Les attentats du 13 novembre 2015 en France, revendiqués par l'organisation terroriste État islamique (Daech), sont une série de fusillades et d'attaques-suicides islamistes perpétrées dans la soirée à Paris et dans sa périphérie par trois commandos distincts. Une première attaque a lieu à Saint-Denis, aux abords du Stade de France, où se joue un match amical de football France-Allemagne, auquel assiste le président François Hollande. Le personnel de sécurité leur refusant de pénétrer dans l'enceinte du stade, trois terroristes se font exploser dans ce qui constitue les tout premiers attentats-suicides en France. D'autres attaques ont ensuite lieu à Paris, dans plusieurs rues des 10e et 11e arrondissements, où trois individus mitraillent des terrasses de cafés et de restaurants ; deux d'entre eux prennent la fuite, le troisième se fait exploser. L'attaque la plus longue et la plus meurtrière a lieu dans la salle de spectacle du Bataclan (également dans le 11e arrondissement), où 1 500 personnes assistent au concert du groupe américain de rock Eagles of Death Metal et où trois autres djihadistes ouvrent le feu sur le public, avant qu'un assaut des forces de l'ordre n'y mette fin et ne tue les terroristes. /Wikipedia
François Noland: «…Oui, et je l'avoue humblement ici devant les caméras, j'ai risqué ma vie au Stade de France le 13 novembre comme jadis le Général de Gaulle pendant l'attentat du Petit-Calamar... Heureusement, grâce à un procédé américain tenu «secret défense» nous avons su faire exploser à bonne distance les charges explosives... Et là je dis: "Merci les Américains" pour leur assistance technique.
Maintenant, comprenez que je garde quelques aiguilles dans mes chaussures depuis le début de ce quinquennat, d'où cette démarche chaloupée qui est la mienne et qui séduit les femmes à la façon d'Aldo Maccione... Ainsi, dois-je vous rappeler par exemple notre déficit budgétaire irréductible, toujours supérieur aux 3% exigés par l'Union Européenne. Et pourquoi 3%? C'est parce que c'est nous même qui l'avons instauré bêtement, tout comme le seuil d'émission de dioxyde de carbone qui fait tousser Volkswagen et toute l'industrie allemande derrière.
Heureusement l'UE est là, un peu plus compatissante je l'espère, pour rehausser le seuil de dioxyde autorisé au nom de l'Allemagne d'Angela et pour rééchelonner le déficit admissible de la France en mon nom propre, ce qui est bien normal... Sinon, à quoi serviraient nos amis et alliés? Souvenez-vous aussi des manifestations d'octobre et de la grogne des forces vives de la nation jusque sous les fenêtres de notre garde des Sceaux, Christiane Taubira: la justice, la police et l'armée n'étaient-elles pas excédées avec raison par tant de désinvolture européenne? Était-ce à moi, le premier fonctionnaire de France, de réduire leurs effectifs et de sabrer leurs budgets? Non, pourtant je m'y étais résolu à contre cœur... Et c'est là que le miracle s'accomplit qui n'a rien à voir avec le pape François... Oui, je le précise pour certaines mauvaises langues: cela n'a rien de surnaturel ni de machiavélique! Car "la France martyrisée" va pouvoir renégocier son déficit budgétaire supérieur en échange de son "double-sacrifice".
Mais quel est-il? Me direz vous. Et bien, notre premier sacrifice c'est l'effort de nos forces armées au Mali, en Libye, en Irak ou en Iran, quand nous nous mettons au service de l'UE et plus généralement de toute l'humanité! Oui, la France libre, la France juste, la France humaniste sera partout où le devoir l'appelle car elle est la protectrice des hommes autant que des arts... Et notre deuxième sacrifice, vous le connaissez mieux que moi, c'est le sang versé d'abord par nos soldats sur tous les sites de guerre, par nos forces de sécurité ensuite jusque dans nos rues et maintenant par les civiles eux-mêmes comme à Paris ce vendredi 13 Novembre 2015. Bien sûr, en rendant hommage aux forces de police lors de leur intervention musclée hier à Saint-Denis, moi-même comme tous les médias avons omis de rendre hommage aux victimes collatérales innocentes atteintes par des balles perdues.
Oui, hélas et malgré moi, je vous l'assure, vous voici devenus par centaines, Français et Françaises, les premières victimes expiatoires en Europe de daech-qui-tâche et vous avez raison de vous inquiéter: La France ne risque-t-elle pas ainsi de perdre son triple A de la sécurité nationale? Le but de daech n'est pas tant de nous diviser mais plutôt de nous causer des pertes irréparables et de nous atteindre au porte-feuille... Déjà, les touristes désertent Paris et les embouteillages s'allongent à l'entrée des villes quand les travailleurs abandonnent les transports en commun menacés par les attaques terroristes pour préférer la sécurité de leurs voitures.
Maintenant, je veux parler de ces attentats monstrueux, quand toute l'Europe s'émeut et comprend l'effort et le sacrifice de la France pour la sécurité dans le monde et les conséquences... Dans cette fenêtre de tir, j'ai l'opportunité historique de corriger notre politique sociale mise à mal: oui, fini les 3 % maximum de déficit, fini les réductions d'effectifs dans la police, dans l'armée et la justice... Les budgets vont exploser! Nous faut-il plus d'hommes, plus de gilets pare-balles, plus de voiture rapides? Pas de problème, voilà autant pour les forces de police et les corps d'armée! Bien sûr, me direz-vous, fallait-il en arriver là pour satisfaire à toutes ces revendications syndicales de base, qui ont quelque chose d'indécent au moment ou tant de Français sont pris pour cible dans leur confiance et leurs loisirs? N'est-ce pas un peu comme de tirer la couverture à soi quand sa copine dort nue après l'amour? Ainsi sont les fonctionnaires et je ne peux leur en vouloir d'être opportunistes puisque je le suis moi-même.
De fait, mes très chers concitoyens, par cette opération je restaure l'honneur de notre «sociale-démocratie» et je redore en même temps mon blason, un peu comme si j'avais gagné la Coupe de l'America, le Vendée Glob et la Transat Jacques Vabre le même jour ! Hein hein... Oui, je me réaligne à droite de la gauche et dans la course à la présidentielle de 2017. Mieux encore: je me propose de jouer les intermédiaires entre les États-Unis et la Russie, entre Barack et Poutou-le-vil (Poutine) pour attaquer conjointement et dissoudre daech-qui-tâche. Et puis, toujours plus haut, impérial comme l'aigle je maintiendrai fermement l'accueil de la COP21 sur notre territoire contre vents et marées!
Bien sûr, en rétablissant un fonctionnariat méprisé par mon prédécesseur : Sarko-le-nain de jardin, hein hein... j'ai le sentiment de faire un contresens historique! Effectivement, aucune de ces nouvelles mesures à à venir ne sera capable de s'opposer au prochain attentat, pas plus qu'aux précédents. Et comment mes 8500 nouveaux fonctionnaires pourraient-ils prévoir et déjouer les drames successifs passés ou à venir, depuis le 7 janvier 2015 en passant par le vendredi 13 novembre, date ô combien fatidique? La liste est longue, soit presque un attentat par mois et l'année n'est pas encore finie... Tout juste avons nous réussi à faire exploser la dernière «bombe humaine» ce 18 décembre 2015 en mobilisant toutes nos forces. Mais il est mathématiquement impossible de mettre deux ou trois hommes en arme devant chaque école, dans chaque rangée de stade, dans chaque salle de concert, sur chaque terrasse de café-restaurant. Nous ne cessons de vous le répéter...
Car c'est bien ce qui nous différencie des États-Unis d'Amérique: en temps de guerre civile, ce qui est finalement notre cas quand l'ennemi se fond dans la population, le Président Obama autoriserait sans doute chaque citoyen américain à sortir avec son arme en bandoulière et à se faire justice! Mais voilà, je ne peux m'y résoudre, ou alors quelques policiers en civil avec leurs armes de service. Et comment organiser des concours de tir au pigeon pendant les réunions professionnelles ou amicales, au prix de quelles erreurs ? La chasse est ouverte, me direz-vous et nous en sommes les lapins... Vous pourrez toujours chanter à vos enfants, comme Chantal Goya :
« Aujourd'hui... un lapin... a tué un chasseur
C'était un lapin qui... avait un fusil... PAN!»
sauf que le «lapin chasseur*», c'est vous!
*La recette du «lapin chasseur» à la française, «rabbit chasseur» ou «rabbit hunter-style»: plat cuisiné à base de lapin ou de lièvre, de champignons et de vin blanc.
C'est pourquoi notre pays, qui est aussi le plus fliqué d'Europe et le plus fonctionnarisé depuis Joseph Fouché, restera à découvert et impuissant dans des milliers de sites, au risque de nouveaux massacres de masse à venir. Voilà pourquoi encore d'autres Français vont mourir bientôt, sous les rafales et au milieu des bombes, quand notre ennemi acculé par la coalition internationale viendra se venger.
Bien sûr, je le regrette: le nombre de «crimes terroristes» additionné à celui de toutes les victimes collatérales va devenir en France une simple statistique, à l'égal des accidents de la route ou d'avion, des cancers du poumon, du sida et de toutes ces autres morts soi-disant inévitables, parce que notre économie est dévoyée par l'intérêt national, parce que notre industrie est toxique et parce que les hommes politiques deviennent un peu plus cyniques chaque jour. Oui, je le reconnais, je m'en veux et je m'en excuse d'avance... Mais comment organiser un Guantánamo dans un «État de droit»? Les extrémistes religieux sont à manier comme des bâtons de dynamite, qui vous reviennent dans gueule.
Petit lot consolation: il y aura toujours moins de crimes terroristes que d'accidents d'avions ou de suicides d'agriculteurs, ce qui est raisonnable. En échange? Vous serez sacrifiés, vous aurez la Gloire et l'Honneur après la bataille, sur vos tombes, et vos parents viendront dans les cimetières de croix blanches standards et devant les stèles égrener vos noms...
