mercredi 20 novembre 2024

Les 1001 jours de Raz-Putin : analyse de l'échec d’une “opération spéciale” LJ©2024.

“L’opération spéciale” qui devait durer quelques jours s’éternise et Raz-Putin ne fait que menacer toujours plus l’Occident en s’alliant avec d’autres bandits. L’idée est de détrousser la victime tout en tenant au loin tous ceux qui oseraient s’interposer. Le problème, c’est que l’agression dure depuis 1000 jours aux yeux et au su de tous. Et le criminel de guerre Raz-Putin a réussi à faire tuer 500 000 hommes et à faire 2 millions de blessés et d’handicapés, à miner entièrement les territoires occupés sans asseoir sa domination et il continue de se proclamer le grand vainqueur de son délire personnel où l’Occident est l’agresseur, délire qu’il partage avec d’autres pays opportunistes comme la Biélorussie, la Corée du Nord, l’Iran mais aussi la Chine complice et tous les pays haineux de l’Occident. Cela s’appelle : une association de malfaiteurs et Raz-Putin est le parrain de la mafia internationale. Quand les choses reviendront dans l’ordre, il y aura d’autres ajustements à faire que ceux pris sous la contrainte ou dans l’urgence. Et comment l’Occident, celui d’une Amérique dominatrice, d’une Europe démocratique et de l’OTAN justicier ont-ils pu tolérer de voir L'Ukraine agressée tout ce temps sans lui donner tous les moyens de se défendre au bon moment ?

Ce mercredi 20 novembre est un jour particulier puisque cela fait exactement 1.001 jours que la Russie a déclenché la guerre en Ukraine. Depuis, l’armée russe maintient ses positions mais a subi une offensive ukrainienne sur son propre territoire, dans la région de Koursk.

La Russie a franchi la barre des 1 000 jours de guerre contre l’Ukraine et, dans les faits, contre l’Occident. Ce conflit, marqué par l’agression incessante de Moscou et son mépris des conventions internationales, continue de se jouer sur plusieurs tableaux : militaire, diplomatique, économique, et idéologique.

Chronologie des récents événements

Après une attaque massive des 16 et 17 novembre 2024, lors de laquelle la Russie a déployé une pluie de missiles et de drones contre des infrastructures ukrainiennes, Moscou a continué de parader sans complexe au sommet du G20 le 18 novembre 2024. Pourtant, ce même jour, deux grands journaux américains ont révélé une décision majeure : le président Biden avait autorisé, pour la première fois, l’Ukraine à utiliser des missiles à longue portée de fabrication américaine contre des cibles stratégiques en Russie.

Cette annonce, bien que non confirmée immédiatement par la Maison Blanche, a été suivie d’une approbation explicite par les principaux alliés de Washington : le Royaume-Uni, la France et l’OTAN. Dès les 24 heures suivantes, l’Ukraine a mené une frappe ciblée contre un dépôt de munitions d’origine nord-coréenne et un quartier général russe situé à environ 100 kilomètres de la frontière. Ces frappes ont été réalisées à l’aide de six missiles ATACMS, démontrant une précision chirurgicale malgré les risques d’interception et de contre-attaque.

Cependant, la fuite prématurée de cette décision dans les médias aurait pu compromettre l’effet de surprise de cette opération. Les lanceurs, positionnés à environ 100 kilomètres à l’intérieur des frontières ukrainiennes, ont visé des cibles situées à 200 kilomètres de distance, bien en deçà de la portée maximale des ATACMS, qui avoisine 300 kilomètres.

Hier, l’Ukraine a utilisé une dizaine de missiles "Bombers Fire 10 Bunker-Busting Storm Shadow Cruise Missiles" d’origine britannique contre les concentrations de troupes nord-coréennes dans la région de Koursk.

Cette escalade semble répondre à plusieurs développements récents : l’envoi massif d’armes et de troupes nord-coréennes en soutien à la Russie, l’intensification des frappes russes sur l’Ukraine, et l’alliance renforcée stratégique et nucléaire entre Moscou, Minsk (Biélorussie), et Pyongyang. De plus, Vladimir Poutine a récemment reformulé une doctrine nucléaire agressive, menaçant explicitement les alliés de l’Ukraine et justifiant le recours à des frappes nucléaires contre des armes conventionnelles représentant une "menace existentielle" pour la Russie.

Le dilemme occidental : quelles réponses stratégiques ?

L’Occident, malgré son soutien progressif à l’Ukraine, reste confronté à une série de dilemmes :

Doctrine militaire occidentale : La doctrine occidentale repose historiquement sur la dissuasion, l’équilibre des forces, et le respect du droit international. En opposition à la doctrine russe, qui privilégie l’escalade asymétrique et la menace nucléaire, l’Occident insiste sur l’importance de l’intégrité territoriale et des alliances multilatérales, notamment via l’OTAN. Cependant, la lenteur de certaines décisions (par exemple, l’envoi d’armes à longue portée) soulève des questions sur l’adaptabilité de cette doctrine face à une guerre hybride et prolongée.

Doctrine russe d’escalade nucléaire : La Russie semble vouloir imposer une nouvelle norme : celle où la puissance nucléaire donne un "droit à l’agression" contre l'Occident en général et un “pouvoir de soumission” sur les États non nucléaires. Cette posture pose un défi fondamental à l’ordre mondial et remet en cause les accords passés, notamment le Mémorandum de Budapest de 1994, où l’Ukraine avait accepté de renoncer à son arsenal nucléaire en échange de garanties de sécurité.

Diplomatie ou exclusion : Lors du G20, Emmanuel Macron a supplié Vladimir Poutine de "revenir à la raison". Pourtant, de telles démarches diplomatiques semblent inefficaces face à un Kremlin qui continue de violer tous les principes fondamentaux des relations internationales. L’exclusion totale de la Russie des grandes instances internationales, comme le G20, l’OTAN+ ou le Conseil de sécurité de l’ONU, est-elle une solution ? Cela aurait le mérite de clarifier la position occidentale, mais risquerait également d’enfermer davantage Moscou dans une spirale d’agression.

Union stratégique occidentale : L’Europe et les États-Unis doivent définir une stratégie unifiée pour contrer la Russie. Cela inclut :

Une accélération de l’envoi d’armements modernes, en particulier des systèmes anti-aériens et des armes de précision à longue portée.

La neutralisation des flux d’armement provenant de la Corée du Nord et de l’Iran.

Une intensification des sanctions économiques, notamment sur les secteurs énergétiques et technologiques.

Une communication plus affirmée pour dénoncer les mensonges du Kremlin, tout en promouvant une vision occidentale fondée sur la liberté et la coopération.

La guerre des doctrines : au-delà de l’Ukraine

La doctrine russe repose sur un autoritarisme militarisé, où la guerre est un outil de pouvoir et de contrôle. Elle cherche à saper les démocraties, à diviser les alliances occidentales, et à normaliser l’idée qu’une puissance nucléaire peut agir en toute impunité.

En revanche, la doctrine occidentale doit évoluer pour répondre aux nouvelles réalités. Elle ne peut se contenter de réagir à l’agression russe, mais doit aussi proposer une vision claire de l’après-conflit, notamment en soutenant la reconstruction de l’Ukraine et en renforçant les capacités de dissuasion en Europe de l’Est. Par exemple, l’utilisation sans restrictions de la totalité des avoirs russes gelés pour reconstruire les infrastructures endommagées et protéger le ciel de l’Ukraine est une priorité absolue. La récupération par la Russie des fonds réquisitionnés pour servir à la reconstruction de l’Ukraine devrait se faire au prix d’intérêts composés liés à la durée de la guerre. De sorte que plus la guerre se prolongerait et plus le capitale, soit 270 milliards d'avoirs russes gelés, diminuerait pour disparaître complètement en seulement 5 ans.

Conclusion : un monde à réinventer

La guerre en Ukraine n’est pas seulement un conflit régional ; elle redéfinit les règles du jeu mondial. Alors que la Russie tente d’imposer sa loi par la force, l’Occident doit démontrer que la coopération, le respect des lois internationales, et la solidarité entre démocraties sont les seuls garants d’un avenir stable. Dans cette lutte des doctrines, la capacité de l’Occident à s’unir et à innover sera déterminante, non seulement pour l’Ukraine, mais pour l’ordre mondial lui-même.

mercredi 6 novembre 2024

MAKE AMERICA TRUMP AGAIN # 1 : “Petite leçon de géopolitique”, LJ©2024

La farce tranquille est en marche.

C’est officiel, Trump est de retour. Le mercredi 6 novembre 2024, le milliardaire à la mèche improbable a été réélu pour un deuxième mandat, prêt à devenir le 47ème président des États-Unis. Et pendant qu’il remet ses pantoufles dans le Bureau ovale, le téléphone rouge entre la Maison Blanche et le Kremlin risque de chauffer comme un vieux grille-pain soviétique.

D'ailleurs, Trump et Musk, ce tandem improbable, sont depuis longtemps soupçonnés d'entretenir des liens très cordiaux avec la Russie de ce bon vieux Raz-Putin. Mais qui pourrait les accuser "d'intelligence avec l'ennemi" ? Rappelons-le, les États-Unis ne sont pas en guerre (officiellement). Quant à fermer les robinets du pétrole russe ? Laissez-moi rire. Ça n’a jamais vraiment été au programme.

On imagine déjà Musk, le messie de la tech, en parfait intermédiaire au service de Trump, multipliant les appels Zoom à Moscou pour organiser un rendez-vous secret entre TRUMP et Raz-Putin, quelque part en Suisse ou ailleurs. Et pourquoi pas un joli "pacte de non-intervention" à la clé assorti d’une immunité à vie pour Poutine devant la Cour internationale ? La question ukrainienne serait vite réglée, enterrée sous quelques accords bilatéraux et promesses pour Raz-Putin de ne jamais être jugé pour ses crimes de guerre. 

Macron, le témoin silencieux des accords qu'il n'a jamais vus venir

Et bien sûr, dans cette comédie géopolitique, notre cher Emmanuel Macron se verrait peut-être invité, histoire de faire acte de présence. La France, éternelle médiatrice ? Peut-être. Mais n’oublions pas que nos "grands diplomates" d’antan ont été remplacés par une nouvelle génération, fraîchement sortie des grandes écoles et tout aussi prétentieuse qu’inculte. Les négociations se feront avec ou sans Macron, mais il pourrait être là, sourire crispé, pendant que les grands s’amusent à redessiner la carte du monde.

D’ailleurs, ce n’est pas un hasard si Macron a posté un message sibyllin sur "X" (l’ancienne Twitter, pour les nostalgiques) pour "féliciter" Trump tout en assurant être prêt "à travailler ensemble, comme nous avons su le faire pendant 4 ans… avec ses convictions et les miennes". On peut presque sentir le sous-texte : "Je sais que tu ne m’inviteras jamais car je te casse les couilles, comme avec Raz-Putin, mais j’essaie quand même de garder un pied dans la porte."

L’Ukraine : la grande oubliée de la diplomatie de salon

Zelensky, lui, peut faire une croix sur sa prochaine invitation à Washington et je ne l'imagine pas venir signer sa capitulation à la Maison Blanche. En attendant, le président ukrainien peut compter sur les vagues encouragements de Macron et sur quelques canons Caesar en Ukraine (ceux qui fonctionnent encore, bien sûr). Quant aux Mirages 2000, ils sont aussi rares dans le ciel ukrainien que la lucidité dans cette situation. Les pilotes des bombardiers russes doivent trembler d'effroi.

Parce que soyons clairs, Trump n’a que faire de la "souveraineté nationale" de l’Ukraine. La scène est déjà montée, le décor est planté : Trump, Raz-Putin, et Musk dans les coulisses, prêts à se jouer des frontières européenne à coups d'accords plus ou moins secrets. Les réactions de Zelensky ou de Macron ? Peu importe. Les vraies décisions sont prises entre "grandes puissances militaires", et tant pis pour les autres.

L'Europe en roue libre : entre incompétence et apocalypse

Et que dire des Européens ? Incapables de gérer une crise sanitaire comme le COVID, désorganisés face aux inondations catastrophiques en Espagne, et toujours prompts à envoyer les militaires bien après la bataille, histoire de bloquer les routes une fois les dégâts faits. Ce ne sont pas ces secours-là qui se montreront efficaces en cas de catastrophe nucléaire. Soyons honnêtes. Les Ukrainiens, eux, font preuve d’un courage que l’Europe a enterré sous des montagnes de bureaucratie et de discours creux.

Pendant ce temps, Raz-Putin, vicelard, attend son heure. Peut-être même espère-t-il l'élection de Marine Le Pen en 2027 pour finaliser son petit chef-d’œuvre géopolitique. Quant à Macron, il pourrait bien quitter la scène avant même la fin de son mandat, écrasé par ses propres contradictions.

Avec Trump de retour à la barre, Raz-Putin a toutes les cartes en main pour obtenir un "pacte de non-agression" qui clouerait l'OTAN au sol et interdirait le déploiement de nouvelles armes américaines en Ukraine. Simple comme bonjour.

"Make URSS great again !" Et tant pis pour nous.

Ah, l'ironie de voir le slogan "Make America Great Again" devenir un outil pour restaurer la grandeur de l'ex-URSS. Pendant que Trump se pavane et que Musk jongle entre ses ambitions spatiales et diplomatiques, l’Europe continue de jouer aux échecs avec des pièces en plastique face à des adversaires qui se jaugent avec la puissance de leurs missiles intercontinentaux. Le monde est un grand cirque, et nous, nous  sommes les dindons de Thanksgiving. Ah oui, tout était écrit :  "Merde in AMERICA", et plus que jamais, "merde in EUROPE".



lundi 4 novembre 2024

America great again : “Pourquoi Musk, Trump et Raz-Putin ne nous apprécient pas !” (LJ©2024).

Musk, le "Dauphin" de Trump et roi des pom-pom girls, vous présente le Show des Milliardaires ! Ah, quelle époque merveilleuse pour étudier la géopolitique ! Car les affaires du monde ne sont plus entre les mains de diplomates ou de leaders charismatiques visionnaires, mais de stars du grand spectacle. Elon Musk, Trump-la-mort, et l'infatigable Raz-Putin se donnent la main pour nous offrir un véritable feuilleton à rebondissements ces derniers mois. Juste après Halloween, nous avons droit à ce qu'on pourrait appeler "le festival du grand frisson". Les Américains s’agitent autour de leurs élections comme s’ils jouaient leur vie, pendant que des pays comme la Russie, l’Iran et la Corée du Nord s’équipent prosaïquement de missiles flambant neufs – grâce à nos propres technologies, bien sûr ! Joe Biden ? Disparu. Kamala Harris ? Elle tente de s'acheter quelques points de popularité en brandissant le drapeau palestinien du Hamas. Et pendant ce temps, l’Afrique devient peu à peu un terrain de jeu pour les ambitions arabo-musulmanes, tandis que les Chrétiens et les Juifs se retrouvent de plus en plus menacés.

L’Europe humiliée par les super-puissances se sent abandonnée. Trump et Musk nous méprisent presqu’autant que Raz-Putin.

Le spectacle est fascinant, n’est-ce pas ?

Il y a mélange des genres et Musk, roi de la technologie et représentant d’une Planète-Bis comme Mars, dernière alternative d’un monde menacé d’exploser, fait le grand show américain en jouant les pom-pom girls pour ce vieux débris de Trump, qui lui cache sa sénilité et sa perversion sous sa cravate rouge et son toupet blond. Impopulaire hier en rachetant Twitter, voici donc Musk au top des sondages et presque présidentiable aux Etats-Unis, qui concurrence directement Kamala Harris en devenant le dauphin de Trump.

C’est que Musk tient Trump “par les couilles” quand Trump lui tient l’Amérique “par la chatte”, et l’Amérique tient à son tour l’Europe, c’est à dire nous et surtout l’Ukraine de Zelensky, par la gorge. Trump n’a que du mépris pour ce petit Zelensky qui dans le registre comique ne lui arriverait pas à la ceinture. Pour faire court : Trump met la main aux fesses de la Statue de la Liberté et Musk lui tient la chandelle ! Voilà pour le symbole… Pourtant, Musk est lui-même un immigré d’Afrique du Sud.

Pendant ce show des milliardaires américains, la Russie se finance royalement en vendant son pétrole à la Chine et l’Inde, qui tirent leurs marrons du feu et nous revendent le pétrole russe. Et comme l’explique Raz-Putin : vous êtes tellement cons que je ne peux pas perdre ! L’Europe joue avec une raquette trouée depuis le départ. On ne peut attendre le bon vouloir des Américains et de l’OTAN, acheter le pétrole russe avec la main gauche, vendre des armes avec la main droite, encourager le lobby du Nucléaire, faire du populisme social de surface partout en Europe et, en même temps, défendre les habitants de l’Ukraine qui meurent par milliers sous les millions de bombes russes…. dont déjà 70% sont iraniennes ou nord-coréennes.

La chose serait comique si les enjeux n’étaient aussi importants. Des milliardaires comme Musk, Trump-la-mort et Raz-Putin se donnent la main pour faire le grand show et assurer le spectacle de fin d’année 2024, juste après Halloween. Les Américains vont continuer de se faire peur avec les élections pendant que Raz-Putin, Kim de la Jongle et le Guide de la Révolution iranien terrorisent le monde avec leurs derniers missiles balistiques en utilisant nos technologies électroniques contre nous. Joe Biden s’est éclipsé totalement, qui semblait bien innocent, et Kamala Harris donne des gages pour défendre la Palestine du Hamas et gagner des voix. Mais la conquête arabo-musulmane de toute l’Afrique est une réalité quand les Chrétiens sont expulsés depuis des siècles et les Juifs grandement menacés d'extermination sur leurs terres durement gagnées. Et des manipulateurs religieux très professionnels continuent de nous traiter d’impérialistes 50 ans après notre départ d’Afrique tout en utilisant nos arguments contre nous. Et ça marche : Macron y va de son mea culpa et confesse ses crimes !

Elon Musk, l'homme aux mille casquettes, a décidé de pimenter un peu plus le scénario. Il ne se contente plus de rêver de Mars et de vendre des voitures électriques pour riches; il se place désormais en quasi-sauveur de l'Amérique, à la tête d’une croisade technologique pour un monde meilleur… ou du moins un monde où il tient toutes les cartes. Avec son récent coup de génie médiatique – l’achat de Twitter – le voici parti conquérir le cœur de l'Amérique, en visant la Maison Blanche comme futur terrain de jeu. Il s’affiche sans vergogne aux côtés de Trump, qui lui-même "tient l’Amérique par la chatte", tandis que Musk, lui, "tient Trump par les couilles". Et ainsi, dans cette chaîne de dépendance obscène, l’Amérique de Trump finit par tenir l’Europe par la gorge. Ironie ultime, Musk s’en fout de gagner ou perdre : il sortira gagnant et renforcé, quelque soit le résultat. C'est la magie au service de l'homme le plus riche du monde, sans parler de Raz-Putin et d’autres dictateurs qui s’enrichissent dans le secret du pouvoir absolu!

Pourquoi cette idée s’impose que l’Europe et l’Ukraine seront les dindons de la farce du prochain Thanksgving Day 2024 ?

Musk ne peut pas perdre: c’est du gagnant-gagnant pour lui, pas plus que le lobby des armes qui le soutient et le finance ne peut perdre. Aujourd'hui, Musk investit le monde du spectacle et confirme son pouvoir comme un grand professionnel. À l’égal de Trump, il sait se sortir de tous les coups fourrés et même des soupçons d'intelligence avec Raz-Putine, car ses électeurs sont souvent des “fachos” acquis d'avance. Et même si Trump venait à perdre, Musk en profiterait comme à la bourse en jouant les valeurs baissières. Et Kamala Harris défendra le Liban contre Israël si elle gagne les élections présidentielles. Dans tous les cas, les BRICS (mot inventé par Goldman Sachs) dirigés par le mafioso Raz-Putin sortiront eux aussi gagnants, l’Orient dictatorial vainqueur, l’Occident démocratique affaibli, l’Europe judéo-chrétienne neutralisée et envahie. Et par exemple, l’Espagne garde sa chrétienté d’apparat mais elle rejette sa judéité. C’est pas la première fois dans son histoire et le président Macron au Maroc évoquait hier encore le règne merveilleux d’Al-Andalus et ses bienfaits miraculeux sur notre culture ! Les Musulmans en profitent toujours pour tirer leurs marrons du feu, même en bombardant le minuscule territoire d'Israël pendant la nuit, en lançant leur cri habituel.

Pendant que Musk et Trump occupent le devant de la scène, la Russie, elle, avance tranquillement ses pions. Raz-Putin, maître incontesté de cette partie de poker, finance ses ambitions grâce aux pétrodollars de la Chine et de l’Inde, qui nous revendent ensuite le pétrole russe en haussant les épaules, comme si de rien n’était. "Vous êtes tellement stupides que je ne peux pas perdre !" répète inlassablement Raz-Putin, amusé par ce spectacle où l'Europe achète du pétrole d'une main, vend des armes de l'autre et s'enlise dans le populisme. L’Ukraine, elle, est censée se défendre toute seule avec quelques canons de notre fabrication et nos beaux discours, face aux bombes planantes russes et autres "cadeaux" de croisière ou balistiques russes, nord-coréens et iraniens. Et déjà, des armes d'origine inconnue frappe l'Ukraine.

L’Europe, qui brandissait jadis fièrement ses idéaux démocratiques et diplomatiques, semble désormais coincée, enchaînée à des intérêts contradictoires et incapable de faire face aux réalités brutales de la géopolitique contemporaine.

Dans tous les cas, Trump-la-mort a une date de péremption très proche et Raz-Putin sera le grand gagnant si personne ne s’oppose à lui. Déjà, Biden s’efface et les ministres anglais démissionnent à tour de rôle.

Macron le sait : on ne peut pas financer le lobby du nucléaire avec nos impôts par milliards, doubler le budget de nos armées, augmenter la dette publique de 1000 milliards et puis défendre l’Ukraine du bout des lèvres ou du bout des doigts. Si l’OTAN avait arrêté les colonnes de chars russes dès 2022, nous n’en serions pas là trois ans plus tard. À quoi serviront toutes nos belles armes contre les bombes atomiques qui nous menacent quand nous refusons de défendre nos principes ? La Russie ne fait que se renforcer tous les jours un peu plus, alliance après alliance. L'Europe était moins frileuse contre Napoléon, malgré tous les progrès apportés par l'administration impériale. À quoi sert maintenant d'apprendre à ces braves soldats Ukrainiens comment creuser des tranchées et manoeuvrer avec des canons Caesar quand les bombes planantes russes de 3 tonnes rasent tous les bâtiments et les forêts sur un kilomètre carré en aspirant tout l’oxygène de l’air ? Nos meilleurs canons fondent dans ces explosions et les soldats Russes conquièrent des ruines. Il faudrait que l’OTAN assure l’espace aérien ukrainien pour que l’Ukraine concentre ses moyens terrestres sur les différents fronts de bataille tout le long de sa frontière.

En France, Macron de Rothschild a compris qu’il ne peut pas servir les lobbies des Généraux, de la banque, de l’administration et du nucléaire etc., et en même temps, servir le peuple, défendre la planète et prêcher la sobriété énergétique. Toutes ses enquêtes publiques ont fini à la poubelle. Maintenant, il se réfugie à l’Elysée pour y écrire, peut-être, ses mémoires avec Brigitte, comme jadis Napoléon sur l’Île d’Elbe, et ses rares sorties sont brèves et lointaines. Là, au Maroc ou ailleurs, il bat sa coulpe de preux chevalier et humilie la France en échange de quelques contrats juteux. Raz-Putin va-t-il l’imiter en s’accusant de tous ses crimes en Tchétchénie (et partout ailleurs) en échange du sacrifice de la population tchétchène pour servir de chair à canon ? Non, il ricanera bien quand Macron se fera raccompagner par Marine Le Pen, qui prépare déjà son costume pour la passation de pouvoir.

Les Européens les plus lucides souhaitent que ça pète avec la Russie quand les plus lâches adoptent d’avance le populisme et la dictature poutinienne ou n’importe quelle autre dictature, qu'elle soit mafieuse, technologique, militaire ou religieuse. La COP 29 vient d’échouer à se financer, Trump et Musk sont financés par les lobbies des armes et du pétrole, la voiture électrique de Musk est conçue pour quelques privilégiés et les voitures électriques bon marché chinoises sont surtaxées. Le pillage de la planète continue en s'accroissant exponentiellement, et Musk nous fait croire à ses promesses de conquérir Mars. Mais les Chinois colonniseront la Lune sans doute avant l'Amérique de Musk.

Alors, que le grand show commence avec les Érections Américaines du 5 novembre 2024 ! Mais la fin d’année s’annonce difficile pour l’Europe frileuse. Ah oui, merde in the WORLD DICTATURE today.

samedi 19 octobre 2024

KIM DE LA JONGLE envoie ses commandos se former à la guerre contre l’Ukraine (LJ©2024)

Raz-Putin fait profiter l'Iran et maintenant la Corée du Nord de l'expérience de ses armées sur le terrain dans une tentative de "globalisation du conflit".

C'est pourquoi le ministre ukrainien des Affaires étrangères a déclaré samedi que la participation des troupes nord-coréennes aux côtés de la Russie à la guerre en Ukraine représenterait une « menace énorme » d'une nouvelle escalade du conflit.

Pyongyang aurait envoyé des milliers de soldats sur le front ukrainien, selon des sources sud-coréennes et ukrainiennes. Moscou dément et les informations varient quant au nombre et au rôle de ces militaires.

Le Service national de renseignement (NIS) sud-coréen a assuré que la Corée du Nord avait décidé d'envoyer au total 12.000 soldats sur le front ukrainien. 

L'OTAN traîne misérablement des pieds et peine à suivre les dernières évolutions du conflit. Par exemple, on peut supposer que les Nord-Coréens vont intervenir avec de nouvelles armes de leur fabrication et tester leur arsenal militaire.

mardi 10 septembre 2024

The US strategic mistake and ZELENSKY's despair (LJ©2024)

The repeated refusal of the United States and Germany to provide necessary weapons, such as long-range missiles, deprives Ukraine of the means to reach critical Russian logistics bases and disrupt enemy supply chains. Without these tools, the decisive battle that could inflict a strategic defeat on Russian troops will not take place. This lack of will to go all the way is a reminder of the West's inability to end conflicts despite its decisive firepower.

The battle of Kursk-Pokrovsk which is taking place right now could have marked a turning point, inflicting massive losses on the Russian army, with potentially 50,000 soldiers put out of action, like the historic defeat of Napoleon in Waterloo. Instead, this historic opportunity is being extinguished for lack of appropriate weaponry, allowing Russia to continue its assaults on Ukrainian territory.

The symbol of this failed battle is poignant: Pokrovsk could have become a new Waterloo for Putin, but the inaction of the West decided otherwise. While Russian forces advance towards Pokrovsk and other towns, carefully sparing Russian territory, the Ukrainian army continues to suffer considerable and unnecessary human and material losses, forcing it to continually retreat. How much longer will we have to wait for the West to finally provide the weapons necessary to defend Ukraine and defeat Putin?

Ultimately, it is difficult not to deplore the wait-and-see attitude of the Western Allies. If Ukraine must wait to build its own long-range missiles, it may be necessary for additional years of conflict before a favorable outcome emerges. The true glory of this war lies not with NATO forces or the United States, but with the courageous Ukrainian soldiers, who continue to fight tenaciously despite our lack of decisive, timely military support.

El error estratégico de Estados Unidos y la desesperación de ZELENSKY (LJ©2024)

La repetida negativa de Estados Unidos y Alemania a proporcionar las armas necesarias, como misiles de largo alcance, priva a Ucrania de los medios para llegar a bases logísticas rusas críticas e interrumpir las cadenas de suministro enemigas. Sin estas herramientas, no se llevará a cabo la batalla decisiva que podría infligir una derrota estratégica a las tropas rusas. Esta falta de voluntad para llegar hasta el final es un recordatorio de la incapacidad de Occidente para poner fin a los conflictos a pesar de su poder de fuego decisivo.

La batalla de Kursk-Pokrovsk que se está librando ahora podría haber marcado un punto de inflexión, infligiendo pérdidas masivas al ejército ruso, con potencialmente 50.000 soldados fuera de combate, como la histórica derrota de Napoleón en Waterloo. En cambio, esta oportunidad histórica se está extinguiendo por falta de armamento adecuado, lo que permite a Rusia continuar sus ataques en territorio ucraniano.

El símbolo de esta batalla fallida es conmovedor: Pokrovsk podría haberse convertido en un nuevo Waterloo para Putin, pero la inacción de Occidente decidió lo contrario. Mientras las fuerzas rusas avanzan hacia Pokrovsk y otras ciudades, respetando cuidadosamente el territorio ruso, el ejército ucraniano sigue sufriendo pérdidas humanas y materiales considerables e innecesarias, lo que le obliga a retirarse continuamente. ¿Cuánto más tendremos que esperar para que Occidente finalmente proporcione las armas necesarias para defender a Ucrania y derrotar a Putin?

En última instancia, es difícil no deplorar la actitud expectante de los aliados occidentales. Si Ucrania debe esperar para construir sus propios misiles de largo alcance, puede que sean necesarios años adicionales de conflicto antes de que surja un resultado favorable. La verdadera gloria de esta guerra no reside en las fuerzas de la OTAN ni en los Estados Unidos, sino en los valientes soldados ucranianos, que continúan luchando tenazmente a pesar de nuestra falta de apoyo militar decisivo y oportuno.

dimanche 8 septembre 2024

L'erreur stratégique des États-Unis et le désespoir de ZELENSKY (LJ©2024): La bataille de Koursk-Pokrovsk n'aura pas lieu en raison du manque d'armes à longue portée pour cibler les bases militaires russes.

La situation en Ukraine devient de plus en plus alarmante à mesure que le soutien militaire occidental, notamment celui des États-Unis, ne parvient pas à fournir les armes nécessaires au moment opportun. Chaque fois que les forces ukrainiennes semblent sur le point de réaliser une percée décisive – à Koursk ou à Pokrovsk – elles se retrouvent à court de moyens pour frapper les infrastructures militaires russes de manière décisive. Cette insuffisance pose des questions quant aux véritables objectifs de Washington dans ce conflit prolongé et sur l'opportunisme des marchands d'armes pour prolonger la guerre indéfiniment en sacrifiant L'Ukraine.

Depuis trois ans, l’aide militaire occidentale arrive de manière échelonnée et souvent trop tard. Peut-on encore qualifier les États-Unis d'alliés indéfectibles de l'Ukraine ? Alors que les troupes ukrainiennes déploient des efforts remarquables sur le champ de bataille, repoussant les forces russes, leur avancée se heurte à un mur : le manque d’armement adéquat. Les forces ukrainiennes, malgré leur courage et leur efficacité, ne peuvent rivaliser avec la puissance de feu russe, face aux bombes planantes et aux frappes aériennes de haute intensité.

Dès février 2022, l'armée ukrainienne avait admirablement résisté, notamment en stoppant l’avancée des colonnes russes vers Kiev. Des occasions stratégiques cruciales se sont présentées, comme la destruction du pont de Crimée ou de la flotte navale russe, et la neutralisation de bases aériennes vulnérables à proximité. Cependant, en raison du refus des États-Unis et de l’Europe de livrer des armes à longue portée, l'Ukraine a dû se contenter de drones artisanaux pour mener des frappes limitées, rendant impossible une défaite rapide des forces russes.

L'inaction de l’OTAN face à l’agression prolongée de Poutine a, sans nul doute, contribué à prolonger la guerre. Les forces russes continuent d'utiliser des armes telles que les bombes planantes de 3 tonnes, les missiles hypersoniques Kinjal, les millions d'obus nord-coréens et les drones Shahed, avec une menace croissante de missiles balistiques iraniens. Cela fait maintenant trois ans que l’Ukraine subit ces bombardements incessants, une situation honteuse pour l'Occident, dont l'inaction semble prolonger le conflit, au bénéfice des industriels de l'armement et d'un Vladimir Poutine désireux de renforcer son pouvoir.

Loin d'être une simple répétition de l’histoire, cette situation révèle l’incapacité des dirigeants occidentaux – qu'il s'agisse de Trump, Biden ou des chefs européens – à tirer les leçons des erreurs passées. Poutine, quant à lui, profite de la situation pour moderniser son armée tout en écoulant ses anciens stocks d’armements. Chaque jour qui passe sans intervention décisive de la part de l'OTAN conforte le dirigeant russe dans sa position de force, lui permettant de réorganiser son empire militaire et politique.

Le refus répété des États-Unis et de l'Allemagne de fournir les armes nécessaires, comme des missiles à longue portée, prive l’Ukraine des moyens d'atteindre les bases logistiques russes essentielles et d'interrompre les chaînes d'approvisionnement ennemies. Sans ces outils, la bataille décisive qui pourrait infliger une défaite stratégique aux troupes russes n’aura pas lieu. Cette absence de volonté d’aller jusqu’au bout rappelle l’incapacité de l’Occident à mettre fin à des conflits malgré sa puissance de feu décisive.

La bataille de Koursk-Pokrovsk qui se déroule en ce moment même aurait pu marquer un tournant, en infligeant des pertes massives à l’armée russe, avec potentiellement 50 000 soldats mis hors de combat, à l’instar de la défaite historique de Napoléon à Waterloo. Au lieu de cela, cette opportunité historique s’éteint faute d'armements appropriés, permettant à la Russie de continuer ses assauts sur le territoire ukrainien.

Le symbole de cette bataille manquée est poignant : Pokrovsk aurait pu devenir un nouveau Waterloo pour Poutine, mais l’inaction de l’Occident en a décidé autrement. Pendant que les forces russes avancent vers Pokrovsk et d’autres villes, épargnant soigneusement le territoire russe, l’armée ukrainienne continue de subir des pertes humaines et matérielles considérables autant qu'inutiles, l'obligeant à se replier continuellement. Combien de temps encore faudra-t-il attendre pour que l’Occident fournisse enfin les armes nécessaires à la défense de l'Ukraine et à la défaite de Poutine ?

En fin de compte, il est difficile de ne pas déplorer l'attentisme des Alliés occidentaux. Si l’Ukraine doit attendre de fabriquer elle-même ses propres missiles à longue portée, il se pourrait que des années supplémentaires de conflit soient nécessaires avant qu'une issue favorable ne se dessine. La véritable gloire de cette guerre ne revient pas aux forces de l'OTAN ou aux États-Unis, mais aux courageux soldats ukrainiens, qui continuent de se battre avec ténacité malgré notre manque de soutien militaire décisif au moment opportun.

