L'OURS, ou plus exactement l'URS n'a plus rien de "Socialiste" depuis longtemps. Ce n'est plus qu'une vieille pelure décatie et sans griffes. La bête empaillée ressuscitée pour un temps ne pourra donc au mieux que grogner et se déchirer le ventre elle-même pour arracher le feu du poison ultra-nationaliste qui la consume. Et pourquoi doit-elle conquérir ou plutôt "écraser" une minuscule bandelette de terre ukrainienne payée au prix extravagant du sang de milliers de Cosaques et de l'horreur internationale, transformant Raz-Poutine en un chef d'état terroriste ?
C'est que l'URS se décompose littéralement. Déjà, le pays brûle par dessus et par dessous avec des feux éternels de méthane et de tourbe. Le permafrost ainsi décongelé s'effondre en ouvrant des plaies béantes comme des pustules larges de centaines de kilomètres entre la toundra et la taïga dévastées. Ainsi, la majeure partie du "plus grand pays du monde" est-elle inexploitable pour des milliers d'années avec le réchauffement climatique qui transforme la GRANDE ROUSSIE en boue putride.
Et puis l'OURS "soviétique" avait déjà commis les pires ignominies pendant "la guerre froide" : plusieurs explosions atomiques sur le territoire ont servi précédemment à décongeler les terres et à libérer le pétrole et le gaz qu'aujourd'hui l'Europe paie au prix de l'or, tout en subventionnant l'armée ROUGE : celle du sang.
Grâce à cette manne financière, les magasins russes sont largement approvisionnés et Raz-Poutine prétend que son pays est totalement immune aux sanctions internationales (que les ultra-nationalistes sympathisants de tous les pays exigent de lever d'urgence).
La France, première puissance atomique d'Europe, a éteint curieusement la moitié de ses réacteurs nucléaires et n'est plus indépendante énergétiquement, si bien qu'en France les prix de l'électricité flambent aussi. C'était bien la peine de vanter l'énergie garantie la moins chère du monde ! Aujourd'hui, nous en payons le prix réel ou plutôt son absence, soit des milliards de dollars par mois de "manque à gagner". Et ne parlons pas de l'EURO qui s'est effondré presqu'autant que le ROUBLE. Encore un beau mensonge d'indépendance.
Poutine créé de toutes pièces la rareté du gaz en ordonnant de brûler sur place 15 à 20% de la production gazière que les russes n'ont pas les capacités de stocker ni de vendre. Ainsi, la petite URS de Raz-Poutine est-elle devenue le premier responsable du réchauffement climatique en même temps que l'énergie atteint des prix stratosphériques partout ailleurs... Une moitié de l'humanité devrait déjà renoncer à se chauffer l'hiver prochain tandis que l'autre moitié plus privilégiée devrait renoncer au "grand confort" : la TERRE n'est pas un wagon Pullman transsibérien mais une petite planète fragile dont Raz-Poutine abuse à coups de fesses comme dans "Le dictateur" de Chaplin. Mais Raz-Poutine dans son costume de James BAND n'est qu'un fanfaron méprisant.
La GRANDE ROUSSIE brûle et l'Europe alterne entre le chaud et le froid mais le petit bonhomme soviet, le PATRIOCHKA, garde le doigt sur le bouton de la bombe atomique... On se souviendra de lui comme l'ignoble Caca-Poutine : aujourd'hui, il fait monter les enchères et la mobilisation ! Ah oui, merde in Russia TODAY.
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