Alors, en espérant que la paix et la sécurité reviennent au plus tôt pour me donner tord et apaiser ma conscience meurtrie, je vous le dis : «Vive l'Europe et vive la France»!
Distribution :
François Noland : François Hollande
B'Ob : Barack Obama
Poutou-le-vil : Poutine-le-petit
jeudi 19 novembre 2015
samedi 7 novembre 2015
Billet d'humour : « Voici pourquoi la France doit divorcer d'avec l'Europe et les USA », dans le blogiblag du 07/11/2015 (LJ ©2015).
L'Europe n'est-elle qu'un fantasme ? Une illusion d'optique ? Je ne parle pas seulement d'une Allemagne surpuissante façon Panzer-Germany, qui fait froid dans le dos et nous enrhume tous... Allons, boutons sans tarder les Anglois hors d'Europe !
Regardez ces gus s'agiter au bord de la Tamise, ces lobbyistes anglo-saxons au service de la City qui pourrissent jusqu'au parlement européen. Cameron de Cuir espère-t-il rétablir l'ancienne CEE et imposer la livre sterling comme « monnaie alternative » en Europe ? N'avons nous pas payé assez cher la ruine du « franc français », sa dévaluation et le renoncement final à notre devise nationale pour laisser s'exhiber maintenant la « livre anglaise » comme une grosse paire de roubignoles sous un kilt au premier coup de vent ? Quel manque de pudeur, quelle indécence : on aura tout vu... Ils peuvent bien la remettre dans leur slip ! Définitivement, ceux-là ne m'intéressent plus.
Mais comment ne pas parler des États-Unis, ces résidus de capotes qui sont en train de nous étriller consciencieusement en s'attaquant tour à tour à la France et à l'Allemagne, autant avec leurs tribunaux qu'avec leurs procédés informatiques frisant l'espionnage généralisé et leurs multinationales spécialisées dans l'extorsion de fonds ? Apple peut bien se gargariser d'avoir accumulé 53,4 milliards de dollars sur un an et de ne payer d'impôts qu'aux États-Unis (les seuls vrais bénéficiaires de ses largesses) quand en même temps elle s'est exemptée d'un bon milliard d'euros d'impôts en France : peut-être faudrait-t-il tout simplement mettre cette grosse cochonne à contribution directe pour venir boucher notre trou de la Sécu, ou ceux de la SNCF ou encore de l'A.P.H.P (l'Assistance Publique des Hôpitaux de Paris), en échange de notre silence embarrassé parce que là, s'en est vraiment trop !
Après, que dire par exemple de Fiat ou Volkswagen, Starbucks ou McDonald, Google, Facebook, Amazon etc. ? La liste est longue des sociétés qui contournent notre imposition sur les sociétés. Alors, qu'on les mette toutes à contribution directe dans les secteurs de la santé, du mal-logement et de la mal-bouffe, de la culture, contre la pauvreté en France, au service de la société civile qu'elles abusent ignominieusement. C'est normal, ces putes devraient faire un peu de social, n'est-ce pas ?
Bien sûr, l’État français et la BCE ont déjà recapitalisé les banques par centaines de milliards, ces mères-maquerelles qui de plus sont devenues prédatrices de nos économies sans plus verser d'intérêts mais en engrangeant des frais de garde exorbitants, ces mêmes banques qui pourtant se sont mises dans le rouge d'elles-mêmes et qui paient maintenant des amendes faramineuses aux USA pour cause d'irresponsabilité. On voit bien où va notre argent, de poche en poche de l'autre côté de l'atlantique nord : pourtant les États-Unis ne sont-ils pas les responsables des crises économiques successives, depuis l'explosion de la bulle spéculative jusqu'à la crise des subprimes en juillet 2007 ?
Et les crédits d'impôts en France ? Est-ce vraiment pour recapitaliser nos entreprises en augmentant leur profitabilité ? Le résultat est indiscutable : offrez leur tous les bénéfices de la Terre et ces sociétés ne paieront pas d'avantage d'impôts et surtout elles n'embaucheront pas beaucoup plus, bien au contraire... Une fois cotées en bourse elles s’exonèrent par tous les moyens de l'impôt et réclament la liberté de licencier à loisir tant la capitalisation est leur principal objectif, le second étant l'enrichissement personnel de quelques uns.
Notre gouvernement, acquis au capitalisme pur et dur, n'implique plus jamais les « citoyens » ( terme nationaliste devenu hautement condamnable autant que « bonnet rouge ») dans ses prises de décision mais suit des procédés parfaitement anti-démocratiques. Tiens, ne parlez pas à F. Hollande de référendum ! Il préférera vous traiter de vulgaire « contribuable » : culpabilisation et taxation sont les deux mamelles de ce quinquennat.
