Ce lundi 15 juin, annoncé solennellement par Macron, est le jour du déconfinement de la France métropolitaine qui passe ainsi entièrement au vert. Ce pourrait être celui d’un grand revirement favorable à la Nation, mais c’est peu probable. Le confinement prolongé a surtout agacé les voyous de mon quartier (des Noirs) qui rêvent maintenant de prendre leur revanche: heureusement, la fièvre de consommer (tout et n’importe quoi) et le business repartent en flèche avec les beaux jours entre les tours HLM. Non, ne venez pas leur chercher des noises… Eux estiment avoir été encore une fois les principales victimes de la police, gênés dans leurs trafics. Camélia Jordana en témoigne, la chanteuse qui les défend car, exactement comme elle, nos grands voyous se sentent discriminés à cause de la couleur de leur peau et de leurs cheveux frisés. T’y crois, toi? Moi, pas du tout. Je pense que c'est autre chose...
Voici donc apparaître sainte Camélia du Jourdain. Au départ, je n’ai rien contre les figures féminines, de Sainte Geneviève (patronne de la ville de Paris et des gendarmes) à Sainte Jeanne d’Arc, qui devinrent légendaires quand la France n’était encore qu’une grande péninsule successivement envahie et colonisée par les Africains, les Romains, les Huns, les Vikings, les Anglais et les Allemands. Elle nous explique sa peur du flic et le malheur d'être frisé, devant un Philippe Besson sidéré et un Ruquier muet - c'est dire la stupidité de ces amuseurs sensés représenter le génie littéraire français, le théâtre, l'art de la répartie, la gouaille d'avant guerre et le "bon sens commun", la fausse culture des "Grosses-têtes" pour les beaufs et les QCM pour étudiants attardés! Hélas, divertir sans esprit, en ricanant, et occuper l'espace public pendant des heures pour le plaisir de placer quelques bons mots, c'est lassant. Ruquier et son alter-ego Philippe Besson sont les bobos-fragiles de la TV: ensemble, ils représentent l'abdication de toutes nos valeurs morales ancestrales et de nos principes les plus élémentaires, foulés aux pieds en échange d’un rire automatique. On comprendra que ces andouilles de vire enfarinées aient été débarquées ex abrupto du "Service public" transformé par leurs soins en "Sévice public". La farce ne faisait plus recette!
Non seulement la France est devenue immorale par dissolution des mœurs mais elle perd sa capacité à faire Nation, d'où un sentiment populaire d’extrême solitude et une révolte des gilets-jaunes, la classe des petits blancs méprisés. Mais si la gendarmerie et la police sont qualifiées de nationales, que font-elles de mal? La gendarmerie (plutôt rurale) et la police (plutôt citadine) ne sont pas des œuvres de bienfaisance car elles ont le rôle de punir. La gendarmerie, héritière de la maréchaussée, est née pendant la Révolution sanglante de 1789 et elle a toujours inspiré une sainte frousse. Les "soldats du roi" sont devenus les "soldats de la loi républicaine" avec pour fonction depuis des siècles de réprimer avec sévérité tous les écarts de conduite. Par exemple, "la peur du képi" et de la police ont accompagné des millions d'automobilistes depuis le commencement des congés payés, sur la route des vacances. Hélas, cela n’a pas empêché des millions de blessés et beaucoup de morts inutiles.
Alors, de quelle peur tu parles, Camélia? Déjà, à l’entrée de mon HLM, des bandits gonflent les pectoraux et se prennent en selfies sur des chaises pliantes, devant les portes arrachées aux huisseries et les boîtes au lettre éventrées. Ils ont même réussi à pisser sur mon courrier. Des capsules vides de gaz hilarant jonchent l’entrée de l’immeuble et les ballons de baudruche qui servent à inhaler cette merde traînent dans les coins, abandonnés par des bandes de gamins excités. Je dois slalomer entre les ordures balancées par les fenêtres et les flaques de pisse des pauvres chiens qui n'en peuvent plus de se retenir. Dois-je avouer à cette petite beurette de luxe ma peur et mon dégoût de vivre ici depuis plus de trente ans? Chaque nouvelle génération de Nord-afs ou d’Arabes qui dealent jusqu’à pas d’heure sous ma fenêtre me semble plus malfaisante que la précédente. Que la police leur mette un peu la pression? Ce serait un bon signe pour faire respecter les lois et le voisinage, mais curieusement ces gangs ne veulent rien comprendre: business is business, disent-ils sans jamais capituler, ni même une seconde en levant les mains en l’air devant les forces de l'ordre. Je les entends se marrer pendant la nuit et je rêve que la police les frappe. Une fille hurle parce que le gars avec qui elle discutait vient de lui mettre la main dans la culotte pendant qu'un autre gars semble se fait tabasser dans un coin (ou sodomiser) avec les cris d'excitation d'une bande de babouins en rut.
Mais peut-être que j'affabule et que cela n'existe que dans ma tête? C'était jusqu'à ce que Stéphane Édouard m'explique que la seule famille Traoré est constituée de 17 frères et soeurs multi-récidivistes (agressions, extorsions, viols, vols avec violence, trafiques de stupéfiants). Cette "famille en or", décrite comme "une chance pour la France" par Christiane Taubira (notre ex-garde des Sceaux) se serait constituée en comité de défense de ses intérêts et agrégée au mouvement des gilets-jaunes, avec à sa tête Assa Traoré (une petite éducatrice spécialisée reconvertie en militante comme Angela Davis), suivant le principe de la convergence des luttes. Leurs bases se situeraient à Bamako au Mali dans une communauté polygame mais c'est en France qu'ils viendraient percevoir des allocations familiales et éduquer leurs enfants. Et là, je dois m'associer au malheur de toutes ces familles innocentes qui souffrent d'ostracisme chez nous du seul fait de leurs origines.
la nouvelle «Révolution française de 2020», celle qui prétend «redresser la police» et «faire tomber les statues décapitées des esclavagistes», c’est quand les voyous réussissent à se faire passer, dans l’opinion publique et sur les réseaux pour des pauvres victimes qu’il faut protéger des exactions de la police. Par exemple, la population carcérale est une des populations les plus marginalisées et maltraitées qu’il faut absolument protéger des gardiens de prison; En Afrique, autre exemple, les Hutu ont fait des demandes d’asile politique à la France après le génocide du Rwanda pour se protéger des Tutsi... qu’ils avaient massacrés juste avant. Comprenez-vous? Tiens, qui veut adopter un petit Black africain? Même à l'âge de huit ans, il y a des enfants-soldats qui ont tué père et mère alors, à l'âge de quinze ans, la police? Comment ils s’en tapent!
