Liliane Bettencourt, ancienne propriétaire de L'Oréal, à la tête d'une fortune estimée à 35,5 milliards d'euros, est décédée ce 21 septembre
Le Brésilien Neymar au PSG touche exactement 3 069 520 € par mois, soit environ 100.000 € par jour. Il est ainsi le deuxième joueur le mieux payé de la planète derrière Carlos Tevez en Chine
Un «riche» peut se faire passer pour «pauvre» mais rarement le contraire, ce qui révèle sa duplicité. Et Macron joue magnifiquement en la faveur du «riche» en l'exemptant à l'égal de tous les pauvres: t'en fais pas mon copain, je vais protéger tes gros revenus, tes investissements, tes bénéfices, tes actions, tes rentes. En bref, Macron se met au service du capital sous prétexte d'ouvrir un cercle vertueux: «résultat, le pognon va au pognon encore plus vite qu'hier».
Le Brésilien Neymar au PSG touche exactement 3 069 520 € par mois, soit environ 100.000 € par jour. Il est ainsi le deuxième joueur le mieux payé de la planète derrière Carlos Tevez en Chine
Un «riche» peut se faire passer pour «pauvre» mais rarement le contraire, ce qui révèle sa duplicité. Et Macron joue magnifiquement en la faveur du «riche» en l'exemptant à l'égal de tous les pauvres: t'en fais pas mon copain, je vais protéger tes gros revenus, tes investissements, tes bénéfices, tes actions, tes rentes. En bref, Macron se met au service du capital sous prétexte d'ouvrir un cercle vertueux: «résultat, le pognon va au pognon encore plus vite qu'hier».
Les pauvres sont les égaux des «riches» seulement quand ils paient l'impôt indirect (en même temps que tous les consommateurs). Mais les riches sont encore plus riches quand Macron leur fait des abaissements proportionnels à leurs fortunes diverses. Ainsi, un riche peut se voir dégrever de 50000 euros d'impôts quand le pauvre ne recevra que 500 euros en retour de toutes ses années d'abnégation. Faut dire que «le fric, c'est l'injustice totale».
Mieux encore, les actionnaires du CAC40 ont vu croître leurs bénéfices en 2016, quand les salaires et les ressources sont restés stationnaires depuis des années pour les petits fonctionnaires et les ouvriers ou en net recul pour les paysans. C'est que le gouvernement et le patronat récompensent en priorité les riches investisseurs puis les moins riches, mais jamais les pauvres qui ne font qu'économiser pour une retraite minable à un âge avancé.
Les patrons, qui ne sont pas tous très riches mais qui peuvent toujours se faire passer pour pauvres, savent par exemple profiter des avantages fiscaux dans d'autres pays en se délocalisant ou bien en ne déclarant qu'une part de leurs bénéfices en France. Toujours cette duplicité: vous comprenez, je travaille plus que les pauvres, alors tout mon pognon... «c'est que je le vaut bien». Oui, les «fainéants» sont souvent pauvres quand les investisseurs eux ont du mérite. Et c'est pourquoi toute l'aile droite politique française s'est enfuie derrière maître Fillon-le-bon-filon comme une volée de canards pour aller s'investir dans la «Finance». Voilà, ils sont passés sous les radars en pleine nuit pour partir faire du Macron-pognon: «Mes frères, écoutez-moi, la conjoncture est plus que favorable pour multiplier sa fortune» au détriment des pauvres et «le pognon, ça sent bon!».
Et ne parlez surtout pas de taxer les banques, les GAFA, Mac Do comme Ikea ou Bayer, impossible de taxer les recettes publicitaires de Google ou les petites applications d'Apple sur son App-store qui réjouissent par millions les grands enfants que nous sommes... Et même si l'iPhone haut de gamme d'Apple vaut un SMIC (jusqu'à 1329 euros, le salaire d'un «demi-pauvre» de chez nous), jamais il ne sera taxé comme un produit de luxe. C'est encore ça, la duplicité. Tiens, rien que le crayon électronique «iPen» d'Apple pour sa tablette iPad Pro vaut 109 euros, un petit salaire d'ultra-pauvre dans un pays «économiquement faible» et une blinde pour un bout de plastique! Mais le patron d'Apple juge que ces prix n'ont rien d'excessifs (pour tous les riches et les gogos): «le fric, c'est chic!». Ainsi, la duplicité s'introduit partout, qu'elle s'appelle «goût de luxe» ou «dans ton cul».
Misère de nous. Voyez, les pauvres (qui doivent rester la grande majorité... amen) sont le tiroir-caisse de Macron comme des multinationales... CQFD! Alors, avec autant de conneries «de droite», en exemptant les riches de l'ISF et en surtaxant les retraités et leurs économies, si Macron ne dégage pas des marges bénéficiaires exceptionnelles rien qu'en 2017, au moins autant que les banques et les grands patrons, «je me les coupe!».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire