Des prétendus réformateurs, voire des soi-disant anarchistes qui ne sont que des perroquets du capitalisme, j’en connaît un certain nombre en France: tous des bons à rien qui prétendent tous les jours inventer le fil à couper le beurre... Ce sont eux qui prennent la parole librement sur les médias plus ou moins alternatifs du genre Cnews, Sud Radio, Mariane avec Natacha Polony ou Mediapart avec Edwy Plenel, pour répéter ad nauseam… la même chose. Ces contestataires bavards sont les Le Pen, Zemmour, Philippot, Collard et tous les perroquets de l’extrême-droite, Onfray et son nouvel élève Juan Branco en contre-réformistes de l’Europe maastrichtienne, Mélanchon en révolutionnaire de la VIème République et les Verts presque inaudibles, exceptées Élisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et sa secrétaire d'État Emmanuelle Wargon qui sont à la manœuvre sur les radios habituelles au nom de LREM, pour nous dessiner une écologie macronienne pleine de bonnes intentions.
Marine Le Pen et Mélanchon se tirent la bourre sur la bête encore fumante (un vieux rat puant?), jurant qu’ils vont en finir avec le gouvernement Macron, blessé à mort par le scandale du coronavirus ou «Covidgate». Curieusement, ils ont tous le même projet SOUVERAINISTE et c’est pourquoi Onfray-beau-gars, le philosœuf de ce poulailler, se propose d’en faire la synthèse sur son Front Populaire. Idriss Aberkane a rejoint le mouvement: notre Besancenot à la mode maghrébine réfléchit «comment décomplexer les enfants de l’immigration sur les bancs des grandes écoles françaises» et «comment constituer la start-up nation des banlieues libérées des flics». Le Front Populaire doit devenir la version studieuse des rond-points squattés par les gilets-jaunes. Hélas, ce sont beaucoup de belles paroles déversées pendant ses conférences, quelques formules-choc pour orienter la révolte et prendre le pouvoir, des punchlines pour amuser la galerie et du faux savoir à la tonne comme dans «Qui veut gagner des millions?»
Moi aussi, monsieur Aberkâgne, j’aimerais «beaucoup plus de savoir» et par exemple tout le programme de l’enseignement secondaire à la télévision pour repasser le baccalauréat, l’encyclopédie Universalis gratuite couplée avec Wikipédia, les outils pédagogiques les plus modernes à ma disposition et la possibilité d’enchaîner trois doctorats dans les grandes écoles les plus réputées, partout dans le monde. Mais pour la fête du déconfinement (celle qui doit remplacer Pessah, Pâques et le ramadan), le peuple réclame maintenant plus de vacances et plus de jeux, du foot et des salles de muscu, de la bière et des pizzas, des burgers-frites et des voyages, de la beuh et des loukoums, l’amour inconditionnel de la police et surtout du pognon, du pognon et du pognon!
Faut-il parler d’arnaque? En tous les cas, peu de résultats seront obtenus sur la base de cogitations oiseuses. Ainsi, la «pédagogie souverainiste» prétend devenir une science mais le vrai savoir en est absent et la non-action est son cercle vicieux. Cette pédagogie se consomme à volonté en manuels coûteux comme par exemple «Les philosophies stériles» avec Onfray, «l’Acculturation impossible» avec Zemmour, «La neuroscience en kit» avec Aberkhane, «les sciences politiques appliquées aux gilets-jaunes» avec Branco, «Le tennis en short moulant avec une barrette de shit derrière l’oreille» avec Yannick Noah et enfin «l’Art des guet-apens anti-flics» avec la Racaille, celle qui coupe sa coke au DD dans un squatte en haut de la Tour Eiffel, façon PNL. L’imposture a ses nouveaux gourous qui profitent du déclassement du peuple par les élites pour lui fourguer sa came.
Hélas, tous ces souverainistes sont des perroquets. Le «génie français» est bel et bien en berne. Aujourd’hui, les bobos confondent culture et culturisme: ils se plaignent surtout que le Covid-19 les a empêchés de fréquenter les salles de sport et de musculation. Macron lui ne fait que du replâtrage après chaque crise d’ampleur nationale. Tiens, il suffisait de parcourir les ondes radios et les programmes-télé pendant le «grand confinement» pour comprendre que nous avons atteint notre «niveau d’inculture nationale maximale». Et la connerie est le plus grand bateau de croisière, ce qui n’échappe pas aux opportunistes de tous poils dont les responsables de programmation.