Vous remarquerez que je mets des majuscules à tous, sauf à "petit blanc" et "homme de loi" parce que je n’ai rien à craindre d’eux mais par contre je sigle Black, Arabe, Coran et Ramadan, Délinquant et Polygame etc. Peut-être que je me sous-estime en oubliant les codes sociaux et les priorités, ou bien suis-je raciste?
Évidemment, je ne suis pas de ces catastrophistes qui annoncent la fin du monde, celle qui viendrait si le sens de rotation de la Terre s’inverse un jour: il suffira pour cela d’une collision de la Terre avec une autre planète ou d’une pluie d’astéroïdes de très grande taille pour que des nouveaux moments d’inertie inversent le sens de rotation de la Terre sur son axe (mais d’ici là, nous serons tous morts). Et je ne parle même pas de la fin de notre civilisation, vu que nous n’en avons plus vraiment, seulement une grosse machine de destruction massive. Alors, la révolte des ethnies et la guerre des races… non, rien à craindre en France si ils respectent la loi… enfin, tant que ça marche encore, la peur du képi...
Comprenez, je parle aujourd’hui de l’inversion de la morale républicaine (la raie-pue-blik comme disait Mouna en crachant par derrière) et de l’altération irrévocable de nos mœurs sous l’effet de la compétition des malfaiteurs pour occuper l’espace public. Déjà, l’immigration officielle et clandestine continue de chasser les petits blancs de mon HLM et de mon quartier, mais aussi du village de mes parents qui est devenu à son tour un lieu de prédations et de déprédations. Les blancs sont des phacochères, leurs femmes sont des zébus, leurs filles sont des gazelles et les Noirs sont des lions. Devinez, qui mange qui?
La date qui indique le début de la «révolution palindromique» qui nous occupe n’est pas due au hasard: c’est le 02-02-2020. Nous pourrions très bien choisir un autre jour, comme celui de la fête des Saints Innocents (qui correspond à la première tentative de tuer Jésus de Nazareth, peu après sa naissance). Mais ce n’est pas une révolution chrétienne: les chrétiens opprimés par l’ordre laïc ne se révolteront jamais en France!
En fait, la date fatidique du 02-02-2020 qui nous intéresse est un palindrome, c’est à dire qu’elle peut se lire indifféremment dans les deux sens. Elle signifie que tout ce qui a été réalisé antérieurement par nos parents sera jeté à la poubelle et donc que le film qui se jouait classiquement à l’endroit «pour le bien de tous» se joue maintenant à l’envers «pour l’avoir dans le cul».
«Retour vers le futur» devient «Retour vers le passé»: c’est là que Marty McFly marche à reculons, se fait aspirer dans le ventre de sa maman et retourne se cacher dans les couilles de son père. Comme lui, nous voici infantilisés et ridiculisés parce que si nous retournons 150 ans en arrière, nous les petits français sommes accusés par les Noirs d’être d’horribles esclavagistes et si nous retournons seulement 70 ans en arrière, nous sommes accusés par les Arabes d’être des pourritures de colonialistes. La boucle est bouclée! Mon voisin (qui est Noir, bien sûr) dit que lui et toute sa famille (ils sont 2000 dans son village près de Ouagadougou), et bien ils seraient plus français que moi: tous ses ancêtres dit-il ont construit nos maisons et son morts pour la France. Ils sont même plus français que le Général de Gaulle qui n’était qu’une petite merde sur le champ de bataille. Nous leur devons tout! Après, je ne peux plus rien dire, même si mon père adolescent crevait de faim en 1940 et qu’il a rejoint la résistance française en 1944.
En fait, cette «inversion civilisationnelle» des valeurs morales s’était déjà produite bien des années avant, mais la société a continué de faire comme si de rien n’était, à cause du moment d’inertie de l’occident: ce fut le jour tragique du 11 septembre 2001, quand les tours jumelles américaines ont perdu leur gémellité pour redevenir un tas de ciment, et que s’est accomplie la prophétie: «Poussière, tu n’es que poussière et tu retourneras à la poussière…» et «les forts seront frappés là où ça fait mal». Ce jour là, les Américains n’étaient plus rien du tout, finis, laminés… enfin, pas complètement.
En 2019, Trump a annoncé que l’état islamique avait été défait mais les Américains ont reculé pendant cet effort de guerre face à la Chine, qui a pris l’ascendant industriel, d’où la colère de Trump: je regarde à gauche et ils entrent par la droite… Ultra-résistante, la Chine se suffit à elle-même et elle peut donc décider de fermer ses frontières du jour au lendemain (pour revenir au temps des dynasties impériales), bien à l’abri derrière sa muraille infranchissable: la gestion d’une poigne de fer de Xi Jinping pendant la pandémie du Covid-19 est un premier avertissement. Car bientôt la Chine colonisera l’espace. Non, l’Amérique obèse de Trump, blonde, vieille et nombriliste, n’est déjà plus la première puissance mondiale, même avec la fusée SpaceX. Seule la Chine sera capable de sacrifier des millions d’hommes pour conquérir l’Espace interplanétaire et toutes les planètes devenues accessibles: après la mer de Chine, voici l’Espace interplanétaire de Chine.
