La rencontre entre le président américain Donald Trump et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, en présence du vice-président J.D. Vance, restera dans l’histoire comme un moment de tension diplomatique extrême et un tournant décisif dans la guerre en Ukraine. Très loin d’un échange constructif visant à renforcer le soutien américain à Kyiv en échange des minerais précieux et terres rares ukrainiens, cette réunion a été une mise en scène calculée pour affaiblir, humilier et discréditer Zelensky sur la scène internationale.
Trump, fidèle à son style de showman incendiaire, a utilisé cinq stratégies successives pour acculer Zelensky, nier ses responsabilités pour garantir les accords et légitimer son rapprochement avec Vladimir Poutine, tout en renforçant sa main mise sur l’Europe.
1. Trump accuse Zelensky de refuser un cessez-le-feu et d’être responsable de la “Troisième Guerre mondiale”
Dès le début de la rencontre, Trump adopte une posture d’accusation frontale contre Zelensky, cherchant à lui faire porter la responsabilité du conflit :
"Vous avez une opportunité de mettre fin à cette guerre, mais vous refusez. Pourquoi vous obstinez-vous à poursuivre un conflit qui détruit votre pays ? C’est votre choix, Volodymyr. Un choix qui condamne des millions d’hommes et qui pourrait déclencher une Troisième Guerre mondiale. Vous comprenez ce que ça signifie ? C’est sur vous que ça repose, pas sur moi."
Trump ne pense pas en Président des États-Unis d'Amérique et en diplomate international: il balance vulgairement des "punchlines" préparées d'avance et il utilise des effets dramatiques dignes de son meilleur show télévisé. Mais ces procédés sont hors propos quand ils sont reproduits à l'infini par un Trump sénile qui s'imagine revivre ses meilleurs heures d'audience : "Ça va être de la bonne télévision. Ça, je peux vous le dire", conclut-il ridiculement.
En fait, depuis trois ans, il appartient à la RUSSIE SEULE de décider l'arrêt de son invasion en Ukraine, de la guerre et des massacres conséquents, tant des civiles comme à Boutcha que des militaires à Marioupol. Poutine à le pouvoir absolu et instantané de faire cesser cette guerre, qualifiée "d'opération spéciale".
Mais de quelle PAIX parlent les Russes et les Américains? D'une CAPITULATION. Alors, Zelensky, ce héros en guerre depuis trois ans contre le psychopathe et criminel de guerre: Poutine, refuse de se faire tordre le bras. Immédiatement, il est renvoyé de la Maison Blanche et les insultes pleuvent sur lui depuis la Russie.
Par une torsion de la réalité, Trump a fait mine de surprendre le président Zelensky "comme un petit garçon qui dit NON" à la paix. Trump insiste lourdement sur le fait que Zelensky “n’a pas les cartes”, insinuant qu’il ne peut rien faire sans l’aval de Washington et que son rôle est purement subordonné :
Par une torsion de la réalité, Trump a fait mine de surprendre le président Zelensky "comme un petit garçon qui dit NON" à la paix. Trump insiste lourdement sur le fait que Zelensky “n’a pas les cartes”, insinuant qu’il ne peut rien faire sans l’aval de Washington et que son rôle est purement subordonné :
"Vous êtes venu demander de l’aide, mais vous oubliez que c’est nous qui décidons. Vous pensez pouvoir dicter vos conditions ? Vous n’avez pas les cartes. Nous avons les cartes."
De fait, les Américains et l'OTAN n'ont jamais donné les armes suffisantes à l'Ukraine au moment nécessaire de la contre-attaque, pour vaincre l'ogre russe. Pour Washington et pour Trump, la Russie ne doit surtout pas perdre la face ! Sans aucun scrupule, les Américains ont déjà suspendu les approvisionnements de l'Ukraine pendant six mois ! Ainsi, les meilleurs soldats ukrainiens n'ont pas été battus les armes à la main : ils sont morts sous les bombes, dans les tranchées, les souterrains et sur les champs de mines. Les civils ukrainiens ont été exécutés devant chez eux. Les villes ukrainiennes ont été rasées par les drones iraniens et les millions d'obus russes et nord-coréens: l'équivalent de plusieurs bombes atomiques. La Chine et l'Inde subventionnent la Russie de Poutine, "mon ami éternel". La Chine seule pourrait commander le retrait des forces russes en Ukraine en arrêtant de subventionner la Russie.
