Ah, enfin du mouvement ! Mister Macron a-t-il lu mon blog la semaine dernière avant de s'éclipser prestement de ce gouvernement ? Oh non, je ne faisais que blaguer sur l'absence de héros en France et sur l'opportunité d'une rupture brutale d'avec ces bouffeurs de cassoulet... Non, je n'ai pas dit « bande de petites fiottes » ni « sauve qui peu ! » . Hélas, si j'avais prévu le résultat de ma dissertation, pardon... j'en suis désolé, Brigitte. Mais votre époux est vraiment imprévisible : est-ce le privilège de la jeunesse ?
« Enfin ! » s'est écriée à son tour Martine Aubry de Meaux après son départ, complètement dégoûtée. Ce qui m'attriste le plus, c'est toute cette haine contre Macron le Superbe. Quand on a du talent, on ne compte pas et on reste encore moins sur place ! De quoi faire les choux gras de la presse-popol. Oui, ces accusations de haute trahison et d'ingratitude sont en provenance directe du bureau de François Noland, de son premier ministre ulcéré et de tous ses acolytes, façon : « Voyons, ça ne se fait pas ! ». Et cette annonce d'isolement complet de Macron au sein de la classe politique, ces vieilles jalousies recuites et cette hure de vieux sanglier acculé qu'a fait le président de la République en sortant bruyamment de ses gongs : « Tu va crever seul comme un rat ! ». Même Valoche n'avait pas éveillé tant de rancœur ! C'est qu'il faut séparer les torchons et les serviettes, le cul et le culte. La raison d'état, quoi. On imagine leur dernière conversation à ces deux là, pendant la démission de 15h30 :
« Enfin ! » s'est écriée à son tour Martine Aubry de Meaux après son départ, complètement dégoûtée. Ce qui m'attriste le plus, c'est toute cette haine contre Macron le Superbe. Quand on a du talent, on ne compte pas et on reste encore moins sur place ! De quoi faire les choux gras de la presse-popol. Oui, ces accusations de haute trahison et d'ingratitude sont en provenance directe du bureau de François Noland, de son premier ministre ulcéré et de tous ses acolytes, façon : « Voyons, ça ne se fait pas ! ». Et cette annonce d'isolement complet de Macron au sein de la classe politique, ces vieilles jalousies recuites et cette hure de vieux sanglier acculé qu'a fait le président de la République en sortant bruyamment de ses gongs : « Tu va crever seul comme un rat ! ». Même Valoche n'avait pas éveillé tant de rancœur ! C'est qu'il faut séparer les torchons et les serviettes, le cul et le culte. La raison d'état, quoi. On imagine leur dernière conversation à ces deux là, pendant la démission de 15h30 :
- Mais... mais tu peux pas me faire ça, à moi, maintenant... Ministre de l’Économie, de l'Industrie et du Numérique... Comment voudrais-tu plus de latitude ? À huit mois des prochaines élections ? Attends un peu... Nous avons soutenu toutes tes propositions de lois... Je comprends bien que tu l'aies vécu comme un échec mais nous sommes allés jusqu'au 49-3 ! Après, comment voulais-tu élargir la Loi Travail ?
- Je vous le répète, Monsieur : j'ai touché du doigt les limites de notre système politique ! Et je confirme que je ne suis pas socialiste... Bon, si je sors maintenant, après seulement trois minutes de tête à tête, ça va faire louche pour les journalistes, non ? Je peux m'asseoir à côté pour attendre...
- T'as raison, hein hein... J'ai un bocal de cassoulet froid pour le quatre heure et un vieux whisky de chez la Reine d'Angleterre pour faire passer... Ça te dit ? On ne fait pas toujours ce qu'on veut, voilà... Et que dit Brigitte de tout ça ?
Les grosses ficelles comme à son habitude ! On ne se refait pas. Mitterrand l’Épicurien eût été plus subtile en parlant littérature tout en croquant l'ortolan sous la serviette, à la façon d'Alexandre Dumas. Ce François là aurait parlé à la femme qui se cache derrière l'homme et muselé les appétits du Loup de Bercy. Ainsi, Macron eût été encouragé à prendre la parole à la façon de Diderot dans les salons plutôt que dans l'hémicycle, à l'Académie française plutôt que devant le Medef :
- Voyez jeune homme, le Socialisme n'est pas un système mais une culture : il est apparu quand la société civile s'est partagée entre les ouvriers et le patronat, au 19 ème siècle, quand la culture des encyclopédistes s'est diffusée avec les livres pour nourrir le peuple et quand l'art magnifié est devenu en retour une valeur sûre ! Mais pour en jouir, encore faut-il s'extraire des sentiers battus et des idées conventionnelles pour devenir un expérimentateur. Allez, disparaissez maintenant, prenez votre « demie journée intellectuelle » ! Je suis un peu fatigué mais vous me raconterez demain vos aventures...
François Noland lui s'est fourvoyé avec Macron ce mardi de merde :
- Tu connais les règles ? C'est un grand devoir et un grand honneur de servir la France. Alors, sois patient et suis moi : tu es une huître perlière dans un banc de moules, un cygne dans la mare aux canards !
- Eh, doucement là... Je ne serai jamais socialiste !
- Ah bon ? Mais social-démocrate, ça sonne bien, hein ?
Surtout, ne l'imaginez plus jamais seul à l'avenir et même si Ségolène Royale de Luxe ne pourra pas se joindre à ce nouveau génie de l'arnaque (sauf renoncement de Noland) d'autres comme Nicolas Hulot devraient s'aligner aux côtés de Macron, sur une ligne ni à droite ni à gauche puisqu'elle est l'exacte séparation en même temps que la plus parfaite confusion des genres. Car Si Macron de Rothschild a travaillé tantôt pour l'élite banquière mondialiste et tantôt pour la franc-maçonnerie (on fait mieux comme socialiste), le voilà maintenant qui va prendre le pouls du peuple et sa température à la foire de Châlons, en immersion complète et en campagne présidentielle.
- Je viens écouter la vraie vie des vrais gens !
C'est un jeune homme affable, svelte et horriblement fidèle à son épouse (son côté petit marquis) qui prétend révolutionner la politique, celle de quelques dinosaures de l'administration qu'il condamne d'un simple revers de main, comme un soufflet : à gauche, à droite, PIF PAF. Peut-être qu'avec sa bourgeoise, Brigitte Trogneugneux, s'est établie une relation de dépendance : est-ce madame qui porte le short dans le civil ? En tous les cas, pas sur la photo. Très chicos en maillot, voire en tailleur-pantalon ou carrossée comme une valise Hermès pour les grandes occasions, elle le couve, elle le cocoone :
- Et n'oublie pas de lever la lunette des toilettes à l’Élysée pour pisser... Au nom de la cause féminine ! Lui rappelait-elle à l'occasion de la passation de pouvoir avec Michel Sapin ce mercredi.
Entre eux, tout est intelligence, un peu comme jadis entre Françoise Dolto et le chanteur Carlos . Mais lui est resté très gamin d'apparence, le contraire de ces tronches de vikings de Donald Trump et Boris Johnson (même Michel Onfray se prend pour un viking, c'est dire si c'est un signe de connerie). Non, jamais Emmanuel Macron ne se permettrait de tels débordements ! Il est plus proche de l'amiral Cameron (avec dix ans de moins mais « so british ») et de la City : n'est-ce pas son côté Oxford qui a séduit sa professeure ? Et puis, tout de go il déclare :
- La meilleure façon de se payer un costard, c'est de travailler !
Quel sérieux ! Là, c'est son côté Sarkozy, mais avec 23 ans de moins : on comprend la colère des vieux encroustards de Droite comme de Gauche ! Très à l'aise par exemple dans son Smalto mais sans le bling-bling d'une Rolex, Macron leur parle de « costards sur mesure » car il faut porter beau : sapé mais pas comme un mac ! Les jeunes aux dents longues devraient l'admirer et se dépêcher d'aller voter pour lui en 2017 (avant que les autres crapules ne nous le salisse).
Cependant, c'est bien loin de la politique, entre Molière, Rousseau et Voltaire (deux génies du verbe morts la même année), que ce premier de la classe devrait se situer plus tard après avoir fréquenté le haut du panier, du business et du pouvoir : « Mon mari, addict au travail, est un chevalier, un personnage d’une autre planète qui mêle une intelligence rare à une humanité exceptionnelle. Tout est à la bonne place dans sa tête. C’est un philosophe, un acteur devenu banquier et homme politique, un écrivain qui n’a encore rien publié. Et moi, je garde ses manuscrits... » confesse Brigitte. Sous sa protection, finira-t-il sa vie académicien par exemple comme Jean d'Ormesson ou bien, à trop vouloir tâter de la présidence et du pouvoir, se perdra-t-il en route ? La politique gâche les hommes de lettres. Il faut savoir s'en détacher à bon escient.
Voyez Valéry Giscard d'Estaing : inspecteur des finances de profession, ministre des Finances, président de la République contre François Mitterrand puis battu par le même, académicien, il sera plus célèbre pour son engagement européen (« Europa, la dernière chance de l'Europe » est un projet utopique proposé en 2014) que pour ses romans et essais. Par opposition, Prosper Mérimée a fait des études politiques, est entré dans l'administration puis au ministère du Commerce et de la Marine avant de devenir inspecteur général des Monuments historiques et plus tard sénateur : en même temps que la sauvegarde de notre patrimoine, l'académicien trouvera le temps de produire des œuvres impérissables comme Colomba et Carmen.
François Noland, qui n'a rien compris, se paraphrase comme à son habitude. Tacticien :
- « Je n'ai pas vu un projet individuel qui serait fait par un individu pour lui-même » , et si certains « peuvent avoir cette conception », « on ne peut rien faire tout seul et pour soi-même et donc il faut toujours faire avec les autres ». La politique c'est : « la force de l'engagement, la force du collectif, la force de l'utilité pour soi et pour les autres » car « rien n'est possible sans une action collective ».
Bon, le discours est improvisé après ce couac à l’Élysée ! Et le premier ministre Walls de se répandre à son tour, moraliste :
- « Moi, j’ai un principe, c’est la loyauté à l’égard du président de la République, bien sûr, mais aussi la loyauté vis-à-vis des Français », « La déloyauté, elle fait mal au collectif, et la loyauté rend plus fort. Moi, je sais d’où je viens, je suis socialiste ». « Dans ces moments-là, on ne peut pas partir, on ne peut pas déserter », « On ne s’improvise pas candidat à la présidentielle », « Il n’y a pas de place pour les aventures individuelles, il n’y a de place que pour un combat collectif ». On y retrouve le goût de l'anaphore du Président en 2012, au moment d'affirmer ses convictions profondes. Mais l'engagement est militaire, celui des généraux en campagne.
Et François de terminer, tout déconfit : « Macron m'a trahi avec méthode. ».
Il ne manque que le peloton d'exécution !
Ah, difficile de servir son pays et surtout l'intérêt de quelques uns sans se servir au passage. Alors, Macron président ?
- Je vous le répète, Monsieur : j'ai touché du doigt les limites de notre système politique ! Et je confirme que je ne suis pas socialiste... Bon, si je sors maintenant, après seulement trois minutes de tête à tête, ça va faire louche pour les journalistes, non ? Je peux m'asseoir à côté pour attendre...