Et là, il faut considérer des centaines de milliards extorqués habilement aux Français pour les redistribuer aux fraudeurs professionnels du fisc, pour engraisser toutes ces sociétés opportunistes du CAC 40 comme du NASDAQ en plus de leurs bénéfices quotidiens qui frisent le surcoût, l'arnaque, le délit d'initié et l'abus de position dominante. Que fait l'Europe « sociale » face à de tels procédés abusifs contre les peuples ? L'autruche, le dos rond, la victime parfaite : sodomie du matin, bonheur des intestins.
Par contre, qu'en est-il des fameux « trous » qui se sont formés dans nos finances, soit quelques petits millions d'euros réclamés quotidiennement aux Français et déduits directement des aides sociales, des aides au logement ainsi qu'aux handicapés, au secteur de la santé et à la sécurité sociale, aux retraités, aux veuves, aux étudiants, aux chômeurs, à la culture, voire ces « 400 millions de déficit » de l'hôpital public qui justifieraient soi-disant à eux seuls le démantèlement de cette institution ? Et ces autres millions manquant à l'éducation national, aux universités, aux cantines scolaires ou à la formation professionnelle des adultes ? En tout, peut-être quelques milliards tout au plus, une somme bien négligeable en comparaison des milliers de milliards de bénéfices des multinationales optimisées mais qui sera défalquée consciencieusement à la collectivité, à vous et à moi en appauvrissant un à un chacun de ses membres, là ou l'imposition de ces sociétés boursières (et des fortunes privées correspondantes) serait suffisante et probablement excédentaire pour combler tous ces petits trous !
La finance internationale et les finances publiques ? Ah, vaste fumisterie. La France s'en sortirait bien mieux sans gouvernement, ou alors avec un « Président des Français » au rabais, le PPPC ou « Plus Petit Président Commun ». Tiens, je m'y verrais bien !
In fine, c'est uniquement avec nos impôts et une redistribution calamiteuse que notre gouvernement, ce danger public, démantèle notre système social sous prétexte d'économie « bien comprise ». Car curieusement, au moment de percevoir l'impôt, nous voici en boucle fermée : les petits contribuables et le Fisc. Les derniers scandales concernant les veuves et les handicapés en est la preuve formelle.
Non, oublions ces gros crétins du gouvernement un instant, parlons de la France d'en-bas et des « vrais Français ». Car ils doivent de toute urgence quitter l'Union Européenne (mais sans la famille Le Pen bien sûr), tous à la suite par exemple de M. Dupont Aignan (ou d'un autre mystique de la même trempe), puisque n'importe quel petit président anti-européen et sur-motivé fera l'affaire pour s'échapper de ce foutoir.
Précisons ici de quel guêpier il s'agit. D'abord, ce sont des industriels qui nous servent « de la merde sur un plateau » : sentez-vous ces micro-nano-particules envahissantes, ces hydrocarbures omniprésents dans l'air, l'eau et la nourriture, tâtez par ici du frelaté, du cancérigène, savourez du cocktail chimique, de l'irradié, de l'indigeste... Vous ne sentez rien ? C'est normal, ces pollutions sont le plus souvent invisibles, inodores et insipides mais d'autant plus dangereuses... Beurk, ces salauds là, si on savait où les trouver, ils seraient passibles de l'échafaud. Mais non, ces patrons se sont tous domiciliés très loin, en bons citoyens de la mondialisation organisée.
L'affaire n'est pas meilleure pour autant avec les multinationales optimisées d'une Europe complice : arrangements et conventions fiscales, paradis fiscaux et « boîtes au lettres », siphonnage et privilèges, lobbying dans les instances européennes, aides illégales et « intérêts notionnels » ou d'autres conneries du même acabit, vous visualisez l'étendue des dégâts ? Ça ne donne pas envie de payer son écot à l'Europe.
Mais rien ne vaut pour finir la complicité de ce gouvernement soi-disant de gauche : les « régimes favorables », les « incitations fiscales », les « niches fiscales », les « crédits d'impôts, de compétitivité d'emploi et de recherche » d'un coût estimatif de 84 milliards d'euros par an en France sans retour sur investissement, les « patent box » et les « innovation box » à l'étranger, soit l'ensemble des bénéfices réalisés sur le sol français relocalisés dans des filiales belges, irlandaises, luxembourgeoises etc.
Tout ça pour dire que des centaines de multinationales et tous les acteurs du CAC 40 et du Nasdaq nous servent de la merde à grands frais et paient le minimum d'impôts en France, entre 8 % et 0,5 % de leurs bénéfices, quand ils ne bénéficient pas en sus des aides de l’État français ! Oui, le gros bâtard... Alors il faut vite larguer ce gouvernement parce que c'est nous, les contribuables français, qui finançons au final la relance de l'activité aux États-Unis depuis dix ans, directement avec nos petites économies des familles. En échange, ils nous rachètent avec leur fonds de pension. Les États-Unis, c'est l'Arabie Saoudite puissance dix : à la place du pétrole, l'informatique.
Et là, je dis : « Stop » car tout est fait pour nous rincer et enrichir ces profiteurs systémiques, tous ceux cités plus haut et bien d'autres encore. Pourquoi payons nous toujours plus de taxes et d'impôts avec autant de richesses produites par habitant ?
