Tous les blaireaux peuvent se contorsionner sur leurs sièges de Présidents, Ministres, PDG, lobbyistes, éditorialistes et journalistes: le monde, de toutes les manières, avancera bientôt sans eux. Et puis, c’est faire offense aux blaireaux que de les comparer à ces pauvres types infatués de leurs personnes.
Nous savons que les nouveaux pouvoirs sont les médias et l’opinion, d’où une agressivité des réseaux sociaux pour devenir des leaders d’opinion. En même temps, Google, Facebook, Tweeter et tous les autres imposent de plus en plus de publicités à des abonnés sous dépendance. Aujourd’hui, ils disposent de budgets d’états, de trésoreries et de liquidités que les pays européens exsangues leurs envient sans pouvoir les taxer à hauteur de leurs profits astronomiques. Pour pallier à ce défaut, les 3 grandes puissances mondiales chinoise, américaine et russe s’organisent en suprématies et dirigent les flux monétaires entraînant la fuite des capitaux à leur seul avantage. Cependant, nous avons découvert l’impuissance à nous aider des réseaux sociaux et des multinationales pendant la crise du covid-19. N'est-ce pas la preuve que leurs objectifs humanitaires et leurs fondations ne sont que des façades?
Et que se passera-t-il à la prochaine explosion atomique, après Tchernobyl et Fukushima? Statistiquement, cela devrait se produire en Europe ou aux États-Unis et donc faire en quelques heures des millions de victimes. Mais vous le savez comme moi, absolument rien n’est prêt pour la prochaine catastrophe. Pour cacher la misère, les PDG américains des Gafam-infâmes se sont fendus de quelques millions de dollars de dons au profit de la lutte contre le Covid-19 en même temps qu’ils accroissaient les bénéfices de leurs entreprises et leurs fortunes personnelles d’un bon tiers. Voilà, la crise a une nouvelle fois bénéficié aux riches Américains et Chinois.
Mais si, in fine, le nouveau pouvoir revient aux méga-réseaux, il est temps qu’ils prennent aussi leurs responsabilités… Et c’est ce qu’a essayé Tweeter et dernièrement Snapchat en modérant les propos guerriers de Trump, au contraire de Facebook. Le risque majeur pour les réseaux sociaux serait de se faire démanteler par les tribunaux américains pour abus de position dominante. C’est leur seule et unique crainte! Et leur pouvoir? C'est celui de nous espionner, de commercialiser nos données, de nous faire payer leurs services (avec moins de pub) et de nous boycotter si nécessaire.
En même temps, si l’information des peuples a cru en Europe, elle a régressé partout ailleurs sous des excès d’autoritarisme. Pire encore, trop d’information tue l’information, nous le vérifions tous les jours sous forme de lavage de cerveau.
Pour revenir à l’essentiel, nous savons aujourd’hui que soit les hommes sont condamnés à mourir en grand nombre par auto-destruction et consomption avant 2100, soit la planète Terre qui nous héberge provisoirement est condamnée à se décomposer par surconsommation et insolation avant cette date limite et dans les deux cas, le résultat pour nous tous sera exactement le même: des morts par dizaines de millions! Mais les gouvernements et les industries se taisent dans un silence coupable et le faux-losophe épicurien Michel Onfray n'a pas de mots assez durs contre les empêcheurs de jouir. C’est tellement plus facile de nous accuser de terrorisme, nous les alarmistes "thunbergistes", et puis les écologistes et les véganes.
Oui, il y a quelque chose de pourri dans ce royaume aux airs de démocratie. Par exemple, des nouveaux scandales apparaissent tous les jours: hier l’amiante ou l’affaire du Mediator, Tchernobyl, l'explosion de l'usine AZF de Toulouse en 2001, la canicule mortelle de 2003, la crise des subprimes de 2007 et aujourd’hui le Covid-19 venu de Chine et le débat sur l’hydroxychloroquine. À la fin de chaque nouveau drame, la question essentielle reste toujours sans réponse: combien de victimes au total et combien de vies cela a-t-il coûté ?
Le gouvernement français s’en fout bien des morts: ils auront au mieux leur minute de silence et leur jour du souvenir. Non, nos élus craignent terriblement un procès comme d’autres avant eux pour "tromperie aggravée sur la nature, la qualité substantielle et la composition du produit", "mise en danger de la vie d’autrui", "administration de substance nuisible" et "homicide involontaire" et c’est la raison pour laquelle ils s’alignent scrupuleusement sur les avis des agences sanitaires, en bloquant toutes les initiatives personnelles. Mais leurs ordres n’ont plus la faveur de leurs administrés. Ce qui est clair, c’est que tous les anciens pouvoirs et les centres de décision sont contestés, d’où des rétropédalages hallucinants en seulement quelques heures: par exemple, The Lancet, une revue prestigieuse, met en garde contre ses propres publications sur «la dangerosité de l’hydroxychloroquine» et l’OMS annonce «reprendre immédiatement ses essais cliniques», tout en constatant que l’hydroxychloroquine incriminée a continué d’être prescrite partout dans le monde… Partout? Sauf en France, bien sûr, où l’interdiction est absolue. Et Olivier Véran, le ministre de la Santé le plus procédurier du monde, se tait à son tour dans un silence embarrassé, blessé dans son orgueil.