Ah oui, merde in Ukraine today.

dimanche 18 août 2024

Les aventurettes de Raz-Putin 1er (#1) : “le Kon de Pertch” (LJ©2024).

Vous imaginez le petit père Patriochka sur le pont de Kertch avec le teint hâve d’un rat de laboratoire dans un caisson hyperbare, conduisant une locomotive façon “La Bête humaine” avec des grosses lunettes de verre pour se protéger des escarbilles ? Et puis BAOUM, plus rien… Le dictateur éparpillé façon puzzle. Et vous imaginez la UNE du journal Libération en France : Adieu au Kon de Pertch !

Car il est très étonnant que le pont de Crimée continue d’une seule pièce - sur 19 km- après plus de 900 jours de bombardements ininterrompus contre l’Ukraine. Mais Raz-Putin ne devrait plus jamais s’y promener… car la vengeance est un plat qui se mange froid en Ukraine libre comme en Ukraine occupée.

dimanche 19 mai 2024

(Les miniatures occidentales #2) : ”EMBARGO SUR LA TRANSIBÉRIE POUTINIENNE”, le 19 mai 2024 (LJ©2024).

Embargo

OTAN, suspends le vol des bombes planantes poutiniennes
Et vous, Russes irascibles, suspendez votre bras assassin au dessus de l’Ukraine
Pourquoi les systèmes de défense aériens de L'OTAN dorment-ils en Roumanie, Pologne ou Bulgarie, tout comme ses avions
Quand c’est en Ukraine depuis presque trois ans que l’infâme Raz-Poutine sévit sans recevoir sa juste punition ?

Pour en finir avec la monstrueuse “opération” russe qui n’a de “spéciale” que son nom
Il est temps pour l’OTAN d’oser une “Opération Inverse” pour sauver des vies par millions
Il est temps pour L'OTAN de faire respecter ses idéaux comme ses frontières
Et signifier à Raz-Putin, l’horrible mafioso post-pubère, la fin de sa carrière

L’OTAN doit siffler la fin de la récréation
Car ce sale gosse, Raz-Putin, ne doit pas l’emporter !
Non, il n’y a pas de guerres éternelles
Non, il n’y a pas de bombes souveraines
Mais il y a quelque chose de pourri au coeur de la Transibérie…

À bas le petit père Patriochka, ce vieux scélérat
Qui envoie à la mort son peuple au nom d’un ignoble combat
OTAN, il est temps que ton embargo advienne
Pour défendre, de l’Europe chérie, l’Ukraine souveraine

(Les miniatures occidentales #1) : ”OPÉRATION SPÉCIALE DE L’OTAN en UKRAINE”, le 19 mai 2024 (LJ©2024).

Raz-Putin tremble comme un mauvais flan. L’intervention des forces de l’OTAN pour sécuriser l’Ukraine est de plus en plus proche et inévitable. TOUT L’INDIQUE.

L’embargo et l’inviolabilité de l'espace aérien ukrainien jusqu’aux frontières avec l’URSS s’imposent pour l’OTAN et l’OCCIDENT tout entier. RAZ-PUTIN s’occupe de fortifier sa prise mais il ne pourra pas occuper le DONBASS ET LA CRIMÉE en même temps. Le petit bonhomme Patriochka est décidément trop ambitieux.

Après le déploiement des forces de protection en Ukraine, même la Chine de CHI-JIN-PING-PONG devrait renoncer à jouer les voyous en venant bomber le torse comme elle le fait aux côtés de la Russie mafieuse de RAZ-PUTIN.

vendredi 19 avril 2024

(Miniaturas Anti Raz-Putin #1): Por un HERMANAMIENTO MILITAR de la OTAN con ciudades ucranianas (LJ©2024).

Es hora de que Francia y la OTAN adopten una postura en Ucrania, aseguren sus fronteras comunes con Polonia o Bielorrusia y garanticen la seguridad del espacio aéreo ucraniano. Iniciativas como el HERMANAMIENTO MILITAR, por ejemplo de París con Odessa o Nueva York con Kiev, garantizarían la protección aérea de estas ciudades contra los ataques terroristas rusos que se han convertido en algo habitual desde hace más de dos años.

Cada ciudad ucraniana podría así beneficiarse de la PROTECCIÓN LOCAL de uno de los países de la OTAN para fortalecer muy rápida y eficazmente su seguridad con LA AYUDA DE LOS RECURSOS MILITARES de los países PROTECTORES y sin necesidad de declarar la guerra a RAZ-PUTIN.

lundi 15 avril 2024

(Anti Raz-Putin miniatures #1): For a MILITARY TWINNING of NATO with Ukrainian cities (LJ©2024).

It is time for France and NATO to take a stand in Ukraine, to secure its common borders with Poland or Belarus and to guarantee the security of Ukrainian airspace. Initiatives such as MILITARY TWINNING, for example of Paris with Odessa or New York with Kyiv, would ensure aerial protection of these cities against Russian terrorist attacks which have become commonplace for more than 2 years.

Each Ukrainian city could thus benefit from the LOCAL PROTECTION of one of the NATO countries to very quickly and effectively strengthen its security with THE HELP OF THE MILITARY RESOURCES of the PROTECTIVE countries and no need to declare war on RAZ-PUTIN.

samedi 30 mars 2024

(Les miniatures anti Raz-Putin #1) : Pour un JUMELAGE MILITAIRE de L'OTAN avec les villes ukrainiennes (LJ©2024).

Il est temps pour la France et l'OTAN de prendre position en Ukraine, de sécuriser ses frontières communes avec la Pologne ou la Biélorussie et de garantir la sécurité de l'espace aérien ukrainien. Des initiatives telles que le JUMELAGE MILITAIRE, par exemple de Paris avec Odessa ou de New York avec Kiev, permettraient d'assurer une protection aérienne de ces cités contre les attaques terroristes russes devenues monnaie courante depuis plus de 2 ans. 

Chaque ville ukrainienne pourrait ainsi bénéficier de la PROTECTION LOCALE d'un des pays de  l'OTAN pour renforcer très rapidement et efficacement sa sécurité avec L'AIDE DES RESSOURCES MILITAIRES des pays PROTECTEURS et pas besoin de déclarer la guerre à RAZ-PUTIN.

mercredi 27 mars 2024

Les gouvernements terroristes 2024 (#4): Comment RAZ-PUTIN va manipuler les JO et comment Macron doit briser le silence en jumelant Paris avec Odessa ou Kiev (LJAI ©2024).

L'ombre menaçante de Raz-Putin plane sur les JO de 2024 à Paris, une menace bien plus réelle que le terrorisme musulman. Alors que l'Europe et les États-Unis sont soumis à un chantage permanent de la part de ce tyran, les organisateurs des JO devraient sérieusement envisager l'annulation de l'événement ou sa tenue en circuit fermé, à l'abri des mercenaires russes et des djihadistes.

Mais l'opportunisme de ce dictateur ne s'arrête pas là. Une trêve négociée par Macron ne ferait que renforcer les positions de la Russie, légitimant ainsi son invasion de l'Ukraine et consolidant ses forces armées. Il est grand temps de remplacer cette complicité tacite par des actions concrètes, telles que des jumelages de toutes les capitales européennes et des pactes d'amitié des pays de l'OTAN avec l'Ukraine.

