Non, je ne m’appelle pas Nostradamus mais j’avais fait cette prédiction: «L’écologie sera la mère de toutes les batailles» et ça y est, nous y sommes… La Terre brûle et convulse mais ce sont les pompiers écologistes (ceux qui éteignent les feux artificiels ou spontanés) qui sont accusés d’être des pyromanes. J’avais aussi prédit le succès des Verts aux élections municipales de juin 2020 et j’avais souhaité le retour de Roselyne Bachelot comme ministre de ce gouvernement remanié. Oui, tout cela s’est réalisé comme prévu (dans mon Blogiblag) depuis des semaines! Et pas besoin de dissimuler mes prédictions sous des tournures amphigouriques... Mais j’aurais préféré quand même qu’Olivier Véran soit viré du ministère de la Santé pour son incompétence et les milliers de morts inutiles qu’il laisse derrière lui, dans les Ehpad et partout ailleurs.
Maintenant, parlons de l’association Zhumour et Zonfray, les Zintellectuels qui nous expliquent pourquoi l’écologie, c’est «la merde de toutes les batailles»! Car l’écologie ressemble pour eux à une énorme bouse sur laquelle tous ces chroniqueurs vicelards viennent frapper à tour de rôle avec leurs «bâtons à merde» pour tuer les mouches. C’est le passe-temps favori des polémistes du PAF, ce à quoi ils s’adonnent quand «ils s’emmerdent» littéralement. Ils s’appellent «le gang des Zintellectuels» avec à leur tête Zhumour et Zonfray. Mais vous auriez tort de ne pas les prendre au sérieux.
L’écologie, prétendent-ils, «terrorise la planète». Zonfray s’agace même qu’aux dernières élections, «tous les vieux cons à moitié séniles ont voté pour leur chien et pour leur chat!». Mais mis à part leur bâton à merde, de quoi les Zintellectuels disposent-ils comme arme contre l’écologie? Ben, ils ont pour eux la dialectique, qui est l’art de pervertir le peuple. Et je vais donc essayer, avec vous, de décrypter leur intentions malfaisantes:
La première méthode, c’est de «tuer trois oiseaux d’un tir». Ainsi décrivent-ils l’écologie comme «islamo-gauchiste», le comble de l’habilité rhétorique. Peut-être pensiez vous n’être qu’un humble écologiste de proximité, c’est à dire un «écologiste natif» un peu franchouillard mais qui défend la nature et tous les êtres vivants comme le font tendrement des millions de Français amis des animaux? Ben non, pour Zhumour et Zonfray c’est beaucoup plus crapuleux que ça: en votant pour les Verts, vous êtes entrés dans la mouvance communiste-islamo-terroriste comme un oiseau de mauvaise augure et c’est donc vous qui devenez leur cible privilégiée.
L’islam ici est prise au sens large, dans son ensemble mouvant: la religion de base, l’extension civilisationnelle, la conquête glorieuse ou crapuleuse, l’invasion guerrière et la conversion forcée. Quand l’islam s’impose chez elle, elle est dite «originelle» et bienfaitrice mais quand l’islam se propulse en avant avec la colonisation des pays européens par ses populations grégaires et qu’elle tente de s’imposer par tous les moyens, elle devient «convaincante et opportuniste» (et si nécessaire extrémiste et terroriste). L’islamisme originel comme «l’islamisme acquis par conversion» sont permanents et irréversibles, sous peine de mort. Et donc, vous y serez convertis d’office en vous encartant à Europe Écologie les Verts (EELV). Et si vous refusez ce choix? Alors prenez la carte du parti communiste et devenez islamo-gauchiste suivant la mécanique des fluides, par vases communicants entre l’Europe et l’Afrique! Enfin, vous pouvez choisir de pratiquer l’écoterrorisme (à ne pas confondre avec l’écotourisme) en rejoignant la faction la plus active du «djihadisme écolo», telle qu’elle est décrite dans Wikipédia, mais aussi dans tous les bons commissariats et sur le Dark Web.
Le faux-losophe déroule, imperturbable, son argumentaire. Le journaliste: «N’est-ce pas un peu caricatural?». Zonfray, pince sans rire, rétorque: «Comment osez vous contester mes assertions? Et puis moi, je n’insulte personne… je ne fais que dire l’exacte vérité, allez prouver le contraire! C’est moi qu’on insulte en me traitant de nazi et en me comparant à Jacques Doriot, un traître qui a collaboré avec l’Allemagne nazie». Et donc, selon notre polémiste préféré, traiter tous les écologistes «d’islamistes terroristes» ou de «communistes bolchevistes» (ceux qui ont collaboré avec l’Allemagne nazie pendant le pacte germano-soviétique), n’a rien d’infamant.