Même Donald Trump aux États-Unis se voit contester l’utilisation de l’armée contre sa population pour mater les révoltes urbaines. C’est dire la faiblesse de nos grands décideurs à l'Ouest! Poutine et Erdogan ont moins de problèmes. Du coup, Zemmour s'agace de ce contre-temps, lui qui n'a d'yeux que pour les dictateurs sanguinaires.
Les Français trouvent dans les feuilletons télévisés un semblant de vie plus exaltante (les fameuses séries plébiscitées), et la télévision française a même réussi à s’enrichir pendant le confinement avec une programmation pour débiles mentaux.
Dans les médias, les éditorialistes et tous les journaleux refusent de propager des idées alarmistes. Surtout, il faut conforter l’ÉCONOMIE mise à mal et qui devra avoir récupéré complètement de la crise du Covid-19 en 2023 si rien d’autre de grave ne se produit d’ici là… Mais au profit de qui? Toujours les mêmes car notre peuple d’esclave doit être maintenu dans la dépendance.
Oui, quel est ce monstre sacré nommé «Économie», qui a droit de vie et de mort sur nous, «selon que vous serez puissant ou misérable, fort ou fragile, soigné ou abandonné...».
Comme nous l’avons expérimenté (malgré nous) pendant le Confinement du Covid-19, il aura fallu arrêter la circulation routière, les usines polluantes et leurs surproductions quotidiennes pendant presque trois mois pour commencer à ressentir les effets bénéfiques de la décroissance industrielle, et par exemple sur l’air que nous respirons. Quoi? C’est déjà bien mais largement insuffisant pour repartir sur des bases saines et sauver notre avenir sur la planète.
Voyons, quelle catastrophe serait susceptible d’arrêter la destruction de la Terre en ralentissant cette économie glorieuse autant que destructrice? Un simple petit virus ne peut pas venir à bout de notre civilisation, malgré des centaines de milliers de morts. Il faudrait parier plutôt sur une bonne catastrophe nucléaire pour tout arrêter ad vitam æternam… C’est vous qui voyez!
Évidemment, je ne suis pas assez fou pour espérer un tel désastre, surtout que rien n’est prêt pour lutter contre les contaminations radioactives. Notre gouvernement de manipulateurs patentés fait croire qu’il détient toutes les solutions aux problèmes, en usant d’une débauche d’autoritarisme, quand il n’en est rien. Les gouvernements Sarkozy-Hollande-Macron ont fait le strict minimum contre les maladies et les accidents depuis l’an 2000 (voir le rapport du Sénat sur l'embrasement de l'usine Lubrizol à Rouen) et surtout, Macron refuse à son tour d’envisager une catastrophe nucléaire comme hypothèse de travail de ses ministres. C’est sans doute sa pire erreur, celle qui pour moi le disqualifie complètement! Errorem maximum.
Sur les médias alternatifs, j’entends encore Zemmour et Onfray réclamer toujours plus... de centrales et d’énergie nucléaire parce que c’est soi-disant 100% français et sans émissions de CO²: l’importation de matières radioactives, le stockage et tous les déchets dans l’eau, l’air et la terre contaminés pour des millions d’années ne comptent pas dans leurs calculs d’apothicaires. Et les autres dangers de fuite et d’explosion importent peu à tous ces faisans-faisandés (pardon au faisans maltraités), qui ne sont que des lobbyistes sans scrupules prétendant prolonger l’ordre ancien. Par exemple, quand un auditeur sur Sud Radio explique à André Bercoff (dans l’émission «Bercoff dans tous ses états» avec pour invité André Grimaldi) comme quoi on a jamais vu un panneau solaire exploser sur un toit et tuer quelqu’un, au contraire de la centrale nucléaire de Golfech qui pourrait faire des millions de victimes irradiées, Bercoff rétorque innocemment: «Si elle explose? Je vais vous le dire honnêtement… Il n’y a jamais eu d’explosion… Moi, je suis pour la diversité des sources». Oui, quelle bande de vieux cons! Il est temps de changer ces dangereux manipulateurs de l’opinion publique en prévision du pire.
