dimanche 17 août 2025

Deuxième allocution du Président de la République française LJ©2025

Palais de l’Élysée – 20 août 2025

Françaises, Français,
Mes chers compatriotes,

Depuis quelques jours, le monde a basculé dans une nouvelle ère. Le 27 juillet dernier, Donald Trump a imposé à l’Europe un accord dont le seul but était de renflouer une dette américaine devenue vertigineuse — plus de trente trillions de dollars. Le 15 août, il a offert à Vladimir Poutine, malgré une Russie exsangue et détruite par son propre effort de guerre, une victoire anticipée, la levée de toutes les sanctions et les moyens d’un enrichissement rapide par des fonds d'investissement communs dans les secteurs clés. Deux "accords" successifs. Deux capitulations de l’Europe. Une double soumission : à l’Amérique d’abord, à la Russie ensuite.

Ne nous y trompons pas : ces accords ne sont pas des compromis, ce sont pour nous des ordres de transferts. Transferts de nos richesses pour sauver une Amérique qui s’effondre sous ses dettes. Transferts de nos libertés pour permettre à une Russie de reconstituer son arsenal militaire épuisé au mépris des millions de vies qu’elle a déjà sacrifiées. Transferts de notre souveraineté, enfin, car l’Europe et l’Ukraine ont été volontairement exclues de ces dernières discussions.

Dans un monde où les équilibres se redessinent, cette manœuvre n’est pas un accident. Elle s’inscrit dans une logique globale. L’Amérique de Trump cherche à transformer ses faiblesses en force en utilisant l’Europe comme tremplin pour s'enrichir facilement et affirmer sa domination. La Russie de Poutine, quant à elle, camoufle ses ruines derrière le spectacle d’une « grandeur retrouvée instantanément » avec l'accueil chaleureux de Vladimir Poutine par Donald Trump sur le sol des États-Unis d'Amérique, en Alaska, le 15 août 2025. Mais derrière ces illusions, il n’y a qu’une seule réalité : deux puissances défaillantes qui s’associent pour transformer notre Europe communautaire en vassal économique et militaire.

Regardons la vérité en face. La Russie aujourd’hui, c’est un million de morts et de blessés; des territoires conquis au prix de la destruction systématique sous les bombes, jour après jour, de l'Ukraine pendant bientôt quatre ans, sans un seul jour de relâche; une économie réduite à l’effort de guerre; une société entière asservie à la violence et au mépris. Et pourtant, voilà que son régime obtient soudain, par la grâce d’un prétendu accord américain, les moyens de se reconstituer complètement. L’Amérique de Trump, elle, se sauve de ses propres dettes en transformant l’Europe en tiroir-caisse de secours. Ce n’est pas une alliance. C’est un cambriolage.

Et ce piège n’est pas seulement militaire. Il est aussi technologique, financier, climatique. Car, que nous imposent ces accords successifs surgis du néant ? Qu’il faut abandonner toute régulation environnementale. Qu’il faut relancer le pétrole, le gaz, le plastique, au détriment de notre environnement. Qu’il faut renoncer à une politique numérique souveraine pour dépendre des plateformes américaines. Qu'il faut transférer nos industries aux États-Unis qui commerceront en grand avec la Russie pour s'approvisionner de ses  richesses minières inépuisables.

Ce que nous voyons ici, c’est une tentative d’organiser une économie mondiale de la domination par la prédation, une économie qui refuse notre avenir européen pour prolonger l’illusion de deux super-puissances défaillantes, une économie qui passe par la manipulation de la conscience des peuples.

L'enfer commence par la soumission. Payer des rançons entre états et céder nos territoires est inadmissible pour l'Ukraine comme pour la France, et surtout c'est contraire à notre histoire, à notre constitution et aux lois du commerce international.

Le philosophe Paul Valéry écrivait déjà il y a un siècle que « nous autres civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». Ce qui s’est joué le 27 juillet et le 15 août, ce n’est pas la paix. C’est un marché de dupes : la survie de deux régimes, payée par l’effacement de l’Europe. Et ce marché, nous le refusons. Ce qui se joue aujourd’hui, c’est la mort annoncée de la civilisation européenne d'origine grecque et latine. Allons-nous devenir les comptables dociles de la dette américaine ? Allons-nous financer, malgré nous, la reconstitution accélérée de l’appareil militaire russe ? Allons-nous regarder, impuissants, l’Ukraine sacrifiée disparaître dans un silence qui couvrirait notre propre abdication ?

Aujourd’hui, je vous le dis : notre mémoire historique nous oblige à voir lucidement ce que nous sommes devenus — une Europe trop souvent spectatrice. Mais notre promesse est d’être autre chose. D’être une puissance capable de se protéger, d’investir dans l’intelligence artificielle, dans les énergies propres, dans une France naturelle et vivante, dans l’économie de demain et de le faire non pas sous la tutelle méprisante d’autres puissances, mais par nous-mêmes.

J’entends déjà les sceptiques dire que c’est impossible. Mais l’Europe n’est pas née de la facilité : elle est née du courage. Ce qui se joue aujourd’hui, c’est notre souveraineté, notre liberté, notre capacité à décider par nous-mêmes de notre destin.

Nous ne devons pas céder à la peur. Nous devons, au contraire, retrouver l’esprit de ceux qui ont toujours su défendre la culture, la pensée, la création, ce qui fait l’Europe. Albert Camus écrivait que « la vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent ». Alors donnons tout aujourd’hui : pour l’Ukraine, pour l’Europe, pour notre avenir commun.

C’est pourquoi je vous le dis avec gravité : nous ne pouvons pas accepter cette capitulation organisée. Nous ne pouvons pas accepter que l’Ukraine soit sacrifiée. Nous ne pouvons pas accepter que l’Europe devienne la variable d’ajustement des dettes américaines et de l’effort de guerre russe.

Françaises, Français, il existe une autre voie. Elle n’est pas facile, mais elle est nécessaire. L’'Ukraine est devenue la première ligne de défense du monde libre. Et l’Europe doit donc protéger l’Ukraine, non par des discours creux mais par des actes.

Cela signifie être prêts, si nécessaire, à entrer en Ukraine avec ou sans l'OTAN, à la défendre comme notre maison commune, l'Ukraine avec ses hommes 
si courageux, son territoire et son ciel.

Cela signifie, en même temps, bâtir une économie de souveraineté — dans l’énergie, dans le numérique, dans la défense.

Cela signifie assumer que l’avenir du monde se joue dans l’équilibre entre les nations, et non dans leur soumission.

Cela signifie enfin de refuser que l’avenir de notre continent soit décidé par deux mégalomanes associés, au mépris de notre dignité collective.

Mes chers compatriotes,

L’Histoire nous regarde. Elle ne nous demande pas d’être parfaits. Elle nous demande d’être courageux. De refuser l’abdication. D’assumer que l’Europe soit à la hauteur de ce qu’elle prétend être : une puissance économique et philosophique car notre cher et beau pays, la France, doit demeurer une force de liberté et d'inspiration.

Je vous le dis ce soir avec gravité et avec espoir : nous avons encore le choix. Le choix de ne pas subir. Le choix d’agir. Le choix de rester libres. Il est encore temps de relever la tête.

Aucun despote ne peut s'arroger le droit de nous "offrir" sa paix au prix de l'humiliation, de la coercition, de l'invasion et du mensonge. Cette paix là s'appelle dictature.

Contre cela, une seule voie s’ouvre à nous : l’Europe doit prendre ses responsabilités. Cela signifie être prêts à protéger l’Ukraine, à sanctuariser son espace aérien, à sécuriser ses frontières.

C'est la raison pour laquelle nous avons créé la "Coalition des Volontaires": pour prendre toutes nos responsabilités, à tous les niveaux, le moment venu.

Je ne vous propose pas d'entrer en guerre mais de protéger tous vos acquis qui sont : la Liberté, l'Égalité, la Fraternité et la Justice.

C'est la raison pour laquelle je vous demanderai, en même temps, de rester unis au moment de prendre ensemble, au nom de la Nation, toutes nos responsabilités.

Vive la République.

Vive l’Europe.

Vive la France.

LJ©2025 Attention, ceci est une proposition d'allocution présidentielle adressée à M. Macron.

samedi 16 août 2025

Le doigt glacé du proctologue Raz-Putin le vendredi 15 août 2025 en Alaska : « Massage de pet » russe en temps de guerre. LJ©2025

Quand le capitalisme européen devient synonyme de capitulation européenne en juillet et août 2025 : mise en esclavage de l’UE pour servir à renflouer les dettes nationales américaines et russes, le tout sous l’égide des dictateurs Trump-La-Mort et Raz-Putin.

Ce vendredi 15 août 2025 à Enchorage (en Russie d’après Trump), le Patrioska Raz-Putin, un expert réputé en proctologie, a offert un massage de la prostate au grand Bibendum-blond américain, d’un doigt expert, pendant que les bombardiers américains traversaient le ciel inutilement, comme de grands éclairs noirs presque silencieux.

De notre envoyé spécial

Trump-la-mort ne s’y est pas trumpé :

« J’ai vu en seulement deux minutes toute l’âme russe et sa grandeur dans les yeux de Raz-Putin », dixit Trump.

« Son massage, entraînant des flatulences, dirigé d’un doigt glacé sur ma prostate au travers de l’anus, m’a fait entrer dans un état profond de PET INTÉRIEUR et EXTÉRIEUR. J’ai flatulé pendant près de trois heures mais Raz-Putin m’a définitivement soigné la prostate de son doigt magique et glacé. Il ne m’a pas trop élargi l’anus, que j’avais déjà bien ouvert, et je peux maintenant m’asseoir presque correctement pour boire mon Coca light. »

«Raz-Putin ne parlait qu’un russe exquis pour éviter l’usage de notre langue américaine, vulgaire et dégénérée par le wokisme de Biden», expliqua Trump après avoir fait retirer tous les portraits de Biden et Obama des multiples salons et cantines de la base d’En-courage, En-corrige, — « bah, je n’arrive pas à prononcer les noms russes… »

Lavrov-sans-bouillir a remis d’abord une paire de gants blancs en latex à Raz-Putin pour procéder sans attendre à l’opération rectale. «Le ministre Lavrose parle merveilleusement l’américain… Comme mon pote Joe-froid Epstein, il s’est bien amusé (mais j’ai compris que c’était très respectueux et sans conséquences) à faire des allusions salaces à mon adresse, du style : Mets-toi à quatre pattes, Big Boy, et écarte les fesses pour recevoir notre MASSAGE DE PET INTERNATIONAL. Nous allons jouer aux poupées russes dans ton derrière. Une petite, une moyenne, une grosse. Un peloton, une compagnie et tout un régiment ! »

«À aucun moment, le Patrioska n’a eu peur de mon bombardier unique B-2 qui rayait le ciel, ni de mes trois chiens de garde — ma garde rapprochée qui avait tant terrorisé le petit Zelensky : Rubiol, Heggseth et Blessent, Vance étant absent. Raz-Putin est reparti dans sa voiture blindée libre comme l’air car ici, en Russie comme en Amérique, il n’existe aucun mandat international valable pour arrêter le plus grand criminel de guerre du XXIᵉ siècle. Mais de toute façon, c’est faux car tout le monde le sait: Raz-Putin est un homme merveilleux et il m’a même complimenté :

«_ Avec TOI à la Maison Blanche en 2022, la guerre n’aurait jamais commencé et tu aurais sauvé deux millions de militaires et de civils. Mais Zelensky a reçu l’autorisation par Biden de LES TUER TOUS.»

Trump : « Cette guerre, c'est celle de Biden. Ce n'est pas ma guerre, ni celle du pauvre président Raz-Putin qui n'est qu'une victime du président Zelensky et des nazis revanchards. C’EST LA RAISON POUR LAQUELLE L’AMÉRIQUE NE FERA JAMAIS DE MAL À SON AMI ET ALLIÉ RUSSE FACE À LA FOLIE DE ZELENSKY. Oui, L’OPÉRATION SPÉCIALE DOIT CONTINUER ABSOLUMENT et NOUS FÊTERONS BIENTÔT NOTRE VICTOIRE COMMUNE AU KREMLIN le jour où l'Ukraine aura capitulé en cédant tous les territoires exigés par mon grand ami Raz-Putin, avec qui j'ai de très bonnes relations et aussi son entière confiance. Pour rassurer les journalistes : non, je n’ai pas retourné ma veste. Je sais où se trouve l’intérêt de mon grand pays, AMERICA GREAT AGAIN, et c’est quand l’Europe du petit comique Zelensky sera soumise à notre diktat commun.

