dimanche 17 août 2025

Deuxième allocution du Président de la République française LJ©2025

Palais de l’Élysée – 20 août 2025

Françaises, Français,
Mes chers compatriotes,

Depuis quelques jours, le monde a basculé dans une nouvelle ère. Le 27 juillet dernier, Donald Trump a imposé à l’Europe un accord dont le seul but était de renflouer une dette américaine devenue vertigineuse — plus de trente trillions de dollars. Le 15 août, il a offert à Vladimir Poutine, malgré une Russie exsangue et détruite par son propre effort de guerre, une victoire anticipée, la levée de toutes les sanctions et les moyens d’un enrichissement rapide par des fonds d'investissement communs dans les secteurs clés. Deux "accords" successifs. Deux capitulations de l’Europe. Une double soumission : à l’Amérique d’abord, à la Russie ensuite.

Ne nous y trompons pas : ces accords ne sont pas des compromis, ce sont pour nous des ordres de transferts. Transferts de nos richesses pour sauver une Amérique qui s’effondre sous ses dettes. Transferts de nos libertés pour permettre à une Russie de reconstituer son arsenal militaire épuisé au mépris des millions de vies qu’elle a déjà sacrifiées. Transferts de notre souveraineté, enfin, car l’Europe et l’Ukraine ont été volontairement exclues de ces dernières discussions.

Dans un monde où les équilibres se redessinent, cette manœuvre n’est pas un accident. Elle s’inscrit dans une logique globale. L’Amérique de Trump cherche à transformer ses faiblesses en force en utilisant l’Europe comme tremplin pour s'enrichir facilement et affirmer sa domination. La Russie de Poutine, quant à elle, camoufle ses ruines derrière le spectacle d’une « grandeur retrouvée instantanément » avec l'accueil chaleureux de Vladimir Poutine par Donald Trump sur le sol des États-Unis d'Amérique, en Alaska, le 15 août 2025. Mais derrière ces illusions, il n’y a qu’une seule réalité : deux puissances défaillantes qui s’associent pour transformer notre Europe communautaire en vassal économique et militaire.

Regardons la vérité en face. La Russie aujourd’hui, c’est un million de morts et de blessés; des territoires conquis au prix de la destruction systématique sous les bombes, jour après jour, de l'Ukraine pendant bientôt quatre ans, sans un seul jour de relâche; une économie réduite à l’effort de guerre; une société entière asservie à la violence et au mépris. Et pourtant, voilà que son régime obtient soudain, par la grâce d’un prétendu accord américain, les moyens de se reconstituer complètement. L’Amérique de Trump, elle, se sauve de ses propres dettes en transformant l’Europe en tiroir-caisse de secours. Ce n’est pas une alliance. C’est un cambriolage.

Et ce piège n’est pas seulement militaire. Il est aussi technologique, financier, climatique. Car, que nous imposent ces accords successifs surgis du néant ? Qu’il faut abandonner toute régulation environnementale. Qu’il faut relancer le pétrole, le gaz, le plastique, au détriment de notre environnement. Qu’il faut renoncer à une politique numérique souveraine pour dépendre des plateformes américaines. Qu'il faut transférer nos industries aux États-Unis qui commerceront en grand avec la Russie pour s'approvisionner de ses  richesses minières inépuisables.

Ce que nous voyons ici, c’est une tentative d’organiser une économie mondiale de la domination par la prédation, une économie qui refuse notre avenir européen pour prolonger l’illusion de deux super-puissances défaillantes, une économie qui passe par la manipulation de la conscience des peuples.

L'enfer commence par la soumission. Payer des rançons entre états et céder nos territoires est inadmissible pour l'Ukraine comme pour la France, et surtout c'est contraire à notre histoire, à notre constitution et aux lois du commerce international.

Le philosophe Paul Valéry écrivait déjà il y a un siècle que « nous autres civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». Ce qui s’est joué le 27 juillet et le 15 août, ce n’est pas la paix. C’est un marché de dupes : la survie de deux régimes, payée par l’effacement de l’Europe. Et ce marché, nous le refusons. Ce qui se joue aujourd’hui, c’est la mort annoncée de la civilisation européenne d'origine grecque et latine. Allons-nous devenir les comptables dociles de la dette américaine ? Allons-nous financer, malgré nous, la reconstitution accélérée de l’appareil militaire russe ? Allons-nous regarder, impuissants, l’Ukraine sacrifiée disparaître dans un silence qui couvrirait notre propre abdication ?

Aujourd’hui, je vous le dis : notre mémoire historique nous oblige à voir lucidement ce que nous sommes devenus — une Europe trop souvent spectatrice. Mais notre promesse est d’être autre chose. D’être une puissance capable de se protéger, d’investir dans l’intelligence artificielle, dans les énergies propres, dans une France naturelle et vivante, dans l’économie de demain et de le faire non pas sous la tutelle méprisante d’autres puissances, mais par nous-mêmes.