Le rôle du lobbyisme nucléaire, comme le lobbyisme des grands laboratoires pharmaceutiques pendant la crise du Covid-19, c’est de cacher les problèmes sous le tapis: circulez, il n’y a rien à voir! On l’a constaté, tous nos médecins sur le terrain ont été neutralisés et privés de soigner les malades du coronavirus avec la panoplie des médicaments habituels. Pire, ils ont été sommés de laisser leurs patients s’aggraver et mourir confinés chez eux, en même temps que tous les petits vieux victimes dans les Ehpad.
N’est-ce pas un crime contre l’humanité? N’existe-t-il pas en médecine une clause, un cas de force majeure, autorisant à soigner les gens par tous les moyens connus et disponibles? Car l’autoritarisme d’état a atteint ses limites en interdisant l’usage des masques, des tests généralisés et la prévention avec l’hydroxychloroquine additionnée d’azithromicyne. Contre ces technocrates, beaucoup de médecins revendiquent «avoir fait ce qu’il faut». Les Français aussi ont décidé seuls de confectionner en grands nombres des masques en tissus. Les fameuses études sur le Covid-19 diligentées par le ministère de la Santé sont des échecs retentissants et Olivier Véran s’est donc rabattu sur la dernière publication de «The Lancet», soit une simple compilation de DATA à partir des fichiers de malades cardiaques et en état grave dans les hôpitaux , c’est à dire des cas nativement déficients et donc incompatibles avec le traitement à la chloroquine suivant le protocole préétabli. De toutes les façons, ces études arrivent toutes bien trop tard, faute de combattants.
On constate aussi que ce dénigrement qui a conduit O. Véran à l’interdiction du traitement du professeur Raoult (hydroxychloroquine + azithromicyne) est probablement politique: non seulement ce choix décrédibilise Trump et Bolsonaro en Amérique, mais surtout il sert à contrer l’opposition républicaine en France, très choquée qu’on ai laissé mourir stupidement des milliers de malades sans aucune prévention ni soin. Je devine qu’un jour, ces ministres de la déliquescence gouvernementale préfèreront s'éloigner prudemment du Pouvoir, avant même les procès attendus.
Car cette nouvelle faillite de l’état a conduit à la mort prématurée 15000 retraités dans des établissements de soin ou chez eux, après l’épisode meurtrier de la canicule en 2003 qui avait fait le même nombre de décès. La logique voudrait qu’on réforme de fond en comble les Ephad, qui ont failli une nouvelle fois à leur mission en se transformant en vulgaires succursales des morgues.
Pire encore, les derniers gouvernements ont laissé pourrir des milliards de masques dans des entrepôts (sous prétexte que les Français ne savent pas s’en servir), des masques qu’il fallait distribuer gratuitement chaque année contre la grippe saisonnière. Enfin, la dernière commande de deux milliards de masques en Chine arrive bien trop tard, pratiquement inutilisable, tout comme les vaccins «improbables» espérés: les spécialistes sur le terrain comme le Pr Raoult supposent que les Français se sont déjà plus ou moins immunisés contre d’autres formes moins sévères de coronavirus, dont les femmes et les enfants. Au contraire, d’autres populations seraient très menacées par le virus comme les personnes âgées en France (les pauvres se croyaient à l’abri dans les Ehpad), les Noirs aux États-Unis (avec des fragilités constitutionnelles mal soignées) et les peuplades d’Amazonie (plus ou moins isolées et sans défenses immunitaires). Paradoxalement, les personnes âgées hébergées dans leurs familles ont peut-être mieux supporté ce coronavirus que d’autres pauvres petits vieux isolés, voire abandonnés, dans des salles aseptisées en forme de mouroir (on ignore toujours le nombre total de victimes et les chiffres annoncés jusqu'ici sont truqués et tronqués).
Voilà pourquoi notre gouvernement a perdu la confiance de ses administrés, qui eux doivent tirer toutes les conséquences nécessaires de son incompétence maximum. Ainsi, l’autoritarisme d’état doit tomber d’un seul coup en désuétude, avec ses modes archaïques de gouvernance. L’évolution doit lutter logiquement contre le présidentialisme et pour la protection de la planète. Les nouvelles obligations de protection et de défense des populations ringardisent tous les donneurs d’ordres, les journalistes du système et tous les commentateurs sur les médias habituels, en même temps que la littérature inepte qu’ils produisent en grandes quantités.