En répétant que c’est l’Ukraine qui bloque la paix, Trump légitime l’idée que tout nouvel envoi d’armes ou d’aide est une pure perte de temps, un argument qu’il utilise pour justifier un abandon instantané de Kyiv. Trump refuse aussi de "perdre la face", lui le meilleur négociateur américain qui ridiculise tous les jours le président Biden. Trump prétend recevoir le Prix Nobel de la Paix, mieux que le Président Obama. C'est aussi une guerre d'égo. Poutine n'a strictement rien à faire, exempté de toute responsabilité, sinon de remuer un peu plus la merde qu'il a chié sur l'Europe avec un sourire satisfait.
2. Trump nie toute responsabilité de son ami Poutine et prétend que le président russe n’a jamais rompu d’accord avec lui !
Lorsque Zelensky lui demande si Poutine respectera un éventuel nouvel accord, Trump répond d’un ton détaché :
"Je ne sais pas. Je ne sais pas ce qu’il a fait avec Obama, je ne sais pas ce qu’il a fait avec Biden. Mais je peux vous dire une chose : il n’a jamais rompu un seul accord avec moi."
Cette déclaration, passée sous silence par la majorité des médias, est un aveu implicite d'incompétence, voire de sénilité, et d’alliance avec la Russie.
Comment Trump peut-il feindre l’ignorance sur le fait que Poutine a systématiquement violé les accords internationaux depuis 1995, y compris ceux négociés par les États-Unis. La réalité est pourtant claire :
Mémorandum de Budapest (1994) : Garantie de sécurité de l’Ukraine en échange de l’abandon de son arsenal nucléaire. Violé en 2014 avec l’annexion de la Crimée.
Accords de Minsk I et II (2014-2015) : Destinés à stabiliser le Donbass. Poutine les a torpillés en poursuivant les offensives militaires.
Accord de paix du Format Normandie (2019) : Signé avec la médiation de Macron et Merkel. Saboté par la Russie en 2021.
Traité de désarmement INF (1987-2019) : Poutine a déployé des missiles en violation de cet accord, ce qui a conduit les États-Unis à s’en retirer.
Ignorer volontairement ces faits ou même involontairement, par simple déficience intellectuelle, est une manipulation grossière qui permet à Trump de redorer l’image de Poutine et de suggérer que le problème n’est pas Moscou, mais Kyiv. Ce président à la mémoire d'un poisson rouge comme sa cravate et son teint carotte ! Ah, sénilité, quand tu nous tiens !
3. Trump se livre brusquement à des considérations personnelles et des thèses conspirationnistes
Dans un passage étrangement occulté par les médias, Trump abandonne tout discours un tant soit peu "diplomatique" pour entrer dans un registre complotiste et personnel, multipliant à son gré les attaques :
"Je sais ce que c’est qu’une chasse aux sorcières, Volodymyr. J’en ai été victime moi aussi. Biden m’a attaqué, les démocrates m’ont traqué, et regardez Hunter Biden… Ils l’ont sali comme ils salissent Poutine aujourd’hui."
En plaçant Poutine dans le rôle de la victime, Trump inverse une fois de plus la réalité.
"Je vous le dis : [Pour Poutine] cette guerre est une escroquerie. Ils veulent lui faire porter le chapeau, comme ils l’ont fait avec moi."
Cette digression, destinée à délégitimer l’Ukraine, banalise l’agression russe en présentant Trump et Poutine comme des victimes collatérales des démocrates et des médias pour l'évincer de la présidence. Trump a la haine tenace, livré à ses pires instincts par un cerveau en disfonctionnement.
