mercredi 20 novembre 2024

Les 1001 jours de Raz-Putin : analyse de l'échec d’une “opération spéciale” LJ©2024.

“L’opération spéciale” qui devait durer quelques jours s’éternise et Raz-Putin ne fait que menacer toujours plus l’Occident en s’alliant avec d’autres bandits. L’idée est de détrousser la victime tout en tenant au loin tous ceux qui oseraient s’interposer. Le problème, c’est que l’agression dure depuis 1000 jours aux yeux et au su de tous. Et le criminel de guerre Raz-Putin a réussi à faire tuer 500 000 hommes et à faire 2 millions de blessés et d’handicapés, à miner entièrement les territoires occupés sans asseoir sa domination et il continue de se proclamer le grand vainqueur de son délire personnel où l’Occident est l’agresseur, délire qu’il partage avec d’autres pays opportunistes comme la Biélorussie, la Corée du Nord, l’Iran mais aussi la Chine complice et tous les pays haineux de l’Occident. Cela s’appelle : une association de malfaiteurs et Raz-Putin est le parrain de la mafia internationale. Quand les choses reviendront dans l’ordre, il y aura d’autres ajustements à faire que ceux pris sous la contrainte ou dans l’urgence. Et comment l’Occident, celui d’une Amérique dominatrice, d’une Europe démocratique et de l’OTAN justicier ont-ils pu tolérer de voir L'Ukraine agressée tout ce temps sans lui donner tous les moyens de se défendre au bon moment ?

Ce mercredi 20 novembre est un jour particulier puisque cela fait exactement 1.001 jours que la Russie a déclenché la guerre en Ukraine. Depuis, l’armée russe maintient ses positions mais a subi une offensive ukrainienne sur son propre territoire, dans la région de Koursk.

La Russie a franchi la barre des 1 000 jours de guerre contre l’Ukraine et, dans les faits, contre l’Occident. Ce conflit, marqué par l’agression incessante de Moscou et son mépris des conventions internationales, continue de se jouer sur plusieurs tableaux : militaire, diplomatique, économique, et idéologique.

Chronologie des récents événements

Après une attaque massive des 16 et 17 novembre 2024, lors de laquelle la Russie a déployé une pluie de missiles et de drones contre des infrastructures ukrainiennes, Moscou a continué de parader sans complexe au sommet du G20 le 18 novembre 2024. Pourtant, ce même jour, deux grands journaux américains ont révélé une décision majeure : le président Biden avait autorisé, pour la première fois, l’Ukraine à utiliser des missiles à longue portée de fabrication américaine contre des cibles stratégiques en Russie.

Cette annonce, bien que non confirmée immédiatement par la Maison Blanche, a été suivie d’une approbation explicite par les principaux alliés de Washington : le Royaume-Uni, la France et l’OTAN. Dès les 24 heures suivantes, l’Ukraine a mené une frappe ciblée contre un dépôt de munitions d’origine nord-coréenne et un quartier général russe situé à environ 100 kilomètres de la frontière. Ces frappes ont été réalisées à l’aide de six missiles ATACMS, démontrant une précision chirurgicale malgré les risques d’interception et de contre-attaque.

Cependant, la fuite prématurée de cette décision dans les médias aurait pu compromettre l’effet de surprise de cette opération. Les lanceurs, positionnés à environ 100 kilomètres à l’intérieur des frontières ukrainiennes, ont visé des cibles situées à 200 kilomètres de distance, bien en deçà de la portée maximale des ATACMS, qui avoisine 300 kilomètres.

Hier, l’Ukraine a utilisé une dizaine de missiles "Bombers Fire 10 Bunker-Busting Storm Shadow Cruise Missiles" d’origine britannique contre les concentrations de troupes nord-coréennes dans la région de Koursk.

Cette escalade semble répondre à plusieurs développements récents : l’envoi massif d’armes et de troupes nord-coréennes en soutien à la Russie, l’intensification des frappes russes sur l’Ukraine, et l’alliance renforcée stratégique et nucléaire entre Moscou, Minsk (Biélorussie), et Pyongyang. De plus, Vladimir Poutine a récemment reformulé une doctrine nucléaire agressive, menaçant explicitement les alliés de l’Ukraine et justifiant le recours à des frappes nucléaires contre des armes conventionnelles représentant une "menace existentielle" pour la Russie.

