Vous imaginez le petit père Patriochka sur le pont de Kertch avec le teint hâve d’un rat de laboratoire dans un caisson hyperbare, conduisant une locomotive façon “La Bête humaine” avec des grosses lunettes de verre pour se protéger des escarbilles ? Et puis BAOUM, plus rien… Le dictateur éparpillé façon puzzle. Et vous imaginez la UNE du journal Libération en France : Adieu au Kon de Pertch !
Car il est très étonnant que le pont de Crimée continue d’une seule pièce - sur 19 km- après plus de 900 jours de bombardements ininterrompus contre l’Ukraine. Mais Raz-Putin ne devrait plus jamais s’y promener… car la vengeance est un plat qui se mange froid en Ukraine libre comme en Ukraine occupée.
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