4. J.D. Vance humilie Zelensky pour le pousser à la faute
Mais le vice-président J.D. Vance est présent, aux aguets, pour contrôler LES DIVAGATIONS HABITUELLES ET OFFENSANTES DU NOUVEAU PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS. Pour couper court à ses déclarations fumeuses et à ce tissu de mensonges qui attaquent l'honneur des présidents Obama et Biden, Vance intervient brutalement, coupe la parole à Trump et inverse le propos. Trump ne doit pas se salir et Zelensky ne doit pas s'en sortir indemne:
"Monsieur Zelensky, je trouve très déplacé que vous osiez être irrespectueux avec le président des États-Unis. Vous êtes ici en invité, vous devriez commencer par remercier votre hôte. Vous êtes en train de lui faire perdre son temps."
Cette intervention, visant clairement à déstabiliser Zelensky, est aussi une tentative assumée de l’humilier devant les caméras. Si Zelensky craque devant le monde entier, sa carrière politique s'arrête là, instantanément. Le piège est grossier. Le Président Zelensky, dont la tête est déjà mise à prix comme "un chien enragé" (dixit Lavrov), n'aurait jamais dû entrer seul dans cette souricière du Bureau Ovale en présence de Trump et de toute sa meute aux abois. Trump joue sur du velour aux cartes ou peut-être au billard américain : il faut dégager Zelensky, un héros de guerre. Alors on colle un contrat sur sa tête, dans le plus pur style "gangster" : l'ignoble AL TRUMP a pris le pouvoir !
Vance dramatise volontairement la situation, fait comprendre que Zelensky est de trop à la Maison Blanche et qu’il n’a pas à exiger quoi que ce soit. Trump en profite pour demander au président Zelensky de se taire. C'est toujours Trump, dans son délire sénile, qui doit fermer le show par cette phrase fatidique : "you are fired !".
5. Trump met Zelensky à la porte
Profitant du trouble créé par Vance, Trump conclut la rencontre avec un mépris absolu:
"Revenez quand vous voudrez la paix."
Zelensky est chassé du Bureau Ovale devant les caméras du monde entier, un geste hautement symbolique destiné à marquer la rupture définitive entre Washington et Kyiv. Trump aurait pu aussi bien l'emprisonner ou le faire exécuter à sa sortie de la Maison Blanche. Ce n'est que partie remise : Poutine s'en chargera plus tard ! Depuis vingt ans, ne fait-il pas le ménage impunément, jusqu'aux États-Unis? Faut-il que les intérêts de Trump soient en jeu pour qu'il prenne Poutine et ses chiens enragés, tous des criminels psychopathes, sous son aile ?
Analyse et conséquences : un parallèle avec Churchill ?
La scène rappelle un autre moment historique : lorsque Winston Churchill est venu demander l’aide des États-Unis en 1940 face à l’invasion allemande.
Roosevelt l’a-t-il méprisé ? Non. Il a compris l’urgence et, malgré l’isolationnisme américain, il a progressivement soutenu la Grande-Bretagne.
Ce que Zelensky a subi, en revanche, est une humiliation publique préméditée pour:
2. Trump nie toute responsabilité de son ami Poutine et prétend que le président russe n’a jamais rompu d’accord avec lui !
Lorsque Zelensky lui demande si Poutine respectera un éventuel nouvel accord, Trump répond d’un ton détaché :
"Je ne sais pas. Je ne sais pas ce qu’il a fait avec Obama, je ne sais pas ce qu’il a fait avec Biden. Mais je peux vous dire une chose : il n’a jamais rompu un seul accord avec moi."
Cette déclaration, passée sous silence par la majorité des médias, est un aveu implicite d'incompétence, voire de sénilité, et d’alliance avec la Russie.
Comment Trump peut-il feindre l’ignorance sur le fait que Poutine a systématiquement violé les accords internationaux depuis 1995, y compris ceux négociés par les États-Unis. La réalité est pourtant claire :
Mémorandum de Budapest (1994) : Garantie de sécurité de l’Ukraine en échange de l’abandon de son arsenal nucléaire. Violé en 2014 avec l’annexion de la Crimée.
Accords de Minsk I et II (2014-2015) : Destinés à stabiliser le Donbass. Poutine les a torpillés en poursuivant les offensives militaires.
Accord de paix du Format Normandie (2019) : Signé avec la médiation de Macron et Merkel. Saboté par la Russie en 2021.