Le dilemme occidental : quelles réponses stratégiques ?

L’Occident, malgré son soutien progressif à l’Ukraine, reste confronté à une série de dilemmes :

Doctrine militaire occidentale : La doctrine occidentale repose historiquement sur la dissuasion, l’équilibre des forces, et le respect du droit international. En opposition à la doctrine russe, qui privilégie l’escalade asymétrique et la menace nucléaire, l’Occident insiste sur l’importance de l’intégrité territoriale et des alliances multilatérales, notamment via l’OTAN. Cependant, la lenteur de certaines décisions (par exemple, l’envoi d’armes à longue portée) soulève des questions sur l’adaptabilité de cette doctrine face à une guerre hybride et prolongée.

Doctrine russe d’escalade nucléaire : La Russie semble vouloir imposer une nouvelle norme : celle où la puissance nucléaire donne un "droit à l’agression" contre l'Occident en général et un “pouvoir de soumission” sur les États non nucléaires. Cette posture pose un défi fondamental à l’ordre mondial et remet en cause les accords passés, notamment le Mémorandum de Budapest de 1994, où l’Ukraine avait accepté de renoncer à son arsenal nucléaire en échange de garanties de sécurité.

Diplomatie ou exclusion : Lors du G20, Emmanuel Macron a supplié Vladimir Poutine de "revenir à la raison". Pourtant, de telles démarches diplomatiques semblent inefficaces face à un Kremlin qui continue de violer tous les principes fondamentaux des relations internationales. L’exclusion totale de la Russie des grandes instances internationales, comme le G20, l’OTAN+ ou le Conseil de sécurité de l’ONU, est-elle une solution ? Cela aurait le mérite de clarifier la position occidentale, mais risquerait également d’enfermer davantage Moscou dans une spirale d’agression.

Union stratégique occidentale : L’Europe et les États-Unis doivent définir une stratégie unifiée pour contrer la Russie. Cela inclut :

Une accélération de l’envoi d’armements modernes, en particulier des systèmes anti-aériens et des armes de précision à longue portée.

La neutralisation des flux d’armement provenant de la Corée du Nord et de l’Iran.

Une intensification des sanctions économiques, notamment sur les secteurs énergétiques et technologiques.

Une communication plus affirmée pour dénoncer les mensonges du Kremlin, tout en promouvant une vision occidentale fondée sur la liberté et la coopération.

La guerre des doctrines : au-delà de l’Ukraine

La doctrine russe repose sur un autoritarisme militarisé, où la guerre est un outil de pouvoir et de contrôle. Elle cherche à saper les démocraties, à diviser les alliances occidentales, et à normaliser l’idée qu’une puissance nucléaire peut agir en toute impunité.

En revanche, la doctrine occidentale doit évoluer pour répondre aux nouvelles réalités. Elle ne peut se contenter de réagir à l’agression russe, mais doit aussi proposer une vision claire de l’après-conflit, notamment en soutenant la reconstruction de l’Ukraine et en renforçant les capacités de dissuasion en Europe de l’Est. Par exemple, l’utilisation sans restrictions de la totalité des avoirs russes gelés pour reconstruire les infrastructures endommagées et protéger le ciel de l’Ukraine est une priorité absolue. La récupération par la Russie des fonds réquisitionnés pour servir à la reconstruction de l’Ukraine devrait se faire au prix d’intérêts composés liés à la durée de la guerre. De sorte que plus la guerre se prolongerait et plus le capitale, soit 270 milliards d'avoirs russes gelés, diminuerait pour disparaître complètement en seulement 5 ans.

Conclusion : un monde à réinventer

La guerre en Ukraine n’est pas seulement un conflit régional ; elle redéfinit les règles du jeu mondial. Alors que la Russie tente d’imposer sa loi par la force, l’Occident doit démontrer que la coopération, le respect des lois internationales, et la solidarité entre démocraties sont les seuls garants d’un avenir stable. Dans cette lutte des doctrines, la capacité de l’Occident à s’unir et à innover sera déterminante, non seulement pour l’Ukraine, mais pour l’ordre mondial lui-même.

mercredi 6 novembre 2024

MAKE AMERICA TRUMP AGAIN # 1 : “Petite leçon de géopolitique”, LJ©2024

La farce tranquille est en marche.

C’est officiel, Trump est de retour. Le mercredi 6 novembre 2024, le milliardaire à la mèche improbable a été réélu pour un deuxième mandat, prêt à devenir le 47ème président des États-Unis. Et pendant qu’il remet ses pantoufles dans le Bureau ovale, le téléphone rouge entre la Maison Blanche et le Kremlin risque de chauffer comme un vieux grille-pain soviétique.

D'ailleurs, Trump et Musk, ce tandem improbable, sont depuis longtemps soupçonnés d'entretenir des liens très cordiaux avec la Russie de ce bon vieux Raz-Putin. Mais qui pourrait les accuser "d'intelligence avec l'ennemi" ? Rappelons-le, les États-Unis ne sont pas en guerre (officiellement). Quant à fermer les robinets du pétrole russe ? Laissez-moi rire. Ça n’a jamais vraiment été au programme.

On imagine déjà Musk, le messie de la tech, en parfait intermédiaire au service de Trump, multipliant les appels Zoom à Moscou pour organiser un rendez-vous secret entre TRUMP et Raz-Putin, quelque part en Suisse ou ailleurs. Et pourquoi pas un joli "pacte de non-intervention" à la clé assorti d’une immunité à vie pour Poutine devant la Cour internationale ? La question ukrainienne serait vite réglée, enterrée sous quelques accords bilatéraux et promesses pour Raz-Putin de ne jamais être jugé pour ses crimes de guerre. 

Macron, le témoin silencieux des accords qu'il n'a jamais vus venir

Et bien sûr, dans cette comédie géopolitique, notre cher Emmanuel Macron se verrait peut-être invité, histoire de faire acte de présence. La France, éternelle médiatrice ? Peut-être. Mais n’oublions pas que nos "grands diplomates" d’antan ont été remplacés par une nouvelle génération, fraîchement sortie des grandes écoles et tout aussi prétentieuse qu’inculte. Les négociations se feront avec ou sans Macron, mais il pourrait être là, sourire crispé, pendant que les grands s’amusent à redessiner la carte du monde.

D’ailleurs, ce n’est pas un hasard si Macron a posté un message sibyllin sur "X" (l’ancienne Twitter, pour les nostalgiques) pour "féliciter" Trump tout en assurant être prêt "à travailler ensemble, comme nous avons su le faire pendant 4 ans… avec ses convictions et les miennes". On peut presque sentir le sous-texte : "Je sais que tu ne m’inviteras jamais car je te casse les couilles, comme avec Raz-Putin, mais j’essaie quand même de garder un pied dans la porte."

L’Ukraine : la grande oubliée de la diplomatie de salon

Zelensky, lui, peut faire une croix sur sa prochaine invitation à Washington et je ne l'imagine pas venir signer sa capitulation à la Maison Blanche. En attendant, le président ukrainien peut compter sur les vagues encouragements de Macron et sur quelques canons Caesar en Ukraine (ceux qui fonctionnent encore, bien sûr). Quant aux Mirages 2000, ils sont aussi rares dans le ciel ukrainien que la lucidité dans cette situation. Les pilotes des bombardiers russes doivent trembler d'effroi.

Parce que soyons clairs, Trump n’a que faire de la "souveraineté nationale" de l’Ukraine. La scène est déjà montée, le décor est planté : Trump, Raz-Putin, et Musk dans les coulisses, prêts à se jouer des frontières européenne à coups d'accords plus ou moins secrets. Les réactions de Zelensky ou de Macron ? Peu importe. Les vraies décisions sont prises entre "grandes puissances militaires", et tant pis pour les autres.

L'Europe en roue libre : entre incompétence et apocalypse

Et que dire des Européens ? Incapables de gérer une crise sanitaire comme le COVID, désorganisés face aux inondations catastrophiques en Espagne, et toujours prompts à envoyer les militaires bien après la bataille, histoire de bloquer les routes une fois les dégâts faits. Ce ne sont pas ces secours-là qui se montreront efficaces en cas de catastrophe nucléaire. Soyons honnêtes. Les Ukrainiens, eux, font preuve d’un courage que l’Europe a enterré sous des montagnes de bureaucratie et de discours creux.