J’entends déjà les sceptiques dire que c’est impossible. Mais l’Europe n’est pas née de la facilité : elle est née du courage. Ce qui se joue aujourd’hui, c’est notre souveraineté, notre liberté, notre capacité à décider par nous-mêmes de notre destin.

Nous ne devons pas céder à la peur. Nous devons, au contraire, retrouver l’esprit de ceux qui ont toujours su défendre la culture, la pensée, la création, ce qui fait l’Europe. Albert Camus écrivait que « la vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent ». Alors donnons tout aujourd’hui : pour l’Ukraine, pour l’Europe, pour notre avenir commun.

C’est pourquoi je vous le dis avec gravité : nous ne pouvons pas accepter cette capitulation organisée. Nous ne pouvons pas accepter que l’Ukraine soit sacrifiée. Nous ne pouvons pas accepter que l’Europe devienne la variable d’ajustement des dettes américaines et de l’effort de guerre russe.

Françaises, Français, il existe une autre voie. Elle n’est pas facile, mais elle est nécessaire. L’'Ukraine est devenue la première ligne de défense du monde libre. Et l’Europe doit donc protéger l’Ukraine, non par des discours creux mais par des actes.

Cela signifie être prêts, si nécessaire, à entrer en Ukraine avec ou sans l'OTAN, à la défendre comme notre maison commune, l'Ukraine avec ses hommes 
si courageux, son territoire et son ciel.

Cela signifie, en même temps, bâtir une économie de souveraineté — dans l’énergie, dans le numérique, dans la défense.

Cela signifie assumer que l’avenir du monde se joue dans l’équilibre entre les nations, et non dans leur soumission.

Cela signifie enfin de refuser que l’avenir de notre continent soit décidé par deux mégalomanes associés, au mépris de notre dignité collective.

Mes chers compatriotes,

L’Histoire nous regarde. Elle ne nous demande pas d’être parfaits. Elle nous demande d’être courageux. De refuser l’abdication. D’assumer que l’Europe soit à la hauteur de ce qu’elle prétend être : une puissance économique et philosophique car notre cher et beau pays, la France, doit demeurer une force de liberté et d'inspiration.

Je vous le dis ce soir avec gravité et avec espoir : nous avons encore le choix. Le choix de ne pas subir. Le choix d’agir. Le choix de rester libres. Il est encore temps de relever la tête.

Aucun despote ne peut s'arroger le droit de nous "offrir" sa paix au prix de l'humiliation, de la coercition, de l'invasion et du mensonge. Cette paix là s'appelle dictature.

Contre cela, une seule voie s’ouvre à nous : l’Europe doit prendre ses responsabilités. Cela signifie être prêts à protéger l’Ukraine, à sanctuariser son espace aérien, à sécuriser ses frontières.

C'est la raison pour laquelle nous avons créé la "Coalition des Volontaires": pour prendre toutes nos responsabilités, à tous les niveaux, le moment venu.

Je ne vous propose pas d'entrer en guerre mais de protéger tous vos acquis qui sont : la Liberté, l'Égalité, la Fraternité et la Justice.

C'est la raison pour laquelle je vous demanderai, en même temps, de rester unis au moment de prendre ensemble, au nom de la Nation, toutes nos responsabilités.

Vive la République.

Vive l’Europe.

Vive la France.

LJ©2025 Attention, ceci est une proposition d'allocution présidentielle adressée à M. Macron.

samedi 16 août 2025

Le doigt glacé du proctologue Raz-Putin le vendredi 15 août 2025 en Alaska : « Massage de pet » russe en temps de guerre. LJ©2025

Quand le capitalisme européen devient synonyme de capitulation européenne en juillet et août 2025 : mise en esclavage de l’UE pour servir à renflouer les dettes nationales américaines et russes, le tout sous l’égide des dictateurs Trump-La-Mort et Raz-Putin.

Ce vendredi 15 août 2025 à Enchorage (en Russie d’après Trump), le Patrioska Raz-Putin, un expert réputé en proctologie, a offert un massage de la prostate au grand Bibendum-blond américain, d’un doigt expert, pendant que les bombardiers américains traversaient le ciel inutilement, comme de grands éclairs noirs presque silencieux.

De notre envoyé spécial

Trump-la-mort ne s’y est pas trumpé :

« J’ai vu en seulement deux minutes toute l’âme russe et sa grandeur dans les yeux de Raz-Putin », dixit Trump.

