Je ne sais pas s'il faut en rire ou en pleurer, à l'heure ou la « presse-popol » dite abusivement "Presse people" s'en vient à dénoncer les amours présidentiels, les bourrelets sur le ventre d'untel et les homos... Autant d'étoiles infamantes : cette presse qui se targue d'une putain de « liberté » devient fascisante, fâcheuse et chiante. Non, cette presse n'a plus rien à voir avec le journalisme d'investigation et elle doit disparaître, du moins je l'espère, pour laisser la place aux plaisantins de mon genre. À moi les supputations, les blagues de mauvais goût : « Philippot ! Ah, ce petit pédé... ». Quoi, ça ne vous fait pas rire ? Et bien voilà, c'est parce que Closer à vendu la mèche et ça n'a franchement plus rien de drôle.
Et le « principe de précaution » contesté dans la presse, principe selon lequel « l'absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment... », ce principe serait l'ennemi du progrès ? Il vaudrait mieux parler actuellement du « principe d'évidence » : Big Brother, le réchauffement climatique, la pollution globale, la surexploitation industrielle, la gouvernance des lobbies, l'inadéquation des politiques, les sciences « criminelles » - celles qui tuent par millions en mettant au point des objets mortifères etc...
On en a marre de ces gouvernements qui arrivent en retard et qui légifèrent sur la raideur du cadavre. Voyez à Sivens.
À l'heure où le christianisme n'explique plus rien de la vie courante, contrairement à l'islamisme, l'État n'en fini plus de se séparer de sa religion : l'Église, les églises, les saints et toutes les fêtes du calendrier, Noël et ses crèches, la morale chrétienne et tous ses exemples, les curés tous pédophiles etc. Hélas, au sommet, l'État se meurt d'impuissance pour imposer le respect de ses valeurs et tous les vautours se gorgent de ses abandons. « 400 mille vélos volés ? » Non, les chiffres n'auraient augmenté que de 2,5 % en un an, puisque c'était 390 000 l'an passé ! Ah bon, faut pas s'inquiéter ? Pourtant, dans les années 1950, la France était plus vertueuse il me semble, mais ce ne serait qu'une illusion d'optique... Merde, je suis con ou quoi, Aymeric ! Tiens, quand notre gouvernement fera régner le respect, je lui donnerai raison, mais là... bande d'enfoirés ! Et ce n'est pas un compliment.
Alors, vivement que Big Brother nous mette à chacun une « puce GPS » dans le cul, et l'État pourra reprendre sa marche impitoyable vers le progrès.
La " décroissance " n'est pas un vain mot pourtant : contre la terreur de la déflation et de la baisse des prix, je prétends qu'on ne peut pas toujours augmenter les prix et les marges bénéficiaires, et que ce modèle à vécu. Oui, les assurances, les logements et les fruits et légumes devraient être moins chers... Hélas, ce train là est lancé qui n'est pas prêt de s'arrêter, au point que certains sont persuadés que la destruction du milieu et le bouleversement du climat obligent à recourir sans cesse à plus de science et de techniques. L'exploration de Mars et la colonisation de l'Espace feraient partie de la solution. « Vous comprenez, il n'y a plus rien à faire sur Terre ! ». Pour aller où ? Avant on disait : « tirer des plans sur la comète ». Pardon, Tchouri, si tu m'entends... Mais la petite sonde hiberne sur une roche, tout là-bas à des milliards de kilomètres : la preuve est là.
Si seulement les savants s'attachaient à préserver ce qu'il y a de meilleur en l'homme au départ... Non, ça c'est du domaine de la religion, vilain, caca ! La science, drapée de fatalisme, c'est la religion à l'envers. À la fin, l'humanité " augmentée " mais difforme se suicide, et je ne parle pas de cette pauvre fille étouffée par ses implants mammaires... Une énième victime.
Les Chrétiens ne doivent-ils pas défendre leur culture quand l'État se désagrège ? Après tout, ils étaient là avant ! Observons, quand les universitaires se plaignent des coupes sombres de leur budget, « pouf », le magicien Hollande rétablit les 70 millions économisés dans le plan précédent. Ce qui est très malin, n'est-ce pas : redonner d'une main ce que l'on vient de supprimer de l'autre, du style « admirez le progrès ! ». Du coup, Hollande fait bien mieux que le magicien Sarkozy quand il prétend abroger le « mariage pour tous » et défaire la loi.