La deuxième méthode dialectique c’est de constituer une «sociologie», mais qu’est-ce donc? Et bien, c’est la description de la répartition de la population des écologistes en France: ce sont, selon Zhumour et Zonfray, le plus souvent des «bobos des villes», par opposition aux habitants des campagnes qui eux gardent bien les pieds sur terre et qui sont donc anti-écolos. Et nos bobos sont forcément islamisés, gauchistes, communistes ou communautaristes par association d’intérêts, suivant la fameuse «convergence des luttes». Et comment Zhumour et Zonfray – nos deux sociologues - obtiennent-ils ces résultats scientifiquement prouvés et approuvés? Par quelles études et par quelles méthodes scientifiques? Dans quelles proportions les bobos des villes écologistes se distribuent-ils entre les islamistes, les gauchistes, les communistes etc.? Ben, cette étude sociologique se fait «au doigt mouillé» (comme les militaires sur le champ de tir, avant d’envoyer un obus sur le clocher de l’église… Pas de chance, le vent a tourné brutalement!) et c’est suivant les besoins de la démonstration: un jour l’écologie est «une pastèque», c’est à dire verte à l’extérieur et rouge à l’intérieur, un autre jour c’est une communauté islamiste anti-sioniste etc. Enfin, la police traque volontiers les écologistes associés aux terroristes et aux anarchistes, jusque dans les petits villages où des associations de malfaiteurs préparent des bombes: c’est bien la preuve flagrante de l’implication des écologistes à la mouvance terroriste! En bref, quand Zhumour et Zonfray annonce présenter «une sociologie», c’est que c’est une catégorisation scientifiquement démontrée, mais par qui, par eux-mêmes? Avec quels diplômes? «Mais comment osez vous doutez de la véracité de nos dires?».
La troisième méthode dialectique, c’est de reporter la culpabilité sur les autres, comme le fait habilement Zonfray toutes les trois minutes, pour paraître innocent. Par exemple, quand Zonfray est pointé par un journaliste pour son acharnement caricatural contre les écologistes, alors il répète inlassablement être la seule victime: «moi, je n’insulte personne, au contraire c’est moi qui suis insulté et traité de fasciste, de brun, de nazi et de connard! Pour la sociologie des écologistes telle que je l’ai établie, j’ai entièrement raison, allez me démontrer le contraire!» Au bout de trois fois, la pauvre journaliste capitule, baisse les yeux et s’écrase.
La quatrième méthode, c’est de nier l’existence réelle des écologistes. Selon Zhumour, l’écologie existe seulement en tant que science, les «écologistes politiques» n’étant que des usurpateurs qui non aucune légitimité politique. C’est donc un faux problème vu qu’ils n’existent pas...Circulez, y’a rien à voir!
La cinquième méthode, c’est de sous-estimer les Verts aux élections européennes et municipales. Quand aux dernières élections municipales plus de 60% des votants ne se sont pas déplacés jusqu’aux urnes, seule une «représentation marginale de Verts» a remporté les élections municipales, et uniquement par association à d’autres partis. Les écologistes n’ont donc - selon Zonfray - aucune légitimité... mais contre toute attente, non seulement lui-même n’a pas daigné voter contre les Verts qu’il dénonce mais il invoque contre eux une clause d’illégitimité et de non-représentativité des villes et villages gagnés. Une grande première en France: j’ai pas voté mais je décide qui a remporté le scrutin! Zonfray rajoute du bout des lèvres que le gouvernement Macron ...aurait peut-être dû démissionner pour constituer un gouvernement entièrement Vert correspondant à la nouvelle majorité agissante, ce qui prouve maintenant que Macron est un traître au peuple... Voilà, notre polémiste est libre de se contredire à loisir, ce qui est aussi la marque des grands dictateurs. Mais de quelle majorité verte Zonfray parle-t-il de mettre au pouvoir? Les islamo-gauchistes et les terroristes décrits dans sa «sociologie»? Oui, vous avez le choix entre la peste et le choléra.
Macron s’en tape. Prudents, le général Macron et son aide de camps (le petit nouveau, Jean Castex) ont choisi Barbara Pompili comme figure passe-partout de l’Écologie, pour représenter les Verts dans ce nouveau gouvernement, c’est dire si Macron s’en fout des dernières élections municipales… Pour lui, le «Front populaire» existe encore moins. Les services secrets ont bien sûr enquêté sur cette mouvance libertaire et suivant la «sociologie» établie par Christophe Castaner (le ministre de l’Intérieur démissionné), les Souverainistes adhérents à la revue du «Front populaire» de M. Zonfray sont tous «des bouseux»: c’est à dire ni des chasseurs, ni des écolos mais des Zintellectuels dont la grande joie, c’est d’aller se salir les bottes à la campagne le dimanche chez papa-maman, parce qu’ils prétendent ainsi faire le trait d’union entre les gilets-jaunes des carrefours et les ruraux dans leurs campagnes. Ah oui, là, je comprends mieux… Merde in France.
