Bien m'en a pris de l'avoir ignorée tout ce temps ! Aujourd'hui, j'aurais peut-être un couteau planté entre les deux omoplates, façon porte-manteau.
Non, je n'ai pas eu la chance de la rencontrer à ses débuts et d'admirer son pare-choc en or au Salon international de l'automobile de Genève... Je veux parler de ses petits lolos d'avant et de ses gros airbags d'après l'opération. J'aurais pu aussi la rencontrer sur une plage de Californie à l'occasion de l'émission : « Allo Nabilla... » et moi, médusé par sa beauté, je serais « tombé en esclavage de ce sourire, de ce visage »*.
Je vous présente Nabilla : rien qu'avec ce prénom, les mâles français imaginent toute une ligne de sous-vêtements féminins et des longues séances de déshabillage derrière un paravent. Mais ce top-modèle s'apprêterait en fait à reprendre le rôle du requin dans un remake des « Dents de la Mer ».
Oui, certains innocents lui trouve des airs de poisson rouge : c'est l'effet « aquarium » que vous font les mannequins, ces grandes filles qui prennent aussi bien la pose devant l'objectif des cameramen de la téléréalité que celui des photographes de Paris Match, mais ne vous laissez pas pigeonner par ses roucoulades. « Mon Dieu, que les hommes sont bêtes ! » chantait la Périchole d'Offenbach.
Alors, imaginez plutôt un Oscar Pistorius « femme », avec deux lames de couteau à la place des bras. C'est ce qu'a vécu son chéri Thomas Vergara, poignardé déjà deux fois par la belle. Tout s'est passé suivant un curieux scénario : dans la nuit de jeudi à vendredi, la fille poignarde le gars au moment de se retrouver ensemble. Heureusement, Thomas n'est pas décédé des suites de ses blessures et dès son réveil aux urgences, il a innocenté Nabilla Benattia par un gros mensonge. Comme quoi, l'amour est aveugle et l'innocence en est sa prérogative. Surtout, ne cherchez pas des féministes pour défendre le cas de Thomas Vergara, ou plus exactement des « masculistes » : personne chez nous ne peut imaginer un seul instant la belle pépée coupable d'un crime, eu égard à ses mensurations avantageuses... Et Nabilla n'en est plus à une arnaque près.
Aux débuts de la téléréalité, les participants étaient suivis par des psychologues. Mais une fois livrés à eux-mêmes, comment gérer l'hyper-médiatisation ? Ils devraient s'imposer un suivi psychiatrique pour sauver leurs couples et leurs âmes.
_ « Euh, allô ! non, mais allô, quoi. T'es une fille et ton mec est jaloux ? Allô. Allô ! Je sais pas, moi, tu me reçois ? T'es une fille, t'as jamais pété les plombs ? C'est comme si je dis : t'es une fille, t'as pas essayé de planter ton mec ! ».
C'est ça, l'amour vache ? Attention aux coups de cornes. Bon, allons voir à quoi elle ressemble, la lolotte avec ses prothèses de charme :
_ Oh... Ah... Non, je ne vous juge pas ! Mais cachez moi ce sein que je ne saurais voir...
* « Elle est d'ailleurs », chanson de Pierre bachelet
Non, je n'ai pas eu la chance de la rencontrer à ses débuts et d'admirer son pare-choc en or au Salon international de l'automobile de Genève... Je veux parler de ses petits lolos d'avant et de ses gros airbags d'après l'opération. J'aurais pu aussi la rencontrer sur une plage de Californie à l'occasion de l'émission : « Allo Nabilla... » et moi, médusé par sa beauté, je serais « tombé en esclavage de ce sourire, de ce visage »*.
Je vous présente Nabilla : rien qu'avec ce prénom, les mâles français imaginent toute une ligne de sous-vêtements féminins et des longues séances de déshabillage derrière un paravent. Mais ce top-modèle s'apprêterait en fait à reprendre le rôle du requin dans un remake des « Dents de la Mer ».
Oui, certains innocents lui trouve des airs de poisson rouge : c'est l'effet « aquarium » que vous font les mannequins, ces grandes filles qui prennent aussi bien la pose devant l'objectif des cameramen de la téléréalité que celui des photographes de Paris Match, mais ne vous laissez pas pigeonner par ses roucoulades. « Mon Dieu, que les hommes sont bêtes ! » chantait la Périchole d'Offenbach.
Alors, imaginez plutôt un Oscar Pistorius « femme », avec deux lames de couteau à la place des bras. C'est ce qu'a vécu son chéri Thomas Vergara, poignardé déjà deux fois par la belle. Tout s'est passé suivant un curieux scénario : dans la nuit de jeudi à vendredi, la fille poignarde le gars au moment de se retrouver ensemble. Heureusement, Thomas n'est pas décédé des suites de ses blessures et dès son réveil aux urgences, il a innocenté Nabilla Benattia par un gros mensonge. Comme quoi, l'amour est aveugle et l'innocence en est sa prérogative. Surtout, ne cherchez pas des féministes pour défendre le cas de Thomas Vergara, ou plus exactement des « masculistes » : personne chez nous ne peut imaginer un seul instant la belle pépée coupable d'un crime, eu égard à ses mensurations avantageuses... Et Nabilla n'en est plus à une arnaque près.
Aux débuts de la téléréalité, les participants étaient suivis par des psychologues. Mais une fois livrés à eux-mêmes, comment gérer l'hyper-médiatisation ? Ils devraient s'imposer un suivi psychiatrique pour sauver leurs couples et leurs âmes.
_ « Euh, allô ! non, mais allô, quoi. T'es une fille et ton mec est jaloux ? Allô. Allô ! Je sais pas, moi, tu me reçois ? T'es une fille, t'as jamais pété les plombs ? C'est comme si je dis : t'es une fille, t'as pas essayé de planter ton mec ! ».
C'est ça, l'amour vache ? Attention aux coups de cornes. Bon, allons voir à quoi elle ressemble, la lolotte avec ses prothèses de charme :
_ Oh... Ah... Non, je ne vous juge pas ! Mais cachez moi ce sein que je ne saurais voir...
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