Faut-il alors que les Chrétiens défilent ouvertement dans les rues pour ces fêtes de Noël avec les slogans : « Touche pas à mes traditions » et « Je ne suis pas un OGM ». Curieusement, c'est un sondage récent qui a rétabli la vérité vraie : 60 % des Français ne veulent pas donner le droit de vote aux étrangers. De fait, ils ne l'ont jamais souhaité, c'était seulement pour jouer les fiers devant les enquêteurs. Des tests psychologiques sur des passants ont prouvé qu'ils se disaient « tolérants » quand leurs yeux et leurs réactions disaient le contraire. Mais n'ayez pas honte : n'est-ce pas déjà assez compliqué entre nous ? Hélas, avec ce genre de conseil, me voici taxé de « lepénisme aggravé ».
Un autre cheval de bataille de la presse est la « dépénalisation du cannabis », hormis que tous les pays qui ont développé cette tolérance s'en sont repentis. Pire, les États-Unis glissent vers des drogues de synthèse et aussi vers l'héroïne, qui font des ravages. Cessons de céder aux addictions ! La lutte contre le tabagisme et l'alcoolisme donnent des résultats, à part des phénomènes de mode chez les jeunes : imaginez l'alcoolisme français tout à fait hallucinant des siècles passés ! Là, j'ose parler de progrès.
Aujourd'hui l’État protège ses rentes et refuse d'augmenter le prix du tabac pour l'année prochaine. « Regarde, je vais te montrer des photos de poumons tout noir et t'auras peur ! ». Mais non, on s'y fait très bien à la longue. Et puis j'observe que l'addiction au « haschich » n'est pas de ma culture. Quand j'étais enfant, les grands fumaient des gitanes en cachette et les westerns-spaghettis montraient comment les américains avaient vaincu les indiens : grâce à l'armée, aux maladies et à l'alcoolisme. Les drogues ne joueront jamais en notre faveur, et chaque usager doit accepter ses responsabilités sans se défausser sur l’État, sauf quand ce dernier en fait son fond de commerce.
Cependant, je ne peux qu'approuver Hollande de refuser l'euthanasie qui est une solution totalitariste, quand les hôpitaux renoncent à soulager la douleur pour devenir des « serial-killers ». Le désespoir, l'abandon, la peur de rester à la charge de l'autre, la peur aussi de perdre ses moyens sont autant de cas qu'il faut traiter séparément. La mort n'est pas un progrès.
Oui, j'adore la photo de François Hollande en chapka, contre cette bande de peigne-cul et autres rabat-joie issus d'un journalisme défécatoire.
Mais n'achetez pas de fourrures : la plupart des animaux, chiens, chats, lapins angoras ou ratons laveurs ont été torturés. Les oies et les canards de vos literies se font souvent arracher leur duvet vivants. Le droit des animaux n'existe pas, seulement chez nous celui des animaux domestiques. Hélas, sur ce plan là, nous sommes encore au moyen-âge !
Et le « principe de précaution » contesté dans la presse, principe selon lequel « l'absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment... », ce principe serait l'ennemi du progrès ? Il vaudrait mieux parler actuellement du « principe d'évidence » : Big Brother, le réchauffement climatique, la pollution globale, la surexploitation industrielle, la gouvernance des lobbies, l'inadéquation des politiques, les sciences « criminelles » - celles qui tuent par millions en mettant au point des objets mortifères etc...
On en a marre de ces gouvernements qui arrivent en retard et qui légifèrent sur la raideur du cadavre. Voyez à Sivens.
À l'heure où le christianisme n'explique plus rien de la vie courante, contrairement à l'islamisme, l'État n'en fini plus de se séparer de sa religion : l'Église, les églises, les saints et toutes les fêtes du calendrier, Noël et ses crèches, la morale chrétienne et tous ses exemples, les curés tous pédophiles etc. Hélas, au sommet, l'État se meurt d'impuissance pour imposer le respect de ses valeurs et tous les vautours se gorgent de ses abandons. « 400 mille vélos volés ? » Non, les chiffres n'auraient augmenté que de 2,5 % en un an, puisque c'était 390 000 l'an passé ! Ah bon, faut pas s'inquiéter ? Pourtant, dans les années 1950, la France était plus vertueuse il me semble, mais ce ne serait qu'une illusion d'optique... Merde, je suis con ou quoi, Aymeric ! Tiens, quand notre gouvernement fera régner le respect, je lui donnerai raison, mais là... bande d'enfoirés ! Et ce n'est pas un compliment.
Alors, vivement que Big Brother nous mette à chacun une « puce GPS » dans le cul, et l'État pourra reprendre sa marche impitoyable vers le progrès.