« Son massage, entraînant des flatulences, dirigé d’un doigt glacé sur ma prostate au travers de l’anus, m’a fait entrer dans un état profond de PET INTÉRIEUR et EXTÉRIEUR. J’ai flatulé pendant près de trois heures mais Raz-Putin m’a définitivement soigné la prostate de son doigt magique et glacé. Il ne m’a pas trop élargi l’anus, que j’avais déjà bien ouvert, et je peux maintenant m’asseoir presque correctement pour boire mon Coca light. »

«Raz-Putin ne parlait qu’un russe exquis pour éviter l’usage de notre langue américaine, vulgaire et dégénérée par le wokisme de Biden», expliqua Trump après avoir fait retirer tous les portraits de Biden et Obama des multiples salons et cantines de la base d’En-courage, En-corrige, — « bah, je n’arrive pas à prononcer les noms russes… »

Lavrov-sans-bouillir a remis d’abord une paire de gants blancs en latex à Raz-Putin pour procéder sans attendre à l’opération rectale. «Le ministre Lavrose parle merveilleusement l’américain… Comme mon pote Joe-froid Epstein, il s’est bien amusé (mais j’ai compris que c’était très respectueux et sans conséquences) à faire des allusions salaces à mon adresse, du style : Mets-toi à quatre pattes, Big Boy, et écarte les fesses pour recevoir notre MASSAGE DE PET INTERNATIONAL. Nous allons jouer aux poupées russes dans ton derrière. Une petite, une moyenne, une grosse. Un peloton, une compagnie et tout un régiment ! »

«À aucun moment, le Patrioska n’a eu peur de mon bombardier unique B-2 qui rayait le ciel, ni de mes trois chiens de garde — ma garde rapprochée qui avait tant terrorisé le petit Zelensky : Rubiol, Heggseth et Blessent, Vance étant absent. Raz-Putin est reparti dans sa voiture blindée libre comme l’air car ici, en Russie comme en Amérique, il n’existe aucun mandat international valable pour arrêter le plus grand criminel de guerre du XXIᵉ siècle. Mais de toute façon, c’est faux car tout le monde le sait: Raz-Putin est un homme merveilleux et il m’a même complimenté :

«_ Avec TOI à la Maison Blanche en 2022, la guerre n’aurait jamais commencé et tu aurais sauvé deux millions de militaires et de civils. Mais Zelensky a reçu l’autorisation par Biden de LES TUER TOUS.»

Trump : « Cette guerre, c'est celle de Biden. Ce n'est pas ma guerre, ni celle du pauvre président Raz-Putin qui n'est qu'une victime du président Zelensky et des nazis revanchards. C’EST LA RAISON POUR LAQUELLE L’AMÉRIQUE NE FERA JAMAIS DE MAL À SON AMI ET ALLIÉ RUSSE FACE À LA FOLIE DE ZELENSKY. Oui, L’OPÉRATION SPÉCIALE DOIT CONTINUER ABSOLUMENT et NOUS FÊTERONS BIENTÔT NOTRE VICTOIRE COMMUNE AU KREMLIN le jour où l'Ukraine aura capitulé en cédant tous les territoires exigés par mon grand ami Raz-Putin, avec qui j'ai de très bonnes relations et aussi son entière confiance. Pour rassurer les journalistes : non, je n’ai pas retourné ma veste. Je sais où se trouve l’intérêt de mon grand pays, AMERICA GREAT AGAIN, et c’est quand l’Europe du petit comique Zelensky sera soumise à notre diktat commun.

Pour ceux qui s'inquiètent pour ma santé... Non, je ne suis pas sénile, mais j’ai adoré comment Raz-Putin me traite et me respecte : je crois qu'il est amoureux de moi ! Oui, je sais, ça paraît incroyable... Il veut m'offrir le Prix Nobel sur un plateau si je lui offre l'Ukraine, la Crimée, le Donbass et Zelensky les mains liées. J'ai dit à Zelensky qu'il peut stopper la guerre immédiatement par ces quelques concessions. Je travaille de tout mon cœur à ce dénouement merveilleux pour finir dans une grande réception au Kremlin, et mon ami Raz-Putin attend lui aussi impatiemment l'annonce de cet heureux événement à l'autre bout du téléphone. Nous sommes comme mari et femme : c'est un garçon ! J'ai trop hâte qu'il m'invite dans sa datcha pour me masser la prostate avec son doigt de glace
Comme tous les tzars de Russie, Raz-Putin a reçu un don de guérisseur ! Raz-Putin, c'est mon deuxième LOVE avec un homme, après Joe-Froid Epstein.»

Raz-Putin avouera plus tard, hilare, devant la presse russe :

« J’avais peur que ce gros bonhomme mal éduqué pète une veine et me claque entre les doigts. J’ai dû l’opérer à sec, sans vaseline ni même un peu de vodka, comme un homme russe véritable. Il a fermé les yeux et il a souri… Mais pourquoi perdre de la bonne vodka? Son sexe minuscule s’est rétracté avec le froid et son énorme ventre retombait par-dessus. Je n’avais jamais vu ça en Russie ! Chez nous, même les hommes les plus faibles savent s’entretenir. Nous nous sommes mis d’accord sur les points essentiels d’une coopération totale: partage des ressources de l’Arctique pendant le dégel, abandon général des prétentions de régulation climatique et intensification de l’usage des dérivés du pétrole et du plastique dans notre intérêt commun, dissolution de l’Union européenne inventée pour nous causer du tort, désactivation de l’OTAN en Europe, destitution de Zelensky et partage des métaux et terres rares du Donbass, abandon de toutes les sanctions contre la Russie et restitution sans exception de tous les biens confisqués, reconstitution pleine et entière de la Grande Russie des Tzars et restauration de l’Empire russe éternel, capitulation au Kremlin des États-Unis de Trump-la-mort, seul représentant reconnu de l'OTAN ridiculisé, de l'Europe soumise et de l'Ukraine écrasée d'un DOIGT GLACÉ avant la prochaine réunion.