Les commentateurs à grande gueule comme Zemmour et Onfray espèrent continuer à capitaliser sur les crises à venir, mais pour combien de temps encore? Leur prétendue «culture supérieure» les autorise à discourir seuls, en dissimulant la vanité et la vacuité de leur réflexion sous des rappels historiques illustrant leurs convictions. Pire, ils obligent les autres journalistes présents à leurs côtés à s’écraser (par défaut d’arguments convaincants et de culture?), même quand les propos tenus frisent la connerie pure et l’indécence absolue.
Oui, les dés sont pipés avec tous ces manipulateurs, de Trump à Poutine et de Zemmour à Onfray, qui s’imaginent pouvoir maintenir ce système inique en marche pour leur seul bénéfice, mais plus pour longtemps: bientôt, les Gafam-infâmes les remplaceront par des robots et autres avatars. Car la belle culture ancienne et universelle est morte avec les derniers humanistes et les encyclopédistes d’avant le vingtième siècle. Et les derniers venus ne sont souvent que des petits manipulateurs que nul ne semble capable de contredire sur pieds: hélas, les réactions sont toujours trop tardives sur les réseaux pour les mettre devant l’absurdité de leurs propositions.
Pourtant, les peuples en Europe comme aux États-Unis sont de mieux en mieux informés – je parle de ceux qui échappent aux dictatures, aux sectes et aux lobbies. De plus, le simple bon-sens permet de deviner toutes les ficelles servant à nous diviser et à nous asservir: examinons par exemple les mensonges d’état (le virus n’a pas de frontières, les masques ne servent à rien), la désinformation (on ignore toujours au bout de trois mois le total des décès), l’interdiction des rassemblements (pour empêcher les révoltes), le contrôle des réseaux (pour limiter les réactions hostiles), les fausses bonnes-nouvelles (30000 morts du coronavirus, ce serait 60000 vies sauvées!), les contre-feux (le problème est résolu, passons à d’autres urgences) etc.
Par exemple, aux États-Unis, la responsabilité de Trump dans l’échec national est oubliée avec la guerre froide qu’il a entamée contre la Chine Populaire et avec ses menaces de représailles sanglantes contre la révolte des Noirs (au risque d’un Bloody Sunday américain). Même le lancement réussi de la première fusée privée dans l’espace est un heureux intermède pour Trump, qui ouvre l’espoir d’un nouveau business américain très fructueux (tout en étendant gravement la pollution à l’espace interplanétaire). Oui, oubliés déjà plus de 100000 morts du Covid-19 et plus de deux millions de malades (officiels)! Ainsi fonctionne l’inconscient collectif qui change ses bourreaux en héros d’un coup de baguette magique.
Après la mode des abris anti-atomiques aux USA, on imagine bien que les milliardaires américains vont se payer des navettes spatiales ou simplement réserver des places pour partir se mettre à l’abri avec leurs familles à la prochaine menace.
Dans la série américaine «The Resident», le Dr Rendolph Bell, qui n’est pas un saint, explique: «Nous avons donné le pouvoir au complexe médico-industriel et le moment est venu d’expliquer à ceux qui se mettent en travers du bien commun que nous n’allons plus faire profil bas...»
Et dans une bande dessinée prémonitoire publiée en 1941 intitulée «L’Étoile Mystérieuse», le dessinateur Hergé imagine un brusque réchauffement climatique capable de faire fondre l’asphalte des rues. Je revois une scène emblématique, quand un vieux savant un peu fou passe en tapant sur un gong: «...C’est le châtiment!.. Faites pénitence!.. La fin des temps est venue!… La fin du monde, oui!...».
De fait, les vrais choix stratégiques à prévoir en France, suite au Covid-19, sont soigneusement ignorés: par exemple, quelles mesures drastiques permettront de lutter contre la grippe saisonnière en 2021 (10000 morts minimum par an en France) et surtout, quelles sont les mesures prévues en cas d’explosion d’une de nos centrales nucléaires? Tiens, le lobby de l’atome nous a expliqué en 1986 que le nuage de Tchernobyl s’était arrêté à la frontière française, que les cultures vivrières étaient exemptes de contaminations radioactives et donc que l’absorption d’iode était complètement inutile… soit des milliards de comprimés qui sans doute ont fini à la poubelle après la date de péremption! Et aujourd’hui, notre gouvernement associé au lobby des laboratoires a réitéré avec le Covid-19: «Non, expliquaient-ils, on ne peut pas arrêter le virus aux frontières… Et puis il n’y a aucun traitement efficace et donc il faut attendre la mise au point de molécules miraculeuses dans nos laboratoires, après des années d’étude. En attendant, on va vous confiner pour votre bien pendant trois mois, les malades avec les biens-portants (en coulant l’économie nationale et des milliers de petits commerçants qui vont fermer boutique). Comprenez bien, c’est la première fois que l’État consent à un tel sacrifice… Alors, que demander de plus?». La France est une terre d'opportunités pour les investisseurs Américains et Chinois. Et voilà comment les gros mangent les petits… Ah oui, merde in France.