Maintenant, parlons de l’association Zhumour et Zonfray, les Zintellectuels qui nous expliquent pourquoi l’écologie, c’est «la merde de toutes les batailles»! Car l’écologie ressemble pour eux à une énorme bouse sur laquelle tous ces chroniqueurs vicelards viennent frapper à tour de rôle avec leurs «bâtons à merde» pour tuer les mouches. C’est le passe-temps favori des polémistes du PAF, ce à quoi ils s’adonnent quand «ils s’emmerdent» littéralement. Ils s’appellent «le gang des Zintellectuels» avec à leur tête Zhumour et Zonfray. Mais vous auriez tort de ne pas les prendre au sérieux.
L’écologie, prétendent-ils, «terrorise la planète». Zonfray s’agace même qu’aux dernières élections, «tous les vieux cons à moitié séniles ont voté pour leur chien et pour leur chat!». Mais mis à part leur bâton à merde, de quoi les Zintellectuels disposent-ils comme arme contre l’écologie? Ben, ils ont pour eux la dialectique, qui est l’art de pervertir le peuple. Et je vais donc essayer, avec vous, de décrypter leur intentions malfaisantes:
La première méthode, c’est de «tuer trois oiseaux d’un tir». Ainsi décrivent-ils l’écologie comme «islamo-gauchiste», le comble de l’habilité rhétorique. Peut-être pensiez vous n’être qu’un humble écologiste de proximité, c’est à dire un «écologiste natif» un peu franchouillard mais qui défend la nature et tous les êtres vivants comme le font tendrement des millions de Français amis des animaux? Ben non, pour Zhumour et Zonfray c’est beaucoup plus crapuleux que ça: en votant pour les Verts, vous êtes entrés dans la mouvance communiste-islamo-terroriste comme un oiseau de mauvaise augure et c’est donc vous qui devenez leur cible privilégiée.
L’islam ici est prise au sens large, dans son ensemble mouvant: la religion de base, l’extension civilisationnelle, la conquête glorieuse ou crapuleuse, l’invasion guerrière et la conversion forcée. Quand l’islam s’impose chez elle, elle est dite «originelle» et bienfaitrice mais quand l’islam se propulse en avant avec la colonisation des pays européens par ses populations grégaires et qu’elle tente de s’imposer par tous les moyens, elle devient «convaincante et opportuniste» (et si nécessaire extrémiste et terroriste). L’islamisme originel comme «l’islamisme acquis par conversion» sont permanents et irréversibles, sous peine de mort. Et donc, vous y serez convertis d’office en vous encartant à Europe Écologie les Verts (EELV). Et si vous refusez ce choix? Alors prenez la carte du parti communiste et devenez islamo-gauchiste suivant la mécanique des fluides, par vases communicants entre l’Europe et l’Afrique! Enfin, vous pouvez choisir de pratiquer l’écoterrorisme (à ne pas confondre avec l’écotourisme) en rejoignant la faction la plus active du «djihadisme écolo», telle qu’elle est décrite dans Wikipédia, mais aussi dans tous les bons commissariats et sur le Dark Web.
Le faux-losophe déroule, imperturbable, son argumentaire. Le journaliste: «N’est-ce pas un peu caricatural?». Zonfray, pince sans rire, rétorque: «Comment osez vous contester mes assertions? Et puis moi, je n’insulte personne… je ne fais que dire l’exacte vérité, allez prouver le contraire! C’est moi qu’on insulte en me traitant de nazi et en me comparant à Jacques Doriot, un traître qui a collaboré avec l’Allemagne nazie». Et donc, selon notre polémiste préféré, traiter tous les écologistes «d’islamistes terroristes» ou de «communistes bolchevistes» (ceux qui ont collaboré avec l’Allemagne nazie pendant le pacte germano-soviétique), n’a rien d’infamant.