- T'as raison, hein hein... J'ai un bocal de cassoulet froid pour le quatre heure et un vieux whisky de chez la Reine d'Angleterre pour faire passer... Ça te dit ? On ne fait pas toujours ce qu'on veut, voilà... Et que dit Brigitte de tout ça ?
Les grosses ficelles comme à son habitude ! On ne se refait pas. Mitterrand l’Épicurien eût été plus subtile en parlant littérature tout en croquant l'ortolan sous la serviette, à la façon d'Alexandre Dumas. Ce François là aurait parlé à la femme qui se cache derrière l'homme et muselé les appétits du Loup de Bercy. Ainsi, Macron eût été encouragé à prendre la parole à la façon de Diderot dans les salons plutôt que dans l'hémicycle, à l'Académie française plutôt que devant le Medef :
- Voyez jeune homme, le Socialisme n'est pas un système mais une culture : il est apparu quand la société civile s'est partagée entre les ouvriers et le patronat, au 19 ème siècle, quand la culture des encyclopédistes s'est diffusée avec les livres pour nourrir le peuple et quand l'art magnifié est devenu en retour une valeur sûre ! Mais pour en jouir, encore faut-il s'extraire des sentiers battus et des idées conventionnelles pour devenir un expérimentateur. Allez, disparaissez maintenant, prenez votre « demie journée intellectuelle » ! Je suis un peu fatigué mais vous me raconterez demain vos aventures...
François Noland lui s'est fourvoyé avec Macron ce mardi de merde :
- Tu connais les règles ? C'est un grand devoir et un grand honneur de servir la France. Alors, sois patient et suis moi : tu es une huître perlière dans un banc de moules, un cygne dans la mare aux canards !
- Eh, doucement là... Je ne serai jamais socialiste !
- Ah bon ? Mais social-démocrate, ça sonne bien, hein ?
Surtout, ne l'imaginez plus jamais seul à l'avenir et même si Ségolène Royale de Luxe ne pourra pas se joindre à ce nouveau génie de l'arnaque (sauf renoncement de Noland) d'autres comme Nicolas Hulot devraient s'aligner aux côtés de Macron, sur une ligne ni à droite ni à gauche puisqu'elle est l'exacte séparation en même temps que la plus parfaite confusion des genres. Car Si Macron de Rothschild a travaillé tantôt pour l'élite banquière mondialiste et tantôt pour la franc-maçonnerie (on fait mieux comme socialiste), le voilà maintenant qui va prendre le pouls du peuple et sa température à la foire de Châlons, en immersion complète et en campagne présidentielle.
- Je viens écouter la vraie vie des vrais gens !
C'est un jeune homme affable, svelte et horriblement fidèle à son épouse (son côté petit marquis) qui prétend révolutionner la politique, celle de quelques dinosaures de l'administration qu'il condamne d'un simple revers de main, comme un soufflet : à gauche, à droite, PIF PAF. Peut-être qu'avec sa bourgeoise, Brigitte Trogneugneux, s'est établie une relation de dépendance : est-ce madame qui porte le short dans le civil ? En tous les cas, pas sur la photo. Très chicos en maillot, voire en tailleur-pantalon ou carrossée comme une valise Hermès pour les grandes occasions, elle le couve, elle le cocoone :
- Et n'oublie pas de lever la lunette des toilettes à l’Élysée pour pisser... Au nom de la cause féminine ! Lui rappelait-elle à l'occasion de la passation de pouvoir avec Michel Sapin ce mercredi.
Entre eux, tout est intelligence, un peu comme jadis entre Françoise Dolto et le chanteur Carlos . Mais lui est resté très gamin d'apparence, le contraire de ces tronches de vikings de Donald Trump et Boris Johnson (même Michel Onfray se prend pour un viking, c'est dire si c'est un signe de connerie). Non, jamais Emmanuel Macron ne se permettrait de tels débordements ! Il est plus proche de l'amiral Cameron (avec dix ans de moins mais « so british ») et de la City : n'est-ce pas son côté Oxford qui a séduit sa professeure ? Et puis, tout de go il déclare :
- La meilleure façon de se payer un costard, c'est de travailler !