Nous savons que les nouveaux pouvoirs sont les médias et l’opinion, d’où une agressivité des réseaux sociaux pour devenir des leaders d’opinion. En même temps, Google, Facebook, Tweeter et tous les autres imposent de plus en plus de publicités à des abonnés sous dépendance. Aujourd’hui, ils disposent de budgets d’états, de trésoreries et de liquidités que les pays européens exsangues leurs envient sans pouvoir les taxer à hauteur de leurs profits astronomiques. Pour pallier à ce défaut, les 3 grandes puissances mondiales chinoise, américaine et russe s’organisent en suprématies et dirigent les flux monétaires entraînant la fuite des capitaux à leur seul avantage. Cependant, nous avons découvert l’impuissance à nous aider des réseaux sociaux et des multinationales pendant la crise du covid-19. N'est-ce pas la preuve que leurs objectifs humanitaires et leurs fondations ne sont que des façades?
Et que se passera-t-il à la prochaine explosion atomique, après Tchernobyl et Fukushima? Statistiquement, cela devrait se produire en Europe ou aux États-Unis et donc faire en quelques heures des millions de victimes. Mais vous le savez comme moi, absolument rien n’est prêt pour la prochaine catastrophe. Pour cacher la misère, les PDG américains des Gafam-infâmes se sont fendus de quelques millions de dollars de dons au profit de la lutte contre le Covid-19 en même temps qu’ils accroissaient les bénéfices de leurs entreprises et leurs fortunes personnelles d’un bon tiers. Voilà, la crise a une nouvelle fois bénéficié aux riches Américains et Chinois.
Mais si, in fine, le nouveau pouvoir revient aux méga-réseaux, il est temps qu’ils prennent aussi leurs responsabilités… Et c’est ce qu’a essayé Tweeter et dernièrement Snapchat en modérant les propos guerriers de Trump, au contraire de Facebook. Le risque majeur pour les réseaux sociaux serait de se faire démanteler par les tribunaux américains pour abus de position dominante. C’est leur seule et unique crainte! Et leur pouvoir? C'est celui de nous espionner, de commercialiser nos données, de nous faire payer leurs services (avec moins de pub) et de nous boycotter si nécessaire.
En même temps, si l’information des peuples a cru en Europe, elle a régressé partout ailleurs sous des excès d’autoritarisme. Pire encore, trop d’information tue l’information, nous le vérifions tous les jours sous forme de lavage de cerveau.
Pour revenir à l’essentiel, nous savons aujourd’hui que soit les hommes sont condamnés à mourir en grand nombre par auto-destruction et consomption avant 2100, soit la planète Terre qui nous héberge provisoirement est condamnée à se décomposer par surconsommation et insolation avant cette date limite et dans les deux cas, le résultat pour nous tous sera exactement le même: des morts par dizaines de millions! Mais les gouvernements et les industries se taisent dans un silence coupable et le faux-losophe épicurien Michel Onfray n'a pas de mots assez durs contre les empêcheurs de jouir. C’est tellement plus facile de nous accuser de terrorisme, nous les alarmistes "thunbergistes", et puis les écologistes et les véganes.
Oui, il y a quelque chose de pourri dans ce royaume aux airs de démocratie. Par exemple, des nouveaux scandales apparaissent tous les jours: hier l’amiante ou l’affaire du Mediator, Tchernobyl, l'explosion de l'usine AZF de Toulouse en 2001, la canicule mortelle de 2003, la crise des subprimes de 2007 et aujourd’hui le Covid-19 venu de Chine et le débat sur l’hydroxychloroquine. À la fin de chaque nouveau drame, la question essentielle reste toujours sans réponse: combien de victimes au total et combien de vies cela a-t-il coûté ?
Le gouvernement français s’en fout bien des morts: ils auront au mieux leur minute de silence et leur jour du souvenir. Non, nos élus craignent terriblement un procès comme d’autres avant eux pour "tromperie aggravée sur la nature, la qualité substantielle et la composition du produit", "mise en danger de la vie d’autrui", "administration de substance nuisible" et "homicide involontaire" et c’est la raison pour laquelle ils s’alignent scrupuleusement sur les avis des agences sanitaires, en bloquant toutes les initiatives personnelles. Mais leurs ordres n’ont plus la faveur de leurs administrés. Ce qui est clair, c’est que tous les anciens pouvoirs et les centres de décision sont contestés, d’où des rétropédalages hallucinants en seulement quelques heures: par exemple, The Lancet, une revue prestigieuse, met en garde contre ses propres publications sur «la dangerosité de l’hydroxychloroquine» et l’OMS annonce «reprendre immédiatement ses essais cliniques», tout en constatant que l’hydroxychloroquine incriminée a continué d’être prescrite partout dans le monde… Partout? Sauf en France, bien sûr, où l’interdiction est absolue. Et Olivier Véran, le ministre de la Santé le plus procédurier du monde, se tait à son tour dans un silence embarrassé, blessé dans son orgueil.