_ Mais comment avez vous gagné si facilement contre Trump ?

_ Je ne sais pas... Peut-être que j'ai appris petit enfant à me battre contre les grands, et cela m'a beaucoup servi plus tard... J'ai toujours frappé en premier le "gros plein de soupe" et après, tous les autres me léchaient le cul.

_ Trump est-il un gros Yankee plein d'arrogance et de Coca-Cola ?

_ Je ne sais pas... Peut-être oui ou peut-être non... Ja ja ja... Ce que je sais ? C'est qu'il faut rester humble, ne pas crier, rester froid comme un brise-glace soviétique et contrôler son cœur. On apprend tout ça au KGB...

_ Trump est-il le point faible ?

_ Tout le monde à son point faible. Il suffit d'appuyer dessus... Trump-la-mort aime jouer les hommes forts, et c’est normal dans sa situation, mais il est émotif et beaucoup moins fort quand la Grande Russie restaure l’équilibre géopolitique et militaire, quand la Grande Russie reconstitue sa sphère d’influence traditionnelle et quand nos merveilleuses poupées russes gigognes menacent son espace intérieur : une seule bombe atomique avec ses ogives multiples vaut tous les discours, n'est-ce pas ? Oui, je crois que Trump-la-mort a finalement intégré par le fondement… on peut le dire comme ça… la DOCTRINE RUSSE… Ja, ja, ja».

Ah oui, merde in America today.



mardi 29 juillet 2025

Première allocution du Président de la République française LJ©2025

Palais de l’Élysée – 31 juillet 2025

Françaises, Français,

Je m’adresse à vous ce soir dans un moment de grande gravité pour notre pays et pour l’Europe. Car ce qui se joue depuis quelques jours n’est pas un simple différend commercial, mais un choix fondamental : celui de notre souveraineté, de notre avenir économique et de notre dignité collective.

Le 27 juillet dernier, sur le parcours du golf privé de Donald Trump en Écosse, un accord a été signé entre le président américain et la présidente de la Commission européenne, Madame Ursula von der Leyen. Cet accord, qui engage l’Union européenne, a été conclu en dehors des institutions qui représentent les peuples. Il n’a pas été soumis au Parlement européen. Il n’a pas été débattu devant vos représentants. Il a été négocié sous la menace, avec des ultimatums de droits de douane pouvant grimper, à la seule décision de Washington, jusqu’à 130 %.

On vous le présente comme un "partenariat historique", une garantie pour préserver nos exportations et notre prospérité. La vérité est tout autre : cet accord impose à l’Europe de transférer vers les États-Unis des richesses colossales qui n’ont rien à voir avec nos besoins, ni avec nos intérêts.

Au nom de la "stabilisation des marchés" et du "redressement américain", l’Europe s’engage à injecter mille milliards de dollars par an, pendant trois ans, directement dans l’économie américaine.

Elle s’engage à acheter, pour 750 milliards de dollars sur trois ans, les hydrocarbures américains, quand nous savons que plusieurs de nos nations – la France, l’Espagne, les pays scandinaves – produisent déjà un excédent d’électricité bas carbone.

Elle s’engage à absorber plus de cent milliards de produits agricoles américains chaque année, souvent aux normes que nous refusons pour protéger notre santé et notre environnement, ce qui fragilisera encore davantage nos agriculteurs.

Elle s’engage enfin à dépenser, via l’OTAN et nos budgets nationaux, près de six cents milliards de dollars en armements américains sur cinq ans, notamment pour financer un "Dôme d’Or" intégralement conçu et fabriqué aux États-Unis, alors que nos propres industries sont capables de répondre à ces besoins.

Et pendant ce temps, les profits des géants technologiques américains, près de deux cents milliards de dollars par an réalisés en Europe, continuent de nous échapper, exonérés d’impôts par des montages que cet accord sanctuarise.

Françaises, Français, tout cela représente plus de mille six cents milliards de dollars par an que notre continent verserait directement ou indirectement aux États-Unis : pour leur énergie, pour leurs produits, pour leurs armes, pour leurs géants numériques, et même pour soutenir leur dette publique qui dépasse aujourd’hui trente trillions de dollars.

Cette dette n’est pas la nôtre. Elle n’est pas celle de nos travailleurs, de nos entreprises, de nos familles. Elle résulte de choix économiques et politiques que nous n’avons jamais validés et qui ne sauraient être effacés au prix de notre avenir.

