Et pif paf pouf, et tara papa poum… S’il est un général d’opérette qui arrive toujours après la bataille, c’est bien lui… Onfray-du-ventilateur! Celui-là refait la bataille du Coronavirus: Dictature… Empire Maastrichien… de sa chienne... Coronavirus... "Le 28 janvier, j’étais là! J’ai pas vu le virus mais j’ai dit comment faire".
Oui mais voilà, comment ce soi-disant philosophe qui s’adresse aux foules avec sa voix de Stentor et qui affiche plus de cent ouvrages faux-losophiques comme autant de décorations sur son veston, comment peut-il être si peu écouté en pleine pandémie?
C’est que la Grande-duchesse de Gérolstein (Macron? Suivez mon regard) ne fait que ce qu’elle veut: c’est elle qui commande sur la place d’armes. Et les novices sont nommés sur le champ lieutenants ou capitaines comme Nicolas Hulot et Agnès Busyn, avant d’être dégradés d’un coup de cravache.
Mais quid du général Boum Boum? En pleine guerre du Coronavirus, il est parti se battre contre la dengue en Martinique: blessé et plus mort que vif, le voici rapatrié d’urgence en France comme un héros au fort d’Argentan d’où il complote haut et fort contre la Grande-Duchesse (avec la connivence du général Raoult). Oui, la dengue ne lui a pas coupé le sifflet et c’est la respiration sifflante, la goutte au nez, qu’Onfray-de-l’état reprend la parole: «Bande d’incapables, d’incompétents, je l’avais prédit!»
Pire, la Grande-Duchesse, qui a nommé Général-en-chef la petite Greta Thunberg pour qui elle a un faible, a décidé de mettre les petits enfants immunisés en première ligne pour se battre contre la pandémie du Coronavirus et aussi de clouer toute l’aviation civile au sol… mais pas complètement, car la Grande-Duchesse a accordé manu-militari un prêt de 7 milliards à Air France, l’équivalent du budget de fonctionnement de la ville de Paris (sur un total de 9 milliards). Une paille.
Le général Boum Boum lance des cris d’orfraie: «Voyez, la Grande-Duchesse fait n’importe quoi! Elle met des gamins stupides en première ligne pour lutter contre le coronavirus et le réchauffement climatique». À la même heure mais un siècle plus tard, son alter ego Onfray-du-Suppositoire, la mine défaite, s’esclaffe devant l’objectif de son ordinateur portable:
_Je suis pour le TOUT libertaire: le coronavirus libertaire, le capitalisme libertaire, l’enseignement et la philosophie libertaires, l’État libertaire. Le libertaire, c’est moi. C'est aussi une hygiène de l'esprit! Comme ça, je reste propre dans ma tête.
_ Mais vous êtes libre et vous êtes riche! faut-il dire libertaire ou libertin, et comment utilisez vous votre argent?
_ Je n'ai pas la licence de mœurs des libertins, ni des hommes d'église... Le fric, c'est chic mais je ne dirai jamais: «la propriété, c’est le vol» parce que, justement, je suis un capitaliste libertaire, c’est à dire que je reste cohérent avec moi-même. Ma fortune? Je ne la dois qu’à mon talent et j'en dispose comme bon me semble. Oui, je suis l’avocat des pauvres mais je suis surtout pour "le pognon" qui m’offre la liberté d'en profiter. Je suis aussi pour les compagnies pétrolières car je suis pour la liberté de circuler, pour les compagnies aériennes pour la liberté de voler, pour les banques pour la liberté de s’enrichir et de dépenser, pour les centrales atomiques pour se chauffer, pour les patrons pour travailler, pour la pollution pour continuer librement comme de si rien n’était... Le réchauffement climatique, c’est naturel mais l’État maastrichtien ne fais que nous mettre des clous sur la chaussée… Dans les villes de grande solitude comme dans les banlieues, je suis pour la liberté de s'exprimer et d'écraser quelques piétons par accident, contrairement à Michel Sardou. Je suis un conservateur contrarié et un libérale craintif et donc je m’auto-définis comme «anarcho-libertaire» pour garder le pouvoir: l’État, c'est moi! C’est pourquoi je suis contre l’Église qui veut nous empêcher de jouir et je suis contre l’État populicide qui veut nous confiner. Dans tous les cas, je reste logique avec moi-même!
_Depuis quarante ans, vous professez la philosophie mais vous n’avez jamais aidé à prévenir toutes les crises successives depuis le deuxième choc pétrolier de 1979 qui a ruiné le petit peuple endetté. Aujourd’hui, c'est un nouveau choc pétrolier combiné avec un pic d'épidémie; les populations souffrent du réchauffement climatique; la pollution tue en masse. Que pensez-vous faire?