Au contraire, la «révolution palindromique» est ce mouvement entretenu par des minorités agissantes qui poussent les États-Unis à revivre les heures sombres de la guerre civile, à séparer le Nord du Sud et à désolidariser les états entre eux au nom de «la nouvelle ségrégation raciale» que prônent les «anti-racistes». Oui, je sais, c’est tout et son contraire: un sacré bond en arrière!
«La Révolution palindromique» comme je la nomme ou «Retour vers l’échec» a déjà pris de multiples aspects dans le monde et en France, qui auraient dû nous alerter plus tôt:
1) Le lendemain de l’attaque des États-Unis le 11 septembre 2001, les Arabes dans les rues de Paris à Kaboul (c’est à dire en bas de chez moi) fêtaient leur revanche avec des airs de conspirateurs: «Bien fait pour eux, Dieu les punit». Plus tard, le faux-losophe R. Enthoven fera une émission télévisée soi-disant philosophique résumant sa pensée: «Les sauvages c’est pas eux, c’est nous!»; M. Onfray précisera à son tour: « Qui sommes nous pour juger les autres cultures et les sourates du Coran qui commandent d’exterminer les mécréants? Ils sont bien libres de penser et de faire comme ils le veulent chez eux». Autrement dit: pensons les choses à l’envers et vive la décadence occidentale! Depuis, le faux-losophe Onfray a un peu changé d’avis en prônant le Souverainisme intelligent, quoique j’ai des doutes sur son intelligence.
2) Le mercredi 23 juin 2010, en sortant du match de foot retransmis sur écran géant au Stade Charléty, des jeunes Algériens après leur défaite face aux USA ont déferlé sur les boulevards en brûlant des voitures et en pillant les commerces. Je m’en souviens comme si c’était hier car je fêtais la fin de l’année scolaire avec mes amis sur une terrasse de café quand ces bandits nous ont dévalisés au passage. Mais si je rembobine le film en arrière et si j’oublie ce triste jour, ces voyous ne m’ont donc jamais rien fait de mal et je les aime.
3) Après l’attentat de Charlie Hebdo du 7 janvier 2015, des parents ont interdit à leurs enfants islamiques de respecter la «minute de silence» et de dire «Je suis Charlie», considéré comme un slogan juif et anti-musulman. Rembobinons le film en arrière... Si les caricaturistes de Charlie Hebdo avaient fermé leur gueule, ils ne seraient pas morts. Et voilà... Moi, près de la Place de la Nation, je crois encore entendre les coups de feu du 13 novembre 2015 après le massacre du Bataclan et les sirènes de police mais je ne dois pas vivre dans le ressentiment… Je sais que ça va recommencer un jour. En attendant, «Peace and love» mes frères! Camélia Jordana, elle, a peur des flic… mais les pauvres flics vivent depuis les attentats avec des gilets pare-balles, le doigt sur la gâchette, sans pouvoir relâcher l’attention un instant. Comme je les plains! C’est le monde à l’envers, je vous dis.
4) le 31 décembre 2015, pendant la célébration du nouvel an, des milliers de nord-africains et d’arabes coordonnés par des mots d’ordre ont abusé et violé des milliers de femmes allemandes à Cologne et ailleurs, après avoir été invités par madame Merkel à venir s’installer dans son beau pays. Moralité, rétrospectivement, ben… il suffisait de leur offrir des petites allemandes en cadeau de bienvenue pour les fêtes!
5) Pendant le confinement du 17 Mars au 14 juin 2020, je n’ai jamais vu un seul jeune noir ou un jeune arabe porter un masque à Paris. Plus tard, j’ai appris que leurs parents malades dans le 9.2 et ailleurs saturaient les hôpitaux. En dépit de leurs coutumes familiales différentes et leur refus du confinement, ils ont été soignés sans aucune discrimination par nos équipes d’urgence. Les blancs qui eux se couvraient prudemment le visage et protégeaient les autres ont été verbalisés pendant leurs promenades. Le préfet Didier Lallement, accusé de discrimination envers les populations défavorisées, s’est excusé à Pâques d’un sous-entendu blessant à propos de leur responsabilité. Quoi? «Les coupables auront raison des juges»: c’est une relecture palindromique de l'ancien monde, celui qui est mort et ne reviendra plus.
Ainsi, il est curieux que les attentats jihadistes au nom de Allah ne concernent pas (rétrospectivement) les populations musulmanes noires et arabes qui vivent dans des communautés fermées en France, ignorantes des lois de la République. Simplement, ils ne veulent pas que leurs noms soient associés de prés ou de loin aux terroristes qui fréquentaient leurs mosquées. Ils refusent bien sûr de s’excuser en tant que musulmans, ce que je peux comprendre car il ne faut pas tout mélanger, mais quand un voyou de Minneapolis (un ancien braqueur libéré de prison, du nom de Floyd) devient à son tour une victime de la guerre entre les gangs et la police américaine, Yannick Noah demande aux sportifs français de mettre un genou à terre devant le «peuple noir discriminé» pour reconnaître notre faute, faisant de la France et de son gouvernement les «coupables rétroactifs» de l’esclavagisme et du colonialisme international. C’est exactement cela la «Révolution palindromique», quand les anti-esclavagistes, c’est à dire des noirs très remontés et agressifs, transforment les vaincus en des nouveaux vainqueurs qu’il faut indemniser, avec un bon goût de revanche.
Curieusement, Haïti, peuplée jadis d’indiens qui ont été exterminés avec l’invasion des colons espagnoles, est devenue la propriété des mulâtres et des descendants d’esclaves africains en exterminant 5000 colons français, mais elle a perdu ses grandes plantations et son opulence en devenant un pays souverain et indépendant. Au contraire, depuis ce temps, les Antilles françaises se sont considérablement enrichies. Et ce fut le même problème plus tard avec l’Algérie. Alors, pourquoi devrions-nous aujourd’hui nous agenouiller devant eux? Pour quelle dette de nos ancêtres massacrés jusqu'au dernier, pour quel crime contre l’humanité, pour quelle repentance et pour quelles réparations réclamées par des suprématistes haineux deux cent ans après que nous leur avons cédé Haïti? Si le «blanc» n’existe pas mais seulement une teinte rosée, comme l‘explique S. Afoua à J. Messiha sur Sud Radio, le noir est aussi une vue de l’esprit qu’agite des suprématistes quand ils veulent imposer un nouveau «pouvoir noir» en France métropolitaine (je n’ai aucune accointance avec le RN).
Personnellement, si je devais mettre un genou à terre, ce serait plutôt en l’honneur des moines tibétains qui continuent 60 ans après de s’auto-immoler devant leurs temples: «le Tibet brûle dans le silence». La population chinoise a pris leur place. Ce n’est plus un colonisation, c’est un grand remplacement. Mais que faites vous pour eux, madame Jordana et monsieur Noah? Peut-être sont-ils trop loin de vous, de couleur jaune avec les yeux bridés? Vous ne vous sentez pas concernés? N’êtes vous pas racistes de taire ce drame? Et qui peut douter de l’honnêteté des tibétains, à part les occupants Chinois? Moi, je ne vois pas leur couleur de peau mais leur malheur, infiniment plus grand que celui de tous les descendants d’esclaves africains en France.
Une révolution palindromique, c’est aussi quand nos soi-disant penseurs et meneurs, nos faux-losophes habituels (Onfray), nos faux-historiens (Zemmour), nos faux-chefs de partis (Mélanchon, Le Pen) lancent des anathèmes et incendient le gouvernement Macron, accusé d’être «dictatorial et laxiste en même temps». Tous ces petits-penseurs, fomenteurs de «révolution douce», s’étonneront des foyers d‘incendie qui s’allument brutalement un peu partout après qu’ils ont vomi sur notre gouvernement et sa police: n’ont-ils donc rien retenu des réactions d’orgueil des voyous après chaque attentats, après chaque match de foot perdu et à l’occasion de nos fêtes nationales, jusque dans les salles de spectacle, dans les supermarchés casher et sur les terrasses des cafés, dans les cités de la peur après le déconfinement, quand ces petits gangs bien structurés ou ces multitudes déferlantes, tous issus de l’immigration, s’imaginent prendre le pouvoir par la violence, se servir sur leurs victimes et imposer leurs volontés aux «babtous fragiles», ces petits blancs efféminés qui gardent les yeux rivés ailleurs, loin de leurs trafics en tous genre. Quoi? Nos mères et nos sœurs ne sont même pas voilées, avec l’entre-jambe ouvert comme un self-service: si elles refusent de se prostituer, elles devront rester cloîtrées chez elles. Le harcèlement sexuel est partout, ce que ces femmes osent rarement dénoncer. Mais ce que craint Camélia Jordana, c’est la police! J’en reviens toujours pas.
La «révolution palindromique» (faut-il parler de guerre des races?), c’est de déprécier le travail des policiers et d'admirer les voyous pour ce qu’ils ne sont pas: des amis et des frères, car ce ne sont que des sales types qui déshonorent quotidiennement leurs familles tout en méprisant la France. Ce sont eux qui font la guéguerre aux petits blancs. Aujourd'hui, ils sont les rois du pétrole dans nos immeubles, nos quartiers, nos cités et les ambassadeurs de leurs pays d‘origine (là où beaucoup n’ont jamais mis les pieds) tous porteurs de «valises diplomatiques" pleines d'armes, de billets et de coke. Les communautés noires, arabes, tchétchènes ou autres peuvent mobiliser en quelques heures des centaines d'hommes armés dans les quartiers, qui tirent en l'air et mettent le feu aux voitures.
Déjà, les flics, les pompiers et les médecins doivent présenter des laisser-passer pour entrer dans les cités-ambassades surarmées. Les trafiquants à bord de go-fast, de voitures béliers ou montés sur des motos pour partir faire des coups exigent de recevoir un reçu à chaque interpellation mais que fait le plus souvent la police? Elle se contente de coincer des gamins sans casques sur des scooters volés et d'autres qui s'enfuient en courant pour aller planquer les sachets de came avec la recette du jour. Ensuite, les voyous intentent des procès aux policiers coupables pour avoir blessé l'un des leurs en cavale, en faisant valoir une espèce "d'immunité diplomatique" et des vices de procédure lors de l'interpellation. On connait bien ces tactiques dans les quartiers de New York ou dans les favelas au Brésil, là où la police n’entre plus et où les trafiquants s’occupent même d’évacuer les morts des règlements de compte ou du Covid-19. Voilà comment ils organisent leur impunité. Après, les autres familles soumises à ces mafias, un peu complices, souvent tolérantes ou simplement résignées, accusent les gouvernements de les avoir abandonnées.
D’accord! Soyons légalistes mais faisons respecter la loi française avant la loi de la jungle et la loi de la montagne, sinon la République n'est plus qu'un gros mensonge, une illusion d'optique. La «révolution palindromique», en fait, c'est l'art de ces groupes de pression organisés en syndicats de nous prendre pour des cons en racontant tout et son contraire dans les médias, les journaux et les bulletins d'information: "Regardez comment les petits flics blancs sont méchants avec les noirs et les arabes". Même à Dijon, petite ville pépère, dans un quartier pourtant rénové par la mairie, il a fallu attendre trois jours pour que la police vienne s'interposer entre les bandes armées des communautés magrébines et tchétchènes. Et chaque fois que la police vient faire "un coup de propre", les populations crapuleuses réinvestissent les lieux en quelques heures parce qu'aucun juge et aucun maire n'ont le pouvoir de les expulser. La guerre des gangs et la guerre des races a donc bien commencé en France sur les territoires de la drogue et de la violence organisée, sous la conduite des communautés raciales qui agrègent les petits blancs autour d'eux comme des troupeaux de moutons pour se protéger, ce qui nous conduit à une espèce de guerre civile larvée avec des "ratés" comme aux États-Unis. Traoré ou Floyd? Même erreur, même punition. Ah oui… Merde in France.
Voici donc apparaître sainte Camélia du Jourdain. Au départ, je n’ai rien contre les figures féminines, de Sainte Geneviève (patronne de la ville de Paris et des gendarmes) à Sainte Jeanne d’Arc, qui devinrent légendaires quand la France n’était encore qu’une grande péninsule successivement envahie et colonisée par les Africains, les Romains, les Huns, les Vikings, les Anglais et les Allemands. Elle nous explique sa peur du flic et le malheur d'être frisé, devant un Philippe Besson sidéré et un Ruquier muet - c'est dire la stupidité de ces amuseurs sensés représenter le génie littéraire français, le théâtre, l'art de la répartie, la gouaille d'avant guerre et le "bon sens commun", la fausse culture des "Grosses-têtes" pour les beaufs et les QCM pour étudiants attardés! Hélas, divertir sans esprit, en ricanant, et occuper l'espace public pendant des heures pour le plaisir de placer quelques bons mots, c'est lassant. Ruquier et son alter-ego Philippe Besson sont les bobos-fragiles de la TV: ensemble, ils représentent l'abdication de toutes nos valeurs morales ancestrales et de nos principes les plus élémentaires, foulés aux pieds en échange d’un rire automatique. On comprendra que ces andouilles de vire enfarinées aient été débarquées ex abrupto du "Service public" transformé par leurs soins en "Sévice public". La farce ne faisait plus recette!
Non seulement la France est devenue immorale par dissolution des mœurs mais elle perd sa capacité à faire Nation, d'où un sentiment populaire d’extrême solitude et une révolte des gilets-jaunes, la classe des petits blancs méprisés. Mais si la gendarmerie et la police sont qualifiées de nationales, que font-elles de mal? La gendarmerie (plutôt rurale) et la police (plutôt citadine) ne sont pas des œuvres de bienfaisance car elles ont le rôle de punir. La gendarmerie, héritière de la maréchaussée, est née pendant la Révolution sanglante de 1789 et elle a toujours inspiré une sainte frousse. Les "soldats du roi" sont devenus les "soldats de la loi républicaine" avec pour fonction depuis des siècles de réprimer avec sévérité tous les écarts de conduite. Par exemple, "la peur du képi" et de la police ont accompagné des millions d'automobilistes depuis le commencement des congés payés, sur la route des vacances. Hélas, cela n’a pas empêché des millions de blessés et beaucoup de morts inutiles.
Alors, de quelle peur tu parles, Camélia? Déjà, à l’entrée de mon HLM, des bandits gonflent les pectoraux et se prennent en selfies sur des chaises pliantes, devant les portes arrachées aux huisseries et les boîtes au lettre éventrées. Ils ont même réussi à pisser sur mon courrier. Des capsules vides de gaz hilarant jonchent l’entrée de l’immeuble et les ballons de baudruche qui servent à inhaler cette merde traînent dans les coins, abandonnés par des bandes de gamins excités. Je dois slalomer entre les ordures balancées par les fenêtres et les flaques de pisse des pauvres chiens qui n'en peuvent plus de se retenir. Dois-je avouer à cette petite beurette de luxe ma peur et mon dégoût de vivre ici depuis plus de trente ans? Chaque nouvelle génération de Nord-afs ou d’Arabes qui dealent jusqu’à pas d’heure sous ma fenêtre me semble plus malfaisante que la précédente. Que la police leur mette un peu la pression? Ce serait un bon signe pour faire respecter les lois et le voisinage, mais curieusement ces gangs ne veulent rien comprendre: business is business, disent-ils sans jamais capituler, ni même une seconde en levant les mains en l’air devant les forces de l'ordre. Je les entends se marrer pendant la nuit et je rêve que la police les frappe. Une fille hurle parce que le gars avec qui elle discutait vient de lui mettre la main dans la culotte pendant qu'un autre gars semble se fait tabasser dans un coin (ou sodomiser) avec les cris d'excitation d'une bande de babouins en rut.
Mais peut-être que j'affabule et que cela n'existe que dans ma tête? C'était jusqu'à ce que Stéphane Édouard m'explique que la seule famille Traoré est constituée de 17 frères et soeurs multi-récidivistes (agressions, extorsions, viols, vols avec violence, trafiques de stupéfiants). Cette "famille en or", décrite comme "une chance pour la France" par Christiane Taubira (notre ex-garde des Sceaux) se serait constituée en comité de défense de ses intérêts et agrégée au mouvement des gilets-jaunes, avec à sa tête Assa Traoré (une petite éducatrice spécialisée reconvertie en militante comme Angela Davis), suivant le principe de la convergence des luttes. Leurs bases se situeraient à Bamako au Mali dans une communauté polygame mais c'est en France qu'ils viendraient percevoir des allocations familiales et éduquer leurs enfants. Et là, je dois m'associer au malheur de toutes ces familles innocentes qui souffrent d'ostracisme chez nous du seul fait de leurs origines.
la nouvelle «Révolution française de 2020», celle qui prétend «redresser la police» et «faire tomber les statues décapitées des esclavagistes», c’est quand les voyous réussissent à se faire passer, dans l’opinion publique et sur les réseaux pour des pauvres victimes qu’il faut protéger des exactions de la police. Par exemple, la population carcérale est une des populations les plus marginalisées et maltraitées qu’il faut absolument protéger des gardiens de prison; En Afrique, autre exemple, les Hutu ont fait des demandes d’asile politique à la France après le génocide du Rwanda pour se protéger des Tutsi... qu’ils avaient massacrés juste avant. Comprenez-vous? Tiens, qui veut adopter un petit Black africain? Même à l'âge de huit ans, il y a des enfants-soldats qui ont tué père et mère alors, à l'âge de quinze ans, la police? Comment ils s’en tapent!
Vous remarquerez que je mets des majuscules à tous, sauf à "petit blanc" et "homme de loi" parce que je n’ai rien à craindre d’eux mais par contre je sigle Black, Arabe, Coran et Ramadan, Délinquant et Polygame etc. Peut-être que je me sous-estime en oubliant les codes sociaux et les priorités, ou bien suis-je raciste?
Évidemment, je ne suis pas de ces catastrophistes qui annoncent la fin du monde, celle qui viendrait si le sens de rotation de la Terre s’inverse un jour: il suffira pour cela d’une collision de la Terre avec une autre planète ou d’une pluie d’astéroïdes de très grande taille pour que des nouveaux moments d’inertie inversent le sens de rotation de la Terre sur son axe (mais d’ici là, nous serons tous morts). Et je ne parle même pas de la fin de notre civilisation, vu que nous n’en avons plus vraiment, seulement une grosse machine de destruction massive. Alors, la révolte des ethnies et la guerre des races… non, rien à craindre en France si ils respectent la loi… enfin, tant que ça marche encore, la peur du képi...
Comprenez, je parle aujourd’hui de l’inversion de la morale républicaine (la raie-pue-blik comme disait Mouna en crachant par derrière) et de l’altération irrévocable de nos mœurs sous l’effet de la compétition des malfaiteurs pour occuper l’espace public. Déjà, l’immigration officielle et clandestine continue de chasser les petits blancs de mon HLM et de mon quartier, mais aussi du village de mes parents qui est devenu à son tour un lieu de prédations et de déprédations. Les blancs sont des phacochères, leurs femmes sont des zébus, leurs filles sont des gazelles et les Noirs sont des lions. Devinez, qui mange qui?
La date qui indique le début de la «révolution palindromique» qui nous occupe n’est pas due au hasard: c’est le 02-02-2020. Nous pourrions très bien choisir un autre jour, comme celui de la fête des Saints Innocents (qui correspond à la première tentative de tuer Jésus de Nazareth, peu après sa naissance). Mais ce n’est pas une révolution chrétienne: les chrétiens opprimés par l’ordre laïc ne se révolteront jamais en France!
En fait, la date fatidique du 02-02-2020 qui nous intéresse est un palindrome, c’est à dire qu’elle peut se lire indifféremment dans les deux sens. Elle signifie que tout ce qui a été réalisé antérieurement par nos parents sera jeté à la poubelle et donc que le film qui se jouait classiquement à l’endroit «pour le bien de tous» se joue maintenant à l’envers «pour l’avoir dans le cul».
«Retour vers le futur» devient «Retour vers le passé»: c’est là que Marty McFly marche à reculons, se fait aspirer dans le ventre de sa maman et retourne se cacher dans les couilles de son père. Comme lui, nous voici infantilisés et ridiculisés parce que si nous retournons 150 ans en arrière, nous les petits français sommes accusés par les Noirs d’être d’horribles esclavagistes et si nous retournons seulement 70 ans en arrière, nous sommes accusés par les Arabes d’être des pourritures de colonialistes. La boucle est bouclée! Mon voisin (qui est Noir, bien sûr) dit que lui et toute sa famille (ils sont 2000 dans son village près de Ouagadougou), et bien ils seraient plus français que moi: tous ses ancêtres dit-il ont construit nos maisons et son morts pour la France. Ils sont même plus français que le Général de Gaulle qui n’était qu’une petite merde sur le champ de bataille. Nous leur devons tout! Après, je ne peux plus rien dire, même si mon père adolescent crevait de faim en 1940 et qu’il a rejoint la résistance française en 1944.
En fait, cette «inversion civilisationnelle» des valeurs morales s’était déjà produite bien des années avant, mais la société a continué de faire comme si de rien n’était, à cause du moment d’inertie de l’occident: ce fut le jour tragique du 11 septembre 2001, quand les tours jumelles américaines ont perdu leur gémellité pour redevenir un tas de ciment, et que s’est accomplie la prophétie: «Poussière, tu n’es que poussière et tu retourneras à la poussière…» et «les forts seront frappés là où ça fait mal». Ce jour là, les Américains n’étaient plus rien du tout, finis, laminés… enfin, pas complètement.
En 2019, Trump a annoncé que l’état islamique avait été défait mais les Américains ont reculé pendant cet effort de guerre face à la Chine, qui a pris l’ascendant industriel, d’où la colère de Trump: je regarde à gauche et ils entrent par la droite… Ultra-résistante, la Chine se suffit à elle-même et elle peut donc décider de fermer ses frontières du jour au lendemain (pour revenir au temps des dynasties impériales), bien à l’abri derrière sa muraille infranchissable: la gestion d’une poigne de fer de Xi Jinping pendant la pandémie du Covid-19 est un premier avertissement. Car bientôt la Chine colonisera l’espace. Non, l’Amérique obèse de Trump, blonde, vieille et nombriliste, n’est déjà plus la première puissance mondiale, même avec la fusée SpaceX. Seule la Chine sera capable de sacrifier des millions d’hommes pour conquérir l’Espace interplanétaire et toutes les planètes devenues accessibles: après la mer de Chine, voici l’Espace interplanétaire de Chine.
Au contraire, la «révolution palindromique» est ce mouvement entretenu par des minorités agissantes qui poussent les États-Unis à revivre les heures sombres de la guerre civile, à séparer le Nord du Sud et à désolidariser les états entre eux au nom de «la nouvelle ségrégation raciale» que prônent les «anti-racistes». Oui, je sais, c’est tout et son contraire: un sacré bond en arrière!
«La Révolution palindromique» comme je la nomme ou «Retour vers l’échec» a déjà pris de multiples aspects dans le monde et en France, qui auraient dû nous alerter plus tôt:
1) Le lendemain de l’attaque des États-Unis le 11 septembre 2001, les Arabes dans les rues de Paris à Kaboul (c’est à dire en bas de chez moi) fêtaient leur revanche avec des airs de conspirateurs: «Bien fait pour eux, Dieu les punit». Plus tard, le faux-losophe R. Enthoven fera une émission télévisée soi-disant philosophique résumant sa pensée: «Les sauvages c’est pas eux, c’est nous!»; M. Onfray précisera à son tour: « Qui sommes nous pour juger les autres cultures et les sourates du Coran qui commandent d’exterminer les mécréants? Ils sont bien libres de penser et de faire comme ils le veulent chez eux». Autrement dit: pensons les choses à l’envers et vive la décadence occidentale! Depuis, le faux-losophe Onfray a un peu changé d’avis en prônant le Souverainisme intelligent, quoique j’ai des doutes sur son intelligence.
2) Le mercredi 23 juin 2010, en sortant du match de foot retransmis sur écran géant au Stade Charléty, des jeunes Algériens après leur défaite face aux USA ont déferlé sur les boulevards en brûlant des voitures et en pillant les commerces. Je m’en souviens comme si c’était hier car je fêtais la fin de l’année scolaire avec mes amis sur une terrasse de café quand ces bandits nous ont dévalisés au passage. Mais si je rembobine le film en arrière et si j’oublie ce triste jour, ces voyous ne m’ont donc jamais rien fait de mal et je les aime.
3) Après l’attentat de Charlie Hebdo du 7 janvier 2015, des parents ont interdit à leurs enfants islamiques de respecter la «minute de silence» et de dire «Je suis Charlie», considéré comme un slogan juif et anti-musulman. Rembobinons le film en arrière... Si les caricaturistes de Charlie Hebdo avaient fermé leur gueule, ils ne seraient pas morts. Et voilà... Moi, près de la Place de la Nation, je crois encore entendre les coups de feu du 13 novembre 2015 après le massacre du Bataclan et les sirènes de police mais je ne dois pas vivre dans le ressentiment… Je sais que ça va recommencer un jour. En attendant, «Peace and love» mes frères! Camélia Jordana, elle, a peur des flic… mais les pauvres flics vivent depuis les attentats avec des gilets pare-balles, le doigt sur la gâchette, sans pouvoir relâcher l’attention un instant. Comme je les plains! C’est le monde à l’envers, je vous dis.
4) le 31 décembre 2015, pendant la célébration du nouvel an, des milliers de nord-africains et d’arabes coordonnés par des mots d’ordre ont abusé et violé des milliers de femmes allemandes à Cologne et ailleurs, après avoir été invités par madame Merkel à venir s’installer dans son beau pays. Moralité, rétrospectivement, ben… il suffisait de leur offrir des petites allemandes en cadeau de bienvenue pour les fêtes!
5) Pendant le confinement du 17 Mars au 14 juin 2020, je n’ai jamais vu un seul jeune noir ou un jeune arabe porter un masque à Paris. Plus tard, j’ai appris que leurs parents malades dans le 9.2 et ailleurs saturaient les hôpitaux. En dépit de leurs coutumes familiales différentes et leur refus du confinement, ils ont été soignés sans aucune discrimination par nos équipes d’urgence. Les blancs qui eux se couvraient prudemment le visage et protégeaient les autres ont été verbalisés pendant leurs promenades. Le préfet Didier Lallement, accusé de discrimination envers les populations défavorisées, s’est excusé à Pâques d’un sous-entendu blessant à propos de leur responsabilité. Quoi? «Les coupables auront raison des juges»: c’est une relecture palindromique de l'ancien monde, celui qui est mort et ne reviendra plus.
Ainsi, il est curieux que les attentats jihadistes au nom de Allah ne concernent pas (rétrospectivement) les populations musulmanes noires et arabes qui vivent dans des communautés fermées en France, ignorantes des lois de la République. Simplement, ils ne veulent pas que leurs noms soient associés de prés ou de loin aux terroristes qui fréquentaient leurs mosquées. Ils refusent bien sûr de s’excuser en tant que musulmans, ce que je peux comprendre car il ne faut pas tout mélanger, mais quand un voyou de Minneapolis (un ancien braqueur libéré de prison, du nom de Floyd) devient à son tour une victime de la guerre entre les gangs et la police américaine, Yannick Noah demande aux sportifs français de mettre un genou à terre devant le «peuple noir discriminé» pour reconnaître notre faute, faisant de la France et de son gouvernement les «coupables rétroactifs» de l’esclavagisme et du colonialisme international. C’est exactement cela la «Révolution palindromique», quand les anti-esclavagistes, c’est à dire des noirs très remontés et agressifs, transforment les vaincus en des nouveaux vainqueurs qu’il faut indemniser, avec un bon goût de revanche.
Curieusement, Haïti, peuplée jadis d’indiens qui ont été exterminés avec l’invasion des colons espagnoles, est devenue la propriété des mulâtres et des descendants d’esclaves africains en exterminant 5000 colons français, mais elle a perdu ses grandes plantations et son opulence en devenant un pays souverain et indépendant. Au contraire, depuis ce temps, les Antilles françaises se sont considérablement enrichies. Et ce fut le même problème plus tard avec l’Algérie. Alors, pourquoi devrions-nous aujourd’hui nous agenouiller devant eux? Pour quelle dette de nos ancêtres massacrés jusqu'au dernier, pour quel crime contre l’humanité, pour quelle repentance et pour quelles réparations réclamées par des suprématistes haineux deux cent ans après que nous leur avons cédé Haïti? Si le «blanc» n’existe pas mais seulement une teinte rosée, comme l‘explique S. Afoua à J. Messiha sur Sud Radio, le noir est aussi une vue de l’esprit qu’agite des suprématistes quand ils veulent imposer un nouveau «pouvoir noir» en France métropolitaine (je n’ai aucune accointance avec le RN).
Personnellement, si je devais mettre un genou à terre, ce serait plutôt en l’honneur des moines tibétains qui continuent 60 ans après de s’auto-immoler devant leurs temples: «le Tibet brûle dans le silence». La population chinoise a pris leur place. Ce n’est plus un colonisation, c’est un grand remplacement. Mais que faites vous pour eux, madame Jordana et monsieur Noah? Peut-être sont-ils trop loin de vous, de couleur jaune avec les yeux bridés? Vous ne vous sentez pas concernés? N’êtes vous pas racistes de taire ce drame? Et qui peut douter de l’honnêteté des tibétains, à part les occupants Chinois? Moi, je ne vois pas leur couleur de peau mais leur malheur, infiniment plus grand que celui de tous les descendants d’esclaves africains en France.
Une révolution palindromique, c’est aussi quand nos soi-disant penseurs et meneurs, nos faux-losophes habituels (Onfray), nos faux-historiens (Zemmour), nos faux-chefs de partis (Mélanchon, Le Pen) lancent des anathèmes et incendient le gouvernement Macron, accusé d’être «dictatorial et laxiste en même temps». Tous ces petits-penseurs, fomenteurs de «révolution douce», s’étonneront des foyers d‘incendie qui s’allument brutalement un peu partout après qu’ils ont vomi sur notre gouvernement et sa police: n’ont-ils donc rien retenu des réactions d’orgueil des voyous après chaque attentats, après chaque match de foot perdu et à l’occasion de nos fêtes nationales, jusque dans les salles de spectacle, dans les supermarchés casher et sur les terrasses des cafés, dans les cités de la peur après le déconfinement, quand ces petits gangs bien structurés ou ces multitudes déferlantes, tous issus de l’immigration, s’imaginent prendre le pouvoir par la violence, se servir sur leurs victimes et imposer leurs volontés aux «babtous fragiles», ces petits blancs efféminés qui gardent les yeux rivés ailleurs, loin de leurs trafics en tous genre. Quoi? Nos mères et nos sœurs ne sont même pas voilées, avec l’entre-jambe ouvert comme un self-service: si elles refusent de se prostituer, elles devront rester cloîtrées chez elles. Le harcèlement sexuel est partout, ce que ces femmes osent rarement dénoncer. Mais ce que craint Camélia Jordana, c’est la police! J’en reviens toujours pas.
La «révolution palindromique» (faut-il parler de guerre des races?), c’est de déprécier le travail des policiers et d'admirer les voyous pour ce qu’ils ne sont pas: des amis et des frères, car ce ne sont que des sales types qui déshonorent quotidiennement leurs familles tout en méprisant la France. Ce sont eux qui font la guéguerre aux petits blancs. Aujourd'hui, ils sont les rois du pétrole dans nos immeubles, nos quartiers, nos cités et les ambassadeurs de leurs pays d‘origine (là où beaucoup n’ont jamais mis les pieds) tous porteurs de «valises diplomatiques" pleines d'armes, de billets et de coke. Les communautés noires, arabes, tchétchènes ou autres peuvent mobiliser en quelques heures des centaines d'hommes armés dans les quartiers, qui tirent en l'air et mettent le feu aux voitures.
Déjà, les flics, les pompiers et les médecins doivent présenter des laisser-passer pour entrer dans les cités-ambassades surarmées. Les trafiquants à bord de go-fast, de voitures béliers ou montés sur des motos pour partir faire des coups exigent de recevoir un reçu à chaque interpellation mais que fait le plus souvent la police? Elle se contente de coincer des gamins sans casques sur des scooters volés et d'autres qui s'enfuient en courant pour aller planquer les sachets de came avec la recette du jour. Ensuite, les voyous intentent des procès aux policiers coupables pour avoir blessé l'un des leurs en cavale, en faisant valoir une espèce "d'immunité diplomatique" et des vices de procédure lors de l'interpellation. On connait bien ces tactiques dans les quartiers de New York ou dans les favelas au Brésil, là où la police n’entre plus et où les trafiquants s’occupent même d’évacuer les morts des règlements de compte ou du Covid-19. Voilà comment ils organisent leur impunité. Après, les autres familles soumises à ces mafias, un peu complices, souvent tolérantes ou simplement résignées, accusent les gouvernements de les avoir abandonnées.
D’accord! Soyons légalistes mais faisons respecter la loi française avant la loi de la jungle et la loi de la montagne, sinon la République n'est plus qu'un gros mensonge, une illusion d'optique. La «révolution palindromique», en fait, c'est l'art de ces groupes de pression organisés en syndicats de nous prendre pour des cons en racontant tout et son contraire dans les médias, les journaux et les bulletins d'information: "Regardez comment les petits flics blancs sont méchants avec les noirs et les arabes". Même à Dijon, petite ville pépère, dans un quartier pourtant rénové par la mairie, il a fallu attendre trois jours pour que la police vienne s'interposer entre les bandes armées des communautés magrébines et tchétchènes. Et chaque fois que la police vient faire "un coup de propre", les populations crapuleuses réinvestissent les lieux en quelques heures parce qu'aucun juge et aucun maire n'ont le pouvoir de les expulser. La guerre des gangs et la guerre des races a donc bien commencé en France sur les territoires de la drogue et de la violence organisée, sous la conduite des communautés raciales qui agrègent les petits blancs autour d'eux comme des troupeaux de moutons pour se protéger, ce qui nous conduit à une espèce de guerre civile larvée avec des "ratés" comme aux États-Unis. Traoré ou Floyd? Même erreur, même punition. Ah oui… Merde in France.
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