Il faut entendre la morgue du gouvernement Macron et de ses pauvres ministres sans aucune heure de vol, propulsés aux commandes d’un avion de ligne. Tout ça pour expliquer du haut de leur fenêtre médiatique (avec Sibeth Ndiaye en porte-parole) que les Français sont une bande d'imbéciles ingouvernables.
Et maintenant, écoutez le cynisme des autres manipulateurs en embuscade, ces faux philosophes, ces faux chercheurs-trouveurs, tous ces faux savants de l’info-business et ces nouveaux charlatans qui viennent vous vendre leur «remède universel» en abonnements sur internet, en best-sellers sur les rayons des librairies et en sachets blancs devant les barres HLM. C’est l’échec consacré de l’Éducation nationale, vendue comme une prostituée aux dieux interlopes du Capitalisme, de l’Ignorance et de la Jouissance.
Marine Le Pen et Mélanchon se tirent la bourre sur la bête encore fumante (un vieux rat puant?), jurant qu’ils vont en finir avec le gouvernement Macron, blessé à mort par le scandale du coronavirus ou «Covidgate». Curieusement, ils ont tous le même projet SOUVERAINISTE et c’est pourquoi Onfray-beau-gars, le philosœuf de ce poulailler, se propose d’en faire la synthèse sur son Front Populaire. Idriss Aberkane a rejoint le mouvement: notre Besancenot à la mode maghrébine réfléchit «comment décomplexer les enfants de l’immigration sur les bancs des grandes écoles françaises» et «comment constituer la start-up nation des banlieues libérées des flics». Le Front Populaire doit devenir la version studieuse des rond-points squattés par les gilets-jaunes. Hélas, ce sont beaucoup de belles paroles déversées pendant ses conférences, quelques formules-choc pour orienter la révolte et prendre le pouvoir, des punchlines pour amuser la galerie et du faux savoir à la tonne comme dans «Qui veut gagner des millions?»
Moi aussi, monsieur Aberkâgne, j’aimerais «beaucoup plus de savoir» et par exemple tout le programme de l’enseignement secondaire à la télévision pour repasser le baccalauréat, l’encyclopédie Universalis gratuite couplée avec Wikipédia, les outils pédagogiques les plus modernes à ma disposition et la possibilité d’enchaîner trois doctorats dans les grandes écoles les plus réputées, partout dans le monde. Mais pour la fête du déconfinement (celle qui doit remplacer Pessah, Pâques et le ramadan), le peuple réclame maintenant plus de vacances et plus de jeux, du foot et des salles de muscu, de la bière et des pizzas, des burgers-frites et des voyages, de la beuh et des loukoums, l’amour inconditionnel de la police et surtout du pognon, du pognon et du pognon!
Faut-il parler d’arnaque? En tous les cas, peu de résultats seront obtenus sur la base de cogitations oiseuses. Ainsi, la «pédagogie souverainiste» prétend devenir une science mais le vrai savoir en est absent et la non-action est son cercle vicieux. Cette pédagogie se consomme à volonté en manuels coûteux comme par exemple «Les philosophies stériles» avec Onfray, «l’Acculturation impossible» avec Zemmour, «La neuroscience en kit» avec Aberkhane, «les sciences politiques appliquées aux gilets-jaunes» avec Branco, «Le tennis en short moulant avec une barrette de shit derrière l’oreille» avec Yannick Noah et enfin «l’Art des guet-apens anti-flics» avec la Racaille, celle qui coupe sa coke au DD dans un squatte en haut de la Tour Eiffel, façon PNL. L’imposture a ses nouveaux gourous qui profitent du déclassement du peuple par les élites pour lui fourguer sa came.
Hélas, tous ces souverainistes sont des perroquets. Le «génie français» est bel et bien en berne. Aujourd’hui, les bobos confondent culture et culturisme: ils se plaignent surtout que le Covid-19 les a empêchés de fréquenter les salles de sport et de musculation. Macron lui ne fait que du replâtrage après chaque crise d’ampleur nationale. Tiens, il suffisait de parcourir les ondes radios et les programmes-télé pendant le «grand confinement» pour comprendre que nous avons atteint notre «niveau d’inculture nationale maximale». Et la connerie est le plus grand bateau de croisière, ce qui n’échappe pas aux opportunistes de tous poils dont les responsables de programmation.
