dans les bananeraies: «L’état a sa part de responsabilité … mais si je disais qu’on va indemniser tout le monde, c’est impossible même budgétairement, et ce serait irresponsable... Il n’y a pas aujourd’hui de preuve scientifique établie!». Sauf que 97% des Antillais sont contaminés et que l'on trouve près de 200 composés chimiques nouveaux dans les cheveux, le sang et les urines des Français: nous sommes des bombes chimiques vivantes susceptibles «d'exploser» à tout moment d'un AVC, d'un infarctus ou d'un cancer.
Curieusement, au grès des «scandales sanitaires» nos présidents passés ont dit de même pour l'amiante, pour les contaminations radioactives (Moruroa ou Tchernobyl) et il faut s'attendre à un scandale à venir encore plus grand avec tous les pesticides pulvérisés sur les cultures "innocemment" par les Français (comme le Roundup) au nom d'une agriculture scientifique, quand les composants chimiques actifs sont des poisons violents tel l'arsenic associé au trop fameux glyphosate, dans des formules tenues secrètes par les grandes sociétés chimiques et pharmaceutiques, Monsanto-Bayer et les autres.
Tiens, Macron baisse les yeux et met son mouchoir par-dessus... On pourrait aussi parler de l'air devenu irrespirable en France et dangereux pour nos poumons, des millions de morts dus aux accidents de la route, à la malbouffe, à l'alcool, aux drogues ou en fumant des cigarettes etc... et toujours cet «État complice» derrière qui s'occupe seulement de remplir ses caisses au dépens des imbéciles mais aussi des enfants qui ne seront jamais que des victimes.
Alors, mon cher Nicolas Hulot, je comprends ce divorce entre toi et ces vendus. Ton message de préservation de la planète est sali, réduit à peau de chagrin quand les partisans de la décroissance sont décrits comme des « pro-tiers-mondistes anti-capitalistes»: la pensée humaniste est ainsi continuellement détournée ou simplement méprisée au profit des commerces criminels et des industries sales. Oui, Nicolas, notre gouvernement est plein de technocrates et d'incultes des grandes écoles et les lobbys œuvrent librement en son sein.
Aujourd'hui, quand des leaders honnêtes et prévenants osent parler de préserver l'homme et la planète (le Pape ou le Dalaï-lama par exemple), ils sont chacun son tour dénigrés comme les représentants des pires déviations sexuelles, celle des abuseurs et des pédophiles dissimulés dans leurs rangs comme partout ailleurs. Mais que dire des tueurs de planète, des coupables de la 6éme extinction de masse des espèces, des pédophiles qui violentent chaque jour Gaïa et ses enfants, notre Terre reçue en héritage?
Les philosophes et les sages sont disparus, remplacés par des prétentieux qui font commerce de leur langue comme Michel Onfray, l'homme aux deux AVC et un infarctus, mais qui continue de pondre un manuel de philosophie tous les 4 jours avec sa bouche de poisson mort, ses yeux vitreux et sa cervelle qui phosphore comme une allumette... Je comprends grâce à ces prétendus philosophes que notre monde post-moderne (avec tous les cons qui nous commandent) se divise dorénavant entre les «ultra-épicuriens» et les «infra-stoïciens», c'est à dire les «jouisseurs-hédonistes» qui épuisent la nature dans l'urgence de la dévoration du vivant (vive la consommation!) et les nouveaux «communistes-naturistes» qui eux prônent un retour économe à la nature, le respect du vivant dans lequel nous nous inscrivons bêtement et la diminution indispensable des énergies brûlées pour contrer le réchauffement climatique (ce qui ne les empêche pas de jouir).