On vous dira que ce sacrifice est nécessaire pour protéger nos exportations, notamment celles qui enrichissent nos grandes fortunes du luxe, des cosmétiques, du vin et des spiritueux. Mais soyons clairs : ces fortunes continueront à prospérer, même si leurs produits coûtent 30 % plus cher. Ce ne sont pas elles qui paieront. Ce seront nos ouvriers, nos soignants, nos enseignants, nos agriculteurs, nos retraités, et tous ceux qui subissent déjà les crises successives depuis des années.

Je n’ignore pas que nous avons, nous-mêmes, alourdi notre dette nationale : les crédits d’impôt massifs aux grandes entreprises qui n’ont pas toujours tenu leurs promesses en matière d’emploi ; le "quoi qu’il en coûte" de la pandémie, qui a ajouté près de mille milliards de dette nationale à nos comptes publics. Mais jamais je n’accepterai que l’Europe et la France portent le fardeau d’une dette étrangère, d’un pays tiers, pendant que nos propres besoins en hôpitaux, en écoles, en infrastructures, en transition écologique restent sans réponse.

Cet accord, tel qu’il a été signé, n’est pas acceptable.

Il ne protège pas nos industries, il ne respecte pas nos standards, et il nie notre droit à décider pour nous-mêmes. Il consacre l’Europe comme un marché captif, soumis aux caprices d’un seul homme qui gouverne par décret et par réseaux sociaux, sans considération pour nos lois ni pour nos peuples.

Je vous le dis donc avec clarté : la France ne ratifiera pas cet accord.

Et elle appellera ses partenaires européens à se dresser pour le renégocier ou le rejeter. Car céder aujourd’hui, ce serait accepter demain que l’Europe disparaisse comme puissance libre et devienne un simple instrument pour renflouer le Trésor américain, pendant que Moscou et Pékin avancent leurs intérêts, sans contrainte et sans scrupule.

Françaises, Français, nous devons refuser l’humiliation et la dépendance. Nous devons protéger ce qui nous appartient : notre économie, notre modèle social, notre souveraineté. La France y veillera, et elle ne sera pas seule.

Vive la République. Vive la France. Vive l’Europe indépendante.

Emmanuel Macron 

LJ©2025 Attention, ceci est une proposition d'allocution présidentielle adressée à M. Macron.

lundi 28 juillet 2025

Trump transfère la dette américaine de plus de 30 trillions sur l’Europe : JOUR NOIR, UN ACCORD DE MERDE ! LJ©2025

"Ursula, j’espère que vos épaules sont larges… Aujourd'hui, notre DEAL transforme les européens en esclaves de l'Amérique. J'espère pour vous qu'ils ne vont pas se rebeller : toutes ces grèves, ça fait désordre en Europe."

Écosse, 27 juillet 2025.

Sur le green de Turnberry, Donald Trump ne joue pas qu’au golf : il joue l’avenir de l’Europe. Pendant qu’il ajuste son swing, Ursula von der Leyen, talons plantés dans l’herbe, lui porte son sac de clubs, de plus en plus lourd à chaque "deal".

Trump, sourire grotesque, lâche entre deux putts :

— "Ursula, j’espère que vous avez les épaules larges, car à l’issue de notre accord, j’aurai transféré la totalité de la dette américaine sur votre dos… plus de 30 trillions. Ça pèse lourd, hein? Mais moi, je me sens d'un coup infiniment plus léger. Il m'aura suffit de seulement 7 mois pour vous mettre le nez dans la merde !"

Von der Leyen, pliée sous le poids du sac de golf et le nez dans l'herbe :

— "Ah oui… je trouvais déjà que vos clubs commençaient à peser… mais c’est pour la prospérité transatlantique. Vous allez nous défendre contre la Russie de Poutine en échange, n’est-ce pas? "

— "Bien sûr ! Je vous vend des armes pour 600 milliards de dollars et vous aurez nos grandes oreilles pour espionner la Russie!"

— "Mais comment les ouvriers, les petites mains et les fonctionnaires européens vont-ils vous payer 30 trillions de dollars ?"

— "Une fois l'accord signé, c'est votre problème, pas le mien. Il paraît que les syndicalistes français sont teigneux. Mais Macron va arranger tout ça. Vous ne voulez pas une guerre économique avec l'Oncle Sam, n'est-ce pas ?"

— "Certains comme Macron y seraient plutôt favorables mais pas moi ni Merz et j'ai les mains liées par l'Allemagne. Allez-vous réduire au moins les droits de douane sur les voitures allemandes et l'acier ?".

— "Ursula, il y a 99 % de chance que non, mais vous avez le dos large, n'est-ce pas ? Allez, encore un petit effort, mais retirez moi ces putains de talons hauts qui font des trous dans mon green !".

Une rançon XXL, emballée dans un "accord" de merde

Derrière les sourires, le contrat est un véritable manifeste de dictature :

750 milliards $ d’hydrocarbures américains sur trois ans, à absorber coûte que coûte, contre les engagements de l'Europe sur le climat et les énergies renouvelables.

