Dans une entrevue digne d'un spectacle de clowns, le prétendu journaliste et animateur américain hilarant, Tuck Carlson, a eu le privilège de s'entretenir avec le redoutable Raz-Putin, pour transmettre un message incroyablement rassurant aux citoyens républicains américains : "Ne craignez rien de ma part, je n'ai aucune intention de redécorer votre pays avec des feux d'artifice atomiques, alors votez pour mon ami pro-russe, l'inénarrable Trump-la-mort!"
Raz-Putin suggère ainsi aux républicains nord-américains d'abandonner leur soutien à l'Ukraine, arguant que la guerre prendrait fin en deux ou trois semaines faute de munitions. Mais qui pourrait vraiment croire cela ? La vérité, dissimulée derrière le rideau de fumée médiatique, est que sans les millions de munitions en provenance de Corée du Nord et les essaims de drones iraniens, le Patriochka de toutes les Russies serait depuis longtemps dans l'incapacité de marteler l'Ukraine, et ses troupes se replieraient, laissant l'alliance atlantique remporter la victoire. Oui, Poutine jongle avec l'opinion, se proclamant vainqueur, mais sans le soutien d'autres dictatures, le rouleau compresseur russe s'arrêterait net. Et parlons des pertes humaines : 500 000 soldats des deux côtés ont été fauchés par les bombes, et 10 millions de personnes déplacées font de Raz-Putin le plus grand criminel de guerre du XXIe siècle.
L'absurdité de cet entretien risible omet de mentionner que Raz-Putin menaçait récemment d'effacer l'Europe et les États-Unis de la carte avec ses missiles hypersoniques intercontinentaux. Ayant déjà annexé la Tchétchénie et la Crimée tout en prétendant ne pas être intéressé par une invasion, il écrase aujourd'hui l'Ukraine sous les bombes nord-coréennes. Mais attention, prévient-il tranquillement à Carlson, "c'est terminé, circulez, il n'y a plus rien à voir !" Comment peut-on accorder du crédit à ce manipulateur ? Les États-Unis sont-ils prêts à se plier aux volontés de ces dictateurs autoproclamés ou, pour être plus terre à terre, à s'agenouiller ? Avec Trump-la-mort, la démocratie est clairement sur la corde raide.
Le problème majeur réside dans l'absence de contre-propagande efficace face à la propagande toxique de Raz-Putin et de son double, Trump-la-mort, car les prétendus journalistes du monde entier semblent avoir déserté leurs postes. Si Charlie Chaplin a jadis créé et interprété "Le Dictateur", où sont tous les Charlie Chaplin du monde libre aujourd'hui ? Ont-ils tous été réduits au silence comme des chiens errants au sein de leurs rédactions ?
Pour proposer une solution audacieuse, pourquoi ne pas utiliser l'intelligence artificielle pour remplacer la tête de Hitler par celle de Raz-Putin dans le film "Le Dictateur", qui serait diffusé gratuitement dans toutes les écoles et cinémas du monde entier, de Paris à Hong Kong en passant par New York, la ville natale de Trump-la-mort, afin d'instruire les masses?