Comment peut-on célébrer les JO avec les athlètes russes alors que l'Ukraine est bombardée de Kiev à Odessa ? La France, tout comme les autres membres de l'OTAN, doit être le leader du soutien à l'Ukraine. N'est-il pas absurde de maintenir des forces armées et de les laisser inactives alors que la situation exige une intervention immédiate?

Il est temps pour la France et l'OTAN de prendre position en Ukraine, de sécuriser ses frontières communes avec la Pologne ou la Biélorussie et de garantir la sécurité de l'espace aérien ukrainien. Des initiatives telles que le JUMELAGE MILITAIRE de Paris avec Odessa et de New York avec Kiev permettraient d'assurer une protection aérienne de ces cités contre les attaques. Chaque ville ukrainienne pourrait ainsi bénéficier de la protection d'une capitale de l'OTAN pour renforcer très rapidement et efficacement sa sécurité.

La "cobelligérance" n'est qu'une excuse pour l'inaction de l'OTAN et une invitation à l'expansionnisme de Raz-Putin. Il est temps de briser ce TABOU et de prendre des mesures concrètes pour protéger notre civilisation. l'Ukraine pourrait-être déclarée par l'UNESCO: PATRIMOINE CIVILISATIONNEL de l'humanité.

samedi 23 mars 2024

Les gouvernements terroristes 2024 (#3) : Comment Raz-Putin joue les victimes (LJAI ©2024)

Comment le plus grand criminel de guerre du XXIÈME siècle, RAZ-PUTIN, s’offre une opération de BLANCHIMENT GRATIS SUR LE DOS DE L'UKRAINE et en appelle à L’HUMANITÉ de la communauté internationale.

Raz-Putin a déjà commis en 20 ans toutes les erreurs contre son peuple mais aussi toutes les atrocités contre les chrétiens comme les musulmans du monde entier, au nom de la Toute Puissante Fédération Russe. En plus, il menace constamment l’humanité d’une destruction massive et il parle comme le parrain de toutes les mafias, faisant valoir sa Triade Atomique comme la plus dévastatrice du monde.

Le “drame” pour ce dictateur sanglant s’est passé quand au moins 133 personnes ont été tuées vendredi 22 mars 2024 au soir dans une attaque armée suivie d'un énorme incendie dans une salle de concert de la banlieue de Moscou, qui a été revendiquée par le groupe jihadiste Daesh.

Le lendemain, le Ministre de l’Extérieur de Russie a appelé la communauté internationale à condamner l’attaque, déclarée comme un attentat terroriste avec ces mots : “ Toute la communauté internationale est obligée de condamner cet horrible crime”.

La diplomatie russe se vante que la Russie a reçu de nombreux appels de condamnations fermes du “sanglant attentat” qui est arrivé “devant les yeux de toute l’humanité”. 

Curieusement, le Kremlin est indifférent aux plaintes contre les attentats terroristes qu'il organise quotidiennement en Ukraine et ailleurs.

Non, le monde entier ne partage pas les émois de Raz-Putin, qui la veille faisait bombarder sans aucune pitié L'Ukraine en pleine nuit et qui a déjà fait deux millions de victimes et plus de 500000 morts pulvérisés sous les bombes, sans compter les 10 millions de déplacés.

Selon les services d’intelligence ukrainiens, l'attentat est une “opération” conçue par le Kremlin. Zelensky accuse avec raison Poutine et les autres salauds de rejeter la faute sur l’Ukraine.

Nous pouvons parler sans aucun doute d’une OPÉRATION DE RÉCUPÉRATION du Kremlin. Ah oui, Merde in Russia Today.

jeudi 21 mars 2024

Les gouvernements terroristes 2024 (#2) : Le dictateur Raz-Putin salement élu (LJAI ©2024).

La vérité sur l'élection de Raz-Putin : seulement 30 millions de Russes sont pro-Raz-Putin, soit un électeur sur cinq. C'est ce que révèlent les chiffres de l'élection présidentielle russe du 15 au 17 mars 2024 qui était censée élire démocratiquement le président de la Fédération de Russie. 

De fait, la victoire écrasante de Poutine avec un score de 88,48 % n'est qu'une illusion facile à démystifier : pour commencer, sur les 114 212 734 électeurs inscrits en Russie, seuls 76 277 708 votes ont été comptabilisés en faveur de Poutine, écartant déjà 37 935 026 Russes non favorables à Poutine (source : Wikipedia).

Si nous ajoutons à ces presque 38 millions d'opposants les 36 millions d'une fraude électorale gigantesque détectée au seul profit du dictateur Raz-Putin plus les 10 millions de votes par coercition, notamment dans les territoires occupés, nous totalisons près de 84 millions d'opposants au régime dictatorial de Poutine. Il ne reste donc au grand maximum que 30 millions de sympathisants à Raz-Putin et tous ne sont pas favorables à la guerre en Ukraine (et contre l'Occident), loin de là.

Ainsi, pour contredire les chiffres de l'élection au premier tour de Raz-Putin de mars 2024, sur 86 204 291 de votes validés seulement 30 000 000 supportent plus ou moins la dictature russe. De plus, au vu d'une absence totale de données sur les votes blancs ou nuls et les abstentions, on peut estimer que quatre cinquièmes des 147 millions d'habitants de Russie sont opposés à Raz-Putin, soit 4 sur 5 disent NON À LA GUERRE... Ah oui, merde in Russie today.

Source wikipédia :

Ces élections se déroulent dans le contexte des amendements constitutionnels de 2020, permettant à Vladimir Poutine de se représenter pour un cinquième mandat, le troisième consécutif.

Cette élection est également marquée par la guerre en cours contre l'Ukraine, avec une invasion générale du pays par la Russie en février 2022. Alexeï Navalny, principal dirigeant de l'opposition, emprisonné depuis 2021, est empêché de se présenter avant de décéder en détention quelques semaines avant le premier tour. Comme lors des scrutins précédents, Vladimir Poutine n'affronte que des candidats de l'opposition "tolérée", affiliés au gouvernement et favorables à la poursuite de la guerre en Ukraine, tandis que l'opposition réelle est empêchée de participer.

La réélection sans surprise de Vladimir Poutine avec plus de 88 % des suffrages exprimés est vivement contestée par l'opposition, qui dénonce des fraudes massives, évaluées à plusieurs dizaines de millions de voix par des médias et des ONG indépendantes. Ces fraudes vont de 22 à 36 millions de voix selon les estimations, et des irrégularités ont été relevées, notamment un nombre de bulletins supérieur au nombre de votants dans certains bureaux de vote.

Autre source :

"Il s’agit de l’élection présidentielle la plus salement truquée de l’histoire du pays." Le journal Novaïa Gazeta, principal média d'opposition en Russie, dénonce les conditions dans lesquelles s'est déroulé le scrutin remporté sans surprise par Vladimir Poutine ce dimanche. Pas moins de 22 millions de faux bulletins auraient été comptabilisés pour permettre au maître du Kremlin d'être réélu pour la cinquième fois, selon Golos, une ONG spécialisée dans la défense des droits des électeurs.