Il faut entendre la morgue du gouvernement Macron et de ses pauvres ministres sans aucune heure de vol, propulsés aux commandes d’un avion de ligne. Tout ça pour expliquer du haut de leur fenêtre médiatique (avec Sibeth Ndiaye en porte-parole) que les Français sont une bande d'imbéciles ingouvernables.
Et maintenant, écoutez le cynisme des autres manipulateurs en embuscade, ces faux philosophes, ces faux chercheurs-trouveurs, tous ces faux savants de l’info-business et ces nouveaux charlatans qui viennent vous vendre leur «remède universel» en abonnements sur internet, en best-sellers sur les rayons des librairies et en sachets blancs devant les barres HLM. C’est l’échec consacré de l’Éducation nationale, vendue comme une prostituée aux dieux interlopes du Capitalisme, de l’Ignorance et de la Jouissance.
Les perroquets souverainistes disent: Macron? Oui, admirez les pirouettes de Coco-bel-œil sur son perchoir... Le progressisme? C’est l’étalage de l’incompétence dogmatique, c’est l’impuissance convertie en vertu, c’est l’ignorance dans laquelle s’engloutit le peuple. Le résultat est effroyable: le confinement pour tous et la congélation de l’économie.
Pourtant, au sortir de la crise, l'émotion est intense et tous ces exhibitionnistes se flattent d’avoir eu à un moment donné l’oreille de Macron, y compris le comique-troupier Jean-Marie Bigard ou la chanteuse de supérettes Camélia Jordana. C’est que les banlieues soufflent fort leur colère: elles aussi ont besoin de se sentir aimées et dignes des milliards d’aides de la Banque de France (BDF) et de la Banque centrale européenne (BCE), autant qu’Air France, Renault et toutes les multinationales de la délocalisation!
Pourtant, au sortir de la crise, l'émotion est intense et tous ces exhibitionnistes se flattent d’avoir eu à un moment donné l’oreille de Macron, y compris le comique-troupier Jean-Marie Bigard ou la chanteuse de supérettes Camélia Jordana. C’est que les banlieues soufflent fort leur colère: elles aussi ont besoin de se sentir aimées et dignes des milliards d’aides de la Banque de France (BDF) et de la Banque centrale européenne (BCE), autant qu’Air France, Renault et toutes les multinationales de la délocalisation!
Sinon, à qui profitera la manne providentielle attendue? Personne ne crache sur le pognon: «hé M'sieur Macron, chouffe comment les supermarchés de la drogue chez nous i's'ont souffert pendant le confinement... Sale temps pour les affaires… Alors si tu veux subventionner les multinationales de l'exemption fiscale et les bourgeois avec les impôts et la dette publique, t'as intérêt d'abord à subventionner les banlieues sinon on va te mettre grave l'ambiance». Et c’est un cri qui jaillit du cœur de Camélia Jordana, à propos de la politique du tout sécuritaire: "Il y a des milliers de personnes qui ne se sentent pas en sécurité face à un flic, et j'en fais partie. Aujourd'hui j'ai les cheveux défrisés… Quand j'ai les cheveux frisés je ne me sens pas en sécurité face à un flic en France, vraiment, vraiment… Je parle des hommes et des femmes qui vont travailler tous les matins en banlieue et qui se font massacrer pour nulle autre raison que leur couleur de peau, c'est un fait".
Quoi? C’est le monde à l’envers! Les ordres viennent d'en bas. Macron lui veut sauver les premiers de cordée. Notre aimable beurette ne confond-elle pas la France avec des états franchement plus répressifs comme les États-Unis ou la Chine? Qu’importe! Le pouvoir de ces petits manipulateurs se mesure en nombre de vues et de likes. Camélia conclura plus tard sur les réseaux: «Épatée par toutes [vos] réactions, enthousiaste par la réouverture du débat public. Je ne m’exprimerai pas dans les médias suite aux nombreuses sollicitations en réaction aux propos de Dj@Castaner. Je serai en revanche honorée de débattre en direct avec lui sur le plateau de son choix».
Voyant là une opportunité à saisir, les souverainistes se fâchent et jettent l’opprobre (l’eau propre des bénitiers?) sur ce gouvernement de fumistes coupables d’organiser le chaos chez les commerçants et de mépriser le peuple. Mais qu’est-ce que ce nouveau souverainisme? Et bien, c’est comme le jeu du Monopoly, qui dit: «repassez par les Trente Glorieuses, retrouvez vos frontières originelles, récupérez votre monnaie souveraine, annulez la dette publique et passez à la banque de France pour empocher un gros chèque». T’y crois toi, sérieux? Ah oui, merde in France.