100 à 150 milliards $ par an de produits agricoles US, y compris OGM et viandes javélisées aux hormones.

150 à 200 milliards $ de profits annuels des GAFAM en Europe, exonérés d’impôts et de TVA.

600 milliards $ d'armement made in USA.

50 à 80 milliards $ par an pour le Dôme d’Or américain.

Et surtout, 1 000 milliards $ par an d’investissements industriels européens forcés aux USA pendant trois ans, sous prétexte de "stabiliser la dette américaine".

Total : plus de 30 trillions $ sur plusieurs années, qui font de l’Europe l'esclave docile de Washington, tout en ruinant sa propre industrie et son indépendance stratégique.

Un match plus que truqué

Trump, ajustant un nouveau coup, ajoute :

— "Ursula, je ne joue pas dans votre ligue. Ici, c’est mon parcours, mes règles. Vous signez, vous payez, et vous portez mes clubs."

Puis, hilare, il conclut :

— "Et si je rate mon coup ? Eh bien, c’est comme toujours : l’Europe payera deux fois. Welcome to the Trump Open 2025."

Hélas, ce "deal" ne sauve ni l’OTAN ni la coopération transatlantique : il transforme l’UE en tiroir-caisse et en esclave officiel des États-Unis, tout en donnant à Trump l’arme économique ultime pour écraser ses deux vrais adversaires : la Chine et… l’Europe elle-même. Les travailleurs européens sont esclavisés comme jadis les ouvriers chinois. Pour rembourser la dette américaine, les Européens comme les Français devront casser leurs cagnottes et vider leurs bas de laine. La prospérité américaine est à ce prix : MAGA, MAGA crient les chiens de Trump.

Ah oui, thanks Ursula. Un kiss à Trump, cet homme au grand coeur, et merde in Europe today.

lundi 21 juillet 2025

Trump piégé entre Poutine et Xi Jinping en septembre 2025 : une grande et belle victoire en trump-l’œil ! LJ©2025

À l'issue de l'ultimatum de Trump des 50 jours, Poutine se prepare à déclarer en Chine sa VICTOIRE TOTALE ET INCONDITIONNELLE sur l'Ukraine. Pour cela, il a invité Trump en Chine sous le prétexte de fêter la fin de la 2ème Guerre Mondiale et la victoire définitive sur le nazisme.

En septembre 2025, Donald Trump doit donc se préparer à fouler le tapis rouge de Pékin aux côtés de Vladimir Poutine et Xi Jinping, croyant décrocher son moment de gloire. En réalité, il s’avance vers un piège soigneusement préparé : célébrer la fin de la Seconde Guerre mondiale tout en avalisant l’annexion totale de l’Ukraine par la Russie et la prise de contrôle tacite de Taïwan par la Chine.

Son fameux ultimatum de 50 jours à Poutine ? Un leurre sans effet. Les drones et missiles russes n’ont jamais cessé de pleuvoir sur l’Ukraine, et le Kremlin n’a même pas daigné feindre l’inquiétude. À Pékin, Poutine et Xi s’afficheront en maîtres d’un "nouvel ordre mondial", tandis que Trump, englué dans des révélations sordides et pressé par ses alliés d’extrême droite, se vend pour sauver son image.

Il paradera comme le "plus grand dealmaker du XXIᵉ siècle", signant des contrats d’armement et de terres rares pour enrichir les États-Unis, mais au prix de la reddition symbolique de l’Occident. Une victoire d’ego, un désastre stratégique : Trump obtient la photo et les milliards, Poutine et Xi obtiennent le monde.

Fin de jeu. Ah oui, merde in CHINA tomorrow.

dimanche 20 juillet 2025

Poutine dit NON à Trump: l'échec de Trump à imposer son calendrier de 50 jours pour régler le conflit LJ@2025

Poutine, le marchand de guerre : quand massacrer devient "faire la paix"

L’ultimatum de 50 jours de Donald Trump, censé "régler le conflit" en Ukraine, a été balayé d’un revers de main par le Kremlin. Poutine ne s’en cache même plus : l’Ukraine est un projet industriel à long terme, une "opération" qui ne souffrira ni interruption, ni calendrier imposé par Washington.

Ce dimanche, le porte-parole Dmitri Peskov a expliqué sur la chaîne Rossiya 1 que "le règlement du conflit est un processus long et complexe", que "les dirigeants américains comprennent de mieux en mieux". Traduction : Trump n’a ni le pouvoir, ni la crédibilité pour imposer ses délais.

Poutine pousse l’humiliation plus loin : sa guerre, pourtant marquée par plus de 500 000 morts, des millions de blessés et de déplacés, des villes entières rasées, est présentée comme une œuvre de construction, un chemin vers la paix.

Selon le Kremlin, plus la guerre sera "réussie", plus la "paix russe" sera durable. La destruction devient un investissement moral ; l’invasion, une entreprise planifiée ; les bombardements quotidiens, une étape vers l’harmonie.