Au nom de l'Europe, de l'internationalisation et de la globalisation, nous voici - petits Français - des pigeons d'argile sur un stand de tir : les pigeons de ce gouvernement ou d'un autre de substitution à venir, le pigeon des nouvelles régions redessinées, les pigeons de l'Europe et des USA, de la City et de Wall Street, de la Chine envahissante, les pigeons des multinationales et des lobbies qui exploitent indifféremment les gisements de « masses laborieuses pauvres » comme des puits de pétrole, ou bien les « contribuables français » en faisant main-basse sur leurs avoirs par le truchement d'un gouvernement de vendus, façon François Hollande. Et de rire !
Mais comment ces multinationales osent-elles afficher de telles marges bénéficiaires à deux chiffres en France et nous snober à ce point ? S'il faut parler de prétentieuses et de malfaisantes, ce sont celles-là. Qu'elles commencent donc par rembourser leurs dettes : combien nous doivent-elles depuis l'an 2000 ? Les Américains savent être procédurier à l'extrême, alors pourquoi pas les Européens quand ils se sentent lésés ? Serons-nous toujours leurs victimes ? Soyons pour une fois leurs bourreaux et cessons de leur envoyer des fleurs avec le mode d'emploi pour nous taxer, nous exploiter et nous asservir.
Dans le Libé du 03/11/15 je lis à propos du « Luxleaks » et des lanceurs d'alertes accusés « d'espionnage économique, violation du secret commercial et du secret bancaire » par notre gouvernement et ses nouveaux dispositifs d'espionnage du citoyen lambda (c'est le monde à l'envers !) :
« Sans la pression des opinions publiques et des médias, tout risque à chaque instant de s'enliser. Il faut avoir conscience que l'UE n'a quasiment aucune compétence en matière de fiscalité des entreprises et que, lorsqu'elle en a, elle doit décider à l'unanimité des États membres... », ce qui est bien sûr mission impossible.
« Diviser pour mieux régner » est une pratique courante en Europe puisque L'UE est infiltrée ! Et pas seulement par les Angliches, le « cheval de Troie » des américains dont parlait le général De Gaulle. Alors, n'allez pas réclamer la justice fiscale à ce gouvernement imbécile ni à cette pauvre Union-Européenne qui ne pisse finalement pas plus haut que son cul. D'ailleurs, comment l'Europe et ses 28 nations membres peut-elle réagir tellement tard à tous les scandales successifs, après des milliers de victimes ? Sans les lanceurs d'alerte au service des vrais décideurs européens, l'Europe n'est pas apte à nous représenter et Junker n'est qu'une potiche.
Oui, réagissons sans plus tarder : puisque les industriels et les multinationales refusent l'imposition juste, réduisons au maximum leurs marges bénéficiaires. Par exemple, le prix de revient d'un iPhone est très inférieur en réalité aux sommes qui nous sont exigées pour acquérir cette babiole de luxe. Voyez, à la fin l'encre coûte infiniment plus cher que l'imprimante, qui peut être soldée à vil prix... Alors un jour les iPhones seront soldés à leur juste valeur, soit à moins d'un quart du prix actuel ! Mais pourquoi attendre ce jour là ? S'agit-il d'engraisser indéfiniment ces rentiers, Apple et les autres ?
Ne soyons pas stupides, la richesse la plus convoitée restera l'information, c'est à dire notre histoire personnelle « débitée en 0 ou 1 » pour en précipiter toutes les addictions. L'idée est de transférer le pouvoir du Ministère des Finances, celui qui consiste à nous imposer un maximum, aux Régions, à L'Europe et maintenant aux multinationales (Orange, Free, Google, Amazon etc.), soit le pouvoir de nous taxer en échange de quelques services ordinaires comme la téléphonie devenue un de nos principaux postes de dépense : chaque mois, chacun vient prélever sa rente sur nos comptes en banque en toute légalité et avec notre bénédiction.
Mince, refusez une telle offrande au grand Manitou de l'informatique et n'attachez pas votre existence à cette grosse salope de « République numérique » à venir et à tous ces manipulateurs avec leurs gadgets high-tech, sinon un jour il vous ferons payer l'air que vous respirez !
La France est coupable de tirer des plans sur la comète et d'enchaîner son peuple à des profiteurs patentés en méprisant la simplicité d'une vie naturelle et libre, celle des générations antérieures issue d'une sagesse millénaire. D'ailleurs, la fin des personnes âgées ou des grands malades comme des paysans qui se pendent par centaines dans les étables (par détestation du monde qu'on leur impose) ressemble de plus en plus à celle des migrants en péril sur de minces embarcations : au moment de s'asphyxier, un iPhone aussi perfectionné soit-il est dérisoire pour les maintenir parmi les vivants.
Voilà pourquoi nous devons déposer d'urgence ce gouvernement « socialiste » perverti et quitter l'UE d'un seul coup, pour chasser en même temps les voleurs, les arnaqueurs, les profiteurs et tous les marchands du temple ( la Nature est son propre temple et la majorité des plaies actuelles et des malédictions sont de cet ordre).
Oui, retissons le lien social qui faisait la France d'hier mais sans eux, les Hollande, les Sarkozy, les Le Pen et cætera. Comment ? Soyons fiers d'abord d'être Français et puis rendez-vous aux élections présidentielles de 2017 pour culbuter ces cons-là qui ne représentent onanistiquement parlé plus qu'eux-mêmes et leurs petites familles.
Regardez ces gus s'agiter au bord de la Tamise, ces lobbyistes anglo-saxons au service de la City qui pourrissent jusqu'au parlement européen. Cameron de Cuir espère-t-il rétablir l'ancienne CEE et imposer la livre sterling comme « monnaie alternative » en Europe ? N'avons nous pas payé assez cher la ruine du « franc français », sa dévaluation et le renoncement final à notre devise nationale pour laisser s'exhiber maintenant la « livre anglaise » comme une grosse paire de roubignoles sous un kilt au premier coup de vent ? Quel manque de pudeur, quelle indécence : on aura tout vu... Ils peuvent bien la remettre dans leur slip ! Définitivement, ceux-là ne m'intéressent plus.
Mais comment ne pas parler des États-Unis, ces résidus de capotes qui sont en train de nous étriller consciencieusement en s'attaquant tour à tour à la France et à l'Allemagne, autant avec leurs tribunaux qu'avec leurs procédés informatiques frisant l'espionnage généralisé et leurs multinationales spécialisées dans l'extorsion de fonds ? Apple peut bien se gargariser d'avoir accumulé 53,4 milliards de dollars sur un an et de ne payer d'impôts qu'aux États-Unis (les seuls vrais bénéficiaires de ses largesses) quand en même temps elle s'est exemptée d'un bon milliard d'euros d'impôts en France : peut-être faudrait-t-il tout simplement mettre cette grosse cochonne à contribution directe pour venir boucher notre trou de la Sécu, ou ceux de la SNCF ou encore de l'A.P.H.P (l'Assistance Publique des Hôpitaux de Paris), en échange de notre silence embarrassé parce que là, s'en est vraiment trop !
Après, que dire par exemple de Fiat ou Volkswagen, Starbucks ou McDonald, Google, Facebook, Amazon etc. ? La liste est longue des sociétés qui contournent notre imposition sur les sociétés. Alors, qu'on les mette toutes à contribution directe dans les secteurs de la santé, du mal-logement et de la mal-bouffe, de la culture, contre la pauvreté en France, au service de la société civile qu'elles abusent ignominieusement. C'est normal, ces putes devraient faire un peu de social, n'est-ce pas ?
Bien sûr, l’État français et la BCE ont déjà recapitalisé les banques par centaines de milliards, ces mères-maquerelles qui de plus sont devenues prédatrices de nos économies sans plus verser d'intérêts mais en engrangeant des frais de garde exorbitants, ces mêmes banques qui pourtant se sont mises dans le rouge d'elles-mêmes et qui paient maintenant des amendes faramineuses aux USA pour cause d'irresponsabilité. On voit bien où va notre argent, de poche en poche de l'autre côté de l'atlantique nord : pourtant les États-Unis ne sont-ils pas les responsables des crises économiques successives, depuis l'explosion de la bulle spéculative jusqu'à la crise des subprimes en juillet 2007 ?
Et les crédits d'impôts en France ? Est-ce vraiment pour recapitaliser nos entreprises en augmentant leur profitabilité ? Le résultat est indiscutable : offrez leur tous les bénéfices de la Terre et ces sociétés ne paieront pas d'avantage d'impôts et surtout elles n'embaucheront pas beaucoup plus, bien au contraire... Une fois cotées en bourse elles s’exonèrent par tous les moyens de l'impôt et réclament la liberté de licencier à loisir tant la capitalisation est leur principal objectif, le second étant l'enrichissement personnel de quelques uns.
Notre gouvernement, acquis au capitalisme pur et dur, n'implique plus jamais les « citoyens » ( terme nationaliste devenu hautement condamnable autant que « bonnet rouge ») dans ses prises de décision mais suit des procédés parfaitement anti-démocratiques. Tiens, ne parlez pas à F. Hollande de référendum ! Il préférera vous traiter de vulgaire « contribuable » : culpabilisation et taxation sont les deux mamelles de ce quinquennat.
Et là, il faut considérer des centaines de milliards extorqués habilement aux Français pour les redistribuer aux fraudeurs professionnels du fisc, pour engraisser toutes ces sociétés opportunistes du CAC 40 comme du NASDAQ en plus de leurs bénéfices quotidiens qui frisent le surcoût, l'arnaque, le délit d'initié et l'abus de position dominante. Que fait l'Europe « sociale » face à de tels procédés abusifs contre les peuples ? L'autruche, le dos rond, la victime parfaite : sodomie du matin, bonheur des intestins.