Traité de désarmement INF (1987-2019) : Poutine a déployé des missiles en violation de cet accord, ce qui a conduit les États-Unis à s’en retirer.
Ignorer volontairement ces faits ou même involontairement, par simple déficience intellectuelle, est une manipulation grossière qui permet à Trump de redorer l’image de Poutine et de suggérer que le problème n’est pas Moscou, mais Kyiv. Ce président à la mémoire d'un poisson rouge comme sa cravate et son teint carotte ! Ah, sénilité, quand tu nous tiens !
3. Trump se livre brusquement à des considérations personnelles et des thèses conspirationnistes
Dans un passage étrangement occulté par les médias, Trump abandonne tout discours un tant soit peu "diplomatique" pour entrer dans un registre complotiste et personnel, multipliant à son gré les attaques :
"Je sais ce que c’est qu’une chasse aux sorcières, Volodymyr. J’en ai été victime moi aussi. Biden m’a attaqué, les démocrates m’ont traqué, et regardez Hunter Biden… Ils l’ont sali comme ils salissent Poutine aujourd’hui."
En plaçant Poutine dans le rôle de la victime, Trump inverse une fois de plus la réalité.
"Je vous le dis : [Pour Poutine] cette guerre est une escroquerie. Ils veulent lui faire porter le chapeau, comme ils l’ont fait avec moi."
Cette digression, destinée à délégitimer l’Ukraine, banalise l’agression russe en présentant Trump et Poutine comme des victimes collatérales des démocrates et des médias pour l'évincer de la présidence. Trump a la haine tenace, livré à ses pires instincts par un cerveau en disfonctionnement.
4. J.D. Vance humilie Zelensky pour le pousser à la faute
Mais le vice-président J.D. Vance est présent, aux aguets, pour contrôler LES DIVAGATIONS HABITUELLES ET OFFENSANTES DU NOUVEAU PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS. Pour couper court à ses déclarations fumeuses et à ce tissu de mensonges qui attaquent l'honneur des présidents Obama et Biden, Vance intervient brutalement, coupe la parole à Trump et inverse le propos. Trump ne doit pas se salir et Zelensky ne doit pas s'en sortir indemne:
"Monsieur Zelensky, je trouve très déplacé que vous osiez être irrespectueux avec le président des États-Unis. Vous êtes ici en invité, vous devriez commencer par remercier votre hôte. Vous êtes en train de lui faire perdre son temps."
Cette intervention, visant clairement à déstabiliser Zelensky, est aussi une tentative assumée de l’humilier devant les caméras. Si Zelensky craque devant le monde entier, sa carrière politique s'arrête là, instantanément. Le piège est grossier. Le Président Zelensky, dont la tête est déjà mise à prix comme "un chien enragé" (dixit Lavrov), n'aurait jamais dû entrer seul dans cette souricière du Bureau Ovale en présence de Trump et de toute sa meute aux abois. Trump joue sur du velour aux cartes ou peut-être au billard américain : il faut dégager Zelensky, un héros de guerre. Alors on colle un contrat sur sa tête, dans le plus pur style "gangster" : l'ignoble AL TRUMP a pris le pouvoir !
Vance dramatise volontairement la situation, fait comprendre que Zelensky est de trop à la Maison Blanche et qu’il n’a pas à exiger quoi que ce soit. Trump en profite pour demander au président Zelensky de se taire. C'est toujours Trump, dans son délire sénile, qui doit fermer le show par cette phrase fatidique : "you are fired !".
5. Trump met Zelensky à la porte
Profitant du trouble créé par Vance, Trump conclut la rencontre avec un mépris absolu:
"Revenez quand vous voudrez la paix."
Zelensky est chassé du Bureau Ovale devant les caméras du monde entier, un geste hautement symbolique destiné à marquer la rupture définitive entre Washington et Kyiv. Trump aurait pu aussi bien l'emprisonner ou le faire exécuter à sa sortie de la Maison Blanche. Ce n'est que partie remise : Poutine s'en chargera plus tard ! Depuis vingt ans, ne fait-il pas le ménage impunément, jusqu'aux États-Unis? Faut-il que les intérêts de Trump soient en jeu pour qu'il prenne Poutine et ses chiens enragés, tous des criminels psychopathes, sous son aile ?