Quel sérieux ! Là, c'est son côté Sarkozy, mais avec 23 ans de moins : on comprend la colère des vieux encroustards de Droite comme de Gauche ! Très à l'aise par exemple dans son Smalto mais sans le bling-bling d'une Rolex, Macron leur parle de « costards sur mesure » car il faut porter beau : sapé mais pas comme un mac ! Les jeunes aux dents longues devraient l'admirer et se dépêcher d'aller voter pour lui en 2017 (avant que les autres crapules ne nous le salisse).
Cependant, c'est bien loin de la politique, entre Molière, Rousseau et Voltaire (deux génies du verbe morts la même année), que ce premier de la classe devrait se situer plus tard après avoir fréquenté le haut du panier, du business et du pouvoir : « Mon mari, addict au travail, est un chevalier, un personnage d’une autre planète qui mêle une intelligence rare à une humanité exceptionnelle. Tout est à la bonne place dans sa tête. C’est un philosophe, un acteur devenu banquier et homme politique, un écrivain qui n’a encore rien publié. Et moi, je garde ses manuscrits... » confesse Brigitte. Sous sa protection, finira-t-il sa vie académicien par exemple comme Jean d'Ormesson ou bien, à trop vouloir tâter de la présidence et du pouvoir, se perdra-t-il en route ? La politique gâche les hommes de lettres. Il faut savoir s'en détacher à bon escient.
Voyez Valéry Giscard d'Estaing : inspecteur des finances de profession, ministre des Finances, président de la République contre François Mitterrand puis battu par le même, académicien, il sera plus célèbre pour son engagement européen (« Europa, la dernière chance de l'Europe » est un projet utopique proposé en 2014) que pour ses romans et essais. Par opposition, Prosper Mérimée a fait des études politiques, est entré dans l'administration puis au ministère du Commerce et de la Marine avant de devenir inspecteur général des Monuments historiques et plus tard sénateur : en même temps que la sauvegarde de notre patrimoine, l'académicien trouvera le temps de produire des œuvres impérissables comme Colomba et Carmen.
François Noland, qui n'a rien compris, se paraphrase comme à son habitude. Tacticien :
- « Je n'ai pas vu un projet individuel qui serait fait par un individu pour lui-même » , et si certains « peuvent avoir cette conception », « on ne peut rien faire tout seul et pour soi-même et donc il faut toujours faire avec les autres ». La politique c'est : « la force de l'engagement, la force du collectif, la force de l'utilité pour soi et pour les autres » car « rien n'est possible sans une action collective ».
Bon, le discours est improvisé après ce couac à l’Élysée ! Et le premier ministre Walls de se répandre à son tour, moraliste :
- « Moi, j’ai un principe, c’est la loyauté à l’égard du président de la République, bien sûr, mais aussi la loyauté vis-à-vis des Français », « La déloyauté, elle fait mal au collectif, et la loyauté rend plus fort. Moi, je sais d’où je viens, je suis socialiste ». « Dans ces moments-là, on ne peut pas partir, on ne peut pas déserter », « On ne s’improvise pas candidat à la présidentielle », « Il n’y a pas de place pour les aventures individuelles, il n’y a de place que pour un combat collectif ». On y retrouve le goût de l'anaphore du Président en 2012, au moment d'affirmer ses convictions profondes. Mais l'engagement est militaire, celui des généraux en campagne.
Et François de terminer, tout déconfit : « Macron m'a trahi avec méthode. ».
Il ne manque que le peloton d'exécution !
Ah, difficile de servir son pays et surtout l'intérêt de quelques uns sans se servir au passage. Alors, Macron président ?
«MA-CRON président !» comme on dit à Châblons-le-Champagne.
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