mardi 9 mai 2023

Le 9 mai de Raz-Putin et d'Evguenille Prisonjine : "La résurrection de Hi-Hitler et la honte de l'OURSS !" LJ ©2023.

"Wagner" est une entreprise russe d'idéologie criminelle néonazie, spécialisée dans le mercenariat. Prisonjine en est le dirigeant et le principal financeur.  Admirateur du Troisième Reich et d'Adolf Hitler, il aurait souhaité fêter avec Raz-Putine "Le jour de la capitulation de l'Allemagne nazie" mais Vladimir méprise Evguenille Prisonjine au moins autant que Macron.

Le dictateur, en réalité, a entrepris à son compte la nazification de l'OURSS, en commençant par envahir ou raser l'Ukraine. Suivant sa rhétorique habituelle, Raz-Putin inverse le propos : "L'Occident a déclenché contre la grande Roussie une véritable guerre à cause de son ambition. L'occident est donc le seul responsable de la tragédie en Ukraine. L'OURSS défendra les habitants du Donbass et garantira sa sécurité (avec la bombe atomique)". Retour garanti aux années 1939-45 ! 


Raz-Putin, la réincarnation de Hi-Hitler, demeure fidèle à ses principes en pratiquant l'art de la "terre brûlée". Prisonjine est sa poupée gonflable… un peu dégonflée sous la pression. Mais Raz-Putin le tient par la chatte, comme dirait Trump.


 Le bonhomme Prisonjine était déjà assez répugnant avant d'offrir ses services à Raz-Putin pour remplacer l'Armée Rouge par des milliers de mercenaires-criminels surpayés. Prisonjine, en homme d'affaires avisé, est aux armées russes ce que Bezos et Musk sont à la NASA: plus grand, plus vite, plus fort ! Grâce à lui, Raz-Putin a pu économiser ses armées pour conquérir le Donbass en pariant sur le petit Frankenstein et sa clique d'assassins sanguinaires. La planche à roubles tourne à fond pour payer ses mercenaires-assassins venus du monde entier combattre l'Occident dégénéré. Prisonjine ou Cadyrov font avancer leurs troupes entre les ruines, comme dans une partie de GO, protégées par un écran de bombes et la maîtrise presque totale par les Russes de l'espace aérien. Les Ukrainiens de toutes les manières seront rasés gratis à Bakhmout, comme l'usine Azovstal à Marioupol : il reste seulement 10% de Bakhmout, un jeu d'enfant pour les généraux, sans Prisonjine pour leur manger sur la tête.


Ça marchait pourtant si bien au début ! Mais les fusées de l'entrepreneur Prisonjine ont capoté comme celles de SpaceX... Retour à l'envoyeur ! Car les mercenaires piétinent comme des débutants et sont pris à leur propre piège dans le "hachoir" de Bakhmout. Ils offrent pourtant leurs vies dans les tranchées au nom de Raz-Putin/Prisonjine,  pour chaque mètre de terrain conquis très provisoirement. Ils entrent confiants ou "drogués à mort" dans la machine ukrainienne par milliers, et pas seulement des repris de justice, puis ressortent hachés menus. Et c'est là qu'Evguenille Prisonjine s'émeut : mon dieu,  mes chers "petits néonazis" meurent stupidement, fait-il en rage, la bouche baveuse déformée par la haine. Oh mon maître, le moment est venu de nous envoyer plus de munitions ! Et Raz-Poutine décide de se venger de ces "nazis ukrainiens" en brûlant complétement Bakhmout avec des bombes incendiaires au phosphore, jusqu'à la dernière église en flammes.


Raz-Putin demeure imperturbable dans l'effort mais pas complètement impénétrable aux preuves signalant au monde entier son échec... comme ce petit drone sur les images en boucle qui explose en pleine nuit au-dessus de la coupole du Kremlin. Par réaction, il demande à redoubler les bombardements sur l'Ukraine résistante en poussant les missiles jusqu'à Kiev et Odessa. 


Pendant le défilé militaire du 9 mai à Moscou, le dictateur veut montrer une armée invincible, flamboyante et au capital destructeur intact. Le renoncement d'Evguenille Prisonjine pourrait être puni de mort… Raz-Putin l'a prévenu : non,  nulle capitulation possible car "l'opération spéciale" (la croisade personnelle d'un dément psychopate) doit se poursuivre quelqu'en soit le coût, y compris au prix du sacrifice de cette bande de "cons wagnériens" et autres SBNI (surhomme bolchévique néonazi invincible) commandés par ses hommes de paille interchangeables, Prisonjine ou Cadyrov. 


Demain, envoyer les musulmans tchétchènes étriper les chrétiens pour finir le travail, mais pourquoi pas ? La honte n'étouffe pas Raz-Putin et sa traîtrise à l'Occident est complète. Finies les embrassades avec Macron et les bouquets de roses offerts à Brigitte. Tout ce que le dictateur méprise passera sur le billot: la "civilisation occidentale", les pauvres soldats enrôlés d'office dans les deux camps, les mercenaires surpayés qui finiront en déconfiture roulés dans des bâches, les "nationalistes puants des Républiques russes autonomes" appelés à défendre la patrie (qui semblent se reproduire entre eux comme des Tchétchènes stupides), les vieux généraux séniles qui ont entretenu à grands frais des armées périmées depuis 1945 et les oligarques récalcitrants qui ont refusé de céder leur fortune au nom de "l'effort de guerre" pour s'enfuire en Arabie dans leurs yachts.


Qu'importe leur vie ! Les "Hommes" meurent mais les Femmes russes procréent jusqu'en Orient. Tout doit s'aligner sous la coupe de Raz-Putin comme une constellation de Starlink. Déjà, la pègre le sanctifie. Oui, on meurt au nom du petit dictateur, comme jadis au nom d'Hitler... Et ça tombe bien, puisque le 9 mai sera sa  fête, celle de la victoire russe sur l'Ukraine (annoncée prématuremment)...  "Vive Raz-Putin 1er", le néonazi qui fête le " 9 mai " russe comme la résurrection de Hi-Hitler. Oui,  merde in Russia today.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire