Quand Zhumour fait sa propagande, il utilise l’écologie comme une grosse bouse dans laquelle il trempe son bâton pour tuer les mouches. Vous parlez d’un demeuré! Et rien de ce qu’il affirme concernant l’écologie est vrai puisqu’il s’en sert d’attrape-nigauds pour écraser et ensuquer avec son balai-à-chiotte le gauchisme, le libre-échangisme et les circuit-courts, l’immigration, la PMA, l’anti-nucléaire et l’anti-pétrole, le communisme et l’anti-capitalisme, les chanteurs, les énergies éoliennes et décarbonées, la Silicon Valley issue des mouvements hippies, la France reléguée honteusement au 4éme rang des producteurs agricoles etc. Ouf… N’en jetez plus!
Imaginez donc que Zhumour se filme à chaque fois qu’il défèque et qu’ensuite il en fasse des petits montages vidéo intitulés par exemple: «écologie politique» ou "à la gloire du Général". Et donc, vous ouvrez la vidéo et vous y voyez nôtre gai luron pousser des centaines de merdes chaudes en se prenant pour Fellini... Super la collection. Zhumour, c'est plus fort que Marcel Duchamp!
Moi, je suis contre ce Tom-pousse mais aussi contre l’écologie politique et philosophique. Je pense que l’écologie n’est pas uniquement une science mais qu’elle est un «art de vivre avec la Nature» qui doit embellir nos vies à chaque instant, comme jadis la grâce divine des chrétiens et les statues grecques. Mais quand Zhumour barbouille les murs de caca en appelant cela «écologie politique» ou quand Onfrais crache son mépris sur le travail de Greta Thunberg pour imposer son "écosophie", je pense que ce sont des grands malades et qu’il faut absolument leur interdire de parler d’écologie en particulier et de politique ou de philosophie en général.
Ainsi, quand Cnews lui pose la question: «L’écologie porte-t-elle les germes d’un système alternatif capable de remplacer le capitalisme?», la réponse du professeur Zhumour est particulièrement tordue qui mélange allègrement tous ses phantasmes.
Il dit, texto: «L’écologie est une science des écosystèmes tout à fait légitime, intéressante et utile mais faut pas qu’elle dirige le pays comme certains médecins avaient eu la prétention de diriger le pays [pendant la crise du Covid-19] parce qu’elle n’a aucune légitimité politique. Le politique a sa propre légitimité. À la différence, l’écologie politique, c’est le nouveau nez du gauchisme, vert à l’extérieur et rouge dedans. Ces gens là sont pour les circuits court, contre le libre échange économique etc. mais ils sont pour l’ouverture des frontières à tous les migrants de la planète, pour le principe de précaution mais sauf pour la PMA, pour la limitation du carbone et du CO² mais contre le nucléaire qui est l’énergie la plus pauvre en CO². Cette écologie est le nouvel habillage du communisme anti-capitaliste. Maintenant, les acteurs et les chanteurs sont les perroquets de l’extrême-gauche»…
Il continue imperturbablement: «C’est l’industrie qui a abîmé la planète depuis un siècle et demi mais en même temps, c’est cette industrie et en particulier le pétrole qui nous a permis d’avoir un mode de vie dont on ne voudrait pour rien au monde renoncer. Les gens ne veulent pas moins consommer, comme les gilets-jaunes qui ont fait une révolte anti-écologique, le fameux dilemme entre les fins de mois et la fin du monde… Tous les fondateurs [de la Silicon Valley] en Californie viennent de l’extrême-gauche et du mouvement hippie. Leurs éoliennes sont une catastrophe qui abîment la flore, les mers, les animaux et les oiseaux qui se prennent les pales et c’est les Verts qui veulent ça… Il n’y a pas d’alternative aux déchets nucléaires, en plus on sacrifie cette technologie française pour des chimères qui massacrent l’environnement comme l’éolien et puisque le vent ne marche pas tout le temps, il faut aller chercher en plus le gaz et le charbon, comme les Allemands… Déjà, la France est devenue le 4ème producteur agricole alors qu’on était le premier… L’Allemagne et la Hollande n’ont pas ces états d’âme».
Voilà donc la teneur de son discours: l’écologie et les Verts sont habillés pour l’été par notre petit professeur. Ainsi exempté du devoir ingrat de sauver la Nature, Zhumour invoque avec les bras grands ouverts la France d’avant, authentique, blanche et souverainiste, celle des trente glorieuses. Grand bien lui fasse! Ça lui fait un beau curriculum vitae pour se torcher les fesses.
Non, je n’ai rien en principe contre les perroquets d’extrême-droite (ou d’extrême-gauche), mais quand Zhumour affirme que ce sont principalement les éoliennes qui tuent les oiseaux avec leurs pales et que les centrales nucléaires sont la seule solution pour s’approvisionner en énergie, je retrouve le vilain petit manipulateur, l’enfant ingrat qui frappe les gros cacas avec son bâton pour tuer les mouches.
D’abord, qu’en est-il des panaches radioactifs de Tchernobyl trente ans après sur la population française, des zones interdites, des essais des bombes atomiques sur la population autour de Mururoa, de l’état des océans par le déversement de millions de litres d’eau radioactive à Fukushima, des rivières polluées à l’eau lourde autour de nos centrales atomiques, des millions de Français atteints à la thyroïde et de la disparition pas si mystérieuse de milliards d'insectes etc.?
Que Zhumour aille interroger Allain Bougrain-Dubourg au lieu de faire les demandes et les réponses. Même moi, je sais que les oiseaux ont commencé à disparaître BIEN AVANT LES ÉOLIENNES: ont trouve leurs cadavres encore par milliers tous les jours autour des éclairages publics, sur les routes et les autoroutes où ils sont écrasés, aux pieds des tours qu’ils percutent pendant leurs migrations, au pied des baies vitrées en ville et des lampadaires où ils choient, là où les chats les attendent pour les dévorer, ou même piégés au fond des poteaux métalliques creux dans lesquelles les petits oiseaux cherchent à nicher à la place des arbres. Je parle là d’une hécatombe quotidienne qui vide nos villes et nos campagnes de tous leurs oiseaux depuis 70 ans (sans parler des campagnes de stérilisation des pigeons et de la disparition des moineaux en ville), d'une extermination systématique par la chasse à outrance, de la mort des couvées par dissémination d’insecticides, de l’affaiblissement des espèces et de la mort de faim des oisillons quand il n’y a plus d’insectes à manger, de leur extermination par des millions de chats qui grimpent à coups de griffes jusqu’aux nids, de leur mort par écrasement dans les machines agricoles, de leur mort par des piégeages honteux à base de colle et par la chasse postée (le cul sur une chaise) quand les chasseurs attendent les oiseaux épuisés qui tentent de traverser les chaînes montagneuses, pardessus les chalets et les guérites. Misère de vous, monsieur Zhumour! Si j’étais une mouette (ou bien Aymeric Caron), j’aurais plaisir à fienter sur vôtre veston en survolant les plateaux d’enregistrement que vous squattez, tant vous m'agacez!
De plus, la France n’a pas vocation à être la première agriculture pour nourrir le monde entier à coups d’insecticides et de pesticides, de pétrole et d’intrants, d’hormones et d’antibiotiques, d’expérimentations génétiques et de nourritures synthétiques déversées directement dans l’estomac des vaches au travers de hublots etc. Il serait bien que la France se nourrisse elle même, respectueusement: apprenons simplement à moins consommer! La courbe de croissance économique n’est pas le but, surtout quand cette croissance se double d’un emballement de la dette nationale et du réchauffement climatique. Rappelez-vous comment est survenue la crise de «la vache folle», quand les industriels avaient la bonne idée de nourrir les animaux avec leurs déjections et les cadavres des autres animaux, suivant un cercle vertueux parfait: c’est dire si ce sont des grands malades! Et bien, vous ne valez pas mieux.
Zhumour, l’idiot de droite au service de Trump et des lobbies internationaux, continue de réclamer au nom de "la fuite en avant" (avec Onfrais-du-ventilateur, ce pseudo-gauchiste) toujours plus de pétrole parce que cette huile miraculeuse nous aurait enrichis pendant les trente années les plus glorieuses de la France d’après-guerre (juste avant de nous endetter pour les 10 siècles à venir) et surtout plus d’énergie nucléaire parce que c’est une technologie française très économique «qui ne génère pas de CO²».
Évidemment, ce sont encore là des mensonges grossiers: les ménages français ont justement commencé à s’endetter dès les années 70 avec la hausse du prix du pétrole. Le premier choc pétrolier (importé des États-Unis) fut la plus grande catastrophe économique d’après-guerre, et nos parents ont payé ce pétrole de plus en plus cher, jusqu’à 20 fois le prix initial: aujourd’hui, c’est toujours une facture pétrolière astronomique que nous acquittons tous les jours en dollars pour nous déplacer et nous chauffer, au profit des États-Unis d’Amérique et des pays du Golf qui lui sont inféodés. Notre deuxième budget d’état après l’enseignement est devenu celui de la dette publique et le troisième budget est celui de la Défense. Et donc, nous payons l’entretien de l’Armée française (lancée dans des missions désastreuses pour justifier ses budgets astronomiques adoptés chaque année par la loi de finance initiale), auquel s'ajoute le développement de l’énergie nucléaire (compris dans le budget de la Recherche à la fois militaire et civile) et qui sont les vraies raisons de la dette faramineuse des Français et de la ruine des ménages en payant l'impôt, en plus du prix surtaxé du litre de pétrole.
Et que dire de notre parc nucléaire et de la bombe atomique? Le coût du démontage des centrales atomiques en fin de vie et d’une partie de l’arsenal militaire obsolète plus leurs renouvellements, les nouvelles technologies pas au point comme l’EPR et ses cuves défectueuses, l’enfouissement des déchets (pas loin de Paris), la décontamination des paysages suite aux catastrophes passées et à venir, l’atteinte de la santé des populations: au total, le prix du nucléaire sera multiplié par dix avant la fin du siècle, avec la dette publique. Le nucléaire, après le pétrole, finira de ruiner la France et notre pays sera bientôt au bord du dépôt de bilan (avant d'être démantelé et racheté à la coupe par les Gafam infâmes, par la Chine et d'autres puissances à venir).
La France souffre depuis 50 ans du désinvestissement des énergies propres, décarbonées, sans émissions de gaz et sans déchets industriels. Et quoi de mieux que l’énergie photovoltaïque et éolienne pour les particuliers? Le prix de l’énergie nucléaire, de son étude et sa mise au point, des tests, les coûts de fabrication, d’entretien, de maintenance des installations, du démantèlement en fin de vie et de l’enfouissement des déchets est tout simplement pharaonique en comparaison du solaire et de l'éolien.
Oui, vivement que ce gouvernement se désengage des énergies carbonées et de l’énergie sale fournie par les centrales nucléaires, des armées et de l’arme atomique en particulier, monsieur Zhumour: calculez le budget des armées depuis 1945 et vous verrez qu'il correspond exactement à la dette publique totale de la France, contrairement à l'Allemagne, et pour quels résultats? D’ailleurs, arrivée au stade critique, on suppose que la dette ne pourra plus jamais être remboursée, à moins de vider immédiatement les comptes-épargne des Français à qui la dette est directement imputée...
Non, notre passé militaire et le développement de l’énergie nucléaire (militaire et civil) n’ont plus rien de glorieux qui justifieraient de maintenir ces aberrations technologiques, sans parler des contaminations radioactives dissimulées un peu partout sur la surface de la Terre et pour des millions d’années, jusqu’au fond de nos rivières et des océans qui bordent notre domaine maritime, le plus grand d’Europe. Résultat, les populations côtières contaminées crèvent de cancers mais aussi les poissons quand les barils de déchets radioactifs se décomposent au fond des fosses marines. On vérifie aussi, en pleine crise du Coronavirus, que l’Armée ne sert pas à sauver la population parce que «c’est pas sa mission» comme disent les généraux, à part quelques transports de malades et de matériel de protection ou l’ouverture à grand bruit d’un hôpital de campagne de 30 lits quand il en manquait 5000: cherchez l’erreur! Ah oui, monsieur Zhumour... Merde in France.
Imaginez donc que Zhumour se filme à chaque fois qu’il défèque et qu’ensuite il en fasse des petits montages vidéo intitulés par exemple: «écologie politique» ou "à la gloire du Général". Et donc, vous ouvrez la vidéo et vous y voyez nôtre gai luron pousser des centaines de merdes chaudes en se prenant pour Fellini... Super la collection. Zhumour, c'est plus fort que Marcel Duchamp!
Moi, je suis contre ce Tom-pousse mais aussi contre l’écologie politique et philosophique. Je pense que l’écologie n’est pas uniquement une science mais qu’elle est un «art de vivre avec la Nature» qui doit embellir nos vies à chaque instant, comme jadis la grâce divine des chrétiens et les statues grecques. Mais quand Zhumour barbouille les murs de caca en appelant cela «écologie politique» ou quand Onfrais crache son mépris sur le travail de Greta Thunberg pour imposer son "écosophie", je pense que ce sont des grands malades et qu’il faut absolument leur interdire de parler d’écologie en particulier et de politique ou de philosophie en général.
Ainsi, quand Cnews lui pose la question: «L’écologie porte-t-elle les germes d’un système alternatif capable de remplacer le capitalisme?», la réponse du professeur Zhumour est particulièrement tordue qui mélange allègrement tous ses phantasmes.
Il dit, texto: «L’écologie est une science des écosystèmes tout à fait légitime, intéressante et utile mais faut pas qu’elle dirige le pays comme certains médecins avaient eu la prétention de diriger le pays [pendant la crise du Covid-19] parce qu’elle n’a aucune légitimité politique. Le politique a sa propre légitimité. À la différence, l’écologie politique, c’est le nouveau nez du gauchisme, vert à l’extérieur et rouge dedans. Ces gens là sont pour les circuits court, contre le libre échange économique etc. mais ils sont pour l’ouverture des frontières à tous les migrants de la planète, pour le principe de précaution mais sauf pour la PMA, pour la limitation du carbone et du CO² mais contre le nucléaire qui est l’énergie la plus pauvre en CO². Cette écologie est le nouvel habillage du communisme anti-capitaliste. Maintenant, les acteurs et les chanteurs sont les perroquets de l’extrême-gauche»…
Il continue imperturbablement: «C’est l’industrie qui a abîmé la planète depuis un siècle et demi mais en même temps, c’est cette industrie et en particulier le pétrole qui nous a permis d’avoir un mode de vie dont on ne voudrait pour rien au monde renoncer. Les gens ne veulent pas moins consommer, comme les gilets-jaunes qui ont fait une révolte anti-écologique, le fameux dilemme entre les fins de mois et la fin du monde… Tous les fondateurs [de la Silicon Valley] en Californie viennent de l’extrême-gauche et du mouvement hippie. Leurs éoliennes sont une catastrophe qui abîment la flore, les mers, les animaux et les oiseaux qui se prennent les pales et c’est les Verts qui veulent ça… Il n’y a pas d’alternative aux déchets nucléaires, en plus on sacrifie cette technologie française pour des chimères qui massacrent l’environnement comme l’éolien et puisque le vent ne marche pas tout le temps, il faut aller chercher en plus le gaz et le charbon, comme les Allemands… Déjà, la France est devenue le 4ème producteur agricole alors qu’on était le premier… L’Allemagne et la Hollande n’ont pas ces états d’âme».
Voilà donc la teneur de son discours: l’écologie et les Verts sont habillés pour l’été par notre petit professeur. Ainsi exempté du devoir ingrat de sauver la Nature, Zhumour invoque avec les bras grands ouverts la France d’avant, authentique, blanche et souverainiste, celle des trente glorieuses. Grand bien lui fasse! Ça lui fait un beau curriculum vitae pour se torcher les fesses.
Non, je n’ai rien en principe contre les perroquets d’extrême-droite (ou d’extrême-gauche), mais quand Zhumour affirme que ce sont principalement les éoliennes qui tuent les oiseaux avec leurs pales et que les centrales nucléaires sont la seule solution pour s’approvisionner en énergie, je retrouve le vilain petit manipulateur, l’enfant ingrat qui frappe les gros cacas avec son bâton pour tuer les mouches.
D’abord, qu’en est-il des panaches radioactifs de Tchernobyl trente ans après sur la population française, des zones interdites, des essais des bombes atomiques sur la population autour de Mururoa, de l’état des océans par le déversement de millions de litres d’eau radioactive à Fukushima, des rivières polluées à l’eau lourde autour de nos centrales atomiques, des millions de Français atteints à la thyroïde et de la disparition pas si mystérieuse de milliards d'insectes etc.?
Que Zhumour aille interroger Allain Bougrain-Dubourg au lieu de faire les demandes et les réponses. Même moi, je sais que les oiseaux ont commencé à disparaître BIEN AVANT LES ÉOLIENNES: ont trouve leurs cadavres encore par milliers tous les jours autour des éclairages publics, sur les routes et les autoroutes où ils sont écrasés, aux pieds des tours qu’ils percutent pendant leurs migrations, au pied des baies vitrées en ville et des lampadaires où ils choient, là où les chats les attendent pour les dévorer, ou même piégés au fond des poteaux métalliques creux dans lesquelles les petits oiseaux cherchent à nicher à la place des arbres. Je parle là d’une hécatombe quotidienne qui vide nos villes et nos campagnes de tous leurs oiseaux depuis 70 ans (sans parler des campagnes de stérilisation des pigeons et de la disparition des moineaux en ville), d'une extermination systématique par la chasse à outrance, de la mort des couvées par dissémination d’insecticides, de l’affaiblissement des espèces et de la mort de faim des oisillons quand il n’y a plus d’insectes à manger, de leur extermination par des millions de chats qui grimpent à coups de griffes jusqu’aux nids, de leur mort par écrasement dans les machines agricoles, de leur mort par des piégeages honteux à base de colle et par la chasse postée (le cul sur une chaise) quand les chasseurs attendent les oiseaux épuisés qui tentent de traverser les chaînes montagneuses, pardessus les chalets et les guérites. Misère de vous, monsieur Zhumour! Si j’étais une mouette (ou bien Aymeric Caron), j’aurais plaisir à fienter sur vôtre veston en survolant les plateaux d’enregistrement que vous squattez, tant vous m'agacez!
De plus, la France n’a pas vocation à être la première agriculture pour nourrir le monde entier à coups d’insecticides et de pesticides, de pétrole et d’intrants, d’hormones et d’antibiotiques, d’expérimentations génétiques et de nourritures synthétiques déversées directement dans l’estomac des vaches au travers de hublots etc. Il serait bien que la France se nourrisse elle même, respectueusement: apprenons simplement à moins consommer! La courbe de croissance économique n’est pas le but, surtout quand cette croissance se double d’un emballement de la dette nationale et du réchauffement climatique. Rappelez-vous comment est survenue la crise de «la vache folle», quand les industriels avaient la bonne idée de nourrir les animaux avec leurs déjections et les cadavres des autres animaux, suivant un cercle vertueux parfait: c’est dire si ce sont des grands malades! Et bien, vous ne valez pas mieux.
Zhumour, l’idiot de droite au service de Trump et des lobbies internationaux, continue de réclamer au nom de "la fuite en avant" (avec Onfrais-du-ventilateur, ce pseudo-gauchiste) toujours plus de pétrole parce que cette huile miraculeuse nous aurait enrichis pendant les trente années les plus glorieuses de la France d’après-guerre (juste avant de nous endetter pour les 10 siècles à venir) et surtout plus d’énergie nucléaire parce que c’est une technologie française très économique «qui ne génère pas de CO²».
Évidemment, ce sont encore là des mensonges grossiers: les ménages français ont justement commencé à s’endetter dès les années 70 avec la hausse du prix du pétrole. Le premier choc pétrolier (importé des États-Unis) fut la plus grande catastrophe économique d’après-guerre, et nos parents ont payé ce pétrole de plus en plus cher, jusqu’à 20 fois le prix initial: aujourd’hui, c’est toujours une facture pétrolière astronomique que nous acquittons tous les jours en dollars pour nous déplacer et nous chauffer, au profit des États-Unis d’Amérique et des pays du Golf qui lui sont inféodés. Notre deuxième budget d’état après l’enseignement est devenu celui de la dette publique et le troisième budget est celui de la Défense. Et donc, nous payons l’entretien de l’Armée française (lancée dans des missions désastreuses pour justifier ses budgets astronomiques adoptés chaque année par la loi de finance initiale), auquel s'ajoute le développement de l’énergie nucléaire (compris dans le budget de la Recherche à la fois militaire et civile) et qui sont les vraies raisons de la dette faramineuse des Français et de la ruine des ménages en payant l'impôt, en plus du prix surtaxé du litre de pétrole.
Et que dire de notre parc nucléaire et de la bombe atomique? Le coût du démontage des centrales atomiques en fin de vie et d’une partie de l’arsenal militaire obsolète plus leurs renouvellements, les nouvelles technologies pas au point comme l’EPR et ses cuves défectueuses, l’enfouissement des déchets (pas loin de Paris), la décontamination des paysages suite aux catastrophes passées et à venir, l’atteinte de la santé des populations: au total, le prix du nucléaire sera multiplié par dix avant la fin du siècle, avec la dette publique. Le nucléaire, après le pétrole, finira de ruiner la France et notre pays sera bientôt au bord du dépôt de bilan (avant d'être démantelé et racheté à la coupe par les Gafam infâmes, par la Chine et d'autres puissances à venir).
La France souffre depuis 50 ans du désinvestissement des énergies propres, décarbonées, sans émissions de gaz et sans déchets industriels. Et quoi de mieux que l’énergie photovoltaïque et éolienne pour les particuliers? Le prix de l’énergie nucléaire, de son étude et sa mise au point, des tests, les coûts de fabrication, d’entretien, de maintenance des installations, du démantèlement en fin de vie et de l’enfouissement des déchets est tout simplement pharaonique en comparaison du solaire et de l'éolien.
Oui, vivement que ce gouvernement se désengage des énergies carbonées et de l’énergie sale fournie par les centrales nucléaires, des armées et de l’arme atomique en particulier, monsieur Zhumour: calculez le budget des armées depuis 1945 et vous verrez qu'il correspond exactement à la dette publique totale de la France, contrairement à l'Allemagne, et pour quels résultats? D’ailleurs, arrivée au stade critique, on suppose que la dette ne pourra plus jamais être remboursée, à moins de vider immédiatement les comptes-épargne des Français à qui la dette est directement imputée...
Non, notre passé militaire et le développement de l’énergie nucléaire (militaire et civil) n’ont plus rien de glorieux qui justifieraient de maintenir ces aberrations technologiques, sans parler des contaminations radioactives dissimulées un peu partout sur la surface de la Terre et pour des millions d’années, jusqu’au fond de nos rivières et des océans qui bordent notre domaine maritime, le plus grand d’Europe. Résultat, les populations côtières contaminées crèvent de cancers mais aussi les poissons quand les barils de déchets radioactifs se décomposent au fond des fosses marines. On vérifie aussi, en pleine crise du Coronavirus, que l’Armée ne sert pas à sauver la population parce que «c’est pas sa mission» comme disent les généraux, à part quelques transports de malades et de matériel de protection ou l’ouverture à grand bruit d’un hôpital de campagne de 30 lits quand il en manquait 5000: cherchez l’erreur! Ah oui, monsieur Zhumour... Merde in France.
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