Par contre, qu'en est-il des fameux « trous » qui se sont formés dans nos finances, soit quelques petits millions d'euros réclamés quotidiennement aux Français et déduits directement des aides sociales, des aides au logement ainsi qu'aux handicapés, au secteur de la santé et à la sécurité sociale, aux retraités, aux veuves, aux étudiants, aux chômeurs, à la culture, voire ces « 400 millions de déficit » de l'hôpital public qui justifieraient soi-disant à eux seuls le démantèlement de cette institution ? Et ces autres millions manquant à l'éducation national, aux universités, aux cantines scolaires ou à la formation professionnelle des adultes ? En tout, peut-être quelques milliards tout au plus, une somme bien négligeable en comparaison des milliers de milliards de bénéfices des multinationales optimisées mais qui sera défalquée consciencieusement à la collectivité, à vous et à moi en appauvrissant un à un chacun de ses membres, là ou l'imposition de ces sociétés boursières (et des fortunes privées correspondantes) serait suffisante et probablement excédentaire pour combler tous ces petits trous !
La finance internationale et les finances publiques ? Ah, vaste fumisterie. La France s'en sortirait bien mieux sans gouvernement, ou alors avec un « Président des Français » au rabais, le PPPC ou « Plus Petit Président Commun ». Tiens, je m'y verrais bien !
In fine, c'est uniquement avec nos impôts et une redistribution calamiteuse que notre gouvernement, ce danger public, démantèle notre système social sous prétexte d'économie « bien comprise ». Car curieusement, au moment de percevoir l'impôt, nous voici en boucle fermée : les petits contribuables et le Fisc. Les derniers scandales concernant les veuves et les handicapés en est la preuve formelle.
Non, oublions ces gros crétins du gouvernement un instant, parlons de la France d'en-bas et des « vrais Français ». Car ils doivent de toute urgence quitter l'Union Européenne (mais sans la famille Le Pen bien sûr), tous à la suite par exemple de M. Dupont Aignan (ou d'un autre mystique de la même trempe), puisque n'importe quel petit président anti-européen et sur-motivé fera l'affaire pour s'échapper de ce foutoir.
Précisons ici de quel guêpier il s'agit. D'abord, ce sont des industriels qui nous servent « de la merde sur un plateau » : sentez-vous ces micro-nano-particules envahissantes, ces hydrocarbures omniprésents dans l'air, l'eau et la nourriture, tâtez par ici du frelaté, du cancérigène, savourez du cocktail chimique, de l'irradié, de l'indigeste... Vous ne sentez rien ? C'est normal, ces pollutions sont le plus souvent invisibles, inodores et insipides mais d'autant plus dangereuses... Beurk, ces salauds là, si on savait où les trouver, ils seraient passibles de l'échafaud. Mais non, ces patrons se sont tous domiciliés très loin, en bons citoyens de la mondialisation organisée.
L'affaire n'est pas meilleure pour autant avec les multinationales optimisées d'une Europe complice : arrangements et conventions fiscales, paradis fiscaux et « boîtes au lettres », siphonnage et privilèges, lobbying dans les instances européennes, aides illégales et « intérêts notionnels » ou d'autres conneries du même acabit, vous visualisez l'étendue des dégâts ? Ça ne donne pas envie de payer son écot à l'Europe.
Mais rien ne vaut pour finir la complicité de ce gouvernement soi-disant de gauche : les « régimes favorables », les « incitations fiscales », les « niches fiscales », les « crédits d'impôts, de compétitivité d'emploi et de recherche » d'un coût estimatif de 84 milliards d'euros par an en France sans retour sur investissement, les « patent box » et les « innovation box » à l'étranger, soit l'ensemble des bénéfices réalisés sur le sol français relocalisés dans des filiales belges, irlandaises, luxembourgeoises etc.
Tout ça pour dire que des centaines de multinationales et tous les acteurs du CAC 40 et du Nasdaq nous servent de la merde à grands frais et paient le minimum d'impôts en France, entre 8 % et 0,5 % de leurs bénéfices, quand ils ne bénéficient pas en sus des aides de l’État français ! Oui, le gros bâtard... Alors il faut vite larguer ce gouvernement parce que c'est nous, les contribuables français, qui finançons au final la relance de l'activité aux États-Unis depuis dix ans, directement avec nos petites économies des familles. En échange, ils nous rachètent avec leur fonds de pension. Les États-Unis, c'est l'Arabie Saoudite puissance dix : à la place du pétrole, l'informatique.
Et là, je dis : « Stop » car tout est fait pour nous rincer et enrichir ces profiteurs systémiques, tous ceux cités plus haut et bien d'autres encore. Pourquoi payons nous toujours plus de taxes et d'impôts avec autant de richesses produites par habitant ?
Au nom de l'Europe, de l'internationalisation et de la globalisation, nous voici - petits Français - des pigeons d'argile sur un stand de tir : les pigeons de ce gouvernement ou d'un autre de substitution à venir, le pigeon des nouvelles régions redessinées, les pigeons de l'Europe et des USA, de la City et de Wall Street, de la Chine envahissante, les pigeons des multinationales et des lobbies qui exploitent indifféremment les gisements de « masses laborieuses pauvres » comme des puits de pétrole, ou bien les « contribuables français » en faisant main-basse sur leurs avoirs par le truchement d'un gouvernement de vendus, façon François Hollande. Et de rire !
