Grosse déprime en France. Sommes nous malades de La Révolution Française ? :
Le 5 octobre 2014 : Manif pour tous. Marche en avant ou marche en arrière ? On sait qu'il ne suffit pas de marcher dans les rues pour faire avancer les idées, sinon Carl Lewis et Usain Bolt seraient des grands philosophes. Le mariage-gay étant déjà acquis par le vote de la loi « Taubira » du 17 mai 2013, les marcheurs ont été traités d'homophobes par des journaux qui ont parlé de « marche en arrière ». Mais le gouvernement a gardé par précaution la PMA et la GPA au chaud pour des jours meilleurs.
Le 5 octobre 2014 : Manif pour tous. Marche en avant ou marche en arrière ? On sait qu'il ne suffit pas de marcher dans les rues pour faire avancer les idées, sinon Carl Lewis et Usain Bolt seraient des grands philosophes. Le mariage-gay étant déjà acquis par le vote de la loi « Taubira » du 17 mai 2013, les marcheurs ont été traités d'homophobes par des journaux qui ont parlé de « marche en arrière ». Mais le gouvernement a gardé par précaution la PMA et la GPA au chaud pour des jours meilleurs.
Le
10 octobre 2014 : Le
prix Nobel
de la paix a été conjointement attribué à l'adolescente
pakistanaise Malala Yousafzai
qui se bat
pour l' éducation des enfants et
à l'Indien Kailash Satyarthi pour
sa lutte contre l'esclavage des enfants.
Mais pourquoi le monde va si mal ? C'est à cause de la Révolution Française Internationale. Oui, je ne plaisante pas, et vous en connaissez les acteurs.
Hier, je les écoutais discourir, ces Marat, ces Robespierre, ces Danton. C'était eux, les juges suprêmes du Tribunal Révolutionnaire le plus sanglant et le plus criminel de toute notre Histoire.
Ils inspirent encore les petits, les ramasse-miettes et les théoriciens bon marché. Ceux-là s'affrontent chez Ruquier ou sucent des bonbons dans les bureaux de Libé. Ils jouent au flipper ensemble au café Mode. Voyons, Ruquier, vous connaissez ? Le suppo-de-sa-tante ! Le jour il fait de l'humour aux « Grosses Têtes » et la nuit il vampirise la télévision publique. Bref, je l'apprécie, mais je le trouve un peu trop prévisible dans son rôle.
Alors tiens, ce soir les voilà qui s'affrontent à la téloche, ces Marat-bouts-d'ficelle. Arrive Zemmour, qui ressemble à un petit poulet rôti servi sur un plateau repas. Autour de la table, toute une clique de bien-pensants et de moralistes vont lui chercher des noises :
_ … Pétain et le régime de Vichy ont sauvé des juifs... Lance le rabougri, provocateur.
_ Comment ? Vous voulez réhabiliter Pétain ? Mais vous perdez la tête ? Vous imaginez les conséquences... S'insurge Léa S., la journaliste.
_ Peut-être, mais si j'ai raison, hein ? Vous comprenez ce que je veux dire, Patron !
_ Moi ? Non, je ne comprends pas, fait Ruquier. Soit je suis idiot, soit vous ne savez pas écrire... De toutes les façons, on ne travaille plus ensemble, ah ah ah !
_ Et vous avez des preuves de tout ce que vous avancez, des chiffres ? Fait l'inspecteur Aymeric.
_ À quoi bon des preuves ? Réponds Zemmour. Vous savez bien que tous les chiffres sont truqués...
_ Alors, vous avouez que vous trafiquez vos chiffres ?
_ Hum, bien sûr, je veux avoir raison comme tout le monde, mais ça sert à rien... Puisque c'est vous tous [bande de petits pédés], qui représentez l'idéologie dominante.
_ Ah non, plus maintenant, Rétorque Aymeric. Avec « la Manif pour tous » ce matin, vous voici le grand gagnant !
_ Écoutez-moi, insiste Léa, votre livre il pue, parce qu'on voit bien que vous détestez tout le monde. Alors répondez-moi : quelles solutions proposez vous ?
_ Ce n'est pas un programme politique. Je ne faisais qu'un constat. Mais je vais vous répondre : je vois beaucoup de violence et la guerre civile à venir.
_ Moi, je n'ai lu que de la haine et du désespoir dans ce livre... Vous brassez du vent ! Mais je suis sûr que votre bouquin fera un best-seller.
_ Ah bon, vous sentez le vent tourner ? Si c'est ça, je suis content. Mais ne vous inquiétez pas pour moi, je parlais du « Suicide Français », pas du mien.
_ Il est temps de quitter le plateau, Zemmour... Ouf, qu'on respire un peu ici ! Lâche Ruquier, pas fier.
Ah, vous n'imaginez pas la bande de faux-culs sur les chaînes publiques, quand ils mettent leurs invités sur le gril. Mais la petite Léa avait raison de s'énerver : quel tribunal pétainiste a donc osé décider de quels juifs devaient vivre et quels juifs devaient mourir ?
Un tel jugement était ignoble :
_ Citoyens... Tous ceux à gauche seront exécutés, tous ceux à droite vous êtes libres !
Difficile pour Zemmour de valider cette décision, mais il l'a fait envers et contre tous. Soit il est suicidaire, soit il est réactionnaire, soit il est révolutionnaire. La question qui s'en suit est : le peuple avait-il vraiment la volonté de sauver les juifs ?
_ Depuis le temps qu'ils m'égratignaient, voilà de quel bois je me chauffe ! Conclut l'oiseau avant de secouer ses plumes et de s'envoler. C'est ce qui s'appelle : " Reprendre du poil de la bête ".
« Libé » mettra tous ses moyens pour le décrédibiliser, rien de moins que la Une de l'édition du week-end. Faut dire que cette dernière édition est particulièrement nulle. Libé préfère, et de loin, cette andouille d'Edwy Plein-œil. Je l'entends déblatérer comme un chameau dans ses colonnes à propos de l'islamisme :
_ Quel terrorisme ? Nous sommes tous les barbares de quelqu'un d'autre. En France, la laïcité a servi à combattre la chrétienté et à faire taire les cloches des églises pour concéder un « catholicisme social », mais il est hors de question que cette fausse laïcité anti-curés contraigne maintenant nos imams. Et c'est pas parce qu'il y a eu la bande à Bonnot et la bande à Baader qu'il faut ficher nos islamistes débutants ! Non, ils ne sont en rien responsables de leur propre radicalisation, puisque ce sont les puissances occidentales qui en sont à l'origine, nous faisait remarquer brillamment notre ethnologue de service.
Un sacré révolutionnaire, cet Edwy. Moi, il me fait « Marat » sinistrement quand j'observe que les pays envahis par ces islamistes, le « Daech » qui fait tâche, sont gravement divisés. La France a des responsabilités sur d'anciennes frontières coloniales certes, mais à l'intérieur de ces frontières sévissent des terroristes sans foi ni loi. Ces ethnies, ces clans, ces factions, ces mercenaires ne pourront jamais faire une nation ni « entrer dans l'Histoire », et leur ethnocentrisme religieux est une barbarie.
Edwy se rêve en révolutionnaire, mais attention, la cagoule sur la moustache ça picote. Oui, bien sûr, pendant la Révolution Française, nous on coupait des têtes en veux-tu en voilà. Tous les Danton et les Robespierre faisaient régner la Terreur. Les « victimes » devenaient les bourreaux. Le jugement était expéditif devant un tribunal populaire, mais la liste des charges était longue comme un jour sans pain. Du matin au soir, on abattait à tour de bras et à coups de gourdin. Faut dire que le peuple avait une longue habitude des exécutions publiques, notamment sur la Place de Grève. Heureusement, monsieur Guillotine apportait le progrès.
Aujourd'hui, les islamistes continuent de perpétuer ces pratiques. Même que le citoyen Edwy Plein-œil, l'avocat du peuple, se verrait bien juge et bourreau. Hélas, la décapitation n'est plus le résultat du travail vertueux d'un Tribunal Révolutionnaire, mais souvent un simple jeu, une addiction. Nos jeunes décapitent partout en France dans des jeux d'action-aventure comme dans « l'Ombre du Mordor » qui vient de sortir dernièrement. Les murs du métro parisien, des affiches publicitaires de 12 m², nous montrent le héros brandissant de la main droite son épée brisée ensanglantée et de la main gauche une tête fraîchement coupée.
Alors, si nos gouvernants agacés décrivent la décapitation comme une barbarie, c'est selon moi qu'ils n'ont jamais joué à la PS4, et selon Edwy Plein-œil qu'ils ignorent tout des vieilles traditions de ces gens là. Nous même on décapitait encore en 1977 et la barbarie perdure dans tous les pays qui condamnent à mort. Et je me dis que l'hydre aux cent têtes de l'industrie empoisonne tellement d'innocents au nom du progrès... Allons, messieurs dames, relativisons ! Le seul problème, c'est que derrière les héros qui tranchent des têtes, en vrai ou sur l'écran d'une PlayStation, arrivent des tas de zombies qu'il faudra exterminer jusqu'au dernier : des mécréants plutôt blancs et chrétiens, qui peuvent être moines, médecins, volontaires ou bénévoles dans des ONG...
Mais quel tribun peut justifier du terrorisme par une religion ou des traditions ? Au nom de quelle république ? Edwy Plein-œil, faut pas déconner ! Robespierre de pacotille, Marat des bois va, on te coupera les couilles et on les suspendra au plafond avec une bougie dedans, comme au bon vieux temps de la Terreur... Edwy, éclaire nous ! Bon, tu as raison, « chacun est le barbare de l'autre ». Ceci dit, comment culpabiliser nos ados de vouloir s'enrôler pour ces guerres « virtuelles » qui peuvent finir bien réelles, en méprisant la vie et la mort ? Seulement voilà, peut-être que les jeux d'action qui leurs sont destinés devraient désigner nos vrais ennemis d'aujourd'hui ? Parce que maintenant, à coup sûr, nous pouvons nous sentir visés. Avant, c'était le rôle du service militaire de les remettre du bon côté de la barrière, mais de nos jours ces jeux de guerre autorisent à choisir son camps, alors pourquoi ne pas choisir celui des islamistes ?
Il semblerait que notre révolution française nous ait échappé pour traverser les frontières, pour nous montrer comme un peuple incontrôlable. Elle a essaimé partout pour ramener plein de petits « révolutionnaires », des Zemmour de Montreuil, des Edwy de Nantes, des Régis Debray et Renaud Girard dans " Que reste-t-il de l'Occident...", des vieux Cohn-Bendit mais aussi des contre-révolutionnaires comme Macron de Amiens, Valls de Vienne et notre faux mage de Hollande, inspirés par Merkel Merveille et la Réforme capitaliste, à ne pas confondre avec les « barbares » bien sûr : ceux-là vivent dans un autre monde. Ils n'existent que par la terreur qu'ils exercent, comme un jeu pitoyable pour se soulager de leur impuissance. Mais tous annoncent notre fin tragique pour mieux nous obliger à plus ou moins d'alliances et de concessions, parce que la France seule avec sa petite révolution qui baigne dans la sinistrose, ça ne pourrait pas le faire. Dommage, Marianne !
Hier, je les écoutais discourir, ces Marat, ces Robespierre, ces Danton. C'était eux, les juges suprêmes du Tribunal Révolutionnaire le plus sanglant et le plus criminel de toute notre Histoire.
Ils inspirent encore les petits, les ramasse-miettes et les théoriciens bon marché. Ceux-là s'affrontent chez Ruquier ou sucent des bonbons dans les bureaux de Libé. Ils jouent au flipper ensemble au café Mode. Voyons, Ruquier, vous connaissez ? Le suppo-de-sa-tante ! Le jour il fait de l'humour aux « Grosses Têtes » et la nuit il vampirise la télévision publique. Bref, je l'apprécie, mais je le trouve un peu trop prévisible dans son rôle.
Alors tiens, ce soir les voilà qui s'affrontent à la téloche, ces Marat-bouts-d'ficelle. Arrive Zemmour, qui ressemble à un petit poulet rôti servi sur un plateau repas. Autour de la table, toute une clique de bien-pensants et de moralistes vont lui chercher des noises :
_ … Pétain et le régime de Vichy ont sauvé des juifs... Lance le rabougri, provocateur.
_ Comment ? Vous voulez réhabiliter Pétain ? Mais vous perdez la tête ? Vous imaginez les conséquences... S'insurge Léa S., la journaliste.
_ Peut-être, mais si j'ai raison, hein ? Vous comprenez ce que je veux dire, Patron !
_ Moi ? Non, je ne comprends pas, fait Ruquier. Soit je suis idiot, soit vous ne savez pas écrire... De toutes les façons, on ne travaille plus ensemble, ah ah ah !
_ Et vous avez des preuves de tout ce que vous avancez, des chiffres ? Fait l'inspecteur Aymeric.
_ À quoi bon des preuves ? Réponds Zemmour. Vous savez bien que tous les chiffres sont truqués...
_ Alors, vous avouez que vous trafiquez vos chiffres ?
_ Hum, bien sûr, je veux avoir raison comme tout le monde, mais ça sert à rien... Puisque c'est vous tous [bande de petits pédés], qui représentez l'idéologie dominante.
_ Ah non, plus maintenant, Rétorque Aymeric. Avec « la Manif pour tous » ce matin, vous voici le grand gagnant !
_ Écoutez-moi, insiste Léa, votre livre il pue, parce qu'on voit bien que vous détestez tout le monde. Alors répondez-moi : quelles solutions proposez vous ?
_ Ce n'est pas un programme politique. Je ne faisais qu'un constat. Mais je vais vous répondre : je vois beaucoup de violence et la guerre civile à venir.
_ Moi, je n'ai lu que de la haine et du désespoir dans ce livre... Vous brassez du vent ! Mais je suis sûr que votre bouquin fera un best-seller.
_ Ah bon, vous sentez le vent tourner ? Si c'est ça, je suis content. Mais ne vous inquiétez pas pour moi, je parlais du « Suicide Français », pas du mien.
_ Il est temps de quitter le plateau, Zemmour... Ouf, qu'on respire un peu ici ! Lâche Ruquier, pas fier.
Ah, vous n'imaginez pas la bande de faux-culs sur les chaînes publiques, quand ils mettent leurs invités sur le gril. Mais la petite Léa avait raison de s'énerver : quel tribunal pétainiste a donc osé décider de quels juifs devaient vivre et quels juifs devaient mourir ?
Un tel jugement était ignoble :
_ Citoyens... Tous ceux à gauche seront exécutés, tous ceux à droite vous êtes libres !
Difficile pour Zemmour de valider cette décision, mais il l'a fait envers et contre tous. Soit il est suicidaire, soit il est réactionnaire, soit il est révolutionnaire. La question qui s'en suit est : le peuple avait-il vraiment la volonté de sauver les juifs ?
_ Depuis le temps qu'ils m'égratignaient, voilà de quel bois je me chauffe ! Conclut l'oiseau avant de secouer ses plumes et de s'envoler. C'est ce qui s'appelle : " Reprendre du poil de la bête ".
« Libé » mettra tous ses moyens pour le décrédibiliser, rien de moins que la Une de l'édition du week-end. Faut dire que cette dernière édition est particulièrement nulle. Libé préfère, et de loin, cette andouille d'Edwy Plein-œil. Je l'entends déblatérer comme un chameau dans ses colonnes à propos de l'islamisme :
_ Quel terrorisme ? Nous sommes tous les barbares de quelqu'un d'autre. En France, la laïcité a servi à combattre la chrétienté et à faire taire les cloches des églises pour concéder un « catholicisme social », mais il est hors de question que cette fausse laïcité anti-curés contraigne maintenant nos imams. Et c'est pas parce qu'il y a eu la bande à Bonnot et la bande à Baader qu'il faut ficher nos islamistes débutants ! Non, ils ne sont en rien responsables de leur propre radicalisation, puisque ce sont les puissances occidentales qui en sont à l'origine, nous faisait remarquer brillamment notre ethnologue de service.
Un sacré révolutionnaire, cet Edwy. Moi, il me fait « Marat » sinistrement quand j'observe que les pays envahis par ces islamistes, le « Daech » qui fait tâche, sont gravement divisés. La France a des responsabilités sur d'anciennes frontières coloniales certes, mais à l'intérieur de ces frontières sévissent des terroristes sans foi ni loi. Ces ethnies, ces clans, ces factions, ces mercenaires ne pourront jamais faire une nation ni « entrer dans l'Histoire », et leur ethnocentrisme religieux est une barbarie.
Edwy se rêve en révolutionnaire, mais attention, la cagoule sur la moustache ça picote. Oui, bien sûr, pendant la Révolution Française, nous on coupait des têtes en veux-tu en voilà. Tous les Danton et les Robespierre faisaient régner la Terreur. Les « victimes » devenaient les bourreaux. Le jugement était expéditif devant un tribunal populaire, mais la liste des charges était longue comme un jour sans pain. Du matin au soir, on abattait à tour de bras et à coups de gourdin. Faut dire que le peuple avait une longue habitude des exécutions publiques, notamment sur la Place de Grève. Heureusement, monsieur Guillotine apportait le progrès.
Aujourd'hui, les islamistes continuent de perpétuer ces pratiques. Même que le citoyen Edwy Plein-œil, l'avocat du peuple, se verrait bien juge et bourreau. Hélas, la décapitation n'est plus le résultat du travail vertueux d'un Tribunal Révolutionnaire, mais souvent un simple jeu, une addiction. Nos jeunes décapitent partout en France dans des jeux d'action-aventure comme dans « l'Ombre du Mordor » qui vient de sortir dernièrement. Les murs du métro parisien, des affiches publicitaires de 12 m², nous montrent le héros brandissant de la main droite son épée brisée ensanglantée et de la main gauche une tête fraîchement coupée.
Alors, si nos gouvernants agacés décrivent la décapitation comme une barbarie, c'est selon moi qu'ils n'ont jamais joué à la PS4, et selon Edwy Plein-œil qu'ils ignorent tout des vieilles traditions de ces gens là. Nous même on décapitait encore en 1977 et la barbarie perdure dans tous les pays qui condamnent à mort. Et je me dis que l'hydre aux cent têtes de l'industrie empoisonne tellement d'innocents au nom du progrès... Allons, messieurs dames, relativisons ! Le seul problème, c'est que derrière les héros qui tranchent des têtes, en vrai ou sur l'écran d'une PlayStation, arrivent des tas de zombies qu'il faudra exterminer jusqu'au dernier : des mécréants plutôt blancs et chrétiens, qui peuvent être moines, médecins, volontaires ou bénévoles dans des ONG...
Mais quel tribun peut justifier du terrorisme par une religion ou des traditions ? Au nom de quelle république ? Edwy Plein-œil, faut pas déconner ! Robespierre de pacotille, Marat des bois va, on te coupera les couilles et on les suspendra au plafond avec une bougie dedans, comme au bon vieux temps de la Terreur... Edwy, éclaire nous ! Bon, tu as raison, « chacun est le barbare de l'autre ». Ceci dit, comment culpabiliser nos ados de vouloir s'enrôler pour ces guerres « virtuelles » qui peuvent finir bien réelles, en méprisant la vie et la mort ? Seulement voilà, peut-être que les jeux d'action qui leurs sont destinés devraient désigner nos vrais ennemis d'aujourd'hui ? Parce que maintenant, à coup sûr, nous pouvons nous sentir visés. Avant, c'était le rôle du service militaire de les remettre du bon côté de la barrière, mais de nos jours ces jeux de guerre autorisent à choisir son camps, alors pourquoi ne pas choisir celui des islamistes ?
Il semblerait que notre révolution française nous ait échappé pour traverser les frontières, pour nous montrer comme un peuple incontrôlable. Elle a essaimé partout pour ramener plein de petits « révolutionnaires », des Zemmour de Montreuil, des Edwy de Nantes, des Régis Debray et Renaud Girard dans " Que reste-t-il de l'Occident...", des vieux Cohn-Bendit mais aussi des contre-révolutionnaires comme Macron de Amiens, Valls de Vienne et notre faux mage de Hollande, inspirés par Merkel Merveille et la Réforme capitaliste, à ne pas confondre avec les « barbares » bien sûr : ceux-là vivent dans un autre monde. Ils n'existent que par la terreur qu'ils exercent, comme un jeu pitoyable pour se soulager de leur impuissance. Mais tous annoncent notre fin tragique pour mieux nous obliger à plus ou moins d'alliances et de concessions, parce que la France seule avec sa petite révolution qui baigne dans la sinistrose, ça ne pourrait pas le faire. Dommage, Marianne !
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