Poutine se drape ainsi dans le costume-cravate de l’entrepreneur raisonnable : pas un criminel de guerre, mais un bâtisseur, vendant à l’opinion internationale la guerre comme un service à l’humanité.

Trump, de son côté, n’est plus qu’un figurant. Ses ultimatums d’opérette n’effraient personne. Pas un mot du Kremlin sur les "sanctions" promises. Pas un geste de recul sur les frappes massives. Poutine accule Trump comme un petit boxeur, le ridiculise et poursuit son rouleau compresseur, certain que le temps et la propagande finiront le travail.

L’ultimatum de 50 jours lancé par Donald Trump pour "régler le conflit" en Ukraine n’a eu qu’un effet : prouver au monde que Trump n’a ni pouvoir ni crédibilité. À Moscou, Dmitri Peskov l’a dit sans détour : "Le règlement du conflit est un processus long et complexe, que les dirigeants américains commencent à comprendre." Traduction : la Russie dicte le tempo, et l’Ukraine n’est qu’un chantier à achever.

Dans le récit russe, l’invasion et les bombardements massifs ne sont plus des crimes, mais une étape vers une paix durable. Les centaines de milliers de morts, les millions de déplacés et les villes rasées disparaissent derrière un discours lisse : plus la guerre sera "efficace", plus la paix russe sera stable.

C’est un glissement calculé : la guerre devient une entreprise industrielle, Poutine un entrepreneur rationnel plutôt qu’un criminel de guerre.

Cette logique n’est pas neuve. Elle rappelle celle de Mein Kampf, où Hitler présentait ses conquêtes comme des "missions vitales" pour la survie et la grandeur de l’Allemagne, justifiant chaque massacre comme un préambule à l’ordre et la prospérité. Comme Hitler, Poutine :

inverse la réalité (la guerre comme outil de paix), déshumanise ses victimes (les Ukrainiens sont des obstacles, pas des vies), justifie ses crimes comme "inévitables et cohérents", et diffuse un récit où la violence est synonyme de progrès.

La propagande russe martèle cette inversion chaque jour : à la télévision, sur les réseaux, dans les discours officiels. Toute voix discordante en Russie est réduite au silence : journalistes emprisonnés, opposants "disparus", médias étrangers expulsés.

Face à cela, Trump apparaît comme un pantin inutile : ses ultimatums de 24 heures, 50 ou 100 jours n’intimident personne, surtout pas le Kremlin. Poutine, sûr de son narratif et de son impunité, poursuit ses frappes quotidiennes, ses vagues de drones d'origine iranienne et ses missiles supersoniques, en ricanant de la posture "protectrice" de Trump.

mercredi 16 juillet 2025

Trump, marchand d’armes et complice de Poutine : 50 jours de plus pour pilonner l’Ukraine librement ! LJ@2025

Trump, directeur commercial de la guerre

Donald Trump n’est pas un chef d’État. C’est un businessman prédateur, en mode commis voyageur du complexe militaro-industriel américain. Son dernier "revirement" sur l’Ukraine n’a qu’un but : fermer un deal à 1000 milliards de dollars pour l’industrie d’armement américaine, entièrement payé par les Européens.

Le réarmement de l’Ukraine, déjà décidé par l’OTAN et les pays européens, n’avait pas besoin de lui. Mais Trump s’invite en bout de course, joue les sauveurs, se pose en "directeur des opérations", et récupère les dividendes politiques sans dépenser un centime.

Son ultimatum de 50 jours laissé à Poutine n’est qu’un leurre médiatique. À la fin, aucune sanction directe contre la Russie, seulement des menaces vagues contre des pays partenaires comme la Turquie ou l’Inde – qu’il ne touchera jamais. La Russie le sait, s’en amuse et bombarde chaque jour un peu plus.

Trump souffle le chaud et le froid, accuse Poutine un jour, le ménage le lendemain, instrumentalise l’Ukraine comme levier économique et scène de théâtre géopolitique.

Ce n’est pas une stratégie, c’est du marketing de guerre. Et derrière l’image, la réalité continue : des drones, des missiles, des villes rasées.

Et le silence complice...

Revirement, opportunisme et duplicité dans la gestion d’une guerre génocidaire

1. Un chef d’État immature, versatile et dangereux

Depuis le 14 juillet 2025, Donald Trump a opéré un retournement de veste spectaculaire : après des mois à bloquer les livraisons d’armes à l’Ukraine, à accuser Kiev de corruption, de “gaspillage”, ou même d’avoir “provoqué la guerre”, le président américain revient sur sa position… mais en la marchandant. Et en offrant à Vladimir Poutine un délai de 50 jours pour en finir à sa manière, c’est-à-dire par un bombardement intensif et une stratégie de destruction massive.