_Penser et faire, c’est antinomique! Moi, je suis un philosophe et je suis donc payé pour penser, pas pour faire. Après, vous êtes libres de me croire ou non car comme le chante Enrico Macias dans «Où est donc la vérité»: les conseilleurs ne sont pas toujours les payeurs. Je sais, c'est de la philosophie de bistrot...
Et que conseillez-vous pour le jour du déconfinement et pour la sortie de crise du Coronavirus gérée par le gouvernement Macron?
Onfray texto:
Oui mais voilà, comment ce soi-disant philosophe qui s’adresse aux foules avec sa voix de Stentor et qui affiche plus de cent ouvrages faux-losophiques comme autant de décorations sur son veston, comment peut-il être si peu écouté en pleine pandémie?
C’est que la Grande-duchesse de Gérolstein (Macron? Suivez mon regard) ne fait que ce qu’elle veut: c’est elle qui commande sur la place d’armes. Et les novices sont nommés sur le champ lieutenants ou capitaines comme Nicolas Hulot et Agnès Busyn, avant d’être dégradés d’un coup de cravache.
Mais quid du général Boum Boum? En pleine guerre du Coronavirus, il est parti se battre contre la dengue en Martinique: blessé et plus mort que vif, le voici rapatrié d’urgence en France comme un héros au fort d’Argentan d’où il complote haut et fort contre la Grande-Duchesse (avec la connivence du général Raoult). Oui, la dengue ne lui a pas coupé le sifflet et c’est la respiration sifflante, la goutte au nez, qu’Onfray-de-l’état reprend la parole: «Bande d’incapables, d’incompétents, je l’avais prédit!»
Pire, la Grande-Duchesse, qui a nommé Général-en-chef la petite Greta Thunberg pour qui elle a un faible, a décidé de mettre les petits enfants immunisés en première ligne pour se battre contre la pandémie du Coronavirus et aussi de clouer toute l’aviation civile au sol… mais pas complètement, car la Grande-Duchesse a accordé manu-militari un prêt de 7 milliards à Air France, l’équivalent du budget de fonctionnement de la ville de Paris (sur un total de 9 milliards). Une paille.
Le général Boum Boum lance des cris d’orfraie: «Voyez, la Grande-Duchesse fait n’importe quoi! Elle met des gamins stupides en première ligne pour lutter contre le coronavirus et le réchauffement climatique». À la même heure mais un siècle plus tard, son alter ego Onfray-du-Suppositoire, la mine défaite, s’esclaffe devant l’objectif de son ordinateur portable:
_Je suis pour le TOUT libertaire: le coronavirus libertaire, le capitalisme libertaire, l’enseignement et la philosophie libertaires, l’État libertaire. Le libertaire, c’est moi. C'est aussi une hygiène de l'esprit! Comme ça, je reste propre dans ma tête.
_ Mais vous êtes libre et vous êtes riche! faut-il dire libertaire ou libertin, et comment utilisez vous votre argent?
_ Je n'ai pas la licence de mœurs des libertins, ni des hommes d'église... Le fric, c'est chic mais je ne dirai jamais: «la propriété, c’est le vol» parce que, justement, je suis un capitaliste libertaire, c’est à dire que je reste cohérent avec moi-même. Ma fortune? Je ne la dois qu’à mon talent et j'en dispose comme bon me semble. Oui, je suis l’avocat des pauvres mais je suis surtout pour "le pognon" qui m’offre la liberté d'en profiter. Je suis aussi pour les compagnies pétrolières car je suis pour la liberté de circuler, pour les compagnies aériennes pour la liberté de voler, pour les banques pour la liberté de s’enrichir et de dépenser, pour les centrales atomiques pour se chauffer, pour les patrons pour travailler, pour la pollution pour continuer librement comme de si rien n’était... Le réchauffement climatique, c’est naturel mais l’État maastrichtien ne fais que nous mettre des clous sur la chaussée… Dans les villes de grande solitude comme dans les banlieues, je suis pour la liberté de s'exprimer et d'écraser quelques piétons par accident, contrairement à Michel Sardou. Je suis un conservateur contrarié et un libérale craintif et donc je m’auto-définis comme «anarcho-libertaire» pour garder le pouvoir: l’État, c'est moi! C’est pourquoi je suis contre l’Église qui veut nous empêcher de jouir et je suis contre l’État populicide qui veut nous confiner. Dans tous les cas, je reste logique avec moi-même!
_Depuis quarante ans, vous professez la philosophie mais vous n’avez jamais aidé à prévenir toutes les crises successives depuis le deuxième choc pétrolier de 1979 qui a ruiné le petit peuple endetté. Aujourd’hui, c'est un nouveau choc pétrolier combiné avec un pic d'épidémie; les populations souffrent du réchauffement climatique; la pollution tue en masse. Que pensez-vous faire?