Même Donald Trump aux États-Unis se voit contester l’utilisation de l’armée contre sa population pour mater les révoltes urbaines. C’est dire la faiblesse de nos grands décideurs à l'Ouest! Poutine et Erdogan ont moins de problèmes. Du coup, Zemmour s'agace de ce contre-temps, lui qui n'a d'yeux que pour les dictateurs sanguinaires.
Les Français trouvent dans les feuilletons télévisés un semblant de vie plus exaltante (les fameuses séries plébiscitées), et la télévision française a même réussi à s’enrichir pendant le confinement avec une programmation pour débiles mentaux.
Dans les médias, les éditorialistes et tous les journaleux refusent de propager des idées alarmistes. Surtout, il faut conforter l’ÉCONOMIE mise à mal et qui devra avoir récupéré complètement de la crise du Covid-19 en 2023 si rien d’autre de grave ne se produit d’ici là… Mais au profit de qui? Toujours les mêmes car notre peuple d’esclave doit être maintenu dans la dépendance.
Oui, quel est ce monstre sacré nommé «Économie», qui a droit de vie et de mort sur nous, «selon que vous serez puissant ou misérable, fort ou fragile, soigné ou abandonné...».
Comme nous l’avons expérimenté (malgré nous) pendant le Confinement du Covid-19, il aura fallu arrêter la circulation routière, les usines polluantes et leurs surproductions quotidiennes pendant presque trois mois pour commencer à ressentir les effets bénéfiques de la décroissance industrielle, et par exemple sur l’air que nous respirons. Quoi? C’est déjà bien mais largement insuffisant pour repartir sur des bases saines et sauver notre avenir sur la planète.
Voyons, quelle catastrophe serait susceptible d’arrêter la destruction de la Terre en ralentissant cette économie glorieuse autant que destructrice? Un simple petit virus ne peut pas venir à bout de notre civilisation, malgré des centaines de milliers de morts. Il faudrait parier plutôt sur une bonne catastrophe nucléaire pour tout arrêter ad vitam æternam… C’est vous qui voyez!
Évidemment, je ne suis pas assez fou pour espérer un tel désastre, surtout que rien n’est prêt pour lutter contre les contaminations radioactives. Notre gouvernement de manipulateurs patentés fait croire qu’il détient toutes les solutions aux problèmes, en usant d’une débauche d’autoritarisme, quand il n’en est rien. Les gouvernements Sarkozy-Hollande-Macron ont fait le strict minimum contre les maladies et les accidents depuis l’an 2000 (voir le rapport du Sénat sur l'embrasement de l'usine Lubrizol à Rouen) et surtout, Macron refuse à son tour d’envisager une catastrophe nucléaire comme hypothèse de travail de ses ministres. C’est sans doute sa pire erreur, celle qui pour moi le disqualifie complètement! Errorem maximum.
Sur les médias alternatifs, j’entends encore Zemmour et Onfray réclamer toujours plus... de centrales et d’énergie nucléaire parce que c’est soi-disant 100% français et sans émissions de CO²: l’importation de matières radioactives, le stockage et tous les déchets dans l’eau, l’air et la terre contaminés pour des millions d’années ne comptent pas dans leurs calculs d’apothicaires. Et les autres dangers de fuite et d’explosion importent peu à tous ces faisans-faisandés (pardon au faisans maltraités), qui ne sont que des lobbyistes sans scrupules prétendant prolonger l’ordre ancien. Par exemple, quand un auditeur sur Sud Radio explique à André Bercoff (dans l’émission «Bercoff dans tous ses états» avec pour invité André Grimaldi) comme quoi on a jamais vu un panneau solaire exploser sur un toit et tuer quelqu’un, au contraire de la centrale nucléaire de Golfech qui pourrait faire des millions de victimes irradiées, Bercoff rétorque innocemment: «Si elle explose? Je vais vous le dire honnêtement… Il n’y a jamais eu d’explosion… Moi, je suis pour la diversité des sources». Oui, quelle bande de vieux cons! Il est temps de changer ces dangereux manipulateurs de l’opinion publique en prévision du pire.
