Les Américains deviennent-ils chaque jour un peu plus stupides ? Mais par quel lavage de cerveau ? Car voici venir le temps des caucus et la politique américaine prend un sale goût, comme si l'eau putride était devenue d'un coup partout buvable, un élixir à New York comme à Paris :
- « Regardez, moi aussi j'en bois ! » font ces politiciens pervertis à la solde des lobbies.
Ne dit-on pas que tous les goûts sont dans la nature ? La campagne électorale là-bas bat son plein qui n'a rien de campagnard. Mais comment peut-on perdre le goût du « bon » en quelques générations (encore faut-il l'avoir jamais eu) et d'où vient cette odeur de pourriture politique ? A-t-on branché tous les réseaux américains d'approvisionnement d'eau sur les rivières et les égouts, comme à Flint dans le Michigan ? Quelque chose de délétère s'échappe qui risque fort de venir nous contaminer en Europe comme tout ce qui vient des États-Unis, et pas seulement le gaz de schiste dans les canalisations.
Lui à l'air inoffensif, autant qu'un Ted Cruz, truculent derrière sa mèche blonde mais attention, un Donald Trump énormément... « D'accord, Il est misogyne et tout ça... Mais il est bon ! ». Ah, un peu comme Hitler ? Près de lui, les rafales de mitrailleuses sont des feux d'artifices ou des gros pétards : le peuple est rassuré qui peut s'armer, mais contre qui ? Du coup, Hillary Clinton paraît presque une vilaine gauchiste... Cependant, elle est bien moins « socialiste » qu'un Barack Obama et pour sûr, ce n'est pas elle qui pourfendra le lobby des armes ! Une Madame Chirac en sommes ? Non, mais l'équivalent d'une Marine Le Pen chez nous...
Ainsi l'extrême-droite américaine est-elle désormais un attracteur, un aimant qui polarise les consciences : c'est comme si la Terre changeait de polarité et que tous les moteurs décident de tourner à l'envers un beau matin... Non, rien de visible encore en Europe mais notre système social hérité de la Grèce antique s'est inversé et l'arrivée d'Aléxis Tsípras en Grèce ou de Pablo Iglesias en Espagne nous avertissent d'un « big problem » : les milliardaires, les lobbies et les instances supra-nationales s'imposent à peu près partout comme les décideurs contre le peuple.
Aujourd'hui, les États-Unis, riches de leurs multinationales, s'assurent de garder leurs leadership pour les cinquante ans à venir, une paille : la preuve en est le dernier accord transpacifique (sans la Chine) et le prochain accord transatlantique à venir ! Donald Trump dans cet élan patriotique s'excite : « Du football et des hamburgers » façon Jules César et « sauvons l'Americain way of life » contre la décroissance européenne et la Chine dominatrice.
Tout autour de François Hollande, nos petits industriels s'agitent avec des promesses d'achat plein les mains mais ils ne sont plus moteurs et les concessions exigées frisent l'abdication. Les analystes sont catégoriques : l'euro-monnaie est condamné en tant que modèle de redistribution socialiste des richesses : « Heureux qui communiste a fait un beau voyage... » mais « tout le monde descend » ! Les collectivités endettées voient refluer en sens inverse leurs finances vers les banques, les bourses et un pour cent de la population terrestre la plus riche. Même notre ex-président Sarkozy se dore la pilule au frais de quelques milliardaires koweïtiens en attendant de reprendre le pouvoir pour servir ses copains milliardaires, financiers, banquiers, au choix marchands d'armes ou marchands d'art. Et voilà qu'il se pose en héraut des industries du passé, celles qui nous mènent à l'extinction des espèces et à la destruction du vivant : sont opposition au « paquet de cigarette neutre » n'est qu'une mise en bouche... cancérigène.
Dommage, car il est une façon de penser à l'exact opposé de l'affairisme américain et des puits de pétrole, un « Esprit de Vie » comme une résurgence des religions polythéistes multi-millénaires, une volonté ténue qui voudrait sacraliser la Terre, les formes de vie endémiques et leurs biotopes variés, le Soleil, l'air et le vent, la pluie et le tonnerre, les lacs, les rivières et les océans. Mais c'est sans espoir : Hollande, sur le point de départ de ce gouvernement, encourage la pollution automobile et maintient le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Notre air est irrespirable, nos terres sont bétonnées et nos rivières sont des égouts.
