dimanche 17 août 2025

Deuxième allocution du Président de la République française LJ©2025

Palais de l’Élysée – 20 août 2025

Françaises, Français,
Mes chers compatriotes,

Depuis quelques jours, le monde a basculé dans une nouvelle ère. Le 27 juillet dernier, Donald Trump a imposé à l’Europe un accord dont le seul but était de renflouer une dette américaine devenue vertigineuse — plus de trente trillions de dollars. Le 15 août, il a offert à Vladimir Poutine, malgré une Russie exsangue et détruite par son propre effort de guerre, une victoire anticipée, la levée de toutes les sanctions et les moyens d’un enrichissement rapide par des fonds d'investissement communs dans les secteurs clés. Deux "accords" successifs. Deux capitulations de l’Europe. Une double soumission : à l’Amérique d’abord, à la Russie ensuite.

Ne nous y trompons pas : ces accords ne sont pas des compromis, ce sont pour nous des ordres de transferts. Transferts de nos richesses pour sauver une Amérique qui s’effondre sous ses dettes. Transferts de nos libertés pour permettre à une Russie de reconstituer son arsenal militaire épuisé au mépris des millions de vies qu’elle a déjà sacrifiées. Transferts de notre souveraineté, enfin, car l’Europe et l’Ukraine ont été volontairement exclues de ces dernières discussions.

Dans un monde où les équilibres se redessinent, cette manœuvre n’est pas un accident. Elle s’inscrit dans une logique globale. L’Amérique de Trump cherche à transformer ses faiblesses en force en utilisant l’Europe comme tremplin pour s'enrichir facilement et affirmer sa domination. La Russie de Poutine, quant à elle, camoufle ses ruines derrière le spectacle d’une « grandeur retrouvée instantanément » avec l'accueil chaleureux de Vladimir Poutine par Donald Trump sur le sol des États-Unis d'Amérique, en Alaska, le 15 août 2025. Mais derrière ces illusions, il n’y a qu’une seule réalité : deux puissances défaillantes qui s’associent pour transformer notre Europe communautaire en vassal économique et militaire.

Regardons la vérité en face. La Russie aujourd’hui, c’est un million de morts et de blessés; des territoires conquis au prix de la destruction systématique sous les bombes, jour après jour, de l'Ukraine pendant bientôt quatre ans, sans un seul jour de relâche; une économie réduite à l’effort de guerre; une société entière asservie à la violence et au mépris. Et pourtant, voilà que son régime obtient soudain, par la grâce d’un prétendu accord américain, les moyens de se reconstituer complètement. L’Amérique de Trump, elle, se sauve de ses propres dettes en transformant l’Europe en tiroir-caisse de secours. Ce n’est pas une alliance. C’est un cambriolage.

Et ce piège n’est pas seulement militaire. Il est aussi technologique, financier, climatique. Car, que nous imposent ces accords successifs surgis du néant ? Qu’il faut abandonner toute régulation environnementale. Qu’il faut relancer le pétrole, le gaz, le plastique, au détriment de notre environnement. Qu’il faut renoncer à une politique numérique souveraine pour dépendre des plateformes américaines. Qu'il faut transférer nos industries aux États-Unis qui commerceront en grand avec la Russie pour s'approvisionner de ses  richesses minières inépuisables.

Ce que nous voyons ici, c’est une tentative d’organiser une économie mondiale de la domination par la prédation, une économie qui refuse notre avenir européen pour prolonger l’illusion de deux super-puissances défaillantes, une économie qui passe par la manipulation de la conscience des peuples.

L'enfer commence par la soumission. Payer des rançons entre états et céder nos territoires est inadmissible pour l'Ukraine comme pour la France, et surtout c'est contraire à notre histoire, à notre constitution et aux lois du commerce international.

Le philosophe Paul Valéry écrivait déjà il y a un siècle que « nous autres civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». Ce qui s’est joué le 27 juillet et le 15 août, ce n’est pas la paix. C’est un marché de dupes : la survie de deux régimes, payée par l’effacement de l’Europe. Et ce marché, nous le refusons. Ce qui se joue aujourd’hui, c’est la mort annoncée de la civilisation européenne d'origine grecque et latine. Allons-nous devenir les comptables dociles de la dette américaine ? Allons-nous financer, malgré nous, la reconstitution accélérée de l’appareil militaire russe ? Allons-nous regarder, impuissants, l’Ukraine sacrifiée disparaître dans un silence qui couvrirait notre propre abdication ?

Aujourd’hui, je vous le dis : notre mémoire historique nous oblige à voir lucidement ce que nous sommes devenus — une Europe trop souvent spectatrice. Mais notre promesse est d’être autre chose. D’être une puissance capable de se protéger, d’investir dans l’intelligence artificielle, dans les énergies propres, dans une France naturelle et vivante, dans l’économie de demain et de le faire non pas sous la tutelle méprisante d’autres puissances, mais par nous-mêmes.

J’entends déjà les sceptiques dire que c’est impossible. Mais l’Europe n’est pas née de la facilité : elle est née du courage. Ce qui se joue aujourd’hui, c’est notre souveraineté, notre liberté, notre capacité à décider par nous-mêmes de notre destin.

Nous ne devons pas céder à la peur. Nous devons, au contraire, retrouver l’esprit de ceux qui ont toujours su défendre la culture, la pensée, la création, ce qui fait l’Europe. Albert Camus écrivait que « la vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent ». Alors donnons tout aujourd’hui : pour l’Ukraine, pour l’Europe, pour notre avenir commun.

C’est pourquoi je vous le dis avec gravité : nous ne pouvons pas accepter cette capitulation organisée. Nous ne pouvons pas accepter que l’Ukraine soit sacrifiée. Nous ne pouvons pas accepter que l’Europe devienne la variable d’ajustement des dettes américaines et de l’effort de guerre russe.

Françaises, Français, il existe une autre voie. Elle n’est pas facile, mais elle est nécessaire. L’'Ukraine est devenue la première ligne de défense du monde libre. Et l’Europe doit donc protéger l’Ukraine, non par des discours creux mais par des actes.

Cela signifie être prêts, si nécessaire, à entrer en Ukraine avec ou sans l'OTAN, à la défendre comme notre maison commune, l'Ukraine avec ses hommes 
si courageux, son territoire et son ciel.

Cela signifie, en même temps, bâtir une économie de souveraineté — dans l’énergie, dans le numérique, dans la défense.

Cela signifie assumer que l’avenir du monde se joue dans l’équilibre entre les nations, et non dans leur soumission.

Cela signifie enfin de refuser que l’avenir de notre continent soit décidé par deux mégalomanes associés, au mépris de notre dignité collective.

Mes chers compatriotes,

L’Histoire nous regarde. Elle ne nous demande pas d’être parfaits. Elle nous demande d’être courageux. De refuser l’abdication. D’assumer que l’Europe soit à la hauteur de ce qu’elle prétend être : une puissance économique et philosophique car notre cher et beau pays, la France, doit demeurer une force de liberté et d'inspiration.

Je vous le dis ce soir avec gravité et avec espoir : nous avons encore le choix. Le choix de ne pas subir. Le choix d’agir. Le choix de rester libres. Il est encore temps de relever la tête.

Aucun despote ne peut s'arroger le droit de nous "offrir" sa paix au prix de l'humiliation, de la coercition, de l'invasion et du mensonge. Cette paix là s'appelle dictature.

Contre cela, une seule voie s’ouvre à nous : l’Europe doit prendre ses responsabilités. Cela signifie être prêts à protéger l’Ukraine, à sanctuariser son espace aérien, à sécuriser ses frontières.

C'est la raison pour laquelle nous avons créé la "Coalition des Volontaires": pour prendre toutes nos responsabilités, à tous les niveaux, le moment venu.

Je ne vous propose pas d'entrer en guerre mais de protéger tous vos acquis qui sont : la Liberté, l'Égalité, la Fraternité et la Justice.

C'est la raison pour laquelle je vous demanderai, en même temps, de rester unis au moment de prendre ensemble, au nom de la Nation, toutes nos responsabilités.

Vive la République.

Vive l’Europe.

Vive la France.

LJ©2025 Attention, ceci est une proposition d'allocution présidentielle adressée à M. Macron.

samedi 16 août 2025

Le doigt glacé du proctologue Raz-Putin le vendredi 15 août 2025 en Alaska : « Massage de pet » russe en temps de guerre. LJ©2025

Quand le capitalisme européen devient synonyme de capitulation européenne en juillet et août 2025 : mise en esclavage de l’UE pour servir à renflouer les dettes nationales américaines et russes, le tout sous l’égide des dictateurs Trump-La-Mort et Raz-Putin.

Ce vendredi 15 août 2025 à Enchorage (en Russie d’après Trump), le Patrioska Raz-Putin, un expert réputé en proctologie, a offert un massage de la prostate au grand Bibendum-blond américain, d’un doigt expert, pendant que les bombardiers américains traversaient le ciel inutilement, comme de grands éclairs noirs presque silencieux.

De notre envoyé spécial

Trump-la-mort ne s’y est pas trumpé :

« J’ai vu en seulement deux minutes toute l’âme russe et sa grandeur dans les yeux de Raz-Putin », dixit Trump.

« Son massage, entraînant des flatulences, dirigé d’un doigt glacé sur ma prostate au travers de l’anus, m’a fait entrer dans un état profond de PET INTÉRIEUR et EXTÉRIEUR. J’ai flatulé pendant près de trois heures mais Raz-Putin m’a définitivement soigné la prostate de son doigt magique et glacé. Il ne m’a pas trop élargi l’anus, que j’avais déjà bien ouvert, et je peux maintenant m’asseoir presque correctement pour boire mon Coca light. »

«Raz-Putin ne parlait qu’un russe exquis pour éviter l’usage de notre langue américaine, vulgaire et dégénérée par le wokisme de Biden», expliqua Trump après avoir fait retirer tous les portraits de Biden et Obama des multiples salons et cantines de la base d’En-courage, En-corrige, — « bah, je n’arrive pas à prononcer les noms russes… »

Lavrov-sans-bouillir a remis d’abord une paire de gants blancs en latex à Raz-Putin pour procéder sans attendre à l’opération rectale. «Le ministre Lavrose parle merveilleusement l’américain… Comme mon pote Joe-froid Epstein, il s’est bien amusé (mais j’ai compris que c’était très respectueux et sans conséquences) à faire des allusions salaces à mon adresse, du style : Mets-toi à quatre pattes, Big Boy, et écarte les fesses pour recevoir notre MASSAGE DE PET INTERNATIONAL. Nous allons jouer aux poupées russes dans ton derrière. Une petite, une moyenne, une grosse. Un peloton, une compagnie et tout un régiment ! »

«À aucun moment, le Patrioska n’a eu peur de mon bombardier unique B-2 qui rayait le ciel, ni de mes trois chiens de garde — ma garde rapprochée qui avait tant terrorisé le petit Zelensky : Rubiol, Heggseth et Blessent, Vance étant absent. Raz-Putin est reparti dans sa voiture blindée libre comme l’air car ici, en Russie comme en Amérique, il n’existe aucun mandat international valable pour arrêter le plus grand criminel de guerre du XXIᵉ siècle. Mais de toute façon, c’est faux car tout le monde le sait: Raz-Putin est un homme merveilleux et il m’a même complimenté :

«_ Avec TOI à la Maison Blanche en 2022, la guerre n’aurait jamais commencé et tu aurais sauvé deux millions de militaires et de civils. Mais Zelensky a reçu l’autorisation par Biden de LES TUER TOUS.»

Trump : « Cette guerre, c'est celle de Biden. Ce n'est pas ma guerre, ni celle du pauvre président Raz-Putin qui n'est qu'une victime du président Zelensky et des nazis revanchards. C’EST LA RAISON POUR LAQUELLE L’AMÉRIQUE NE FERA JAMAIS DE MAL À SON AMI ET ALLIÉ RUSSE FACE À LA FOLIE DE ZELENSKY. Oui, L’OPÉRATION SPÉCIALE DOIT CONTINUER ABSOLUMENT et NOUS FÊTERONS BIENTÔT NOTRE VICTOIRE COMMUNE AU KREMLIN le jour où l'Ukraine aura capitulé en cédant tous les territoires exigés par mon grand ami Raz-Putin, avec qui j'ai de très bonnes relations et aussi son entière confiance. Pour rassurer les journalistes : non, je n’ai pas retourné ma veste. Je sais où se trouve l’intérêt de mon grand pays, AMERICA GREAT AGAIN, et c’est quand l’Europe du petit comique Zelensky sera soumise à notre diktat commun.