Pendant ce temps, Raz-Putin, vicelard, attend son heure. Peut-être même espère-t-il l'élection de Marine Le Pen en 2027 pour finaliser son petit chef-d’œuvre géopolitique. Quant à Macron, il pourrait bien quitter la scène avant même la fin de son mandat, écrasé par ses propres contradictions.

Avec Trump de retour à la barre, Raz-Putin a toutes les cartes en main pour obtenir un "pacte de non-agression" qui clouerait l'OTAN au sol et interdirait le déploiement de nouvelles armes américaines en Ukraine. Simple comme bonjour.

"Make URSS great again !" Et tant pis pour nous.

Ah, l'ironie de voir le slogan "Make America Great Again" devenir un outil pour restaurer la grandeur de l'ex-URSS. Pendant que Trump se pavane et que Musk jongle entre ses ambitions spatiales et diplomatiques, l’Europe continue de jouer aux échecs avec des pièces en plastique face à des adversaires qui se jaugent avec la puissance de leurs missiles intercontinentaux. Le monde est un grand cirque, et nous, nous  sommes les dindons de Thanksgiving. Ah oui, tout était écrit :  "Merde in AMERICA", et plus que jamais, "merde in EUROPE".



lundi 4 novembre 2024

America great again : “Pourquoi Musk, Trump et Raz-Putin ne nous apprécient pas !” (LJ©2024).

Musk, le "Dauphin" de Trump et roi des pom-pom girls, vous présente le Show des Milliardaires ! Ah, quelle époque merveilleuse pour étudier la géopolitique ! Car les affaires du monde ne sont plus entre les mains de diplomates ou de leaders charismatiques visionnaires, mais de stars du grand spectacle. Elon Musk, Trump-la-mort, et l'infatigable Raz-Putin se donnent la main pour nous offrir un véritable feuilleton à rebondissements ces derniers mois. Juste après Halloween, nous avons droit à ce qu'on pourrait appeler "le festival du grand frisson". Les Américains s’agitent autour de leurs élections comme s’ils jouaient leur vie, pendant que des pays comme la Russie, l’Iran et la Corée du Nord s’équipent prosaïquement de missiles flambant neufs – grâce à nos propres technologies, bien sûr ! Joe Biden ? Disparu. Kamala Harris ? Elle tente de s'acheter quelques points de popularité en brandissant le drapeau palestinien du Hamas. Et pendant ce temps, l’Afrique devient peu à peu un terrain de jeu pour les ambitions arabo-musulmanes, tandis que les Chrétiens et les Juifs se retrouvent de plus en plus menacés.

L’Europe humiliée par les super-puissances se sent abandonnée. Trump et Musk nous méprisent presqu’autant que Raz-Putin.

Le spectacle est fascinant, n’est-ce pas ?

Il y a mélange des genres et Musk, roi de la technologie et représentant d’une Planète-Bis comme Mars, dernière alternative d’un monde menacé d’exploser, fait le grand show américain en jouant les pom-pom girls pour ce vieux débris de Trump, qui lui cache sa sénilité et sa perversion sous sa cravate rouge et son toupet blond. Impopulaire hier en rachetant Twitter, voici donc Musk au top des sondages et presque présidentiable aux Etats-Unis, qui concurrence directement Kamala Harris en devenant le dauphin de Trump.

C’est que Musk tient Trump “par les couilles” quand Trump lui tient l’Amérique “par la chatte”, et l’Amérique tient à son tour l’Europe, c’est à dire nous et surtout l’Ukraine de Zelensky, par la gorge. Trump n’a que du mépris pour ce petit Zelensky qui dans le registre comique ne lui arriverait pas à la ceinture. Pour faire court : Trump met la main aux fesses de la Statue de la Liberté et Musk lui tient la chandelle ! Voilà pour le symbole… Pourtant, Musk est lui-même un immigré d’Afrique du Sud.

Pendant ce show des milliardaires américains, la Russie se finance royalement en vendant son pétrole à la Chine et l’Inde, qui tirent leurs marrons du feu et nous revendent le pétrole russe. Et comme l’explique Raz-Putin : vous êtes tellement cons que je ne peux pas perdre ! L’Europe joue avec une raquette trouée depuis le départ. On ne peut attendre le bon vouloir des Américains et de l’OTAN, acheter le pétrole russe avec la main gauche, vendre des armes avec la main droite, encourager le lobby du Nucléaire, faire du populisme social de surface partout en Europe et, en même temps, défendre les habitants de l’Ukraine qui meurent par milliers sous les millions de bombes russes…. dont déjà 70% sont iraniennes ou nord-coréennes.

