Je l'aurais voulu français pour sa pugnacité. En plus il porte un nom qui fleure bon le camembert, je veux parler de cette grande famille d'origine française des Camerrond (Camembert-rond) et leur fameuse devise : « Si c'est rond, c'est point carré ». Ce sont ces gens là qui nous manquent pour défendre la France, si seulement ils n'étaient pas aussi détestables avec nous autres frenchies depuis leur exil. (Heureusement, nous avons reçu en échange dernièrement un Espagnol magnifique qui nous représente au plus haut, lé pétite Manoleto*!).
Mais pourquoi cet autre Briton dégénéré est-il aussi méprisant ? Ben, vous en connaissez vous des « Lords » de la « City », des premiers sinistres nommés par la reine Élisabeth II et qui restent sympas avec la France ? C'est antinomique, voire carrément absurde.
Mais quoi ? Hollande irait chez les English pour se faire ridiculiser par quelques journaleux au service de la Couronne ? Mister Camelotte, ce n'est pas une façon de recevoir nos représentants. Mauvais européen, va ! Tricheur et vantard, affabulateur et arnaqueur. Mais peut être que ce gros voyou de Cam-héron a-t-il lu et assimilé la fable du Héron de La Fontaine : "… emmanché d'un long cou. Il côtoyait une rivière...", dans lequel cas j'admire son érudition :
Mais pourquoi cet autre Briton dégénéré est-il aussi méprisant ? Ben, vous en connaissez vous des « Lords » de la « City », des premiers sinistres nommés par la reine Élisabeth II et qui restent sympas avec la France ? C'est antinomique, voire carrément absurde.
Mais quoi ? Hollande irait chez les English pour se faire ridiculiser par quelques journaleux au service de la Couronne ? Mister Camelotte, ce n'est pas une façon de recevoir nos représentants. Mauvais européen, va ! Tricheur et vantard, affabulateur et arnaqueur. Mais peut être que ce gros voyou de Cam-héron a-t-il lu et assimilé la fable du Héron de La Fontaine : "… emmanché d'un long cou. Il côtoyait une rivière...", dans lequel cas j'admire son érudition :
Ne soyons pas si difficiles :
Les
plus accommodants ce sont les plus habiles :
On hasarde de perdre en voulant trop gagner.
Gardez-vous de rien dédaigner ;
On hasarde de perdre en voulant trop gagner.
Gardez-vous de rien dédaigner ;
Mais vouloir se taper notre faux mage de Hollande ? Quel crevard... Il aurait plus de respect avec un Obama ou une Merkel. D'accord, c'était évidemment pour déstabiliser notre Président et le pousser à la faute, à l'italienne façon Materazzi. Mais attention, un coup de boule de François, surtout avec le casque, est vite arrivé : il vaudrait mieux éviter ces temps-ci un réflexe malencontreux.
Et la réponse, la voilà et ça fait « Crunch » ! Tony n'a plus de Blair. Non, on ne peut pas gagner sur tous les tabloïds, messieurs les Anglais. Alors bravo pour l'exploit de nos rugbymen, d'autant que c'est rare. Et puis, après les Daft Punk et leurs 5 grammy d'alcool dans le chant là-bas aux States, la France brille enfin par tous ses casques et toutes ses gamelles. Bon d'accord, Valoche qui nous sert la soupe populaire sur Match, ça alimente encore la crise de confiance après le scandale du Water-Closer. François lui ne voulait pas sortir dans la presse-popol. Dommage que la grande dame n'ait pas la même classe !
Oui, que de regrets, surtout quand on apprend avec l'économiste Jacques Sapir que plus de 50 pour cent des chômeurs en France sont imputables à l'Euro : aujourd'hui, on en serait pas à se bouffer les couilles. Et que faisaient donc les Anglais pendant ce temps là ? Il conservaient précieusement la Livre Sterling et tiraient les marrons du feu, pendant que d'autres encore imprimaient des dollars à tour de bras ! Et nous les frenchies bonne-poire on a ouvert en grand nos frontières et on a fermé nos industries pour tomber au niveau de l'Espagne et de la Grèce : tout dans l'échange conceptuel, le tourisme et les services. Après c'est au quidam de payer les pots cassés et la décroissance : tant de sacrifices par nos glorieux ancêtres syndiqués et pour rien. Ah, tristesse !
Pourtant les Français ne s'économisent pas qui travailleraient en moyenne (quand c'est possible) entre 40 et 50 heures par semaine : difficile dans ce cas d'enchaîner deux boulots comme aux États-Unis, le pays de la libre entreprise. Seule la prostitution est en progression constante, ce qui n'est pas bon signe. Car nous voici dans ce cas-marrons...
Non, on en a marre de casquer pour les autres... Alors, mister Caméléon, Il faut choisir : à voile ou à vapeur ! Avec ou sans l'Europe. Par devant ou par derrière mais n'allez pas nous la jouer sur le côté ! En deux mots je vous le fait savoir : ou bien vous la fermez, ou bien vous allez voir... ailleurs. « Cameron, démission ! » Un peu de majesté, quoi... Mauvaise foi ne saurait mentir.
Et la réponse, la voilà et ça fait « Crunch » ! Tony n'a plus de Blair. Non, on ne peut pas gagner sur tous les tabloïds, messieurs les Anglais. Alors bravo pour l'exploit de nos rugbymen, d'autant que c'est rare. Et puis, après les Daft Punk et leurs 5 grammy d'alcool dans le chant là-bas aux States, la France brille enfin par tous ses casques et toutes ses gamelles. Bon d'accord, Valoche qui nous sert la soupe populaire sur Match, ça alimente encore la crise de confiance après le scandale du Water-Closer. François lui ne voulait pas sortir dans la presse-popol. Dommage que la grande dame n'ait pas la même classe !
Oui, que de regrets, surtout quand on apprend avec l'économiste Jacques Sapir que plus de 50 pour cent des chômeurs en France sont imputables à l'Euro : aujourd'hui, on en serait pas à se bouffer les couilles. Et que faisaient donc les Anglais pendant ce temps là ? Il conservaient précieusement la Livre Sterling et tiraient les marrons du feu, pendant que d'autres encore imprimaient des dollars à tour de bras ! Et nous les frenchies bonne-poire on a ouvert en grand nos frontières et on a fermé nos industries pour tomber au niveau de l'Espagne et de la Grèce : tout dans l'échange conceptuel, le tourisme et les services. Après c'est au quidam de payer les pots cassés et la décroissance : tant de sacrifices par nos glorieux ancêtres syndiqués et pour rien. Ah, tristesse !
Pourtant les Français ne s'économisent pas qui travailleraient en moyenne (quand c'est possible) entre 40 et 50 heures par semaine : difficile dans ce cas d'enchaîner deux boulots comme aux États-Unis, le pays de la libre entreprise. Seule la prostitution est en progression constante, ce qui n'est pas bon signe. Car nous voici dans ce cas-marrons...
Non, on en a marre de casquer pour les autres... Alors, mister Caméléon, Il faut choisir : à voile ou à vapeur ! Avec ou sans l'Europe. Par devant ou par derrière mais n'allez pas nous la jouer sur le côté ! En deux mots je vous le fait savoir : ou bien vous la fermez, ou bien vous allez voir... ailleurs. « Cameron, démission ! » Un peu de majesté, quoi... Mauvaise foi ne saurait mentir.
* Manuel Valls
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