Pour ceux qui s'inquiètent pour ma santé... Non, je ne suis pas sénile, mais j’ai adoré comment Raz-Putin me traite et me respecte : je crois qu'il est amoureux de moi ! Oui, je sais, ça paraît incroyable... Il veut m'offrir le Prix Nobel sur un plateau si je lui offre l'Ukraine, la Crimée, le Donbass et Zelensky les mains liées. J'ai dit à Zelensky qu'il peut stopper la guerre immédiatement par ces quelques concessions. Je travaille de tout mon cœur à ce dénouement merveilleux pour finir dans une grande réception au Kremlin, et mon ami Raz-Putin attend lui aussi impatiemment l'annonce de cet heureux événement à l'autre bout du téléphone. Nous sommes comme mari et femme : c'est un garçon ! J'ai trop hâte qu'il m'invite dans sa datcha pour me masser la prostate avec son doigt de glace
Comme tous les tzars de Russie, Raz-Putin a reçu un don de guérisseur ! Raz-Putin, c'est mon deuxième LOVE avec un homme, après Joe-Froid Epstein.»

Raz-Putin avouera plus tard, hilare, devant la presse russe :

« J’avais peur que ce gros bonhomme mal éduqué pète une veine et me claque entre les doigts. J’ai dû l’opérer à sec, sans vaseline ni même un peu de vodka, comme un homme russe véritable. Il a fermé les yeux et il a souri… Mais pourquoi perdre de la bonne vodka? Son sexe minuscule s’est rétracté avec le froid et son énorme ventre retombait par-dessus. Je n’avais jamais vu ça en Russie ! Chez nous, même les hommes les plus faibles savent s’entretenir. Nous nous sommes mis d’accord sur les points essentiels d’une coopération totale: partage des ressources de l’Arctique pendant le dégel, abandon général des prétentions de régulation climatique et intensification de l’usage des dérivés du pétrole et du plastique dans notre intérêt commun, dissolution de l’Union européenne inventée pour nous causer du tort, désactivation de l’OTAN en Europe, destitution de Zelensky et partage des métaux et terres rares du Donbass, abandon de toutes les sanctions contre la Russie et restitution sans exception de tous les biens confisqués, reconstitution pleine et entière de la Grande Russie des Tzars et restauration de l’Empire russe éternel, capitulation au Kremlin des États-Unis de Trump-la-mort, seul représentant reconnu de l'OTAN ridiculisé, de l'Europe soumise et de l'Ukraine écrasée d'un DOIGT GLACÉ avant la prochaine réunion.

_ Mais comment avez vous gagné si facilement contre Trump ?

_ Je ne sais pas... Peut-être que j'ai appris petit enfant à me battre contre les grands, et cela m'a beaucoup servi plus tard... J'ai toujours frappé en premier le "gros plein de soupe" et après, tous les autres me léchaient le cul.

_ Trump est-il un gros Yankee plein d'arrogance et de Coca-Cola ?

_ Je ne sais pas... Peut-être oui ou peut-être non... Ja ja ja... Ce que je sais ? C'est qu'il faut rester humble, ne pas crier, rester froid comme un brise-glace soviétique et contrôler son cœur. On apprend tout ça au KGB...

_ Trump est-il le point faible ?

_ Tout le monde à son point faible. Il suffit d'appuyer dessus... Trump-la-mort aime jouer les hommes forts, et c’est normal dans sa situation, mais il est émotif et beaucoup moins fort quand la Grande Russie restaure l’équilibre géopolitique et militaire, quand la Grande Russie reconstitue sa sphère d’influence traditionnelle et quand nos merveilleuses poupées russes gigognes menacent son espace intérieur : une seule bombe atomique avec ses ogives multiples vaut tous les discours, n'est-ce pas ? Oui, je crois que Trump-la-mort a finalement intégré par le fondement… on peut le dire comme ça… la DOCTRINE RUSSE… Ja, ja, ja».

Ah oui, merde in America today.