Il me semble que pour Donald Trump, c'est le début de la fin... Accusé de collusion avec la Russie, voici qu'il est soupçonné de manipuler la justice puisque le président des États-Unis aurait fait pression sur l'ex-directeur du FBI, James Comey, pour qu'il stoppe l'enquête sur les liens de l'un de ses conseillers avec la Russie.
Cette requête venant d'un président représente une interférence directe dans une enquête fédérale en cours et une possible obstruction à la justice : accusé de plus d'avoir limogé le patron du FBI et d'avoir dévoilé des informations stratégiques au chef de la diplomatie russe, Donald Trump ne cesse d'aggraver son cas.
Le constat flagrant est que Donald Trump confond les pouvoirs que lui confèrent son mandat présidentiel avec l'affairisme dont il est coutumier. De plus, n'y a-t-il pas un conflit d'intérêt avéré si, suivant les même méthodes utilisées pour interférer avec les organes officiels de l'Intelligence et de la Justice, Trump utilise ses pouvoirs auprès de l'administration fiscale et des législateurs pour organiser son insolvabilité et celle d'autres milliardaires avec leurs sociétés, en s'exemptant par exemple de payer l'impôt sur le revenu ou de déclarer la totalité de ses bénéfices ?
Le vrai problème donc est que Donald Trump, depuis bientôt 150 jours au pouvoir, doit être stoppé dans ses décisions les plus dangereuses et irréversibles, vu son pouvoir de corrosion et dans l'attente de sa destitution. Alors, quel tribunal osera suspendre les activités de Trump à la Maison Blanche ?
Oui, et qui pourrait assurer l'intérim en attendant les prochaines élections américaines ? La réponse me paraît évidente : Barack Obama est le plus apte à assurer cette transition indispensable... Mais vite, il y a une urgence absolue face au forcené Donald trump ! Si le président Emmanuel Macron lui a fait blanchir les jointures d'une poigne de fer, quel juge saura lui faire courber l'échine ?
Cette requête venant d'un président représente une interférence directe dans une enquête fédérale en cours et une possible obstruction à la justice : accusé de plus d'avoir limogé le patron du FBI et d'avoir dévoilé des informations stratégiques au chef de la diplomatie russe, Donald Trump ne cesse d'aggraver son cas.
Le constat flagrant est que Donald Trump confond les pouvoirs que lui confèrent son mandat présidentiel avec l'affairisme dont il est coutumier. De plus, n'y a-t-il pas un conflit d'intérêt avéré si, suivant les même méthodes utilisées pour interférer avec les organes officiels de l'Intelligence et de la Justice, Trump utilise ses pouvoirs auprès de l'administration fiscale et des législateurs pour organiser son insolvabilité et celle d'autres milliardaires avec leurs sociétés, en s'exemptant par exemple de payer l'impôt sur le revenu ou de déclarer la totalité de ses bénéfices ?
Le vrai problème donc est que Donald Trump, depuis bientôt 150 jours au pouvoir, doit être stoppé dans ses décisions les plus dangereuses et irréversibles, vu son pouvoir de corrosion et dans l'attente de sa destitution. Alors, quel tribunal osera suspendre les activités de Trump à la Maison Blanche ?
Oui, et qui pourrait assurer l'intérim en attendant les prochaines élections américaines ? La réponse me paraît évidente : Barack Obama est le plus apte à assurer cette transition indispensable... Mais vite, il y a une urgence absolue face au forcené Donald trump ! Si le président Emmanuel Macron lui a fait blanchir les jointures d'une poigne de fer, quel juge saura lui faire courber l'échine ?
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