_Penser et faire, c’est antinomique! Moi, je suis un philosophe et je suis donc payé pour penser, pas pour faire. Après, vous êtes libres de me croire ou non car comme le chante Enrico Macias dans «Où est donc la vérité»: les conseilleurs ne sont pas toujours les payeurs. Je sais, c'est de la philosophie de bistrot...
Et que conseillez-vous pour le jour du déconfinement et pour la sortie de crise du Coronavirus gérée par le gouvernement Macron?
Onfray texto:
_ «Quoi? On va écraser les compagnies aériennes… Aux autres, on leur prêtera de l’argent pourvu que leurs avions soient détruits… des avions qui volaient et faisaient leur service et on va détruire tout ça pour construire des avions qui vont moins polluer, qui vont être moins bruyants, qui vont économiser la planète, enfin, c’est le syndrome et la jurisprudence «Greta Thunberg»… Donc on va reconstruire vert, on va reproduire vert… on va créer des logiciels qui permettront le télé-travail, qui permettront ce genre de pratiques et le capitale va bien s’en porter… on jettera nos ordinateurs… Non, je crois que c’est une crise du capitalisme qui va faire ses choux-gras avec cette aventure... l’économie va repartir… Les gens ont un grand désir de consommer... on va acheter, acheter, acheter… non, je ne crains pas pour le capital, je crains pour les pauvres (sic).»
[Et pour le risque du chômage qui va exploser ?]
«Oui, il [Macron] va envoyer la police, l’armée, décréter des états de siège, pourquoi pas des états d’urgence… Il dira qu’il comprend bien mais qu’il faut garantir l’ordre social, la république est menacée… tabasser les gens qui sont pas d’accord, fliquer tout le monde, faire payer des amendes, sous prétexte de fraude, aux grands-mères qui ont rempli leurs autorisations de sortie au crayon à papier… des amendes comme aux gilets-jaunes. Donc, on aura un pouvoir très autoritaire qui se cachera derrière le risque de propagation de l’épidémie... Il ne sont pas à un mensonge prés (sic).»
_ Et qu’allez vous faire si vos prédictions se réalisent, comme toujours?
_ Rien… Je vous trouve un peu sarcastique! Je ne ferai absolument rien… Je pense donc j’essuie tout et je passe à autre chose. De fait, je réfléchis déjà à mon prochain pamphlet: «Macron ou la Grande-Duchesse de Girolstein». La vie est un grand jeu de Monopoly: j’ouvre ma gueule et après je passe au tiroir-caisse.
L’hydroxychloroquine? C’est pas sur les cases du Monopoly mais le Remdesivir s'y trouve parce que ça rapporte mille fois plus. Après, c’est juste pour faire chier Macron que je défends le Pr Raoult parce que les anti-viraux, c’est pas mon business.
Et voilà… Petit à pythie, Onfray-des-gogos fait son nid et comme disait la Grande-Duchesse de Gérolstein au Général Boum Boum à la fin de l’opéra bouffe de Jacques Offenbach et Ludovic Halévy: «Quand on n'a pas ce que l'on aime, il faut aimer ce que l'on a».
La sagesse populaire, c’est comme l’hydroxychloroquine du Pr Raoult, ça ne rapporte rien. C’est pourquoi Onfray déteste toutes ces expressions vulgaires: «Tiens, bouffe et que ça t’étouffe… C’est pas d’la soupe, c’est du rata... Sinon, tu le mets dans la poche et ton mouchoir par dessus». Oui, merde in France.
_ Et qu’allez vous faire si vos prédictions se réalisent, comme toujours?
_ Rien… Je vous trouve un peu sarcastique! Je ne ferai absolument rien… Je pense donc j’essuie tout et je passe à autre chose. De fait, je réfléchis déjà à mon prochain pamphlet: «Macron ou la Grande-Duchesse de Girolstein». La vie est un grand jeu de Monopoly: j’ouvre ma gueule et après je passe au tiroir-caisse.
L’hydroxychloroquine? C’est pas sur les cases du Monopoly mais le Remdesivir s'y trouve parce que ça rapporte mille fois plus. Après, c’est juste pour faire chier Macron que je défends le Pr Raoult parce que les anti-viraux, c’est pas mon business.
Et voilà… Petit à pythie, Onfray-des-gogos fait son nid et comme disait la Grande-Duchesse de Gérolstein au Général Boum Boum à la fin de l’opéra bouffe de Jacques Offenbach et Ludovic Halévy: «Quand on n'a pas ce que l'on aime, il faut aimer ce que l'on a».
La sagesse populaire, c’est comme l’hydroxychloroquine du Pr Raoult, ça ne rapporte rien. C’est pourquoi Onfray déteste toutes ces expressions vulgaires: «Tiens, bouffe et que ça t’étouffe… C’est pas d’la soupe, c’est du rata... Sinon, tu le mets dans la poche et ton mouchoir par dessus». Oui, merde in France.
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