Le rôle du lobbyisme nucléaire, comme le lobbyisme des grands laboratoires pharmaceutiques pendant la crise du Covid-19, c’est de cacher les problèmes sous le tapis: circulez, il n’y a rien à voir! On l’a constaté, tous nos médecins sur le terrain ont été neutralisés et privés de soigner les malades du coronavirus avec la panoplie des médicaments habituels. Pire, ils ont été sommés de laisser leurs patients s’aggraver et mourir confinés chez eux, en même temps que tous les petits vieux victimes dans les Ehpad.
N’est-ce pas un crime contre l’humanité? N’existe-t-il pas en médecine une clause, un cas de force majeure, autorisant à soigner les gens par tous les moyens connus et disponibles? Car l’autoritarisme d’état a atteint ses limites en interdisant l’usage des masques, des tests généralisés et la prévention avec l’hydroxychloroquine additionnée d’azithromicyne. Contre ces technocrates, beaucoup de médecins revendiquent «avoir fait ce qu’il faut». Les Français aussi ont décidé seuls de confectionner en grands nombres des masques en tissus. Les fameuses études sur le Covid-19 diligentées par le ministère de la Santé sont des échecs retentissants et Olivier Véran s’est donc rabattu sur la dernière publication de «The Lancet», soit une simple compilation de DATA à partir des fichiers de malades cardiaques et en état grave dans les hôpitaux , c’est à dire des cas nativement déficients et donc incompatibles avec le traitement à la chloroquine suivant le protocole préétabli. De toutes les façons, ces études arrivent toutes bien trop tard, faute de combattants.
On constate aussi que ce dénigrement qui a conduit O. Véran à l’interdiction du traitement du professeur Raoult (hydroxychloroquine + azithromicyne) est probablement politique: non seulement ce choix décrédibilise Trump et Bolsonaro en Amérique, mais surtout il sert à contrer l’opposition républicaine en France, très choquée qu’on ai laissé mourir stupidement des milliers de malades sans aucune prévention ni soin. Je devine qu’un jour, ces ministres de la déliquescence gouvernementale préfèreront s'éloigner prudemment du Pouvoir, avant même les procès attendus.
Car cette nouvelle faillite de l’état a conduit à la mort prématurée 15000 retraités dans des établissements de soin ou chez eux, après l’épisode meurtrier de la canicule en 2003 qui avait fait le même nombre de décès. La logique voudrait qu’on réforme de fond en comble les Ephad, qui ont failli une nouvelle fois à leur mission en se transformant en vulgaires succursales des morgues.
Pire encore, les derniers gouvernements ont laissé pourrir des milliards de masques dans des entrepôts (sous prétexte que les Français ne savent pas s’en servir), des masques qu’il fallait distribuer gratuitement chaque année contre la grippe saisonnière. Enfin, la dernière commande de deux milliards de masques en Chine arrive bien trop tard, pratiquement inutilisable, tout comme les vaccins «improbables» espérés: les spécialistes sur le terrain comme le Pr Raoult supposent que les Français se sont déjà plus ou moins immunisés contre d’autres formes moins sévères de coronavirus, dont les femmes et les enfants. Au contraire, d’autres populations seraient très menacées par le virus comme les personnes âgées en France (les pauvres se croyaient à l’abri dans les Ehpad), les Noirs aux États-Unis (avec des fragilités constitutionnelles mal soignées) et les peuplades d’Amazonie (plus ou moins isolées et sans défenses immunitaires). Paradoxalement, les personnes âgées hébergées dans leurs familles ont peut-être mieux supporté ce coronavirus que d’autres pauvres petits vieux isolés, voire abandonnés, dans des salles aseptisées en forme de mouroir (on ignore toujours le nombre total de victimes et les chiffres annoncés jusqu'ici sont truqués et tronqués).
Voilà pourquoi notre gouvernement a perdu la confiance de ses administrés, qui eux doivent tirer toutes les conséquences nécessaires de son incompétence maximum. Ainsi, l’autoritarisme d’état doit tomber d’un seul coup en désuétude, avec ses modes archaïques de gouvernance. L’évolution doit lutter logiquement contre le présidentialisme et pour la protection de la planète. Les nouvelles obligations de protection et de défense des populations ringardisent tous les donneurs d’ordres, les journalistes du système et tous les commentateurs sur les médias habituels, en même temps que la littérature inepte qu’ils produisent en grandes quantités.
Les commentateurs à grande gueule comme Zemmour et Onfray espèrent continuer à capitaliser sur les crises à venir, mais pour combien de temps encore? Leur prétendue «culture supérieure» les autorise à discourir seuls, en dissimulant la vanité et la vacuité de leur réflexion sous des rappels historiques illustrant leurs convictions. Pire, ils obligent les autres journalistes présents à leurs côtés à s’écraser (par défaut d’arguments convaincants et de culture?), même quand les propos tenus frisent la connerie pure et l’indécence absolue.