La " décroissance " n'est pas un vain mot pourtant : contre la terreur de la déflation et de la baisse des prix, je prétends qu'on ne peut pas toujours augmenter les prix et les marges bénéficiaires, et que ce modèle à vécu. Oui, les assurances, les logements et les fruits et légumes devraient être moins chers... Hélas, ce train là est lancé qui n'est pas prêt de s'arrêter, au point que certains sont persuadés que la destruction du milieu et le bouleversement du climat obligent à recourir sans cesse à plus de science et de techniques. L'exploration de Mars et la colonisation de l'Espace feraient partie de la solution. « Vous comprenez, il n'y a plus rien à faire sur Terre ! ». Pour aller où ? Avant on disait : « tirer des plans sur la comète ». Pardon, Tchouri, si tu m'entends... Mais la petite sonde hiberne sur une roche, tout là-bas à des milliards de kilomètres : la preuve est là.
Si seulement les savants s'attachaient à préserver ce qu'il y a de meilleur en l'homme au départ... Non, ça c'est du domaine de la religion, vilain, caca ! La science, drapée de fatalisme, c'est la religion à l'envers. À la fin, l'humanité " augmentée " mais difforme se suicide, et je ne parle pas de cette pauvre fille étouffée par ses implants mammaires... Une énième victime.
Les Chrétiens ne doivent-ils pas défendre leur culture quand l'État se désagrège ? Après tout, ils étaient là avant ! Observons, quand les universitaires se plaignent des coupes sombres de leur budget, « pouf », le magicien Hollande rétablit les 70 millions économisés dans le plan précédent. Ce qui est très malin, n'est-ce pas : redonner d'une main ce que l'on vient de supprimer de l'autre, du style « admirez le progrès ! ». Du coup, Hollande fait bien mieux que le magicien Sarkozy quand il prétend abroger le « mariage pour tous » et défaire la loi.
Faut-il alors que les Chrétiens défilent ouvertement dans les rues pour ces fêtes de Noël avec les slogans : « Touche pas à mes traditions » et « Je ne suis pas un OGM ». Curieusement, c'est un sondage récent qui a rétabli la vérité vraie : 60 % des Français ne veulent pas donner le droit de vote aux étrangers. De fait, ils ne l'ont jamais souhaité, c'était seulement pour jouer les fiers devant les enquêteurs. Des tests psychologiques sur des passants ont prouvé qu'ils se disaient « tolérants » quand leurs yeux et leurs réactions disaient le contraire. Mais n'ayez pas honte : n'est-ce pas déjà assez compliqué entre nous ? Hélas, avec ce genre de conseil, me voici taxé de « lepénisme aggravé ».
Un autre cheval de bataille de la presse est la « dépénalisation du cannabis », hormis que tous les pays qui ont développé cette tolérance s'en sont repentis. Pire, les États-Unis glissent vers des drogues de synthèse et aussi vers l'héroïne, qui font des ravages. Cessons de céder aux addictions ! La lutte contre le tabagisme et l'alcoolisme donnent des résultats, à part des phénomènes de mode chez les jeunes : imaginez l'alcoolisme français tout à fait hallucinant des siècles passés ! Là, j'ose parler de progrès.
Aujourd'hui l’État protège ses rentes et refuse d'augmenter le prix du tabac pour l'année prochaine. « Regarde, je vais te montrer des photos de poumons tout noir et t'auras peur ! ». Mais non, on s'y fait très bien à la longue. Et puis j'observe que l'addiction au « haschich » n'est pas de ma culture. Quand j'étais enfant, les grands fumaient des gitanes en cachette et les westerns-spaghettis montraient comment les américains avaient vaincu les indiens : grâce à l'armée, aux maladies et à l'alcoolisme. Les drogues ne joueront jamais en notre faveur, et chaque usager doit accepter ses responsabilités sans se défausser sur l’État, sauf quand ce dernier en fait son fond de commerce.
Cependant, je ne peux qu'approuver Hollande de refuser l'euthanasie qui est une solution totalitariste, quand les hôpitaux renoncent à soulager la douleur pour devenir des « serial-killers ». Le désespoir, l'abandon, la peur de rester à la charge de l'autre, la peur aussi de perdre ses moyens sont autant de cas qu'il faut traiter séparément. La mort n'est pas un progrès.
Oui, j'adore la photo de François Hollande en chapka, contre cette bande de peigne-cul et autres rabat-joie issus d'un journalisme défécatoire.
Mais n'achetez pas de fourrures : la plupart des animaux, chiens, chats, lapins angoras ou ratons laveurs ont été torturés. Les oies et les canards de vos literies se font souvent arracher leur duvet vivants. Le droit des animaux n'existe pas, seulement chez nous celui des animaux domestiques. Hélas, sur ce plan là, nous sommes encore au moyen-âge !
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