Pour ceux qui s'inquiètent pour ma santé... Non, je ne suis pas sénile, mais j’ai adoré comment Raz-Putin me traite et me respecte : je crois qu'il est amoureux de moi ! Oui, je sais, ça paraît incroyable... Il veut m'offrir le Prix Nobel sur un plateau si je lui offre l'Ukraine, la Crimée, le Donbass et Zelensky les mains liées. J'ai dit à Zelensky qu'il peut stopper la guerre immédiatement par ces quelques concessions. Je travaille de tout mon cœur à ce dénouement merveilleux pour finir dans une grande réception au Kremlin, et mon ami Raz-Putin attend lui aussi impatiemment l'annonce de cet heureux événement à l'autre bout du téléphone. Nous sommes comme mari et femme : c'est un garçon ! J'ai trop hâte qu'il m'invite dans sa datcha pour me masser la prostate avec son doigt de glace
Comme tous les tzars de Russie, Raz-Putin a reçu un don de guérisseur ! Raz-Putin, c'est mon deuxième LOVE avec un homme, après Joe-Froid Epstein.»

Raz-Putin avouera plus tard, hilare, devant la presse russe :

« J’avais peur que ce gros bonhomme mal éduqué pète une veine et me claque entre les doigts. J’ai dû l’opérer à sec, sans vaseline ni même un peu de vodka, comme un homme russe véritable. Il a fermé les yeux et il a souri… Mais pourquoi perdre de la bonne vodka? Son sexe minuscule s’est rétracté avec le froid et son énorme ventre retombait par-dessus. Je n’avais jamais vu ça en Russie ! Chez nous, même les hommes les plus faibles savent s’entretenir. Nous nous sommes mis d’accord sur les points essentiels d’une coopération totale: partage des ressources de l’Arctique pendant le dégel, abandon général des prétentions de régulation climatique et intensification de l’usage des dérivés du pétrole et du plastique dans notre intérêt commun, dissolution de l’Union européenne inventée pour nous causer du tort, désactivation de l’OTAN en Europe, destitution de Zelensky et partage des métaux et terres rares du Donbass, abandon de toutes les sanctions contre la Russie et restitution sans exception de tous les biens confisqués, reconstitution pleine et entière de la Grande Russie des Tzars et restauration de l’Empire russe éternel, capitulation au Kremlin des États-Unis de Trump-la-mort, seul représentant reconnu de l'OTAN ridiculisé, de l'Europe soumise et de l'Ukraine écrasée d'un DOIGT GLACÉ avant la prochaine réunion.

_ Mais comment avez vous gagné si facilement contre Trump ?

_ Je ne sais pas... Peut-être que j'ai appris petit enfant à me battre contre les grands, et cela m'a beaucoup servi plus tard... J'ai toujours frappé en premier le "gros plein de soupe" et après, tous les autres me léchaient le cul.

_ Trump est-il un gros Yankee plein d'arrogance et de Coca-Cola ?

_ Je ne sais pas... Peut-être oui ou peut-être non... Ja ja ja... Ce que je sais ? C'est qu'il faut rester humble, ne pas crier, rester froid comme un brise-glace soviétique et contrôler son cœur. On apprend tout ça au KGB...

_ Trump est-il le point faible ?

_ Tout le monde à son point faible. Il suffit d'appuyer dessus... Trump-la-mort aime jouer les hommes forts, et c’est normal dans sa situation, mais il est émotif et beaucoup moins fort quand la Grande Russie restaure l’équilibre géopolitique et militaire, quand la Grande Russie reconstitue sa sphère d’influence traditionnelle et quand nos merveilleuses poupées russes gigognes menacent son espace intérieur : une seule bombe atomique avec ses ogives multiples vaut tous les discours, n'est-ce pas ? Oui, je crois que Trump-la-mort a finalement intégré par le fondement… on peut le dire comme ça… la DOCTRINE RUSSE… Ja, ja, ja».

Ah oui, merde in America today.



mardi 29 juillet 2025

Première allocution du Président de la République française LJ©2025

Palais de l’Élysée – 31 juillet 2025

Françaises, Français,

Je m’adresse à vous ce soir dans un moment de grande gravité pour notre pays et pour l’Europe. Car ce qui se joue depuis quelques jours n’est pas un simple différend commercial, mais un choix fondamental : celui de notre souveraineté, de notre avenir économique et de notre dignité collective.

Le 27 juillet dernier, sur le parcours du golf privé de Donald Trump en Écosse, un accord a été signé entre le président américain et la présidente de la Commission européenne, Madame Ursula von der Leyen. Cet accord, qui engage l’Union européenne, a été conclu en dehors des institutions qui représentent les peuples. Il n’a pas été soumis au Parlement européen. Il n’a pas été débattu devant vos représentants. Il a été négocié sous la menace, avec des ultimatums de droits de douane pouvant grimper, à la seule décision de Washington, jusqu’à 130 %.

On vous le présente comme un "partenariat historique", une garantie pour préserver nos exportations et notre prospérité. La vérité est tout autre : cet accord impose à l’Europe de transférer vers les États-Unis des richesses colossales qui n’ont rien à voir avec nos besoins, ni avec nos intérêts.

Au nom de la "stabilisation des marchés" et du "redressement américain", l’Europe s’engage à injecter mille milliards de dollars par an, pendant trois ans, directement dans l’économie américaine.

Elle s’engage à acheter, pour 750 milliards de dollars sur trois ans, les hydrocarbures américains, quand nous savons que plusieurs de nos nations – la France, l’Espagne, les pays scandinaves – produisent déjà un excédent d’électricité bas carbone.

Elle s’engage à absorber plus de cent milliards de produits agricoles américains chaque année, souvent aux normes que nous refusons pour protéger notre santé et notre environnement, ce qui fragilisera encore davantage nos agriculteurs.

Elle s’engage enfin à dépenser, via l’OTAN et nos budgets nationaux, près de six cents milliards de dollars en armements américains sur cinq ans, notamment pour financer un "Dôme d’Or" intégralement conçu et fabriqué aux États-Unis, alors que nos propres industries sont capables de répondre à ces besoins.

Et pendant ce temps, les profits des géants technologiques américains, près de deux cents milliards de dollars par an réalisés en Europe, continuent de nous échapper, exonérés d’impôts par des montages que cet accord sanctuarise.

Françaises, Français, tout cela représente plus de mille six cents milliards de dollars par an que notre continent verserait directement ou indirectement aux États-Unis : pour leur énergie, pour leurs produits, pour leurs armes, pour leurs géants numériques, et même pour soutenir leur dette publique qui dépasse aujourd’hui trente trillions de dollars.

Cette dette n’est pas la nôtre. Elle n’est pas celle de nos travailleurs, de nos entreprises, de nos familles. Elle résulte de choix économiques et politiques que nous n’avons jamais validés et qui ne sauraient être effacés au prix de notre avenir.

On vous dira que ce sacrifice est nécessaire pour protéger nos exportations, notamment celles qui enrichissent nos grandes fortunes du luxe, des cosmétiques, du vin et des spiritueux. Mais soyons clairs : ces fortunes continueront à prospérer, même si leurs produits coûtent 30 % plus cher. Ce ne sont pas elles qui paieront. Ce seront nos ouvriers, nos soignants, nos enseignants, nos agriculteurs, nos retraités, et tous ceux qui subissent déjà les crises successives depuis des années.

Je n’ignore pas que nous avons, nous-mêmes, alourdi notre dette nationale : les crédits d’impôt massifs aux grandes entreprises qui n’ont pas toujours tenu leurs promesses en matière d’emploi ; le "quoi qu’il en coûte" de la pandémie, qui a ajouté près de mille milliards de dette nationale à nos comptes publics. Mais jamais je n’accepterai que l’Europe et la France portent le fardeau d’une dette étrangère, d’un pays tiers, pendant que nos propres besoins en hôpitaux, en écoles, en infrastructures, en transition écologique restent sans réponse.

Cet accord, tel qu’il a été signé, n’est pas acceptable.

Il ne protège pas nos industries, il ne respecte pas nos standards, et il nie notre droit à décider pour nous-mêmes. Il consacre l’Europe comme un marché captif, soumis aux caprices d’un seul homme qui gouverne par décret et par réseaux sociaux, sans considération pour nos lois ni pour nos peuples.

Je vous le dis donc avec clarté : la France ne ratifiera pas cet accord.

Et elle appellera ses partenaires européens à se dresser pour le renégocier ou le rejeter. Car céder aujourd’hui, ce serait accepter demain que l’Europe disparaisse comme puissance libre et devienne un simple instrument pour renflouer le Trésor américain, pendant que Moscou et Pékin avancent leurs intérêts, sans contrainte et sans scrupule.

Françaises, Français, nous devons refuser l’humiliation et la dépendance. Nous devons protéger ce qui nous appartient : notre économie, notre modèle social, notre souveraineté. La France y veillera, et elle ne sera pas seule.

Vive la République. Vive la France. Vive l’Europe indépendante.

Emmanuel Macron 

LJ©2025 Attention, ceci est une proposition d'allocution présidentielle adressée à M. Macron.

lundi 28 juillet 2025

Trump transfère la dette américaine de plus de 30 trillions sur l’Europe : JOUR NOIR, UN ACCORD DE MERDE ! LJ©2025

"Ursula, j’espère que vos épaules sont larges… Aujourd'hui, notre DEAL transforme les européens en esclaves de l'Amérique. J'espère pour vous qu'ils ne vont pas se rebeller : toutes ces grèves, ça fait désordre en Europe."

Écosse, 27 juillet 2025.

Sur le green de Turnberry, Donald Trump ne joue pas qu’au golf : il joue l’avenir de l’Europe. Pendant qu’il ajuste son swing, Ursula von der Leyen, talons plantés dans l’herbe, lui porte son sac de clubs, de plus en plus lourd à chaque "deal".

Trump, sourire grotesque, lâche entre deux putts :

— "Ursula, j’espère que vous avez les épaules larges, car à l’issue de notre accord, j’aurai transféré la totalité de la dette américaine sur votre dos… plus de 30 trillions. Ça pèse lourd, hein? Mais moi, je me sens d'un coup infiniment plus léger. Il m'aura suffit de seulement 7 mois pour vous mettre le nez dans la merde !"

Von der Leyen, pliée sous le poids du sac de golf et le nez dans l'herbe :

— "Ah oui… je trouvais déjà que vos clubs commençaient à peser… mais c’est pour la prospérité transatlantique. Vous allez nous défendre contre la Russie de Poutine en échange, n’est-ce pas? "

— "Bien sûr ! Je vous vend des armes pour 600 milliards de dollars et vous aurez nos grandes oreilles pour espionner la Russie!"

— "Mais comment les ouvriers, les petites mains et les fonctionnaires européens vont-ils vous payer 30 trillions de dollars ?"

— "Une fois l'accord signé, c'est votre problème, pas le mien. Il paraît que les syndicalistes français sont teigneux. Mais Macron va arranger tout ça. Vous ne voulez pas une guerre économique avec l'Oncle Sam, n'est-ce pas ?"

— "Certains comme Macron y seraient plutôt favorables mais pas moi ni Merz et j'ai les mains liées par l'Allemagne. Allez-vous réduire au moins les droits de douane sur les voitures allemandes et l'acier ?".

— "Ursula, il y a 99 % de chance que non, mais vous avez le dos large, n'est-ce pas ? Allez, encore un petit effort, mais retirez moi ces putains de talons hauts qui font des trous dans mon green !".

Une rançon XXL, emballée dans un "accord" de merde

Derrière les sourires, le contrat est un véritable manifeste de dictature :

750 milliards $ d’hydrocarbures américains sur trois ans, à absorber coûte que coûte, contre les engagements de l'Europe sur le climat et les énergies renouvelables.

100 à 150 milliards $ par an de produits agricoles US, y compris OGM et viandes javélisées aux hormones.

150 à 200 milliards $ de profits annuels des GAFAM en Europe, exonérés d’impôts et de TVA.

600 milliards $ d'armement made in USA.

50 à 80 milliards $ par an pour le Dôme d’Or américain.

Et surtout, 1 000 milliards $ par an d’investissements industriels européens forcés aux USA pendant trois ans, sous prétexte de "stabiliser la dette américaine".

Total : plus de 30 trillions $ sur plusieurs années, qui font de l’Europe l'esclave docile de Washington, tout en ruinant sa propre industrie et son indépendance stratégique.

Un match plus que truqué

Trump, ajustant un nouveau coup, ajoute :

— "Ursula, je ne joue pas dans votre ligue. Ici, c’est mon parcours, mes règles. Vous signez, vous payez, et vous portez mes clubs."

Puis, hilare, il conclut :

— "Et si je rate mon coup ? Eh bien, c’est comme toujours : l’Europe payera deux fois. Welcome to the Trump Open 2025."

Hélas, ce "deal" ne sauve ni l’OTAN ni la coopération transatlantique : il transforme l’UE en tiroir-caisse et en esclave officiel des États-Unis, tout en donnant à Trump l’arme économique ultime pour écraser ses deux vrais adversaires : la Chine et… l’Europe elle-même. Les travailleurs européens sont esclavisés comme jadis les ouvriers chinois. Pour rembourser la dette américaine, les Européens comme les Français devront casser leurs cagnottes et vider leurs bas de laine. La prospérité américaine est à ce prix : MAGA, MAGA crient les chiens de Trump.

Ah oui, thanks Ursula. Un kiss à Trump, cet homme au grand coeur, et merde in Europe today.

lundi 21 juillet 2025

Trump piégé entre Poutine et Xi Jinping en septembre 2025 : une grande et belle victoire en trump-l’œil ! LJ©2025

À l'issue de l'ultimatum de Trump des 50 jours, Poutine se prepare à déclarer en Chine sa VICTOIRE TOTALE ET INCONDITIONNELLE sur l'Ukraine. Pour cela, il a invité Trump en Chine sous le prétexte de fêter la fin de la 2ème Guerre Mondiale et la victoire définitive sur le nazisme.

En septembre 2025, Donald Trump doit donc se préparer à fouler le tapis rouge de Pékin aux côtés de Vladimir Poutine et Xi Jinping, croyant décrocher son moment de gloire. En réalité, il s’avance vers un piège soigneusement préparé : célébrer la fin de la Seconde Guerre mondiale tout en avalisant l’annexion totale de l’Ukraine par la Russie et la prise de contrôle tacite de Taïwan par la Chine.

Son fameux ultimatum de 50 jours à Poutine ? Un leurre sans effet. Les drones et missiles russes n’ont jamais cessé de pleuvoir sur l’Ukraine, et le Kremlin n’a même pas daigné feindre l’inquiétude. À Pékin, Poutine et Xi s’afficheront en maîtres d’un "nouvel ordre mondial", tandis que Trump, englué dans des révélations sordides et pressé par ses alliés d’extrême droite, se vend pour sauver son image.

Il paradera comme le "plus grand dealmaker du XXIᵉ siècle", signant des contrats d’armement et de terres rares pour enrichir les États-Unis, mais au prix de la reddition symbolique de l’Occident. Une victoire d’ego, un désastre stratégique : Trump obtient la photo et les milliards, Poutine et Xi obtiennent le monde.

Fin de jeu. Ah oui, merde in CHINA tomorrow.

dimanche 20 juillet 2025

Poutine dit NON à Trump: l'échec de Trump à imposer son calendrier de 50 jours pour régler le conflit LJ@2025

Poutine, le marchand de guerre : quand massacrer devient "faire la paix"

L’ultimatum de 50 jours de Donald Trump, censé "régler le conflit" en Ukraine, a été balayé d’un revers de main par le Kremlin. Poutine ne s’en cache même plus : l’Ukraine est un projet industriel à long terme, une "opération" qui ne souffrira ni interruption, ni calendrier imposé par Washington.

Ce dimanche, le porte-parole Dmitri Peskov a expliqué sur la chaîne Rossiya 1 que "le règlement du conflit est un processus long et complexe", que "les dirigeants américains comprennent de mieux en mieux". Traduction : Trump n’a ni le pouvoir, ni la crédibilité pour imposer ses délais.

Poutine pousse l’humiliation plus loin : sa guerre, pourtant marquée par plus de 500 000 morts, des millions de blessés et de déplacés, des villes entières rasées, est présentée comme une œuvre de construction, un chemin vers la paix.

Selon le Kremlin, plus la guerre sera "réussie", plus la "paix russe" sera durable. La destruction devient un investissement moral ; l’invasion, une entreprise planifiée ; les bombardements quotidiens, une étape vers l’harmonie.

Poutine se drape ainsi dans le costume-cravate de l’entrepreneur raisonnable : pas un criminel de guerre, mais un bâtisseur, vendant à l’opinion internationale la guerre comme un service à l’humanité.

Trump, de son côté, n’est plus qu’un figurant. Ses ultimatums d’opérette n’effraient personne. Pas un mot du Kremlin sur les "sanctions" promises. Pas un geste de recul sur les frappes massives. Poutine accule Trump comme un petit boxeur, le ridiculise et poursuit son rouleau compresseur, certain que le temps et la propagande finiront le travail.

L’ultimatum de 50 jours lancé par Donald Trump pour "régler le conflit" en Ukraine n’a eu qu’un effet : prouver au monde que Trump n’a ni pouvoir ni crédibilité. À Moscou, Dmitri Peskov l’a dit sans détour : "Le règlement du conflit est un processus long et complexe, que les dirigeants américains commencent à comprendre." Traduction : la Russie dicte le tempo, et l’Ukraine n’est qu’un chantier à achever.

Dans le récit russe, l’invasion et les bombardements massifs ne sont plus des crimes, mais une étape vers une paix durable. Les centaines de milliers de morts, les millions de déplacés et les villes rasées disparaissent derrière un discours lisse : plus la guerre sera "efficace", plus la paix russe sera stable.

C’est un glissement calculé : la guerre devient une entreprise industrielle, Poutine un entrepreneur rationnel plutôt qu’un criminel de guerre.

Cette logique n’est pas neuve. Elle rappelle celle de Mein Kampf, où Hitler présentait ses conquêtes comme des "missions vitales" pour la survie et la grandeur de l’Allemagne, justifiant chaque massacre comme un préambule à l’ordre et la prospérité. Comme Hitler, Poutine :

inverse la réalité (la guerre comme outil de paix), déshumanise ses victimes (les Ukrainiens sont des obstacles, pas des vies), justifie ses crimes comme "inévitables et cohérents", et diffuse un récit où la violence est synonyme de progrès.

La propagande russe martèle cette inversion chaque jour : à la télévision, sur les réseaux, dans les discours officiels. Toute voix discordante en Russie est réduite au silence : journalistes emprisonnés, opposants "disparus", médias étrangers expulsés.

Face à cela, Trump apparaît comme un pantin inutile : ses ultimatums de 24 heures, 50 ou 100 jours n’intimident personne, surtout pas le Kremlin. Poutine, sûr de son narratif et de son impunité, poursuit ses frappes quotidiennes, ses vagues de drones d'origine iranienne et ses missiles supersoniques, en ricanant de la posture "protectrice" de Trump.

mercredi 16 juillet 2025

Trump, marchand d’armes et complice de Poutine : 50 jours de plus pour pilonner l’Ukraine librement ! LJ@2025

Trump, directeur commercial de la guerre

Donald Trump n’est pas un chef d’État. C’est un businessman prédateur, en mode commis voyageur du complexe militaro-industriel américain. Son dernier "revirement" sur l’Ukraine n’a qu’un but : fermer un deal à 1000 milliards de dollars pour l’industrie d’armement américaine, entièrement payé par les Européens.

Le réarmement de l’Ukraine, déjà décidé par l’OTAN et les pays européens, n’avait pas besoin de lui. Mais Trump s’invite en bout de course, joue les sauveurs, se pose en "directeur des opérations", et récupère les dividendes politiques sans dépenser un centime.

Son ultimatum de 50 jours laissé à Poutine n’est qu’un leurre médiatique. À la fin, aucune sanction directe contre la Russie, seulement des menaces vagues contre des pays partenaires comme la Turquie ou l’Inde – qu’il ne touchera jamais. La Russie le sait, s’en amuse et bombarde chaque jour un peu plus.

Trump souffle le chaud et le froid, accuse Poutine un jour, le ménage le lendemain, instrumentalise l’Ukraine comme levier économique et scène de théâtre géopolitique.

Ce n’est pas une stratégie, c’est du marketing de guerre. Et derrière l’image, la réalité continue : des drones, des missiles, des villes rasées.

Et le silence complice...

Revirement, opportunisme et duplicité dans la gestion d’une guerre génocidaire

1. Un chef d’État immature, versatile et dangereux

Depuis le 14 juillet 2025, Donald Trump a opéré un retournement de veste spectaculaire : après des mois à bloquer les livraisons d’armes à l’Ukraine, à accuser Kiev de corruption, de “gaspillage”, ou même d’avoir “provoqué la guerre”, le président américain revient sur sa position… mais en la marchandant. Et en offrant à Vladimir Poutine un délai de 50 jours pour en finir à sa manière, c’est-à-dire par un bombardement intensif et une stratégie de destruction massive.

Trump, en résumé :

bloque l’Ukraine pendant des mois, affaiblissant volontairement ses défenses, discute avec Poutine à plusieurs reprises, sans jamais le condamner, s’étonne que Poutine continue de bombarder après “des discussions gentilles”, se dit “déçu” — comme un enfant trompé par un camarade de bac à sable, puis annonce que finalement, les armes seront livrées… mais à la seule condition que l’Europe paie, et que les armes soient fabriquées par l’industrie américaine, au bénéfice exclusif des États-Unis.

2. Une politique familiale, affective, et sans doctrine

Ce qui choque le plus dans la déclaration présidentielle, c’est la mention de Melania Trump comme interlocutrice critique dans la gestion du conflit ukrainien. C’est à la Première Dame, et non à son état-major ou au Secrétaire à la Défense, que Trump rend des comptes :

“Je rentre chez moi et je dis à la Première dame : ‘J’ai parlé à Vladimir aujourd’hui, nous avons eu une merveilleuse conversation’. Et elle me répond : ‘Oh vraiment ? Une autre ville vient d’être frappée.’”

Ce fragment témoigne d’un pouvoir personnalisé jusqu’au grotesque, où la politique étrangère d’un empire mondial est influencée par des conversations domestiques et des ressentis privés. Pendant ce temps, des milliers de civils ukrainiens meurent.

3. Un “ultimatum” à 50 jours : le blanc-seing offert à Poutine

Le plus choquant dans cette séquence reste cet “ultimatum” de 50 jours laissé à la Russie. Trump annonce :

“Poutine a encore 50 jours pour mettre fin à la guerre, sinon des sanctions secondaires seront imposées.”

Mais de quelles sanctions s’agit-il ? Des taxes douanières sur les pays amis de Moscou. Autrement dit : pas une seule punition directe contre la Russie, pas de gel des avoirs, pas de coup d’arrêt à l’importation de son pétrole ou de ses métaux. En attendant, la Russie a reçu une bénédiction implicite pour continuer à :

bombarder les infrastructures civiles, lancer des attaques de drones massives, intensifier les frappes sur Kharkiv, Odessa, Kiev, épuiser l’armée ukrainienne à bout de souffle.

Ce n’est pas une pause diplomatique. C’est une complicité factuelle.

4. Le grand marchandage : transformer la guerre en contrat à 1000 milliards $

La prétendue “réouverture” de la livraison d’armes à l’Ukraine n’est en réalité qu’un marché d’armement géant. Trump ne cache pas que son objectif n’est ni la paix, ni la sécurité européenne, ni la défense des valeurs démocratiques. Il s’agit simplement d’un “très bon deal” :

“Les États-Unis ne paieront rien. Nous allons fabriquer [les armes] et ils paieront.”

Ce qui est vendu comme un soutien à l’Ukraine est en fait une opération de relance industrielle pour les géants de l’armement américain, financée :

à 100 % par les pays européens, avec des contrats exclusifs pour le réarmement des stocks OTAN, dans une logique de remplacement : on donne l’ancien matériel, et on achète du neuf aux États-Unis.

Coût pour l’Europe : au moins 1000 milliards d’euros à court terme. Bénéfice pour Trump : des profits immédiats pour l’industrie américaine, des contrats signés par des alliés humiliés, et le sentiment de générosité sans débourser un centime.

5. Un président profiteur, manipulateur, et auto-centré

Trump se vante désormais d’avoir :

“obtenu l’exclusivité des terres rares et métaux précieux ukrainiens”, “remporté un contrat que Biden avait laissé filer gratuitement”, “convaincu l’Europe de financer la guerre et les armes américaines”, “redonné une leçon à Poutine sans lui faire de mal”.

Ce comportement révèle une absence totale de cohérence diplomatique, et une vision des conflits comme un marché d’opportunités, un jeu de casino géopolitique dont il serait le seul croupier.

6. L’Ukraine utilisée comme levier de profits

Sous Trump, l’Ukraine devient :

une monnaie d’échange pour des deals industriels, un terrain d’essai pour les armements américains, un prétexte pour mettre l’Europe à genoux, en exigeant qu’elle finance tout, tout de suite, sans condition.

Pendant ce temps, aucune condamnation claire de la Russie, aucun soutien structurel à la reconstruction ukrainienne, aucune stratégie de paix globale.

7. Conclusion : l’indignité et la duplicité comme méthode

Trump incarne une nouvelle forme de déshonneur politique : le cynisme institutionnalisé. Il agit :

comme un marchand d’armes, comme un agent de chantage, comme un chef de clan mafieux, en ignorant toutes les conventions internationales, les engagements de l’OTAN, ou la morale la plus élémentaire.

Il souffle le chaud et le froid, fait durer la guerre pour en tirer du profit, accorde des délais à un criminel de guerre, marchande la souffrance d’un peuple libre.

Il est véritablement dangereux, car il n’a ni ligne rouge, ni fidélité, ni scrupule. Et le plus terrible, c’est que son revirement ne corrige rien : il le monétise en se donnant le beau rôle. Ah oui, merde in USA today. 

samedi 12 juillet 2025

Les miniatures américaines : Comment Trump transforme la dette américaine en impôt mondial LJ@2025

J'aime bien les images : Trump-la-mort nous tord le bras à gauche et Raz-Putin nous tord le bras à droite. Oui, et 27 chefs d'états européens sont des bras-cassés. 

Tandis que l’Union européenne appelle au dialogue, Donald Trump impose, menace, encaisse. Ce 12 juillet 2025, les nouveaux droits de douane américains annoncés à la légère sur la plateforme Truth Social devraient frapper l’Europe avec une violence inédite : 30 % sur tous les biens importés, et jusqu’à 50 % pour certains pays, comme le Brésil. Le Canada, allié historique, est taxé à 35 %. Et derrière ces chiffres, une vérité dérangeante : la DETTE américaine n’est plus un problème intérieur. C’est désormais une ARME géopolitique. Et donc nous entrons en guerre économique sous l'ère Trump comme nous sommes entrés en guerre militaire sous l'ère Poutine. Le but est de nous exploiter "à mort". La récession est à nos portes, l'inflation et la réduction du pouvoir d'achat semblent inévitables. 

Pour moi ? C'est un mal pour un bien car notre société doit amorcer la décroissance mais personne ne semble concerné, comme dans la salle de bal du Titanic. Trump peut-il nous emporter au fond ? Une philosophie de la décroissance nous manque cruellement quand les citoyens se définissent comme des consommateurs et des jouisseurs.

Comment rembourser l’endettement colossal des États-Unis : un trou sans fond ?

La dette fédérale américaine dépasse aujourd’hui 34 700 milliards de dollars. Elle n’est plus remboursable, ni même stabilisable. Et alors que les bons du Trésor sont de plus en plus boudés par les marchés asiatiques — la Chine et le Japon réduisent leurs positions — Washington s’est trouvé une nouvelle stratégie : faire payer ses créanciers… en leur vendant leur propre dépendance.

Le commerce comme outil d’extorsion

Ce que Trump vend au monde, ce n’est pas la prospérité américaine. Ce sont ses menaces.

Il crée un déséquilibre, désigne une cible, impose des surtaxes, et propose ensuite un accord « allégé » à ceux qui acceptent de se soumettre.

Les États-Unis, qui prétendent être victimes d’un “déficit commercial abyssal” avec l’Europe (environ 150 milliards $ selon Trump), oublient systématiquement de comptabiliser les bénéfices des entreprises américaines du numérique :

150 milliards de dollars de profits annuels en Europe pour les seuls GAFAM, rarement taxés, non comptabilisés dans la balance commerciale, mais intégralement rapatriés aux USA via l’Irlande, le Luxembourg ou les Pays-Bas.

La vérité est là : ce sont les États-Unis qui vivent aux crochets du monde, en vendant du vide : des licences logicielles, des données, des algorithmes et des services numériques. Et en échange, ils imposent un accès conditionné à leur marché intérieur, surtaxé, menaçant, politique.

Trump ne rembourse pas la dette, il la redistribue

Les droits de douane ne sont pas destinés à rembourser la dette. Ils servent à :

financer des projets comme le “Dôme d’or” antimissile (400 milliards $), subventionner les industries stratégiques américaines, maintenir une illusion de croissance sans effort productif réel.

Et tout cela, aux frais de l’Europe, devenue la cible idéale parce que dépendante du cloud américain, incapable de taxer équitablement les GAFAM, désarmée stratégiquement, divisée politiquement.

Une inflation exportée et une rareté organisée

La taxation américaine va raréfier les produits importés, générer une inflation durable, et affaiblir les économies européennes déjà fragilisées par la guerre en Ukraine. Mais Trump s’en fiche : il accuse les autres d’en être responsables, puis vend la solution. Le coût de sa politique sera payé par :

les consommateurs, les États affaiblis, les pays émergents marginalisés.

Et Poutine dans tout cela ? Un complice de la désorganisation

La guerre en Ukraine n’est pas une anomalie : c’est un levier, pour affaiblir l’Europe, faire grimper les dépenses militaires, relancer l’industrie de l’armement… et détourner les exportations d’énergie vers l’Inde et la Chine, nouveaux alliés de circonstance de la Russie. L’Occident paie la guerre, la Russie vend la guerre. Et Trump ne dit rien.

Conclusion : l’Europe sous domination douce

Ce que nous vivons, c’est une forme de colonisation douce par les taxes, les plateformes et les flux numériques. Et ce n’est pas Poutine qui dirige l’opération. C’est Trump, par le biais de l’économie, de la dette et de la manipulation de la vérité.

Ce texte n’est pas un cri de rage. C’est une tentative d’alerte, posée, documentée, lucide. L’Europe ne pourra se sauver qu’en reprenant la maîtrise de ses outils économiques et technologiques. Sinon, nous continuerons de financer la dette d’un empire qui se maintient par l’intimidation, et la guerre d’un empire voisin qui rêve de nous effacer.


samedi 29 mars 2025

Droit de réponse: Musk, un prédateur-psychopathe à la Maison Blanche, s’explique : “J'éprouve du mépris pour ces gens”. LJ©2025

Trump s'est entouré début 2025 de tous les psychopathes disponibles à la Maison-Blanche et à Mar-a-lago pour défendre son leit-motiv : “America Great Again”.

Le cas d’Elon Musk, soit disant au chevet d’une “Amérique malade”, rappelle le médecin nazi Josef Mengele: donner un pouvoir de vie ou de mort à un technicien psychopathe est toujours très problématique. Musk, reconnu plus ou moins comme Asperger de haut niveau et insensible par nature, s’est fait valoir surtout pour son expertise et sa technicité, mais sans aucun sentimentalisme. il n’empêche que ses décisions affectent directement la vie de millions de personnes menacées, rejetées et souvent tuées par balles devant leurs domiciles, des États-Unis libres  jusqu'à l'Ukraine en guerre. l'Amérique de Trump-Musk devrait plaider “coupable” pour vendre des armes 'librement" à sa population, pour le seul plaisir qu'ils s'entretuent. 

Dénigré comme un calculateur froid, Musk a décidé de SE BLANCHIR DE TOUT SOUPÇON, d’abord en mettant en avant ses enfants et maintenant, il nous donne des leçons “d’humanisme” en évoquant des “enfants sans pères par milliers”. Cela ne coûte rien et lui évite même une psychothérapie contraignante, mais à nos dépens: avec Musk, c’est toujours “gagnant-gagnant’.

Ainsi, Musk s’explique très cruellement:

“Nous devrions avoir de l'empathie pour les milliers de personnes qui meurent chaque jour dans les tranchées faute de mouvement sur les lignes. Ces deux dernières années, des milliers de personnes sont mortes chaque semaine pour rien.

Je suis profondément offensé par ceux qui se vantent de leur vertu et affirment que nous ne pouvons pas céder à la Russie, mais qui n'ont aucune solution pour empêcher des milliers d'enfants de mourir chaque jour. Ils veulent juste que cela continue éternellement.

J'éprouve du mépris pour ces gens, car ils se vantent de leur vertu et leur absence de solution signifie que des enfants n'ont pas de père. Cela signifie que des parents ont perdu un fils. Pour quoi ? Rien.”

Droit de réponse à Elon Musk : une posture manipulatrice et hypocrite

Elon Musk prétend exprimer son "mépris" pour ceux qui soutiennent la défense de l'Ukraine contre l'invasion russe, sous prétexte qu'ils n'apportent pas de solution immédiate à la guerre. Pourtant, son indignation selective masque une posture manipulatrice qui ignore les contradictions et les abus du système américain qu'il soutient férocement.

La violence domestique américaine : des centaines de milliers de morts "pour rien"

Depuis le 1er janvier 2000, environ 840 000 Américains ont péri à cause des armes à feu, suicides inclus. En 2022 seulement, plus de 44 000 personnes ont été tuées par balles. Ces chiffres résultent directement de la vente libre d'armes et de l'influence du lobby pro-armes que ni Musk ni l'administration Trump, à laquelle il collabore activement, n'ont jamais contesté. Plutôt que de condamner cette réalité, Musk préfère pointer du doigt l'Europe et l'Ukraine, où la population se défend contre une agression militaire brutale.

L'hypocrisie de l'Amérique de Musk : une hégémonie belliqueuse

L'Amérique que Musk prétend incarner n'a cessé de déstabiliser le monde entier au cours du XXe et XXIe siècles. Des bombardements massifs en Irak et en Afghanistan jusqu'à leur expulsion humiliante, des interventions militaires au Proche-Orient, en Asie, en Afrique et en Amérique latine etc. Les États-Unis n'ont jamais hésité à utiliser la force à l’étranger pour imposer leur volonté, quand leur territoire est sacralisé. Loin de chez eux, ils organisent aussi sanctions économiques et blocus maritimes pour asphyxier leurs adversaires, y compris des alliés habituels comme l'Europe et le Canada. Pourtant, Musk ose prétendre que l'Ukraine se bat "pour rien", alors que les Ukrainiens luttent simple pour leur survie contre un envahisseur plus puissant qui veut les “rayer de la carte” par une simple annexion suivie de répressions terribles comme à Boutcha en Ukraine ou à Oradour-sur-Glane en France. Ignorer cette histoire est une grave faute professionnelle de la part de quelqu'un qui se mêle de politique.

La menace russe : une réalité que Musk feint d'ignorer

La Russie de Poutine ne se contente pas de détruire l'Ukraine, bâtiment après bâtiment, avec l’effet de plusieurs bombes atomiques. Elle a déjà asservi des peuples entiers, comme les Tchétchènes ou les habitants de Sibérie. Si les Allemands avaient eu la bombe atomique en 1945, que serait-il advenu des États-Unis? Il était tellement plus facile pour les Américains d'aller bombarder la France comme l’Allemagne. Depuis 2022, Poutine a déjà envoyé à la mort des centaines de milliers de personnes des deux camps dans son “Opération Spéciale” à sens unique et vieille de trois ans. Aujourd'hui, la Russie dispose d’un arsenal impressionnant et n'hésite pas à brandir la menace nucléaire contre l'Europe et les États-Unis. 

Plutôt que de “mépriser” ceux qui défendent leur liberté, Musk devrait tourner son indignation vers Raz-Putin, dont les agressions continuelles menacent la stabilité mondiale. Mais non: rien. En plus d’être ignorant, Musk est lâche. Et comme tous les décideurs nazis, il se déclare d’avance.innocent de tout : non, ce n’est pas lui l’exécuteur des basses oeuvres de Trump. Il est seulement en “mission”, c’est à dire au service de la politique Russo-Américaine pour “se partager le monde”, pour prendre de vitesse la Chine et pour consolider les lobbies criminels des armes et du pétrole sale.

L'Amérique ne tolérerait jamais ce qu'elle impose aux autres. Mais Musk s'en lave les mains

Comme Trump-la-mort, Musk-le robot n’a jamais condamné son ami criminel de guerre: Raz-Putin. Il justifie son "mépris" envers ceux qui soutiennent la résistance ukrainienne, mais il oublie que jamais les États-Unis n'accepteraient d'être bombardés pendant trois ans comme l'Ukraine. En 1945, face à l'attaque de Pearl Harbor, l'Amérique a anéanti Hiroshima et Nagasaki en seulement quelques jours. Pourtant, Musk veut faire croire que l'Ukraine devrait céder son territoire et abandonner son peuple pieds et poings liés à la Russie. Ce discours cynique sert uniquement à déculpabiliser une politique américaine qui prétend dominer le monde tout en refusant toute opposition avec la Russie: entre autocraties et dictateurs, on s’apprécie grandement. “Mon ami éternel, mais quels résultats magnifiques!”. Et les petits dictateurs apprennent des grands.

Une posture prédatrice et dangereuse

Elon Musk utilise une rhétorique de “faux humanisme” pour défendre des positions complaisantes envers des dictatures et des régimes oppressifs. Son "empathie" affichée n'est qu'une justification théâtrale pour mieux servir ses propres intérêts et ceux des puissants qu'il côtoie. 

Les Européens et les Ukrainiens n'ont pas à recevoir de leçons d'un homme qui tolère des massacres quotidiens dans son propre pays et qui soutient un système qui met en danger la liberté mondiale.

Ce que Musk prétend mépriser, c'est en réalité la défense légitime d'un peuple face à l'oppression. Sa posture n'est pas celle d'un homme de paix, mais celle d'un prédateur cherchant à orienter l'opinion publique vers ses propres intérêts. Son aveuglement de psychopathe l’amène à sacrifier, sans remise en question, des dizaines de milliers d’Américains tués par balles dans les rues et les écoles “sans aucune raison” ou simplement licenciés, ruinés et renvoyés de leurs administrations comme des criminels à déporter. 

Les USA de Trump-Musk et la Chine entretiennent la guerre en Ukraine

Trump affirme disposer de moyens considérables, tant économiques que militaires, pour dissuader la Russie d’attaquer l’Ukraine. Seulement voilà, depuis trois ans, Trump et les Républicains (dont Musk) refusent d'utiliser cette dissuasion contre la Russie de Poutine. Ils préfèrent faire durer la guerre jusqu'à épuisement de l’Ukraine, en laissant tuer des centaines demilliers d'hommes et en accusant les Européens de refuser une capitulation facile: en échange, Trump attend de Poutine des accords stratégiques bilatéraux qui renforceront grandement les deux pays en se partageant les ressources planétaires. Le réchauffement climatique ? Oublié. La Chine non plus ne veut pas froisser son “ami éternel” russe. Les USA, comme la Russie et son allié la Chine, sont donc responsables de la poursuite des combats et des milliers de morts en Ukraine, au service de leurs seuls intérêts stratégiques et économiques. 

Musk méprise ce qu'il ne comprend pas : le droit  du peuple Ukrainien à l’autodétermination.

Pourtant, la Russie n’est plus une Grande Puissance Mondiale depuis les années 90 et la fin de la Guerre Froide: avec ses 144 millions d’habitants, elle est en fait beaucoup moins peuplée que l’Indonésie, le Pakistan ou même que le Nigeria en Afrique. C’est devenu une puissance de “second ordre”, avec déjà un territoire trop grand pour elle. Poutine devrait s'occuper plus et mieux de la Russie profonde et de la Sibérie occupée. L’Ukraine est définitivement un pays d’Europe de l’Ouest. Pourquoi l’annexer ? Par quel pari stupide de "gain facile" par le criminel de guerre Raz-Putin? Combien de millions de condamnés à morts dans les tranchées fera-t-il? MUSK DEVRAIT LE JUGER SUR LES FAITS. Et pourquoi faire de l'Ukraine l’esclave martyre de la Russie, avec un droit de vie ou de mort sur son peuple tellement résistant? Pourquoi accepter des purges et des millions de nouvelles victimes à venir en livrant l’Ukraine à la Russie? Au nom de quelle paix injuste prônée par Trump-Musk? Mais de quel droit Trump et Musk donnent-ils à l'Europe des “leçon d’humanité?”. 

Les armes à feu ont fait plus de 35 000 morts, suicides inclus, aux États-Unis de janvier au 26 octobre 2023, selon le site Gun Violence Archive. En 2022, il y en a eu plus de 44 000.

combien de gens meurent dans des fusillades aux US à cause de la vente libre d'armes à feu et du lobby des armes ?

Depuis le 1er janvier 2000, environ 840 000 personnes sont mortes aux États-Unis à cause des armes à feu, suicides inclus, en raison de la vente libre d'armes et de l'influence du lobby des armes. Cette estimation repose sur une moyenne annuelle d'environ 35 000 décès, un chiffre qui a progressivement augmenté au fil des ans. 

L’administration Trump, à laquelle participe Elon Musk, rejette aussi l’immigration mexicaine et toute immigration en général, qualifiées d’invasion par des bandes criminels.

Les États-Unis se sont battus non seulement contre les Allemands,  mais aussi contre beaucoup d’autres peuples qu'ils ont envahis et soumis militairement au XXème et XXIème siècle par des bombardements continus, avant d’être eux-mêmes rejetés et expulsés comme en Irak et en Afghanistan.

Les US de Trump considèrent comme leurs ennemis économiques ou militaires les trois quarts de la planète et organisent maintenant des mesures de rétorsion sévères contre leurs économies, de la Chine au Canada en passant par l’Europe et l’Amérique du Sud. Ils ont pour ennemis militaires l’Afrique et le Proche Orient et ils imposent le blocus des mers à des pays susceptibles d'entrer en guerre contre eux, MAIS REFUSENT UN BLOCUS CONTRE LA RUSSIE CRIMINELLE DE POUTINE. À QUOI JOUENT-ILS?

Les US prétendent envahir bientôt le Groenland pour assurer “leur sécurité” tout en cédant le reste de l’Artique et de ses richesses à la Russie de Poutine. Ils menacent et agressent aussi tout ceux qui s'opposent à leur hégémonie basée sur l’exploitation des minerais rares et surtout du pétrole. C’est une des raisons pour laquelle l’Europe, en signant l’Accord de Paris sur le réchauffement climatique, est devenue aussi leur ennemi. C'est aussi pourquoi ils ont humilié le Président Zelensky en mondiovision dans le Bureau Ovale. Quelle honte pour les chiens de Trump!

Pourtant, les USA sont à l’abri des invasions grâce aux océans qui les entourent, mais cela ne les empêchent pas de soumettre et coloniser leurs voisins dont le Mexique, le Canada et l’Europe, ni de les rançonner.

Elon Musk devrait savoir, après trois ans de combat et les massacres de civils dès les premiers mois de guerre par les soldats russes, comme à Boutcha, que les Ukrainiens ne se battent pas POUR RIEN mais pour LEUR VIE ET LEUR LIBERTÉ. Cette liberté pour laquelle les USA n’ont jamais eu à se battre sur leur sol depuis la guerre de Sécession et depuis la fin de la Deuxième guerre mondiale en Europe. 

Que se serait-il passé en 1945 di les Allemands avaient été les premiers à disposer de bombes atomiques opérationnelles ? Aujourd'hui, c’est le cas des Russes qui menacent le monde entier, l’Europe et même les USA par des missiles hypersoniques intercontinentaux.

Ainsi, il s'agit bien d’une manipulation de l’opinion publique quand Musk explique qu'il ressent du “mépris” pour les Européens et les Ukrainiens qui se battent soi-disant “pour rien” en mourrant par milliers. Musk devrait par exemple se pencher sur son pays, les États-Unis, où les gens meurent littéralement “pour rien” par centaines de milliers à cause du lobby des armes et de la contamination du pétrole que Musk et Trump soutiennent de façon insupportable en mettant en danger le peuple américain, qui pourtant n’est pas en guerre et qui devrait jouir de sa liberté exceptionnelle à l’abri sur leur continent entouré d’océans. 

 Au contraire, concernant l’Europe, Musk devrait accuser et mépriser la Russie de Poutine qui est un envahisseur et un criminel de guerre. Et par exemple, la Russie n’a pas besoin de soumettre l’Ukraine car les Russes ont déjà annexé la Sibérie voici des siècles, qui est infiniment plus grande et dont les peuples sont martyrisés. On connaît bien le “rouleau compresseur russe” et comment il a servi à écraser, par exemple, le peuple Tchétchène. Musk devrait mépriser Poutine, pas L'Ukraine de Zelensky ni les Européens qui la soutienne. 

Après, personne ne devrait mourir sous les armes, en Amérique du Nord comme en Ukraine. Toute vie est respectable et les Russes peuvent toujours se retirer facilement d’Ukraine pour épargner des vies, sur l’ordre de Raz-Putin Poutine, leur dictateur.

Conclusion:

L’attitude de Musk est donc manipulatrice et prédatrice. Son empathie affichée n’est qu'une posture pour justifier tous les abus qu’il tolère quotidiennement aux USA et dans le monde. Les bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki, en réponse aux bombardements de Pearl Harbor, montrent que l’Amérique est injuste avec les Européens et les Ukrainiens qui essaient simplement de se défendre. l'Amérique de Trump-Musk n’aurait jamais toléré les bombardements russes sur leurs territoires pendant trois années consécutives, même sur les îles annexées les plus éloignées du continent américain.

Ah oui… Merde in USA today !

mardi 18 mars 2025

Ultimatum de Poutine à Trump: "Lâchez l'Ukraine". Le Bibendum-Blond se dégonfle. La guerre ne devait-elle pas s'arrêter en un seul jour? LJ©2025

La Russie avait confirmé qu'un appel téléphonique entre Vladimir Poutine et Donald Trump aurait lieu mardi. Il s'agissait du deuxième entretien entre les deux hommes depuis le retour du républicain à la Maison Blanche en janvier. "Oui, c'est bien le cas. Une telle discussion est en préparation pour mardi", avait déclaré lundi Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin. Il n'avait pas livré davantage de détails, notamment sur les thèmes qui seraient évoqués. "Je parlerai au président Poutine mardi", avait annoncé le président américain plus tôt dans la journée, précisant que "beaucoup de choses ont déjà été discutées avec les deux parties, l'Ukraine et la Russie".

Le président américain Donald Trump avait assuré qu'il s'entretiendrait ce mardi avec son homologue russe, Vladimir Poutine, et espérait le convaincre d'accepter un cessez-le-feu en Ukraine.

"Je pense qu'il sera d'accord. Vraiment. Je pense que je le connais assez bien et il sera d'accord", avait déclaré Trump, espérant le convaincre d'accepter un cessez-le-feu en Ukraine.

S'il ne l'accepte pas, a-t-il ajouté, ce sera "une mauvaise nouvelle pour le monde, car de nombreuses personnes meurent". Trump avait rappelé qu'il existait un accord de cessation des hostilités avec l'Ukraine et que Washington tentait de le conclure le plus rapidement possible.

Mardi 18 Mars 2025

Trump a en effet parlé avec Poutine et lui a fait confiance pour obtenir un cessez-le-feu. Mais pour quel résultat ? UN DERNIER ULTIMATUM DE POUTINE

Après leur appel téléphonique, Poutine et Trump ont convenu de la nécessité de mettre fin aux attaques contre les infrastructures énergétiques et de promouvoir un cessez-le-feu maritime, conformément à l'accord de cessez-le-feu conclu entre Kiev et Washington il y a quelques jours.

En outre, ils comprennent un échange égal de 175 prisonniers russes et 175 ukrainiens (dont 23 officiers grièvement blessés) mercredi.

Sauf que ces pauvres accords étaient déjà dans les tuyaux depuis des années. Les Ukrainiens échangeaient régulièrement des prisonniers avec les Russes et un statu quo était déjà observé dans la Mer Noire permettant la livraison des céréales si les Ukrainiens n'attaquaient pas le Pont de Crimée.

TRUMP N'A DONC RIEN OBTENU D'AUTRE DE POUTINE QU'UN ULTIMATUM : "LÂCHEZ L'UKRAINE OU ÇA VA MAL SE PASSER !".

Comme l'a rapporté le Kremlin, Poutine a exigé la cessation complète de l'aide militaire étrangère à l'Ukraine et de la fourniture de données de renseignement. Leurs «conditions sont essentielles» pour éviter une escalade.

vendredi 14 mars 2025

Trahison aux USA : des milliers de soldats ukrainiens sont-ils encerclés ? Trump rabaissé par Poutine : “Trump, tu n'as pas les moyens de ta prétention. Personne ne me donne des ordres. Va te coucher!”. LJ©2025

Trump et Vance ont trahi l’Ukraine. Des milliers de soldats ukrainiens seraient en danger de mort dans la région de Koursk. Alors Trump “supplie” pour leurs vies, peut-être pour essayer de se racheter? Mais Poutine le ridiculise. l'Amérique humiliée et son État-major n’est plus considéré comme fiable par les Européens. Le criminel de guerre Poutine entube Trump, un gros business man sénile et dangereux. Trump en bafouille, pris dans ses mensonges irresponsables: de fait, il n’a aucun pouvoir sur Poutine qui gagne du temps, mais il continue son INTOX. Trump a évidemment offert la région de Koursk aux Russes, avant de leur garantir bientôt tous les gains précédents. Honte aux USA. Quand la guerre s'arrêtera, Poutine et Trump devront rendre des comptes. 

Les dernières nouvelles :

"Cela faisait trois ou quatre semaines qu'on observait une augmentation des combats et des offensives de la Russie, qui grignotait du terrain au sud-est de Soudja et qui poussait à l'ouest de la poche de Koursk", détaille Olivier Kempf, chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique. D'après l'Institute for the Study of War (ISW), Moscou a surtout intensifié ses opérations sur ce front à partir du 6 mars, au lendemain de l'annonce par Washington de la suspension de l'aide américaine à l'Ukraine, rétablie depuis.

Donald Trump appelle Vladimir Poutine à "épargner la vie" de "milliers de soldats ukrainiens". Le chef d'État américain, qui a mis fin à de nombreuses aides financières et militaires à destination de Kiev, affirme sur son réseau Truth Social que "des milliers de troupes ukrainiennes sont complètement encerclées par l'armée russe, et dans une position très mauvaise et vulnérable". Il estime également avoir eu "des discussions très positives et productives" jeudi avec l'autocrate russe.”

Vladimir Poutine exhorte les Ukrainiens à se rendre. Le président russe a appelé vendredi les soldats ukrainiens à déposer les armes dans la région de Koursk. S'ils s'exécutent, "ils se verront garantir la vie", a certifié Vladimir Poutine, qui s'est dit "sensible à l'appel du président Trump" à ce sujet. Le président américain a en effet appelé son homologue russe à "épargner la vie" de "milliers de soldats ukrainiens" qui sont selon lui "complètement encerclés par l'armée russe", sans préciser le lieu de cet encerclement, ni la source de ces affirmations.

Pas d'encerclement de Koursk, selon Volodymy Zelensky, mais une situation compliquée. Le président ukrainien a démenti samedi tout encerclement des troupes de Kiev dans la région russe de Koursk. Plus tôt dans la journée, Moscou a annoncé avoir repris deux nouveaux villages dans ce territoire, occupé depuis l'été dernier par les forces ukrainiennes et où les troupes russes ont réalisé d'importantes avancées au cours des derniers jours.

La paix est-elle possible en Ukraine ? Vladimir Poutine a appelé vendredi 14 mars les soldats ukrainiens à déposer les armes dans la région de Koursk, en écho à Donald Trump qui juge les discussions sur une trêve "très productives", quand Kiev accuse Moscou de "chercher à enliser tout le monde". Samedi, plusieurs pays européens ou de l'OTAN, alliés de l'Ukraine, participent à un sommet virtuel à Londres, pour préciser les contours d'une coalition de pays volontaires prêts à "soutenir une paix juste et durable". Une possibilité difficilement envisageable pour les soldats ukrainiens revenus du front.

MACRON prend la parole: "LA RUSSIE NE DEVRAIT PAS DÉCIDER DES FORCES DE PAIX EN UKRAINE"

Le président français Emmanuel Macron a défendu que le stationnement de troupes de maintien de la paix en Ukraine, proposé par le Royaume-Uni et la France dans le cadre d'un accord de cessez-le-feu avec la Russie, est une question qui devrait être tranchée par l'Ukraine seule, QUI EST UN PAYS SOUVERAIN et non par la Russie de Poutine.

Macron et le Premier ministre britannique Keir Starmer se sont empressés de consolider leur soutien militaire à l'Ukraine alors que le président américain Donald Trump fait pression pour un accord de paix avec la Russie. Starmer a organisé samedi une réunion virtuelle avec Macron et d’autres alliés non américains de l’Ukraine.

LE DANGER AMÉRICAIN et LA MENACE RUSSE

Trump est sénile et dangereux. L’État-Major américain a trahi l’Ukraine. Les Européens se couchent aussi. Qui arrêtera le vieux schnock ? Jusqu’où l’Amérique peut-elle s’humilier ?

TRUMP et VANCE: Maîtres du Chaos et Rois de la Débâcle

Koursk : Une nouvelle trahison made in USA

Alors que des milliers de soldats ukrainiens se battent désespérément (peut-être l'arrière-garde est-elle bloquée sur place par les forces russes qui bombardent la seule route de retrait), Donald Trump, chef d’orchestre du désastre, joue les victimes et quémande la clémence de Vladimir Poutine. C’est beau, la diplomatie version MAGA: d’abord on poignarde un allié dans le dos, puis on supplie l’ennemi de bien vouloir arrêter le massacre. Poutine, en position de force, à lancé un ultimatum.

Le maître du Kremlin, amusé par tant d’incompétence, humilie Trump en mondovision:

"Trump, tu n’as pas les moyens de tes prétentions. Moi ? Personne ne me donne d’ordres. Va te coucher!"

Ah, la belle époque où l’Amérique imposait sa paix… Aujourd’hui, son président pleurniche sur son réseau social pendant que ses décisions absurdes bloquent ses alliés dans le piège russe.

L’Amérique de Trump ridiculisée par son propre président

Trump et son fidèle second, J.D. Vance, spécialiste du néant stratégique, ont sabordé l’Ukraine en une seule décision. Le 4 mars 2025, dans un éclair de génie dévastateur, ils suspendent brutalement l’aide militaire et le renseignement américain. Finie la surveillance satellitaire, terminés les rapports stratégiques, plus de munitions pour les systèmes HiMARS. L’État-major ukrainien devient aveugle et impuissant du jour au lendemain, alors que la Russie accélère ses attaques.

Et quelle surprise ! Deux jours plus tard, l’armée de Poutine lance une offensive écrasante à Koursk, profitant de ce blackout total. Coïncidence ? Sûrement pas.

Puis, nouveau coup de théâtre : une semaine après ce fiasco absolu, Trump fait machine arrière et rétablit l’aide le 11 mars. Mais trop tard !

Les troupes ukrainiennes sont déjà piégées, et Trump découvre en direct que ses décisions ont des conséquences. Pris de panique, il implore Poutine :

"Vladimir, please, épargne ces pauvres soldats!"

Mais oui, mon ami Trump, pas de problème ! Les survivants seront traités comme des terroristes par la Toute Puissante Fédération de Russie. Comme toi, nous ne respectons pas le Droit International depuis des décennies !

Un grand moment de soumission présidentielle. Les Russes se moquent, l’Amérique de Trump est humiliée, et l’Ukraine de Zelensky paie le prix du caprice d’un vieillard sénile.

Un État-Major US… aussi fiable qu’un lance-roquettes sans munitions

Après la fuite d’Afghanistan, voici venu le temps du lâchage de l’Ukraine. Une tradition des  USA? En tout cas, la gestion militaire façon Trump-Vance est un cas d’école de trahison.

Imaginez un instant :

Aucune coordination avec les alliés de l’OTAN (Royaume-Uni, France, Allemagne).

Une coupure d’informations aussi brutale qu’irresponsable, laissant l’Ukraine dans le noir.

Un revirement de dernière minute, preuve qu’ils n’avaient absolument aucune idée de ce qu’ils faisaient.

L’armée des États-Unis elle-même n’a pas eu son mot à dire. Pourquoi s’embarrasser des experts quand on peut gérer une guerre à coups de tweets et de décisions improvisées?

Et voilà où nous en sommes :

Une débâcle militaire évitable.

Un président qui passe pour un clown en suppliant un dictateur.

Un monde libre qui ne peut plus compter sur Washington.

Les Européens courbent l’échine, Trump demande à Mark Rutte de l'aider à annexer… le Groenland?!

Et que font les alliés européens pendant ce temps? Rien. Pas de troupes envoyées ni d’intervention musclée. Juste quelques protestations molles jusque dans les couloirs de Bruxelles. Un petit sénateur français s'est réveillé 3 ans après, et il ose monter le ton sur les bancs de l'hémicycle ! Tout un programme. Il a deviné en partie le désastre tellement prévisible, mais c'est trop tard pour dénoncer Trump: le vieux schnock ne prétend-il pas en finir avec la guerre simplement en dépeçant l'Ukraine entre les USA et l'URSS? Bravo charlot! "Vive l'Europe et la démocratie" s'exclame pour finir le petit sénateur, avec l'ironie mordante d'un chihuahua. Un peu de patriotisme ne coûte rien... Trump et Poutine, entourés de leurs "chiens enragés", doivent être terrorisés!

L’OTAN ? Occupée à… négocier l’annexion du Groenland pour le compte des États-Unis. Parce que visiblement, ce qui compte vraiment pour Trump, ce n’est pas d’arrêter la Russie, mais de s’approprier les richesses minières sous les glaces polaires danoises et les terres gelées Ukrainiennes. Même Taiwan, il s'en tape... Il essaie bien de faire chanter la Chine mais avec nettement moins de succès : la bourse ou la vie ! (Ton pognon ou sinon ta faillite économique et militaire...). Ce chantage ne mange pas de pain et le vieux radoteur ne se mord pas la langue. Trump arrivera-t-il enfin à pied par la Chine, sur la route du papier soie ? Yeah, la Chine : c'est pas l'Ukraine.

La situation devient absurde :

Les Américains trahissent leurs alliés,

Poutine récupère du territoire,

Et Trump continue de jouer au gangster international, mais sans le charisme ni la puissance suffisante.

LE MONDE À L'ENVERS, signé Donald & Co.

Alors que les soldats ukrainiens meurent à Koursk, Trump et son équipe de bras cassés passent leur temps à terroriser leurs propres alliés et à mentir, au lieu d’affronter la vraie menace.

Les États-Unis sont passés du statut de leader du monde libre à celui de premier problème du monde libre. Incapables de tenir une ligne claire, ils oscillent entre trahison et improvisation, au gré des caprices de leur président mégalomane qui souffre du délire des grandeurs.

Voilà le résultat des manipulations de Trump et de Vance. Oui, Trump est sénile et dangereux : il doit être absolument destitué de ses fonctions présidentielles et de Chef des armées le plus tôt possible. L’État-Major américain a trahi l’Ukraine (après sa fuite d’Afghanistan). Lâcher ses alliés est devenu une habitude. Pourtant, l'Amérique n'a jamais engagé ses soldats dans le conflit ukrainien, seulement du matériel de deuxième catégorie. D'où la réponse de Zelensky le 28 février, au moment de son humiliation publique à la Maison Blanche : "Nous avons toujours été seuls". Mais même assister L'Ukraine de loin, cela les "chiens de Trump" l'ont saboté dangereusement. Les Européens se couchent aussi pour ne pas engager leurs troupes. L’OTAN? De fait, elle n’a jamais bénéficié qu’aux seuls États-Unis, après le 11 septembre, qui utilisent maintenant l’organisation uniquement pour essayer d'annexer le Groenland. Le Secrétaire général de l'organisation se félicite de l'augmentation des contributions grâce à Trump et l'encourage, en échange, à cette annexion. Mais qui arrêtera le vieux débris obscène? Jusqu’où l’Amérique peut-elle s’humilier ? Trump et son équipe de branleurs sont devenus la première menace pour le monde libre mais ils ne feront rien contre la Russie criminelle de Poutine. Il leur suffit d'agiter le bras: yeah, Big Balls of Fire! MAGA! MAGA! 

La fuite d'Afghanistan par les Démocrates (en abandonnant le matériel de guerre sur place) puis la trahison de l'Ukraine par les Républicains américains, MAGA or NOT MAGA, that is the question:

Le 30 août 2021 , les dernières troupes américaines quittent l'Afghanistan. Les talibans reprennent alors le contrôle du pays. Au lendemain du départ des dernières troupes, Biden annonce le renoncement des États-Unis aux « déploiements militaires majeurs visant à refaire des nations ». Wikipedia 

Pour les Ukrainiens, le couperet est tombé dans la nuit du lundi 3 au mardi 4 mars 2025, lorsque les Européens dormaient. Donald Trump a ordonné la suspension temporaire de l'aide militaire fournie à l'Ukraine, jusqu'à ce que Kiev "démontre un engagement de bonne foi en faveur de la paix", ont indiqué des responsables américains à différents médias.

C'est la deuxième fois que les États-Unis arrêtent l'aide à l'Ukraine. Chaque fois, plusieurs milliers de soldats et de civils Ukrainiens l'ont payé de leur vie. Poutine en a profité immédiatement pour augmenter les massacres. Nouvelle trahison! Une décision ignoble qui intervient quelques jours après l'humiliation verbale que le président des USA et ses sbires ont fait subir au président Ukrainien, Volodymyr Zelensky, dans le Bureau ovale et devant les caméras du monde entier, vendredi 28 février 2025.

Beaucoup y voient l'évidence d'un chantage vis-à-vis de l'Ukraine, à qui l'administration Trump force la main depuis plusieurs semaines pour lui arracher, sans aucune garantie de sécurité, un accord sur ses terres rares et la pousse à négocier une CAPITULATION avec son agresseur, la Russie de Raz-Putin. Les conséquences de cette TRAHISON US se font déjà ressentir sur le reste de l'Europe. Raz-Putin a revêtu son treillis face à Trump et au monde entier: l'Opération Spéciale a toujours été sa guerre personnelle. Le président Macron l'a compris voici déjà 3 ans. Mais Trump et ses négociateurs sont confiants. Après tout, ce ne sont pas les soldats américains qui sont sur le front mais seulement les soldats Ukrainiens qui meurent sur les cendres de la trahison américaine. MAGA !

C’est le monde à l’envers,  merde in USA.

mercredi 12 mars 2025

Haute trahison du Commandant en chef des forces armées américaines : TRUMP et VANCE doivent DÉMISSIONNER ! LJ©2025

Le 4 Mars, Claude Malhuret s'est exprimé devant les sénateurs dans un discours à charge contre les États-Unis de Donald Trump. Il se trouve que mes articles du 22 février et du 2 mars 2025 disaient à peu près la même chose. Aujourd'hui, je voudrais exposer au Sénat mes observations concernant la HAUTE TRAHISON envers l'Ukraine du président TRUMP et du vice-président VANCE, qui ont agi de façon très légère et surtout criminelle contre l'Ukraine du président ZELENSKY dans le seul but de l'humilier et de le soumettre. 

En conséquence, les armées ukrainiennes ont été défaites en une seule semaine par des manoeuvres d'encerclement russes dans la région de Kursk. Ce succès russe est attribuable directement à la connivence entre le gouvernement TRUMP et le gouvernement POUTINE dans le seul but de défaire L'Ukraine pour l'obliger à capituler.

Je propose donc à Claude Malhuret l'article suivant, pendant que le petit sénateur bombe le torse sur les plateaux télé.

Haute trahison du Commandant en chef des forces armées américaines : TRUMP et VANCE doivent DÉMISSIONNER ! LJ©2025

INTRODUCTION : La responsabilité de Donald Trump dans la défaite ukrainienne à Kursk

Le 4 mars 2025, par une décision unilatérale et soudaine, le gouvernement de Donald Trump a brutalement interrompu toute aide militaire à l’Ukraine, y compris le renseignement stratégique américain, rendant l’état-major ukrainien totalement aveugle face aux mouvements des forces russes. Cette décision, prise sans aucune coordination avec les alliés européens de l’OTAN, a laissé l’Ukraine sans accès aux informations cruciales fournies par les satellites et les rapports de terrain.

La logique militaire aurait voulu qu’une transition progressive soit mise en place, permettant aux alliés de prendre le relais. Mais au lieu d’une passation de pouvoir ordonnée, Trump et son cabinet ont imposé une rupture brutale, privant Kyiv de moyens essentiels et laissant ses troupes vulnérables face aux assauts russes.

Cette ingérence directe du Président américain dans des opérations militaires, sans concertation avec les experts du Pentagone et les alliés, révèle une faute professionnelle grave. Trump et son entourage se sont substitués à l’état-major, non pas pour des raisons stratégiques, mais dans le seul but d’effacer l’héritage militaire de Joe Biden.

Puis, dans un revirement aussi soudain qu’inexplicable, l’aide militaire a été rétablie une semaine plus tard, le 11 mars 2025. Ce rétropédalage précipité, après avoir réalisé l’ampleur du désastre, confirme l’aléatoire et l’irresponsabilité des décisions de Trump en tant que Commandant en chef des armées. Lorsqu’il a compris l’ampleur de son erreur, il était déjà trop tard : la contre-offensive russe avait pris l’avantage, et les forces ukrainiennes ont dû se retirer en catastrophe de la région de Kursk, laissant derrière elles des milliers de morts, de prisonniers et un territoire stratégique perdu.

Cet enchaînement de décisions imprévisibles et destructrices démontre une faute professionnelle manifeste : en agissant sans concertation, en mettant en péril un allié stratégique et en prenant des décisions impulsives aux conséquences dramatiques, Trump a trahi son rôle de chef des armées et gravement affaibli l’Ukraine face à la Russie.

Trump pourrait-il être accusé de trahison pour avoir affaibli l’Ukraine ?

Sur le plan juridique, aux États-Unis, la trahison est strictement définie dans la Constitution comme "faire la guerre aux États-Unis ou apporter aide et soutien à leurs ennemis." Or, l’Ukraine n’est pas un territoire américain, et la Russie, bien qu’adversaire stratégique, n’est pas officiellement en guerre contre les États-Unis. Ainsi, trahir un allié ne rentre pas directement dans la définition constitutionnelle de la trahison.

Cependant, il existe d'autres moyens d’obliger Trump à rendre des comptes au niveau national et international.

1. Comment Trump pourrait être tenu responsable aux États-Unis ?

A. Procédure devant le Congrès : Impeachment et responsabilités pénales

Le Congrès américain pourrait enquêter sur les actions de Trump via des commissions parlementaires et des auditions sous serment. Si des preuves démontrent qu’il a intentionnellement favorisé la Russie au détriment des intérêts américains et de ses alliés, il pourrait être mis en accusation par la Chambre des représentants dans le cadre d’une procédure d’impeachment.

Des charges possibles incluraient :

"Abus de pouvoir" (Abuse of Power) : Si Trump a délibérément refusé une aide militaire ou des renseignements stratégiques pour contraindre l’Ukraine à céder à ses exigences.

"Obstruction du Congrès" (Obstruction of Congress) : S’il a empêché des enquêtes ou dissimulé des informations.

"Complicité avec une puissance étrangère" (Aiding a Foreign Adversary) : Si des preuves montrent qu’il a favorisé la Russie en échange d’avantages personnels ou politiques.

B. Procès pénal fédéral : Espionnage ou mise en danger de la sécurité nationale

Si Trump a privé intentionnellement l’Ukraine d’informations militaires critiques via les satellites et les rapports du champ de bataille, cela pourrait être qualifié de mise en danger de la sécurité nationale américaine.

Il pourrait être poursuivi sous le Espionage Act (Loi sur l’Espionnage de 1917) s’il a transmis ou retenu des informations sensibles à des fins politiques. Cette loi a déjà été utilisée contre des individus ayant mis en péril la sécurité nationale.

C. Commission d'enquête indépendante et divulgation des preuves

Le Congrès pourrait mandater une commission d’enquête indépendante pour examiner les décisions stratégiques de Trump et de son vice-président J.D. Vance concernant l’Ukraine.

Les enquêteurs pourraient :

Obtenir les communications privées de Trump et de ses conseillers (emails, enregistrements, ordres militaires).

Entendre sous serment des témoins clés, notamment des généraux du Pentagone et des agents du renseignement qui auraient été mis à l’écart.

Analyser les décisions prises sur l’aide militaire : Qui a décidé de couper les rapports satellite ? Pourquoi l’aide a-t-elle été bloquée ?

2. Trump a-t-il intentionnellement favorisé la Russie pour contraindre l’Ukraine ?

Les faits suggèrent que Trump a manipulé l’aide militaire et stratégique pour forcer l’Ukraine à accepter ses conditions.

Les indices de cette manœuvre sont :

Le blocage de l’intelligence militaire américaine : Si les satellites et les rapports de terrain ont été coupés juste avant la défaite ukrainienne à Kursk, il y a un lien direct entre cette privation d’information et la capture ou la mort de milliers de soldats ukrainiens.

Les déclarations publiques de Trump minimisant les crimes de guerre russes : Il a nié toute responsabilité de Poutine et a affirmé que l’Ukraine devait “négocier” avec la Russie sous peine de perdre la guerre.

Le retrait progressif du soutien américain : Trump a publiquement affirmé que les États-Unis n’avaient plus à s’occuper de l’Ukraine, préparant ainsi le terrain à un effondrement militaire ukrainien.

Si ces éléments sont confirmés par des documents et témoignages, cela pourrait être considéré comme un acte de complicité avec un adversaire étranger.

3. La défaite de l’Ukraine à Kursk est-elle une conséquence des décisions de Trump et Vance ?

La bataille de Kursk, où des milliers de soldats ukrainiens ont été capturés ou tués, pourrait être directement liée à la privation de renseignement stratégique ordonnée par Trump et Vance.

Pour établir cette responsabilité, il faudrait :

Comparer les données d’intelligence fournies à l’Ukraine avant et après l’élection de Trump.

Analyser les ordres militaires officiels : Y a-t-il eu une directive empêchant les satellites américains de surveiller Kursk ?

Interroger des officiers du renseignement américain et ukrainien pour confirmer si un changement brutal d’accès aux informations a été constaté.

Si des preuves formelles montrent que Trump et Vance ont coupé volontairement les informations vitales, ils pourraient être accusés de négligence criminelle avec conséquence mortelle ou même de complicité de crimes de guerre.

4. Peut-on poursuivre Trump sur le plan international ?

A. La Cour pénale internationale (CPI)

Même si les États-Unis ne reconnaissent pas la Cour pénale internationale (CPI), Trump pourrait être poursuivi pour complicité de crimes de guerre.

Si la CPI établit que son action a contribué aux massacres en Ukraine, elle pourrait :

L’inculper pour complicité avec un agresseur (Poutine).

Demander son arrestation internationale s’il voyage hors des États-Unis.

B. Un tribunal spécial pour l’Ukraine

Un tribunal international spécifique pourrait être créé, comme cela a été fait après les guerres en ex-Yougoslavie. Si Trump est reconnu comme un acteur ayant aidé Poutine à perpétrer des crimes, il pourrait être jugé en tant que complice.

5. Conclusion : Comment établir les faits devant le Congrès et les tribunaux ?

Lancer des commissions d’enquête parlementaires aux États-Unis pour exposer les preuves.

Obtenir les enregistrements et les ordres signés bloquant les renseignements militaires pour l’Ukraine.

Faire témoigner des militaires et agents du renseignement qui ont assisté à ces décisions.

Présenter le cas devant des instances internationales (CPI, ONU) pour dénoncer la complicité de Trump avec Poutine.

Exploiter les fuites médiatiques pour exposer au public comment Trump et Vance ont sacrifié l’Ukraine pour des intérêts personnels.

Si ces preuves sont établies, Trump et Vance pourraient être accusés non seulement de négligence criminelle, mais aussi de complicité avec une puissance étrangère contre un allié des États-Unis.

PLUS PRÉCISÉMENT 

Le Président des États-Unis : Chef des Armées et Ses Responsabilités

Oui, le président des États-Unis est bien le chef des armées (Commander-in-Chief), selon l’article II, section 2 de la Constitution américaine. Cela signifie qu’il a le commandement suprême des forces armées (armée de terre, marine, force aérienne, corps des Marines, et Garde nationale fédéralisée). Toutefois, son pouvoir n'est pas absolu :

Le Congrès détient l’autorité de déclarer la guerre (article I, section 8).

Le Congrès contrôle le budget militaire, ce qui limite les actions unilatérales du président.

Les officiers militaires prêtent serment à la Constitution, pas au président, ce qui empêche des abus de pouvoir.

Le président peut ordonner des opérations militaires, signer des traités (avec l’approbation du Sénat) et diriger la politique de défense, mais il ne peut pas agir seul pour des décisions de guerre majeures sans l’accord du Congrès.

La Haute Trahison envers l’Armée : Peines et Conséquences

Aux États-Unis, la haute trahison (treason) est définie par l’article III, section 3 de la Constitution, qui la limite à deux actes précis :

Faire la guerre contre les États-Unis (levying war against them).

Aider un ennemi des États-Unis (giving aid and comfort to their enemies).

Les peines pour haute trahison

Peine de mort (rarement appliquée depuis le XIXe siècle).

Prison à perpétuité avec confiscation des biens.

Trahison envers l’armée : ce qui peut être puni

Si un président trahissait l’armée en divulguant des secrets militaires à l’ennemi ou en sabotant délibérément la défense nationale, il pourrait être accusé de haute trahison, mais ce serait extrêmement complexe à prouver. D’autres infractions similaires existent :

Espionnage (Espionage Act – jusqu’à la peine de mort).

Sédition et insurrection (Jusqu’à 20 ans de prison).

Abus de pouvoir et obstruction à la justice (Peut mener à la destitution).

En théorie, si un président mettait en danger la sécurité nationale en favorisant un ennemi, il pourrait être destitué (impeachment), jugé et condamné, mais cela nécessiterait des preuves irréfutables et l’aval du Congrès.

Trump pourrait-il être accusé de haute trahison ?

Si Trump favorisait activement la Russie contre l’Ukraine au détriment des États-Unis et de l’OTAN, il pourrait être accusé d’abus de pouvoir ou de complicité avec un adversaire étranger, mais pas forcément de haute trahison, sauf s’il s’avérait qu’il avait délibérément livré des secrets militaires ou affaibli l’armée américaine au profit d’un ennemi déclaré.

Historiquement, aucun président américain n’a été jugé pour trahison, mais Richard Nixon (Watergate) et Donald Trump (deux fois) ont été mis en accusation par la Chambre des représentants pour abus de pouvoir.

En résumé, un président peut être accusé de trahison envers l’armée, mais il faudrait des preuves irréfutables et une procédure très complexe.

EN RÉSUMÉ 

Oui, le président des États-Unis est le commandant en chef des forces armées (Commander-in-Chief), selon l’article II de la Constitution américaine. Il a l’autorité suprême sur l’armée, bien que le Congrès détienne le pouvoir de déclarer la guerre et de financer les forces armées.

Concernant la haute trahison, la Constitution (Article III, Section 3) la définit comme “faire la guerre aux États-Unis ou apporter aide et soutien à leurs ennemis”. La peine maximale est la peine de mort, mais d’autres sanctions incluent la prison à perpétuité ou de lourdes amendes, selon la gravité des faits et la décision de la justice fédérale.