Pourtant, le gaz, le pétrole et les métaux qui nous empoisonnent retourneront forcément un jour s'enfouir dans les profondeurs terrestres puisque c'est l'ordre naturel de notre planète, quand l'eau doit ruisseler librement à la surface pour cascader, s'aérer, se purifier à la lumière, charrier des micro-éléments et nourrir la vie marine. À moins que bientôt, sous notre influence, la Terre privée de sa couche d'ozone et de son champ magnétique ne se dessèche comme une vieille cacahuète pour ressembler un peu plus à « Mars la rouge ». Déjà, les petits hommes en noir de chez Matrix se répliquent incessamment, des Hollande, des Sarkozy, des Valls, Macron, Juppé, Fillon etc. chaque jour plus nombreux pour nous boxer la tronche et reprendre l'ascendant sur nos mauvaises habitudes.
Gaïa, esprit terrestre féminin, ressemble à toutes ces maîtresses répudiées depuis 4 ans par notre Président : de toutes les couleurs, de toutes les rondeurs, elles sont les nanas modelées par Niki de Saint Phalle, un mélange de Ségolène Royal, d'Anne Hidalgo, de Cécile Duflot, de Christiane Taubira, mais aussi de Valérie Trierweiler, de Julie gayet, d'Elsa Zylberstein.
À me lire, les Américains misogynes et tous les nationalistes racistes à la solde de « Trump qui trompette » me prendront sans doute pour un indien, un Apache, un Sioux ou un Comanche et ils me haïrons à l'égal d'un Julian Assange, un traître au pouvoir en place. Ne prétendent-ils pas déjà que l'euro, notre papier-monnaie, est obsolète ? Victoire ! Ah, les cons. Humblement, nous les Français ne sommes pas que des serial-lovers, des latinos impécunieux en somme... Alors, contre ces élections américaines 2016 de mauvais présage et pour préfacer nos élections présidentielles de 2017, pavoisons haut et fort : « In Europe we trust » et « Yes, we french cancan ».
- « Regardez, moi aussi j'en bois ! » font ces politiciens pervertis à la solde des lobbies.
Ne dit-on pas que tous les goûts sont dans la nature ? La campagne électorale là-bas bat son plein qui n'a rien de campagnard. Mais comment peut-on perdre le goût du « bon » en quelques générations (encore faut-il l'avoir jamais eu) et d'où vient cette odeur de pourriture politique ? A-t-on branché tous les réseaux américains d'approvisionnement d'eau sur les rivières et les égouts, comme à Flint dans le Michigan ? Quelque chose de délétère s'échappe qui risque fort de venir nous contaminer en Europe comme tout ce qui vient des États-Unis, et pas seulement le gaz de schiste dans les canalisations.
Lui à l'air inoffensif, autant qu'un Ted Cruz, truculent derrière sa mèche blonde mais attention, un Donald Trump énormément... « D'accord, Il est misogyne et tout ça... Mais il est bon ! ». Ah, un peu comme Hitler ? Près de lui, les rafales de mitrailleuses sont des feux d'artifices ou des gros pétards : le peuple est rassuré qui peut s'armer, mais contre qui ? Du coup, Hillary Clinton paraît presque une vilaine gauchiste... Cependant, elle est bien moins « socialiste » qu'un Barack Obama et pour sûr, ce n'est pas elle qui pourfendra le lobby des armes ! Une Madame Chirac en sommes ? Non, mais l'équivalent d'une Marine Le Pen chez nous...
Ainsi l'extrême-droite américaine est-elle désormais un attracteur, un aimant qui polarise les consciences : c'est comme si la Terre changeait de polarité et que tous les moteurs décident de tourner à l'envers un beau matin... Non, rien de visible encore en Europe mais notre système social hérité de la Grèce antique s'est inversé et l'arrivée d'Aléxis Tsípras en Grèce ou de Pablo Iglesias en Espagne nous avertissent d'un « big problem » : les milliardaires, les lobbies et les instances supra-nationales s'imposent à peu près partout comme les décideurs contre le peuple.