La deuxième méthode dialectique c’est de constituer une «sociologie», mais qu’est-ce donc? Et bien, c’est la description de la répartition de la population des écologistes en France: ce sont, selon Zhumour et Zonfray, le plus souvent des «bobos des villes», par opposition aux habitants des campagnes qui eux gardent bien les pieds sur terre et qui sont donc anti-écolos. Et nos bobos sont forcément islamisés, gauchistes, communistes ou communautaristes par association d’intérêts, suivant la fameuse «convergence des luttes». Et comment Zhumour et Zonfray – nos deux sociologues - obtiennent-ils ces résultats scientifiquement prouvés et approuvés? Par quelles études et par quelles méthodes scientifiques? Dans quelles proportions les bobos des villes écologistes se distribuent-ils entre les islamistes, les gauchistes, les communistes etc.? Ben, cette étude sociologique se fait «au doigt mouillé» (comme les militaires sur le champ de tir, avant d’envoyer un obus sur le clocher de l’église… Pas de chance, le vent a tourné brutalement!) et c’est suivant les besoins de la démonstration: un jour l’écologie est «une pastèque», c’est à dire verte à l’extérieur et rouge à l’intérieur, un autre jour c’est une communauté islamiste anti-sioniste etc. Enfin, la police traque volontiers les écologistes associés aux terroristes et aux anarchistes, jusque dans les petits villages où des associations de malfaiteurs préparent des bombes: c’est bien la preuve flagrante de l’implication des écologistes à la mouvance terroriste! En bref, quand Zhumour et Zonfray annonce présenter «une sociologie», c’est que c’est une catégorisation scientifiquement démontrée, mais par qui, par eux-mêmes? Avec quels diplômes? «Mais comment osez vous doutez de la véracité de nos dires?».
La troisième méthode dialectique, c’est de reporter la culpabilité sur les autres, comme le fait habilement Zonfray toutes les trois minutes, pour paraître innocent. Par exemple, quand Zonfray est pointé par un journaliste pour son acharnement caricatural contre les écologistes, alors il répète inlassablement être la seule victime: «moi, je n’insulte personne, au contraire c’est moi qui suis insulté et traité de fasciste, de brun, de nazi et de connard! Pour la sociologie des écologistes telle que je l’ai établie, j’ai entièrement raison, allez me démontrer le contraire!» Au bout de trois fois, la pauvre journaliste capitule, baisse les yeux et s’écrase.
La quatrième méthode, c’est de nier l’existence réelle des écologistes. Selon Zhumour, l’écologie existe seulement en tant que science, les «écologistes politiques» n’étant que des usurpateurs qui non aucune légitimité politique. C’est donc un faux problème vu qu’ils n’existent pas...Circulez, y’a rien à voir!
La cinquième méthode, c’est de sous-estimer les Verts aux élections européennes et municipales. Quand aux dernières élections municipales plus de 60% des votants ne se sont pas déplacés jusqu’aux urnes, seule une «représentation marginale de Verts» a remporté les élections municipales, et uniquement par association à d’autres partis. Les écologistes n’ont donc - selon Zonfray - aucune légitimité... mais contre toute attente, non seulement lui-même n’a pas daigné voter contre les Verts qu’il dénonce mais il invoque contre eux une clause d’illégitimité et de non-représentativité des villes et villages gagnés. Une grande première en France: j’ai pas voté mais je décide qui a remporté le scrutin! Zonfray rajoute du bout des lèvres que le gouvernement Macron ...aurait peut-être dû démissionner pour constituer un gouvernement entièrement Vert correspondant à la nouvelle majorité agissante, ce qui prouve maintenant que Macron est un traître au peuple... Voilà, notre polémiste est libre de se contredire à loisir, ce qui est aussi la marque des grands dictateurs. Mais de quelle majorité verte Zonfray parle-t-il de mettre au pouvoir? Les islamo-gauchistes et les terroristes décrits dans sa «sociologie»? Oui, vous avez le choix entre la peste et le choléra.
Macron s’en tape. Prudents, le général Macron et son aide de camps (le petit nouveau, Jean Castex) ont choisi Barbara Pompili comme figure passe-partout de l’Écologie, pour représenter les Verts dans ce nouveau gouvernement, c’est dire si Macron s’en fout des dernières élections municipales… Pour lui, le «Front populaire» existe encore moins. Les services secrets ont bien sûr enquêté sur cette mouvance libertaire et suivant la «sociologie» établie par Christophe Castaner (le ministre de l’Intérieur démissionné), les Souverainistes adhérents à la revue du «Front populaire» de M. Zonfray sont tous «des bouseux»: c’est à dire ni des chasseurs, ni des écolos mais des Zintellectuels dont la grande joie, c’est d’aller se salir les bottes à la campagne le dimanche chez papa-maman, parce qu’ils prétendent ainsi faire le trait d’union entre les gilets-jaunes des carrefours et les ruraux dans leurs campagnes. Ah oui, là, je comprends mieux… Merde in France.
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