Toutes les familles comme la mienne, assez cosmopolites, se sont vues obligées de se faire vacciner pour ne pas restreindre leurs voyages vers d’autres pays et le choix du vaccin fut relativement facile à faire: soit un vaccin à ARN messagers mais dont on ignore les conséquences à long terme sur le génome humain ou sinon un vaccin plus classique mais moins efficace et identifié comme potentiellement dangereux. Bien sûr, toutes ces considérations sont de l’ordre de la supputation, pour ne pas dire de «l’ignorance», tant que la réalité n’aura pas validé les calculs de probabilité.
C’est ainsi que je suis devenu à mon tour un humain «transgénique», c'est à dire un homme OGM.
Le professeur RAOULT signale au passage tous les mensonges d’État dans ses chroniques coutumières: non seulement l’efficacité de ce vaccin à ARN n’est pas prouvée mais il existerait bel et bien des passerelles dans les deux sens entre l’ARN à l’extérieur du noyau et le précieux ADN protégé à l’intérieur du noyau cellulaire. Oui, certaines modifications génétiques risquent d’être acquises et les cellules éteintes ou allumées à loisir par ces vaccins très expérimentaux pourraient devenir cancéreuses à plus ou moins long terme, en répandant l’anarchie.
Et puis nous savons que, sans aucun doute, un deuxième pic saisonnier de Covid aura lieu dès le mois de septembre, indépendamment du nombre de personnes vaccinées. En attendant, l’été à venir sera très chaud qui va tuer, sous ses vagues de chaleur implacables, les plus fragiles d'entre nous...
Voilà qui me rappelle mon Blogiblag du 15 août 2019 intitulé «Le suicide de Michel ONFRAY» et qui prédisait exactement ceci:
"Si les anciens «créationnistes» ont imaginé en lisant la genèse que Dieu à créé l'homme à son image au bout de six jours (quand il nous a fallu au minimum 300000 ans pour évoluer), les nouveaux créationnistes sont des savants fous qui entreprennent de déconstruire le génome humain en seulement quelques années pour soi-disant le bonifier au nom de la Science toute-puissante: tiens, les voici qui insèrent même des gènes humains chez nos amis les bêtes, pour s'en servir de «banques d'organes»... Nous sommes donc condamnés à nous cannibaliser, au nom de la pauvreté génétique conçue à notre image en laboratoire et de la sélection artificielle.
Après, la totalité des eaux, de l'air et de l'espace sont pollués à mort par les industriels et les nouveaux "trafiquants chercheurs-trouveurs" proposent de polluer maintenant le génome du vivant: mais qui arrêtera ces "innovateurs criminelles"? La plupart des inventions récentes sont le fruit du hasard et de risques inconsidérés: les premiers essais nucléaires se sont fait sans protection aucune et les déchets radioactifs par millions de tonnes se dissolvent dans l'eau des océans (comme à Fukushima), la vie marine jadis exempte de maladies succombe aux virus et aux cancers, les taux d'irradiations nous sont cachés (qui sont revus sans cesse à la hausse) et des sarcophages cachent des coeurs de réacteurs en fusion. Par ailleurs, les contaminations par des milliers de composants chimiques nouveaux ont des effets cocktail inconnus, les drogues de synthèse sont testées directement sur les consommateurs, des îles sont interdites suite aux essais d'armes militaires et la plupart des animaux servant aux expérimentations génétiques (comme à Wuhan) meurent de maladies improbables dans les cages des laboratoires mais "tout va bien car en dessous des normes admises et des tolérances".
Les «animistes» pensent eux que c'est notre mère Nature qui en 4,5 milliards d'années d'évolution a expérimenté la vie dans toute sa diversité jusqu'à concevoir l'Homme, ce super-prédateur, et bien sûr ils n'ont pas tort! Hélas, nos scientifiques, dévoyés par les centres de recherche, deviennent des urgentistes nihilistes qui prétendent court-circuiter les processus infiniment lents, complexes et réfléchis de la Nature pour sortir l'homme de sa zone de confort et le pousser à évoluer à toute allure dans le vide froid interplanétaire, après la destruction de son monde d'origine.
Onfray, qui devrait s'opposer en principe au créationnisme nihiliste, s'empare au contraire de cet avènement de «l'homme augmenté en kit» et du «trans-humanisme en 6 jours» (le septième jour, les scientifiques se reposent) pour nous confirmer que Dieu est mort en un tour de main, probablement la tête tranchée par la guillotine entre Danton et Robespierre, de sorte qu'il n'y a plus de modèle. Donc, des pauvres chercheurs incultes au sortir d'années d'études théoriques coûteuses sont obligés de prendre le scalpel tendu dans l'urgence pour tailler dans la masse, un art qui donne la part belle aux chirurgiens virtuoses comme aux trafiquants d'organes, aux ingénieurs informaticiens et électroniciens pour les extensions mécaniques robotisées, aux généticiens armés du fameux ciseau CRISP-cas9 (qui mérite un prix Nobel autant que l'invention de la dynamite, c'est dire le potentiel destructeur), aux biologistes et aux chimistes sans scrupules de l'institut de virologie de Wuhan ou d'ailleurs, aux alchimistes et à tous les savants fous adeptes de l’hubris.
Pourtant, tout porte à croire que l'Homme, au sein d'une nature protégée, aurait évolué pour le mieux pendant le million d'années à venir, indépendamment de toute intervention brutale sur ses membres et ses organes comme dans ses gènes".
Ah oui… Merde in China!
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