Officiellement, le président russe a récolté plus de 87% des voix, soit 10 points de plus qu'en 2018, pour un taux de participation flirtant avec les 77%. Un résultat qui ne reflète pas la réalité, selon Novaïa Gazeta. Pour démonter l'ampleur de la supercherie, le média a utilisé une méthode conçue par le mathématicien Sergueï Chpilkine. Objectif ? Établir une estimation des votes "irréguliers" lors de l'élection. À l'issue de leurs recherches, ils ont relevé qu'environ 22 millions des voix sont irrégulières. Une fourchette basse, le calcul ne tenant compte que des bulletins papiers. En incluant le vote électronique, la fraude pourrait, selon Novaïa Gazeta, avoisiner les 31,6 millions de suffrages.

Conclusion : cette manipulation du pouvoir et ces résultats truqués soulignent clairement la nature dictatoriale du régime en place.

dimanche 11 février 2024

Les gouvernements terroristes 2024 (#1) : Raz-Putin faussement invincible (LJAI ©2024).

Dans une entrevue digne d'un spectacle de clowns, le prétendu journaliste et animateur américain hilarant, Tuck Carlson, a eu le privilège de s'entretenir avec le redoutable Raz-Putin, pour transmettre un message incroyablement rassurant aux citoyens républicains américains : "Ne craignez rien de ma part, je n'ai aucune intention de redécorer votre pays avec des feux d'artifice atomiques, alors votez pour mon ami pro-russe, l'inénarrable Trump-la-mort!"

Raz-Putin suggère ainsi aux républicains nord-américains d'abandonner leur soutien à l'Ukraine, arguant que la guerre prendrait fin en deux ou trois semaines faute de munitions. Mais qui pourrait vraiment croire cela ? La vérité, dissimulée derrière le rideau de fumée médiatique, est que sans les millions de munitions en provenance de Corée du Nord et les essaims de drones iraniens, le Patriochka de toutes les Russies serait depuis longtemps dans l'incapacité de marteler l'Ukraine, et ses troupes se replieraient, laissant l'alliance atlantique remporter la victoire. Oui, Poutine jongle avec l'opinion, se proclamant vainqueur, mais sans le soutien d'autres dictatures, le rouleau compresseur russe s'arrêterait net. Et parlons des pertes humaines : 500 000 soldats des deux côtés ont été fauchés par les bombes, et 10 millions de personnes déplacées font de Raz-Putin le plus grand criminel de guerre du XXIe siècle.

L'absurdité de cet entretien risible omet de mentionner que Raz-Putin menaçait récemment d'effacer l'Europe et les États-Unis de la carte avec ses missiles hypersoniques intercontinentaux. Ayant déjà annexé la Tchétchénie et la Crimée tout en prétendant ne pas être intéressé par une invasion, il écrase aujourd'hui l'Ukraine sous les bombes nord-coréennes. Mais attention, prévient-il tranquillement à Carlson, "c'est terminé, circulez, il n'y a plus rien à voir !" Comment peut-on accorder du crédit à ce manipulateur ? Les États-Unis sont-ils prêts à se plier aux volontés de ces dictateurs autoproclamés ou, pour être plus terre à terre, à s'agenouiller ? Avec Trump-la-mort, la démocratie est clairement sur la corde raide.

Le problème majeur réside dans l'absence de contre-propagande efficace face à la propagande toxique de Raz-Putin et de son double, Trump-la-mort, car les prétendus journalistes du monde entier semblent avoir déserté leurs postes. Si Charlie Chaplin a jadis créé et interprété "Le Dictateur", où sont tous les Charlie Chaplin du monde libre aujourd'hui ? Ont-ils tous été réduits au silence comme des chiens errants au sein de leurs rédactions ?

Pour proposer une solution audacieuse, pourquoi ne pas utiliser l'intelligence artificielle pour remplacer la tête de Hitler par celle de Raz-Putin dans le film "Le Dictateur", qui serait diffusé gratuitement dans toutes les écoles et cinémas du monde entier, de Paris à Hong Kong en passant par New York, la ville natale de Trump-la-mort, afin d'instruire les masses?

lundi 1 janvier 2024

(Les miniatures 2024 #1) Bon dégueulis 2024 ! (le 01/01/2024 LJAI ©2024).

Eh bien, mes amis, préparez-vous à une année 2024 pleine de surprises... et de désagréments ! Pas question de gâcher votre humeur festive et votre appétit de "fruits de mer" , mais permettez-moi de souligner quelques "perles" qui nous attendent, si vous ne changez pas vos habitudes (et pas seulement pour les faux amis qui nous ont plantés, mais c'est une autre histoire).

Reprenons ces délices de la mer que nous avons tous dégustés à la fin de 2023. Vous savez, ces "fruits de mer" aussi risqués qu'un saut en parachute avec un parapluie. Une crevette dodue dans un restaurant chinois en Angleterre, une huître d'Arcachon venue tout droit du marché français, ou une moule espagnole qui rivalise en noir avec un taureau de corrida. Résultat : une gastroentérite de compétition ou une séance de chaises musicales avec la cuvette des toilettes. Ne serait-il pas temps d'apposer un panneau "Danger Public" sur ces trésors marins, déjà contaminés dans toutes les eaux du globe, et stockés à nos risques et périls, tout ça au nom de notre amour inconditionnel pour la consommation et le capitalisme avec les égoûts donnant sur la mer ?

En 2024, les fruits de mer continueront d'être aussi imprudents que de jongler avec des allumettes dans une usine de feux d'artifice, tous aussi toxiques que le Covid 2024 ou la grippe, et vous les avez reçus sans masques ni gants, comme des cadeaux empoisonnés. Et que dire de notre cher Raz-Putin ? Promettant à son peuple une année à la hauteur de ses bombardements sur Kiev, Kharkiv, Odessa, Lviv et Donetsk en fin d'année. C'est sûr, une entrée fracassante dans la nouvelle année ! Sans oublier nos amis jihadistes, déterminés à faire fondre Israël comme un glaçon au soleil, avec l'approbation enthousiaste de l'ultra-droite nazie et des socialistes pro-communistes européens, prêts à danser la valse avec les dictateurs du coin.

Sheik Mesfessez et ses potes n'ont pas dit leur dernier mot en 2024. La COP28 en poche, ils nous préparent une année avec des fruits de mer salement toxiques par tonnes et des hydrocarbures à foison, parce que qui a besoin de plus de civilisation quand on peut vendre et acheter des millions de barils de pétrole, du gaz à la sortie des gazoducs et dans les ports méthaniers ou des armes livrées à domicile comme des barres de shit? Ne soyez pas trop impatients, ça risque d'être toxique, désastreux et exorbitant. Voilà notre cadeau universel pour 2024 : une méga-crise servie par l'industrie militaro-gastronomique à tous les amateurs de caca-pipi-talisme,  pour dévorer la planète en petits morceaux goulus avec leurs dents si blanches que c'est impossible d'obtenir sans chimie. Bonne année de shit et merde in 2024 !