Analyse et conséquences : un parallèle avec Churchill ?
La scène rappelle un autre moment historique : lorsque Winston Churchill est venu demander l’aide des États-Unis en 1940 face à l’invasion allemande.
Roosevelt l’a-t-il méprisé ? Non. Il a compris l’urgence et, malgré l’isolationnisme américain, il a progressivement soutenu la Grande-Bretagne.
Ce que Zelensky a subi, en revanche, est une humiliation publique préméditée pour:
Discréditer complètement Zelensky pour justifier un futur retrait des États-Unis du conflit et rétablir avantageusement les relations commerciales entre la Russie et les États-Unis.
Désorienter l’Ukraine et l’Europe en affichant un désengagement total.
Donner un signal à Poutine que les États-Unis ne s’opposeront plus à son expansion en échange de sa complicité avec Trump pour l'aider à s'approprier les mines d'Ukraine, mais aussi le détroit du Panama, le Canada, le Groenland etc. La Russie a déjà annexé la Sibérie et elle la réchauffe à coups de bombes atomiques depuis 50 ans. Un "feu éternel" couve depuis lors sous le permafrost de la Sibérie et pollue grandement l'atmosphère. Et curieusement, Musk prétend faire la même chose mais SUR MARS. Ce ne sont pas des hommes qui bâtiront sur la Planète Rouge irradiée MAIS DES ROBOTS.
Donner un signal à Poutine que les États-Unis ne s’opposeront plus à son expansion en échange de sa complicité avec Trump pour l'aider à s'approprier les mines d'Ukraine, mais aussi le détroit du Panama, le Canada, le Groenland etc. La Russie a déjà annexé la Sibérie et elle la réchauffe à coups de bombes atomiques depuis 50 ans. Un "feu éternel" couve depuis lors sous le permafrost de la Sibérie et pollue grandement l'atmosphère. Et curieusement, Musk prétend faire la même chose mais SUR MARS. Ce ne sont pas des hommes qui bâtiront sur la Planète Rouge irradiée MAIS DES ROBOTS.
Trump, lui, serait prêt à lâcher L'Ukraine et Taiwan, mais pas avant d'avoir pillé leurs richesses et tous leurs savoir-faire. Son ami Poutine, en échange, prendrait le pouvoir sur l'Armée ukrainienne et ses équipements occidentaux, après des purges staliniennes terribles, pour redevenir la deuxième puissance mondiale qu'elle n'est plus depuis la fin de la Guerre Froide.
Conclusion : Trump et Poutine, une alliance contre l’Europe
Cette rencontre en mondiovision a été la preuve éclatante que Trump s’aligne sur Poutine et ne considère plus l’Europe comme un partenaire stratégique.
Accuser Zelensky de risquer une Troisième Guerre mondiale est une manipulation : c’est la Russie l’agresseur, pas l’Ukraine. Et surtout, c'est la Russie et les États-Unis qui ont fait peser la menace de la bombe atomique pendant les 50 années de Guerre Froide, juste après la guerre de 1939/45, en faisant peser le poids et le prix de leurs erreurs sur l'Europe. Mais Trump s'en lave les mains. Oublié ! "Heureux les innocents aux mains pleines... de merde". Trump envoit ses armes à Israël et met la tête à prix d'un petit juif Ukrainien qui ose lui résister : "Ave Trump, ceux qui vont mourir te saluent bien!". La connerie du dernier Président des États-Unis prend des accents bibliques.
Conclusion : Trump et Poutine, une alliance contre l’Europe
Cette rencontre en mondiovision a été la preuve éclatante que Trump s’aligne sur Poutine et ne considère plus l’Europe comme un partenaire stratégique.
Accuser Zelensky de risquer une Troisième Guerre mondiale est une manipulation : c’est la Russie l’agresseur, pas l’Ukraine. Et surtout, c'est la Russie et les États-Unis qui ont fait peser la menace de la bombe atomique pendant les 50 années de Guerre Froide, juste après la guerre de 1939/45, en faisant peser le poids et le prix de leurs erreurs sur l'Europe. Mais Trump s'en lave les mains. Oublié ! "Heureux les innocents aux mains pleines... de merde". Trump envoit ses armes à Israël et met la tête à prix d'un petit juif Ukrainien qui ose lui résister : "Ave Trump, ceux qui vont mourir te saluent bien!". La connerie du dernier Président des États-Unis prend des accents bibliques.
