Quand sur le ton didactique adopté dans l'émission « On n'est pas couché », Ruquier fait des chiennes et " lâche les chiens " sur la télévision française, c'est franchement détestable. Après, qu'il vire son prophète de mauvaise augure, son ayatollah barbu personnel, c'est son problème.
Énervant qu'après les massacres de tous nos amis le 7 janvier 2015 à Paris, chez Charlie Hebdo, il faille dénigrer l’Église pour faire reluire la Mecque. C'est pourtant l'exercice quotidien auquel se livrent des esprits mal tournés en France, sur le PAF et dans les médias habituels.
Les musulmans de France se sont eux-mêmes complètement innocentés des attentats successifs, qui nous réservent leurs prières. Cependant, ils sont restés solidaires avec les musulmans du sud, celui du bassin méditerranéen, pour nous condamner en tous points : les caricatures, le blasphème et l'islamophobie qui augmente après chaque massacre. Leur vengeance n'est qu'une affaire d'interprétation sémantique ! On est proche du négationnisme.
Y-a-t-il eu seulement caricature ? Pour cela, il faudrait connaître le visage de Mahomet. Mais ce n'est pas le cas, quand tous les Saddam Hussein et les ayatollahs organisent le culte de leur personne avec leurs portraits affichés partout. Même que Mahomet a déjà été représenté sous des traits humains pour illustrer ses aventures terrestres, contrairement à Allah qui lui n'est pas humain par définition. Ne sommes nous pas au cœur d'une civilisation de l'image ?
C'est là qu'interviennent Laurent, Aymeric et Léa, les trois billes du jeu de billard à 3 bandes... de cons dans l'émission télévisée intitulée « On est pas couché ». Ainsi, pour justifier qu'on peut rire de tout et pour parfaire notre éducation, ils ont cherché les caricatures anti-chrétiennes les plus ignobles. Vous connaissiez le petit bonhomme qui pleure une larme sous le titre : «Tout est pardonné » ? C'est gentil, mais difficile d'y voir le supposé Prophète, vu que ce dernier n'a pas de visage connu. Par contre, les caricatures anti-chrétiennes qui ont été présentées sont clairement obscènes : un christ est crucifié sur le sable d'une plage et il implore des baigneuses de le retourner pour bronzer de l'autre côté, un curé offre la communion (le corps du Christ) à des suceuses avec d'énormes langues goulues et enfin on nous a parlé comme d'une bonne blague d'un pape pédophile en caricature qui sodomise les petits enfants : alléluia ! On voit de quel côté est le parti pris, la vengeance et l'insulte, soit deux poids, deux mesures chez Ruquier comme partout ailleurs. « Bouffer du curé », il sait le faire car c'est son dessert préféré, mais « Bouffer de l'imam » c'est beaucoup plus coriace. Oui, c'est simple, c'est la France : on tape systématiquement sur les chrétiens innocents et impuissants pour complaire à des musulmans haineux et criminels, pris de plus en flagrant délit sur toutes les télévisions du monde ! N'est-ce pas ça, la « Soumission » ? On nous applique la loi des quartiers, quand les armes des assassins sont les mêmes que celles de la grande criminalité, quand le terreau est ultra-favorable au racisme anti-blanc. Hélas, notre Premier ministre Manuel Valls leur donne raison en parlant d'Apartheid en France, avec un contresens évident.
Mais, après tout, ce ne sont que des dessins : rions, mes frères ! Seulement voilà, au moment d'assassiner des Français, des juifs ou des fonctionnaires de police, il est particulièrement vicieux de jouer au billard à 3 bandes... de cons sur notre dos. Petit lot de consolation : le présentateur homosexuel vedette de l'émission, Laurent Ruquier, n'a pas fait cette fois la promotion de son trou du cul et il a même épargné gentiment les écrivains Zemmour et Houellebecq, parce que ces deux là sont menacés de mort à leur tour : bravo, quelle éthique ! En attendant de virer un Aymeric un peu trop virulent, il pourra déjà rebaptiser sans problème son émission : « On s'est tous couchés ! ».
De fait, le jeu est infiniment plus complexe que celui de trois demeurés qui jouent à la baballe dans leur salon. C'est tout autour de la mer méditerranée, entre la Turquie et le Mali, que des dictateurs religieux tirent les ficelles de la nasse qui retient prisonniers tous les pauvres petits musulmans du monde : si ceux-là ne parviennent pas à cisailler rapidement les mailles infâmes du filet qui dicte leur conduite, ils couleront avec le bateau au fond de la mer en entraînant, je l'espère, leurs chefs de guerre, leurs ayatollahs et leurs émirs : bon débarras ! Hélas, ainsi disparaîtra une des plus anciennes civilisations datant de bien avant les mahométans, asphyxiée aujourd'hui par sa haine et qui ne nous offre plus son intelligence, ses bienfaits apaisants, sa diffusion parfumée et sa mixité prometteuse.
En attendant, la mauvaise foi prévaut. Alors, à quand le prochain massacre de juifs ou de chrétiens, au nom de quel mensonge, de quelle haine recuite ? Sommes nous des mécréants, coupables de nos différences ? Pour être traître à l'islam, ne faut-il pas avoir été musulman ? Pour quelle détestation, pour quelle lapidation, pour quelle exécution sommaire ?