Mais comment ces multinationales osent-elles afficher de telles marges bénéficiaires à deux chiffres en France et nous snober à ce point ? S'il faut parler de prétentieuses et de malfaisantes, ce sont celles-là. Qu'elles commencent donc par rembourser leurs dettes : combien nous doivent-elles depuis l'an 2000 ? Les Américains savent être procédurier à l'extrême, alors pourquoi pas les Européens quand ils se sentent lésés ? Serons-nous toujours leurs victimes ? Soyons pour une fois leurs bourreaux et cessons de leur envoyer des fleurs avec le mode d'emploi pour nous taxer, nous exploiter et nous asservir.
Dans le Libé du 03/11/15 je lis à propos du « Luxleaks » et des lanceurs d'alertes accusés « d'espionnage économique, violation du secret commercial et du secret bancaire » par notre gouvernement et ses nouveaux dispositifs d'espionnage du citoyen lambda (c'est le monde à l'envers !) :
« Sans la pression des opinions publiques et des médias, tout risque à chaque instant de s'enliser. Il faut avoir conscience que l'UE n'a quasiment aucune compétence en matière de fiscalité des entreprises et que, lorsqu'elle en a, elle doit décider à l'unanimité des États membres... », ce qui est bien sûr mission impossible.
« Diviser pour mieux régner » est une pratique courante en Europe puisque L'UE est infiltrée ! Et pas seulement par les Angliches, le « cheval de Troie » des américains dont parlait le général De Gaulle. Alors, n'allez pas réclamer la justice fiscale à ce gouvernement imbécile ni à cette pauvre Union-Européenne qui ne pisse finalement pas plus haut que son cul. D'ailleurs, comment l'Europe et ses 28 nations membres peut-elle réagir tellement tard à tous les scandales successifs, après des milliers de victimes ? Sans les lanceurs d'alerte au service des vrais décideurs européens, l'Europe n'est pas apte à nous représenter et Junker n'est qu'une potiche.
Oui, réagissons sans plus tarder : puisque les industriels et les multinationales refusent l'imposition juste, réduisons au maximum leurs marges bénéficiaires. Par exemple, le prix de revient d'un iPhone est très inférieur en réalité aux sommes qui nous sont exigées pour acquérir cette babiole de luxe. Voyez, à la fin l'encre coûte infiniment plus cher que l'imprimante, qui peut être soldée à vil prix... Alors un jour les iPhones seront soldés à leur juste valeur, soit à moins d'un quart du prix actuel ! Mais pourquoi attendre ce jour là ? S'agit-il d'engraisser indéfiniment ces rentiers, Apple et les autres ?
Ne soyons pas stupides, la richesse la plus convoitée restera l'information, c'est à dire notre histoire personnelle « débitée en 0 ou 1 » pour en précipiter toutes les addictions. L'idée est de transférer le pouvoir du Ministère des Finances, celui qui consiste à nous imposer un maximum, aux Régions, à L'Europe et maintenant aux multinationales (Orange, Free, Google, Amazon etc.), soit le pouvoir de nous taxer en échange de quelques services ordinaires comme la téléphonie devenue un de nos principaux postes de dépense : chaque mois, chacun vient prélever sa rente sur nos comptes en banque en toute légalité et avec notre bénédiction.
Mince, refusez une telle offrande au grand Manitou de l'informatique et n'attachez pas votre existence à cette grosse salope de « République numérique » à venir et à tous ces manipulateurs avec leurs gadgets high-tech, sinon un jour il vous ferons payer l'air que vous respirez !
La France est coupable de tirer des plans sur la comète et d'enchaîner son peuple à des profiteurs patentés en méprisant la simplicité d'une vie naturelle et libre, celle des générations antérieures issue d'une sagesse millénaire. D'ailleurs, la fin des personnes âgées ou des grands malades comme des paysans qui se pendent par centaines dans les étables (par détestation du monde qu'on leur impose) ressemble de plus en plus à celle des migrants en péril sur de minces embarcations : au moment de s'asphyxier, un iPhone aussi perfectionné soit-il est dérisoire pour les maintenir parmi les vivants.
Voilà pourquoi nous devons déposer d'urgence ce gouvernement « socialiste » perverti et quitter l'UE d'un seul coup, pour chasser en même temps les voleurs, les arnaqueurs, les profiteurs et tous les marchands du temple ( la Nature est son propre temple et la majorité des plaies actuelles et des malédictions sont de cet ordre).
Oui, retissons le lien social qui faisait la France d'hier mais sans eux, les Hollande, les Sarkozy, les Le Pen et cætera. Comment ? Soyons fiers d'abord d'être Français et puis rendez-vous aux élections présidentielles de 2017 pour culbuter ces cons-là qui ne représentent onanistiquement parlé plus qu'eux-mêmes et leurs petites familles.
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