La chose serait comique si les enjeux n’étaient aussi importants. Des milliardaires comme Musk, Trump-la-mort et Raz-Putin se donnent la main pour faire le grand show et assurer le spectacle de fin d’année 2024, juste après Halloween. Les Américains vont continuer de se faire peur avec les élections pendant que Raz-Putin, Kim de la Jongle et le Guide de la Révolution iranien terrorisent le monde avec leurs derniers missiles balistiques en utilisant nos technologies électroniques contre nous. Joe Biden s’est éclipsé totalement, qui semblait bien innocent, et Kamala Harris donne des gages pour défendre la Palestine du Hamas et gagner des voix. Mais la conquête arabo-musulmane de toute l’Afrique est une réalité quand les Chrétiens sont expulsés depuis des siècles et les Juifs grandement menacés d'extermination sur leurs terres durement gagnées. Et des manipulateurs religieux très professionnels continuent de nous traiter d’impérialistes 50 ans après notre départ d’Afrique tout en utilisant nos arguments contre nous. Et ça marche : Macron y va de son mea culpa et confesse ses crimes !

Elon Musk, l'homme aux mille casquettes, a décidé de pimenter un peu plus le scénario. Il ne se contente plus de rêver de Mars et de vendre des voitures électriques pour riches; il se place désormais en quasi-sauveur de l'Amérique, à la tête d’une croisade technologique pour un monde meilleur… ou du moins un monde où il tient toutes les cartes. Avec son récent coup de génie médiatique – l’achat de Twitter – le voici parti conquérir le cœur de l'Amérique, en visant la Maison Blanche comme futur terrain de jeu. Il s’affiche sans vergogne aux côtés de Trump, qui lui-même "tient l’Amérique par la chatte", tandis que Musk, lui, "tient Trump par les couilles". Et ainsi, dans cette chaîne de dépendance obscène, l’Amérique de Trump finit par tenir l’Europe par la gorge. Ironie ultime, Musk s’en fout de gagner ou perdre : il sortira gagnant et renforcé, quelque soit le résultat. C'est la magie au service de l'homme le plus riche du monde, sans parler de Raz-Putin et d’autres dictateurs qui s’enrichissent dans le secret du pouvoir absolu!

Pourquoi cette idée s’impose que l’Europe et l’Ukraine seront les dindons de la farce du prochain Thanksgving Day 2024 ?

Musk ne peut pas perdre: c’est du gagnant-gagnant pour lui, pas plus que le lobby des armes qui le soutient et le finance ne peut perdre. Aujourd'hui, Musk investit le monde du spectacle et confirme son pouvoir comme un grand professionnel. À l’égal de Trump, il sait se sortir de tous les coups fourrés et même des soupçons d'intelligence avec Raz-Putine, car ses électeurs sont souvent des “fachos” acquis d'avance. Et même si Trump venait à perdre, Musk en profiterait comme à la bourse en jouant les valeurs baissières. Et Kamala Harris défendra le Liban contre Israël si elle gagne les élections présidentielles. Dans tous les cas, les BRICS (mot inventé par Goldman Sachs) dirigés par le mafioso Raz-Putin sortiront eux aussi gagnants, l’Orient dictatorial vainqueur, l’Occident démocratique affaibli, l’Europe judéo-chrétienne neutralisée et envahie. Et par exemple, l’Espagne garde sa chrétienté d’apparat mais elle rejette sa judéité. C’est pas la première fois dans son histoire et le président Macron au Maroc évoquait hier encore le règne merveilleux d’Al-Andalus et ses bienfaits miraculeux sur notre culture ! Les Musulmans en profitent toujours pour tirer leurs marrons du feu, même en bombardant le minuscule territoire d'Israël pendant la nuit, en lançant leur cri habituel.