Pour caricaturer Dieu, faut-il encore connaître son visage. Dans l'ignorance des préceptes de Mahomet mais en dénonçant ses dictatures déguisées, peut-être sommes-nous infiniment plus proches de lui ?
Énervant qu'après les massacres de tous nos amis le 7 janvier 2015 à Paris, chez Charlie Hebdo, il faille dénigrer l’Église pour faire reluire la Mecque. C'est pourtant l'exercice quotidien auquel se livrent des esprits mal tournés en France, sur le PAF et dans les médias habituels.
Les musulmans de France se sont eux-mêmes complètement innocentés des attentats successifs, qui nous réservent leurs prières. Cependant, ils sont restés solidaires avec les musulmans du sud, celui du bassin méditerranéen, pour nous condamner en tous points : les caricatures, le blasphème et l'islamophobie qui augmente après chaque massacre. Leur vengeance n'est qu'une affaire d'interprétation sémantique ! On est proche du négationnisme.
Y-a-t-il eu seulement caricature ? Pour cela, il faudrait connaître le visage de Mahomet. Mais ce n'est pas le cas, quand tous les Saddam Hussein et les ayatollahs organisent le culte de leur personne avec leurs portraits affichés partout. Même que Mahomet a déjà été représenté sous des traits humains pour illustrer ses aventures terrestres, contrairement à Allah qui lui n'est pas humain par définition. Ne sommes nous pas au cœur d'une civilisation de l'image ?
C'est là qu'interviennent Laurent, Aymeric et Léa, les trois billes du jeu de billard à 3 bandes... de cons dans l'émission télévisée intitulée « On est pas couché ». Ainsi, pour justifier qu'on peut rire de tout et pour parfaire notre éducation, ils ont cherché les caricatures anti-chrétiennes les plus ignobles. Vous connaissiez le petit bonhomme qui pleure une larme sous le titre : «Tout est pardonné » ? C'est gentil, mais difficile d'y voir le supposé Prophète, vu que ce dernier n'a pas de visage connu. Par contre, les caricatures anti-chrétiennes qui ont été présentées sont clairement obscènes : un christ est crucifié sur le sable d'une plage et il implore des baigneuses de le retourner pour bronzer de l'autre côté, un curé offre la communion (le corps du Christ) à des suceuses avec d'énormes langues goulues et enfin on nous a parlé comme d'une bonne blague d'un pape pédophile en caricature qui sodomise les petits enfants : alléluia ! On voit de quel côté est le parti pris, la vengeance et l'insulte, soit deux poids, deux mesures chez Ruquier comme partout ailleurs. « Bouffer du curé », il sait le faire car c'est son dessert préféré, mais « Bouffer de l'imam » c'est beaucoup plus coriace. Oui, c'est simple, c'est la France : on tape systématiquement sur les chrétiens innocents et impuissants pour complaire à des musulmans haineux et criminels, pris de plus en flagrant délit sur toutes les télévisions du monde ! N'est-ce pas ça, la « Soumission » ? On nous applique la loi des quartiers, quand les armes des assassins sont les mêmes que celles de la grande criminalité, quand le terreau est ultra-favorable au racisme anti-blanc. Hélas, notre Premier ministre Manuel Valls leur donne raison en parlant d'Apartheid en France, avec un contresens évident.
Mais, après tout, ce ne sont que des dessins : rions, mes frères ! Seulement voilà, au moment d'assassiner des Français, des juifs ou des fonctionnaires de police, il est particulièrement vicieux de jouer au billard à 3 bandes... de cons sur notre dos. Petit lot de consolation : le présentateur homosexuel vedette de l'émission, Laurent Ruquier, n'a pas fait cette fois la promotion de son trou du cul et il a même épargné gentiment les écrivains Zemmour et Houellebecq, parce que ces deux là sont menacés de mort à leur tour : bravo, quelle éthique ! En attendant de virer un Aymeric un peu trop virulent, il pourra déjà rebaptiser sans problème son émission : « On s'est tous couchés ! ».
De fait, le jeu est infiniment plus complexe que celui de trois demeurés qui jouent à la baballe dans leur salon. C'est tout autour de la mer méditerranée, entre la Turquie et le Mali, que des dictateurs religieux tirent les ficelles de la nasse qui retient prisonniers tous les pauvres petits musulmans du monde : si ceux-là ne parviennent pas à cisailler rapidement les mailles infâmes du filet qui dicte leur conduite, ils couleront avec le bateau au fond de la mer en entraînant, je l'espère, leurs chefs de guerre, leurs ayatollahs et leurs émirs : bon débarras ! Hélas, ainsi disparaîtra une des plus anciennes civilisations datant de bien avant les mahométans, asphyxiée aujourd'hui par sa haine et qui ne nous offre plus son intelligence, ses bienfaits apaisants, sa diffusion parfumée et sa mixité prometteuse.
En attendant, la mauvaise foi prévaut. Alors, à quand le prochain massacre de juifs ou de chrétiens, au nom de quel mensonge, de quelle haine recuite ? Sommes nous des mécréants, coupables de nos différences ? Pour être traître à l'islam, ne faut-il pas avoir été musulman ? Pour quelle détestation, pour quelle lapidation, pour quelle exécution sommaire ?
Pour caricaturer Dieu, faut-il encore connaître son visage. Dans l'ignorance des préceptes de Mahomet mais en dénonçant ses dictatures déguisées, peut-être sommes-nous infiniment plus proches de lui ?
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