Oui, les dés sont pipés avec tous ces manipulateurs, de Trump à Poutine et de Zemmour à Onfray, qui s’imaginent pouvoir maintenir ce système inique en marche pour leur seul bénéfice, mais plus pour longtemps: bientôt, les Gafam-infâmes les remplaceront par des robots et autres avatars. Car la belle culture ancienne et universelle est morte avec les derniers humanistes et les encyclopédistes d’avant le vingtième siècle. Et les derniers venus ne sont souvent que des petits manipulateurs que nul ne semble capable de contredire sur pieds: hélas, les réactions sont toujours trop tardives sur les réseaux pour les mettre devant l’absurdité de leurs propositions.
Pourtant, les peuples en Europe comme aux États-Unis sont de mieux en mieux informés – je parle de ceux qui échappent aux dictatures, aux sectes et aux lobbies. De plus, le simple bon-sens permet de deviner toutes les ficelles servant à nous diviser et à nous asservir: examinons par exemple les mensonges d’état (le virus n’a pas de frontières, les masques ne servent à rien), la désinformation (on ignore toujours au bout de trois mois le total des décès), l’interdiction des rassemblements (pour empêcher les révoltes), le contrôle des réseaux (pour limiter les réactions hostiles), les fausses bonnes-nouvelles (30000 morts du coronavirus, ce serait 60000 vies sauvées!), les contre-feux (le problème est résolu, passons à d’autres urgences) etc.
Par exemple, aux États-Unis, la responsabilité de Trump dans l’échec national est oubliée avec la guerre froide qu’il a entamée contre la Chine Populaire et avec ses menaces de représailles sanglantes contre la révolte des Noirs (au risque d’un Bloody Sunday américain). Même le lancement réussi de la première fusée privée dans l’espace est un heureux intermède pour Trump, qui ouvre l’espoir d’un nouveau business américain très fructueux (tout en étendant gravement la pollution à l’espace interplanétaire). Oui, oubliés déjà plus de 100000 morts du Covid-19 et plus de deux millions de malades (officiels)! Ainsi fonctionne l’inconscient collectif qui change ses bourreaux en héros d’un coup de baguette magique.
Après la mode des abris anti-atomiques aux USA, on imagine bien que les milliardaires américains vont se payer des navettes spatiales ou simplement réserver des places pour partir se mettre à l’abri avec leurs familles à la prochaine menace.
Dans la série américaine «The Resident», le Dr Rendolph Bell, qui n’est pas un saint, explique: «Nous avons donné le pouvoir au complexe médico-industriel et le moment est venu d’expliquer à ceux qui se mettent en travers du bien commun que nous n’allons plus faire profil bas...»
Et dans une bande dessinée prémonitoire publiée en 1941 intitulée «L’Étoile Mystérieuse», le dessinateur Hergé imagine un brusque réchauffement climatique capable de faire fondre l’asphalte des rues. Je revois une scène emblématique, quand un vieux savant un peu fou passe en tapant sur un gong: «...C’est le châtiment!.. Faites pénitence!.. La fin des temps est venue!… La fin du monde, oui!...».
De fait, les vrais choix stratégiques à prévoir en France, suite au Covid-19, sont soigneusement ignorés: par exemple, quelles mesures drastiques permettront de lutter contre la grippe saisonnière en 2021 (10000 morts minimum par an en France) et surtout, quelles sont les mesures prévues en cas d’explosion d’une de nos centrales nucléaires? Tiens, le lobby de l’atome nous a expliqué en 1986 que le nuage de Tchernobyl s’était arrêté à la frontière française, que les cultures vivrières étaient exemptes de contaminations radioactives et donc que l’absorption d’iode était complètement inutile… soit des milliards de comprimés qui sans doute ont fini à la poubelle après la date de péremption! Et aujourd’hui, notre gouvernement associé au lobby des laboratoires a réitéré avec le Covid-19: «Non, expliquaient-ils, on ne peut pas arrêter le virus aux frontières… Et puis il n’y a aucun traitement efficace et donc il faut attendre la mise au point de molécules miraculeuses dans nos laboratoires, après des années d’étude. En attendant, on va vous confiner pour votre bien pendant trois mois, les malades avec les biens-portants (en coulant l’économie nationale et des milliers de petits commerçants qui vont fermer boutique). Comprenez bien, c’est la première fois que l’État consent à un tel sacrifice… Alors, que demander de plus?». La France est une terre d'opportunités pour les investisseurs Américains et Chinois. Et voilà comment les gros mangent les petits… Ah oui, merde in France.
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