Aujourd'hui, les États-Unis, riches de leurs multinationales, s'assurent de garder leurs leadership pour les cinquante ans à venir, une paille : la preuve en est le dernier accord transpacifique (sans la Chine) et le prochain accord transatlantique à venir ! Donald Trump dans cet élan patriotique s'excite : « Du football et des hamburgers » façon Jules César et « sauvons l'Americain way of life » contre la décroissance européenne et la Chine dominatrice.
Tout autour de François Hollande, nos petits industriels s'agitent avec des promesses d'achat plein les mains mais ils ne sont plus moteurs et les concessions exigées frisent l'abdication. Les analystes sont catégoriques : l'euro-monnaie est condamné en tant que modèle de redistribution socialiste des richesses : « Heureux qui communiste a fait un beau voyage... » mais « tout le monde descend » ! Les collectivités endettées voient refluer en sens inverse leurs finances vers les banques, les bourses et un pour cent de la population terrestre la plus riche. Même notre ex-président Sarkozy se dore la pilule au frais de quelques milliardaires koweïtiens en attendant de reprendre le pouvoir pour servir ses copains milliardaires, financiers, banquiers, au choix marchands d'armes ou marchands d'art. Et voilà qu'il se pose en héraut des industries du passé, celles qui nous mènent à l'extinction des espèces et à la destruction du vivant : sont opposition au « paquet de cigarette neutre » n'est qu'une mise en bouche... cancérigène.
Dommage, car il est une façon de penser à l'exact opposé de l'affairisme américain et des puits de pétrole, un « Esprit de Vie » comme une résurgence des religions polythéistes multi-millénaires, une volonté ténue qui voudrait sacraliser la Terre, les formes de vie endémiques et leurs biotopes variés, le Soleil, l'air et le vent, la pluie et le tonnerre, les lacs, les rivières et les océans. Mais c'est sans espoir : Hollande, sur le point de départ de ce gouvernement, encourage la pollution automobile et maintient le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Notre air est irrespirable, nos terres sont bétonnées et nos rivières sont des égouts.
Pourtant, le gaz, le pétrole et les métaux qui nous empoisonnent retourneront forcément un jour s'enfouir dans les profondeurs terrestres puisque c'est l'ordre naturel de notre planète, quand l'eau doit ruisseler librement à la surface pour cascader, s'aérer, se purifier à la lumière, charrier des micro-éléments et nourrir la vie marine. À moins que bientôt, sous notre influence, la Terre privée de sa couche d'ozone et de son champ magnétique ne se dessèche comme une vieille cacahuète pour ressembler un peu plus à « Mars la rouge ». Déjà, les petits hommes en noir de chez Matrix se répliquent incessamment, des Hollande, des Sarkozy, des Valls, Macron, Juppé, Fillon etc. chaque jour plus nombreux pour nous boxer la tronche et reprendre l'ascendant sur nos mauvaises habitudes.
Gaïa, esprit terrestre féminin, ressemble à toutes ces maîtresses répudiées depuis 4 ans par notre Président : de toutes les couleurs, de toutes les rondeurs, elles sont les nanas modelées par Niki de Saint Phalle, un mélange de Ségolène Royal, d'Anne Hidalgo, de Cécile Duflot, de Christiane Taubira, mais aussi de Valérie Trierweiler, de Julie gayet, d'Elsa Zylberstein.
À me lire, les Américains misogynes et tous les nationalistes racistes à la solde de « Trump qui trompette » me prendront sans doute pour un indien, un Apache, un Sioux ou un Comanche et ils me haïrons à l'égal d'un Julian Assange, un traître au pouvoir en place. Ne prétendent-ils pas déjà que l'euro, notre papier-monnaie, est obsolète ? Victoire ! Ah, les cons. Humblement, nous les Français ne sommes pas que des serial-lovers, des latinos impécunieux en somme... Alors, contre ces élections américaines 2016 de mauvais présage et pour préfacer nos élections présidentielles de 2017, pavoisons haut et fort : « In Europe we trust » et « Yes, we french cancan ».
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François Hollande
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