Les philosophes et les sages sont disparus, remplacés par des prétentieux qui font commerce de leur langue comme Michel Onfray, l'homme aux deux AVC et un infarctus, mais qui continue de pondre un manuel de philosophie tous les 4 jours avec sa bouche de poisson mort, ses yeux vitreux et sa cervelle qui phosphore comme une allumette... Je comprends grâce à ces prétendus philosophes que notre monde post-moderne (avec tous les cons qui nous commandent) se divise dorénavant entre les «ultra-épicuriens» et les «infra-stoïciens», c'est à dire les «jouisseurs-hédonistes» qui épuisent la nature dans l'urgence de la dévoration du vivant (vive la consommation!) et les nouveaux «communistes-naturistes» qui eux prônent un retour économe à la nature, le respect du vivant dans lequel nous nous inscrivons bêtement et la diminution indispensable des énergies brûlées pour contrer le réchauffement climatique (ce qui ne les empêche pas de jouir).
Il y a aussi dans ce post-modernisme les trafiquants du genre humain, les «fous de dieu» ou les «transhumanistes»: l'humanité aurait son avenir «hors sol» soit au paradis, soit dans des éprouvettes et sur des vaisseaux spatiaux après l'épuisement de la Terre (dixit Elon Musk).
Remarquez, l'horreur que les petits «jouisseurs-épicuriens» décrivent n'est pas celle de la dégradation alarmante de notre planète mais celle de la décroissance économique: «Quoi, vous voulez nous empêcher de jouir? À quoi va servir tout notre pognon?». Les asticots, ils s'imaginent pouvoir tout acheter... comme si la nature et les océans étaient inépuisables pour servir leur seul appétit : «Il faut soutenir la consommation!» répètent-ils sans cesse.
Ici, je dois parler des lobbys du pognon qui tirent les fils, de ces milliardaires propriétaires des médias d'information et des banquiers mais aussi de nos gouvernements qui encouragent les empoisonneurs de notre Terre moribonde –quand tous les poisons ensevelis pendant des millions d'années par le Temps (le travail de Dieu?) sont remontés à la surface en quelques décennies (le travail du Diable?) au nom du «PIB national» (la formule maléfique)- mais en réalité par derrière ce ne sont que des financiers qui cherchent à se remplir les poche avec des procédés infectes: ceux du libéralisme capitaliste boursicoteur, du lobbyisme sectaire, de l'entrepreneurisme à la con défonceur de la planète et sa ribambelle d'opportunistes industriels impénitents... Merde in France!
Remarquez, l'horreur que les petits «jouisseurs-épicuriens» décrivent n'est pas celle de la dégradation alarmante de notre planète mais celle de la décroissance économique: «Quoi, vous voulez nous empêcher de jouir? À quoi va servir tout notre pognon?». Les asticots, ils s'imaginent pouvoir tout acheter... comme si la nature et les océans étaient inépuisables pour servir leur seul appétit : «Il faut soutenir la consommation!» répètent-ils sans cesse.
Ici, je dois parler des lobbys du pognon qui tirent les fils, de ces milliardaires propriétaires des médias d'information et des banquiers mais aussi de nos gouvernements qui encouragent les empoisonneurs de notre Terre moribonde –quand tous les poisons ensevelis pendant des millions d'années par le Temps (le travail de Dieu?) sont remontés à la surface en quelques décennies (le travail du Diable?) au nom du «PIB national» (la formule maléfique)- mais en réalité par derrière ce ne sont que des financiers qui cherchent à se remplir les poche avec des procédés infectes: ceux du libéralisme capitaliste boursicoteur, du lobbyisme sectaire, de l'entrepreneurisme à la con défonceur de la planète et sa ribambelle d'opportunistes industriels impénitents... Merde in France!
* «Le Syndrome du Titanic» est un film documentaire réalisé en 2008 par Nicolas Hulot et Jean-Albert Lièvre, sorti le 7 octobre 2009. Il fait suite au livre éponyme sorti en 2004: Le Syndrome du Titanic où Nicolas Hulot développe les thèmes de l'impact de l'homme sur l'évolution de l'environnement et l'érosion de la biodiversité. /Wikipédia