LA TROISIÈME GUERRE MONDIALE
La troisième guerre mondiale est donc économique et américaine. Elle a commencé le 4 Mars 2025, en multipliant les tarifs douaniers américains et en refusant de protéger l'Ukraine contre la Russie de Poutine. La guerre en Ukraine n'est plus que le sous-produit d'une alliance entre bandits, et la variable d'ajustement entre les gangsters de Washington et la mafia de Moscou.
Trump utilise l’économie et les tarifs douaniers comme une arme: il veut faire payer au monde entier la dette américaine de 31 trillions de dollars, en imposant un tribut économique sévère à l’Europe "conçue pour entuber l'Amérique" et en monnayant l’Ukraine directement avec la Russie, au grand mépris de l'Europe qui courbe l'échine et pointe les fesses.
Trump ne veut pas la paix des justes: il veut botter le cul de l’Europe et renforcer ses liens avec la Russie pour redessiner l’ordre mondial à son avantage. Les BRICS ? Oubliés si Trump réussit à rétablir la Russie criminelle DE PLEIN DROIT DANS LE COMMERCE ET LES INSTANCES INTERNATIONALES.
Trump utilise l’économie et les tarifs douaniers comme une arme: il veut faire payer au monde entier la dette américaine de 31 trillions de dollars, en imposant un tribut économique sévère à l’Europe "conçue pour entuber l'Amérique" et en monnayant l’Ukraine directement avec la Russie, au grand mépris de l'Europe qui courbe l'échine et pointe les fesses.
Trump ne veut pas la paix des justes: il veut botter le cul de l’Europe et renforcer ses liens avec la Russie pour redessiner l’ordre mondial à son avantage. Les BRICS ? Oubliés si Trump réussit à rétablir la Russie criminelle DE PLEIN DROIT DANS LE COMMERCE ET LES INSTANCES INTERNATIONALES.
LE DOLLARS RESTERA ROI
Mais Trump est faible intellectuellement, inculte, fier d'être ignorant (pour ne pas dire complètement sénile), très accessible à la PROPAGANDE RUSSE pour avoir établi des liens d'intérêts antérieurs avec Poutine, et surtout facilement manipulable par "Les Chiens de Trump", à commencer par Musk qui représente les oligarques américains et par tous les autres manipulateurs professionnels: le vice-président Vance et sa meute, assis comme un tribunal sur le petit sofa du Bureau Ovale, face au Président Zelensky acculé par ces chiens enragés. Trump attendait de porter le coup de couteau fatal, dans la pure tradition des chasses à cour : "Voilà, c'est fait !". Ça fera une bonne émission...
L’Europe doit ouvrir les yeux : cette scène enregistrée est un signal d’alarme. Soit elle prend en main la défense de l'Ukraine, soit elle sera la prochaine à subir l’humiliation de Washington et l'invasion des armées russes... Y compris des armées ukrainiennes entraînées par l'Europe, à l'occasion d'un simple retournement du commandement et de la prise de pouvoir de Poutine en Ukraine.
L’Europe doit ouvrir les yeux : cette scène enregistrée est un signal d’alarme. Soit elle prend en main la défense de l'Ukraine, soit elle sera la prochaine à subir l’humiliation de Washington et l'invasion des armées russes... Y compris des armées ukrainiennes entraînées par l'Europe, à l'occasion d'un simple retournement du commandement et de la prise de pouvoir de Poutine en Ukraine.
Le point faible, l'homme à abattre? Zelensky. Voilà pourquoi Trump, comme Poutine, est une grosse baderne sénile, prétentieuse et dangereuse. Les Américains n'auraient pas pu choisir pire représentant et chef des armées. La troisième guerre mondiale a déjà commencé : comment Trump ose-t-il prétendre qu'il est aligné sur l'intérêt de l'Europe et du Monde ? C'est une insulte à la démocratie européenne !
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