Trump, en résumé :

bloque l’Ukraine pendant des mois, affaiblissant volontairement ses défenses, discute avec Poutine à plusieurs reprises, sans jamais le condamner, s’étonne que Poutine continue de bombarder après “des discussions gentilles”, se dit “déçu” — comme un enfant trompé par un camarade de bac à sable, puis annonce que finalement, les armes seront livrées… mais à la seule condition que l’Europe paie, et que les armes soient fabriquées par l’industrie américaine, au bénéfice exclusif des États-Unis.

2. Une politique familiale, affective, et sans doctrine

Ce qui choque le plus dans la déclaration présidentielle, c’est la mention de Melania Trump comme interlocutrice critique dans la gestion du conflit ukrainien. C’est à la Première Dame, et non à son état-major ou au Secrétaire à la Défense, que Trump rend des comptes :

“Je rentre chez moi et je dis à la Première dame : ‘J’ai parlé à Vladimir aujourd’hui, nous avons eu une merveilleuse conversation’. Et elle me répond : ‘Oh vraiment ? Une autre ville vient d’être frappée.’”

Ce fragment témoigne d’un pouvoir personnalisé jusqu’au grotesque, où la politique étrangère d’un empire mondial est influencée par des conversations domestiques et des ressentis privés. Pendant ce temps, des milliers de civils ukrainiens meurent.

3. Un “ultimatum” à 50 jours : le blanc-seing offert à Poutine

Le plus choquant dans cette séquence reste cet “ultimatum” de 50 jours laissé à la Russie. Trump annonce :

“Poutine a encore 50 jours pour mettre fin à la guerre, sinon des sanctions secondaires seront imposées.”

Mais de quelles sanctions s’agit-il ? Des taxes douanières sur les pays amis de Moscou. Autrement dit : pas une seule punition directe contre la Russie, pas de gel des avoirs, pas de coup d’arrêt à l’importation de son pétrole ou de ses métaux. En attendant, la Russie a reçu une bénédiction implicite pour continuer à :

bombarder les infrastructures civiles, lancer des attaques de drones massives, intensifier les frappes sur Kharkiv, Odessa, Kiev, épuiser l’armée ukrainienne à bout de souffle.

Ce n’est pas une pause diplomatique. C’est une complicité factuelle.

4. Le grand marchandage : transformer la guerre en contrat à 1000 milliards $

La prétendue “réouverture” de la livraison d’armes à l’Ukraine n’est en réalité qu’un marché d’armement géant. Trump ne cache pas que son objectif n’est ni la paix, ni la sécurité européenne, ni la défense des valeurs démocratiques. Il s’agit simplement d’un “très bon deal” :

“Les États-Unis ne paieront rien. Nous allons fabriquer [les armes] et ils paieront.”

Ce qui est vendu comme un soutien à l’Ukraine est en fait une opération de relance industrielle pour les géants de l’armement américain, financée :

à 100 % par les pays européens, avec des contrats exclusifs pour le réarmement des stocks OTAN, dans une logique de remplacement : on donne l’ancien matériel, et on achète du neuf aux États-Unis.

Coût pour l’Europe : au moins 1000 milliards d’euros à court terme. Bénéfice pour Trump : des profits immédiats pour l’industrie américaine, des contrats signés par des alliés humiliés, et le sentiment de générosité sans débourser un centime.

5. Un président profiteur, manipulateur, et auto-centré

Trump se vante désormais d’avoir :

“obtenu l’exclusivité des terres rares et métaux précieux ukrainiens”, “remporté un contrat que Biden avait laissé filer gratuitement”, “convaincu l’Europe de financer la guerre et les armes américaines”, “redonné une leçon à Poutine sans lui faire de mal”.

Ce comportement révèle une absence totale de cohérence diplomatique, et une vision des conflits comme un marché d’opportunités, un jeu de casino géopolitique dont il serait le seul croupier.

6. L’Ukraine utilisée comme levier de profits

Sous Trump, l’Ukraine devient :

une monnaie d’échange pour des deals industriels, un terrain d’essai pour les armements américains, un prétexte pour mettre l’Europe à genoux, en exigeant qu’elle finance tout, tout de suite, sans condition.

Pendant ce temps, aucune condamnation claire de la Russie, aucun soutien structurel à la reconstruction ukrainienne, aucune stratégie de paix globale.

7. Conclusion : l’indignité et la duplicité comme méthode

Trump incarne une nouvelle forme de déshonneur politique : le cynisme institutionnalisé. Il agit :

comme un marchand d’armes, comme un agent de chantage, comme un chef de clan mafieux, en ignorant toutes les conventions internationales, les engagements de l’OTAN, ou la morale la plus élémentaire.

Il souffle le chaud et le froid, fait durer la guerre pour en tirer du profit, accorde des délais à un criminel de guerre, marchande la souffrance d’un peuple libre.

Il est véritablement dangereux, car il n’a ni ligne rouge, ni fidélité, ni scrupule. Et le plus terrible, c’est que son revirement ne corrige rien : il le monétise en se donnant le beau rôle. Ah oui, merde in USA today.