Pendant que Musk et Trump occupent le devant de la scène, la Russie, elle, avance tranquillement ses pions. Raz-Putin, maître incontesté de cette partie de poker, finance ses ambitions grâce aux pétrodollars de la Chine et de l’Inde, qui nous revendent ensuite le pétrole russe en haussant les épaules, comme si de rien n’était. "Vous êtes tellement stupides que je ne peux pas perdre !" répète inlassablement Raz-Putin, amusé par ce spectacle où l'Europe achète du pétrole d'une main, vend des armes de l'autre et s'enlise dans le populisme. L’Ukraine, elle, est censée se défendre toute seule avec quelques canons de notre fabrication et nos beaux discours, face aux bombes planantes russes et autres "cadeaux" de croisière ou balistiques russes, nord-coréens et iraniens. Et déjà, des armes d'origine inconnue frappe l'Ukraine.

L’Europe, qui brandissait jadis fièrement ses idéaux démocratiques et diplomatiques, semble désormais coincée, enchaînée à des intérêts contradictoires et incapable de faire face aux réalités brutales de la géopolitique contemporaine.

Dans tous les cas, Trump-la-mort a une date de péremption très proche et Raz-Putin sera le grand gagnant si personne ne s’oppose à lui. Déjà, Biden s’efface et les ministres anglais démissionnent à tour de rôle.

Macron le sait : on ne peut pas financer le lobby du nucléaire avec nos impôts par milliards, doubler le budget de nos armées, augmenter la dette publique de 1000 milliards et puis défendre l’Ukraine du bout des lèvres ou du bout des doigts. Si l’OTAN avait arrêté les colonnes de chars russes dès 2022, nous n’en serions pas là trois ans plus tard. À quoi serviront toutes nos belles armes contre les bombes atomiques qui nous menacent quand nous refusons de défendre nos principes ? La Russie ne fait que se renforcer tous les jours un peu plus, alliance après alliance. L'Europe était moins frileuse contre Napoléon, malgré tous les progrès apportés par l'administration impériale. À quoi sert maintenant d'apprendre à ces braves soldats Ukrainiens comment creuser des tranchées et manoeuvrer avec des canons Caesar quand les bombes planantes russes de 3 tonnes rasent tous les bâtiments et les forêts sur un kilomètre carré en aspirant tout l’oxygène de l’air ? Nos meilleurs canons fondent dans ces explosions et les soldats Russes conquièrent des ruines. Il faudrait que l’OTAN assure l’espace aérien ukrainien pour que l’Ukraine concentre ses moyens terrestres sur les différents fronts de bataille tout le long de sa frontière.

En France, Macron de Rothschild a compris qu’il ne peut pas servir les lobbies des Généraux, de la banque, de l’administration et du nucléaire etc., et en même temps, servir le peuple, défendre la planète et prêcher la sobriété énergétique. Toutes ses enquêtes publiques ont fini à la poubelle. Maintenant, il se réfugie à l’Elysée pour y écrire, peut-être, ses mémoires avec Brigitte, comme jadis Napoléon sur l’Île d’Elbe, et ses rares sorties sont brèves et lointaines. Là, au Maroc ou ailleurs, il bat sa coulpe de preux chevalier et humilie la France en échange de quelques contrats juteux. Raz-Putin va-t-il l’imiter en s’accusant de tous ses crimes en Tchétchénie (et partout ailleurs) en échange du sacrifice de la population tchétchène pour servir de chair à canon ? Non, il ricanera bien quand Macron se fera raccompagner par Marine Le Pen, qui prépare déjà son costume pour la passation de pouvoir.

Les Européens les plus lucides souhaitent que ça pète avec la Russie quand les plus lâches adoptent d’avance le populisme et la dictature poutinienne ou n’importe quelle autre dictature, qu'elle soit mafieuse, technologique, militaire ou religieuse. La COP 29 vient d’échouer à se financer, Trump et Musk sont financés par les lobbies des armes et du pétrole, la voiture électrique de Musk est conçue pour quelques privilégiés et les voitures électriques bon marché chinoises sont surtaxées. Le pillage de la planète continue en s'accroissant exponentiellement, et Musk nous fait croire à ses promesses de conquérir Mars. Mais les Chinois colonniseront la Lune sans doute avant l'Amérique de Musk.

Alors, que le grand show commence avec les Érections Américaines du 5 novembre 2024 ! Mais la fin d’année s’annonce difficile pour l’Europe frileuse. Ah oui, merde in the WORLD DICTATURE today.