EN CONCLUSION 

En fin de compte, le monde doit se demander : Trump a-t-il sciemment orchestré la chute de l’Ukraine ? Les enquêtes et les révélations à venir pourraient bien le confirmer.

dimanche 2 mars 2025

Trump est-il sénile ? Les manipulations de J. D. VANCE à la Maison Blanche pour profiter de Trump LJ©2025

Débriefing de la rencontre entre Donald Trump, Volodymyr Zelensky et J.D. Vance – 28 février 2025, Maison-Blanche

La rencontre entre le président américain Donald Trump et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, en présence du vice-président J.D. Vance, restera dans l’histoire comme un moment de tension diplomatique extrême et un tournant décisif dans la guerre en Ukraine. Très loin d’un échange constructif visant à renforcer le soutien américain à Kyiv en échange des minerais précieux et terres rares ukrainiens, cette réunion a été une mise en scène calculée pour affaiblir, humilier et discréditer Zelensky sur la scène internationale.

Trump, fidèle à son style de showman incendiaire, a utilisé cinq stratégies successives pour acculer Zelensky, nier ses responsabilités pour garantir les accords et légitimer son rapprochement avec Vladimir Poutine, tout en renforçant sa main mise sur l’Europe.

1. Trump accuse Zelensky de refuser un cessez-le-feu et d’être responsable de la “Troisième Guerre mondiale”

Dès le début de la rencontre, Trump adopte une posture d’accusation frontale contre Zelensky, cherchant à lui faire porter la responsabilité du conflit :

"Vous avez une opportunité de mettre fin à cette guerre, mais vous refusez. Pourquoi vous obstinez-vous à poursuivre un conflit qui détruit votre pays ? C’est votre choix, Volodymyr. Un choix qui condamne des millions d’hommes et qui pourrait déclencher une Troisième Guerre mondiale. Vous comprenez ce que ça signifie ? C’est sur vous que ça repose, pas sur moi."

Trump ne pense pas en Président des États-Unis d'Amérique et en diplomate international: il balance vulgairement des "punchlines" préparées d'avance et il utilise des effets dramatiques dignes de son meilleur show télévisé. Mais ces procédés sont hors propos quand ils sont reproduits à l'infini par un Trump sénile qui s'imagine revivre ses meilleurs heures d'audience : "Ça va être de la bonne télévision. Ça, je peux vous le dire", conclut-il ridiculement.

En fait, depuis trois ans, il appartient à la RUSSIE SEULE de décider l'arrêt de son invasion en Ukraine, de la guerre et des massacres conséquents, tant des civiles comme à Boutcha que des militaires à Marioupol. Poutine à le pouvoir absolu et instantané de faire cesser cette guerre, qualifiée "d'opération spéciale". 

Mais de quelle PAIX parlent les Russes et les Américains? D'une CAPITULATION. Alors, Zelensky, ce héros en guerre depuis trois ans contre le psychopathe et criminel de guerre: Poutine, refuse de se faire tordre le bras. Immédiatement, il est renvoyé de la Maison Blanche et les insultes pleuvent sur lui depuis la Russie. 

Par une torsion de la réalité, Trump a fait mine de surprendre le président Zelensky "comme un petit garçon qui dit NON" à la paix
.  Trump insiste lourdement sur le fait que Zelensky “n’a pas les cartes”, insinuant qu’il ne peut rien faire sans l’aval de Washington et que son rôle est purement subordonné :

"Vous êtes venu demander de l’aide, mais vous oubliez que c’est nous qui décidons. Vous pensez pouvoir dicter vos conditions ? Vous n’avez pas les cartes. Nous avons les cartes."

De fait, les Américains et l'OTAN n'ont jamais donné les armes suffisantes à l'Ukraine au moment nécessaire de la contre-attaque, pour vaincre l'ogre russe. Pour Washington et pour Trump, la Russie ne doit surtout pas perdre la face ! Sans aucun scrupule, les Américains ont déjà suspendu les approvisionnements de l'Ukraine pendant six mois ! Ainsi,  les meilleurs soldats ukrainiens n'ont pas été battus les armes à la main : ils sont morts sous les bombes, dans les tranchées, les souterrains et sur les champs de mines. Les civils ukrainiens ont été exécutés devant chez eux. Les villes ukrainiennes ont été rasées par les drones iraniens et les millions d'obus russes et nord-coréens: l'équivalent de plusieurs bombes atomiques. La Chine et l'Inde subventionnent la Russie de Poutine, "mon ami éternel". La Chine seule pourrait commander le retrait des forces russes en Ukraine en arrêtant de subventionner la Russie.

En répétant que c’est l’Ukraine qui bloque la paix, Trump légitime l’idée que tout nouvel envoi d’armes ou d’aide est une pure perte de temps, un argument qu’il utilise pour justifier un abandon instantané de Kyiv. Trump refuse aussi de "perdre la face", lui le meilleur négociateur américain qui ridiculise tous les jours le président Biden. Trump prétend recevoir le Prix Nobel de la Paix, mieux que le Président Obama. C'est aussi une guerre d'égo. Poutine n'a strictement rien à faire, exempté de toute responsabilité, sinon de remuer un peu plus la merde qu'il a chié sur l'Europe avec un sourire satisfait.

2. Trump nie toute responsabilité de son ami Poutine et prétend que le président russe n’a jamais rompu d’accord avec lui !

Lorsque Zelensky lui demande si Poutine respectera un éventuel nouvel accord, Trump répond d’un ton détaché :

"Je ne sais pas. Je ne sais pas ce qu’il a fait avec Obama, je ne sais pas ce qu’il a fait avec Biden. Mais je peux vous dire une chose : il n’a jamais rompu un seul accord avec moi."

Cette déclaration, passée sous silence par la majorité des médias, est un aveu implicite d'incompétence, voire de sénilité, et d’alliance avec la Russie.

Comment Trump peut-il feindre l’ignorance sur le fait que Poutine a systématiquement violé les accords internationaux depuis 1995, y compris ceux négociés par les États-Unis. La réalité est pourtant claire :

Mémorandum de Budapest (1994) : Garantie de sécurité de l’Ukraine en échange de l’abandon de son arsenal nucléaire. Violé en 2014 avec l’annexion de la Crimée.

Accords de Minsk I et II (2014-2015) : Destinés à stabiliser le Donbass. Poutine les a torpillés en poursuivant les offensives militaires.

Accord de paix du Format Normandie (2019) : Signé avec la médiation de Macron et Merkel. Saboté par la Russie en 2021.

Traité de désarmement INF (1987-2019) : Poutine a déployé des missiles en violation de cet accord, ce qui a conduit les États-Unis à s’en retirer.

Ignorer volontairement ces faits ou même involontairement, par simple déficience intellectuelle,  est une manipulation grossière qui permet à Trump de redorer l’image de Poutine et de suggérer que le problème n’est pas Moscou, mais Kyiv. Ce président à la mémoire d'un poisson rouge comme sa cravate et son teint carotte ! Ah, sénilité, quand tu nous tiens !

3. Trump se livre brusquement à des considérations personnelles et des thèses conspirationnistes

Dans un passage étrangement occulté par les médias, Trump abandonne tout discours un tant soit peu "diplomatique" pour entrer dans un registre complotiste et personnel, multipliant à son gré les attaques :

"Je sais ce que c’est qu’une chasse aux sorcières, Volodymyr. J’en ai été victime moi aussi. Biden m’a attaqué, les démocrates m’ont traqué, et regardez Hunter Biden… Ils l’ont sali comme ils salissent Poutine aujourd’hui."

En plaçant Poutine dans le rôle de la victime, Trump inverse une fois de plus la réalité.

"Je vous le dis : [Pour Poutine] cette guerre est une escroquerie. Ils veulent lui faire porter le chapeau, comme ils l’ont fait avec moi."

Cette digression, destinée à délégitimer l’Ukraine, banalise l’agression russe en présentant Trump et Poutine comme des victimes collatérales des démocrates et des médias pour l'évincer de la présidence. Trump a la haine tenace, livré à ses pires instincts par un cerveau en disfonctionnement.

4. J.D. Vance humilie Zelensky pour le pousser à la faute

Mais le vice-président J.D. Vance est présent, aux aguets, pour contrôler LES DIVAGATIONS HABITUELLES ET OFFENSANTES DU NOUVEAU PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS. Pour couper court à ses déclarations fumeuses et à ce tissu de mensonges qui attaquent l'honneur des présidents Obama et Biden, Vance intervient brutalement, coupe la parole à Trump et inverse le propos. Trump ne doit pas se salir et Zelensky ne doit pas s'en sortir indemne:

"Monsieur Zelensky, je trouve très déplacé que vous osiez être irrespectueux avec le président des États-Unis. Vous êtes ici en invité, vous devriez commencer par remercier votre hôte. Vous êtes en train de lui faire perdre son temps."

Cette intervention, visant clairement à déstabiliser Zelensky, est aussi une tentative assumée de l’humilier devant les caméras. Si Zelensky craque devant le monde entier, sa carrière politique s'arrête là, instantanément. Le piège est grossier. Le Président Zelensky, dont la tête est déjà mise à prix comme "un chien enragé" (dixit Lavrov), n'aurait jamais dû entrer seul dans cette souricière du Bureau Ovale en présence de Trump et de toute sa meute aux abois. Trump joue sur du velour aux cartes ou peut-être au billard américain : il faut dégager Zelensky, un héros de guerre. Alors on colle un contrat sur sa tête, dans le plus pur style "gangster" : l'ignoble  AL TRUMP a pris le pouvoir ! 

Vance dramatise volontairement la situation, fait comprendre que Zelensky est de trop à la Maison Blanche et qu’il n’a pas à exiger quoi que ce soit. Trump en profite pour demander au président Zelensky de se taire. C'est toujours Trump, dans son délire sénile,  qui doit fermer le show par cette phrase fatidique : "you are fired !".

5. Trump met Zelensky à la porte

Profitant du trouble créé par Vance, Trump conclut la rencontre avec un mépris absolu:
"Revenez quand vous voudrez la paix."

Zelensky est chassé du Bureau Ovale devant les caméras du monde entier, un geste hautement symbolique destiné à marquer la rupture définitive entre Washington et Kyiv. Trump aurait pu aussi bien l'emprisonner ou le faire exécuter à sa sortie de la Maison Blanche. Ce n'est que partie remise : Poutine s'en chargera plus tard ! Depuis vingt ans, ne fait-il pas le ménage impunément, jusqu'aux États-Unis? Faut-il que les intérêts de Trump soient en jeu pour qu'il prenne Poutine et ses chiens enragés, tous des criminels psychopathes, sous son aile ?

Analyse et conséquences : un parallèle avec Churchill ?

La scène rappelle un autre moment historique : lorsque Winston Churchill est venu demander l’aide des États-Unis en 1940 face à l’invasion allemande.

Roosevelt l’a-t-il méprisé ? Non. Il a compris l’urgence et, malgré l’isolationnisme américain, il a progressivement soutenu la Grande-Bretagne.

Ce que Zelensky a subi, en revanche, est une humiliation publique préméditée pour:

Discréditer complètement Zelensky pour justifier un futur retrait des États-Unis du conflit et rétablir avantageusement les relations commerciales entre la Russie et les États-Unis.

Désorienter l’Ukraine et l’Europe en affichant un désengagement total.

Donner un signal à Poutine que les États-Unis ne s’opposeront plus à son expansion en échange de sa complicité avec Trump pour l'aider à s'approprier les mines d'Ukraine, mais aussi le détroit du Panama, le Canada, le Groenland etc. La Russie a déjà annexé la Sibérie et elle la réchauffe à coups de bombes atomiques depuis 50 ans. Un "feu éternel" couve depuis lors sous le permafrost de la Sibérie et pollue grandement l'atmosphère. Et curieusement, Musk prétend faire la même chose mais SUR MARS. Ce ne sont pas des hommes qui bâtiront sur la Planète Rouge irradiée MAIS DES ROBOTS.

Trump, lui, serait prêt à lâcher L'Ukraine et Taiwan, mais pas avant d'avoir pillé leurs richesses et tous leurs savoir-faire. Son ami Poutine, en échange, prendrait le pouvoir sur l'Armée ukrainienne et ses équipements occidentaux, après des purges staliniennes terribles, pour redevenir la deuxième puissance mondiale qu'elle n'est plus depuis la fin de la Guerre Froide.

Conclusion : Trump et Poutine, une alliance contre l’Europe

Cette rencontre en mondiovision a été la preuve éclatante que Trump s’aligne sur Poutine et ne considère plus l’Europe comme un partenaire stratégique.

Accuser Zelensky de risquer une Troisième Guerre mondiale est une manipulation : c’est la Russie l’agresseur, pas l’Ukraine. Et surtout, c'est la Russie et les États-Unis qui ont fait peser la menace de la bombe atomique pendant les 50 années de Guerre Froide, juste après la guerre de 1939/45, en faisant peser le poids et le prix de leurs erreurs sur l'Europe. Mais Trump s'en lave les mains. Oublié ! "Heureux les innocents aux mains pleines... de merde". Trump envoit ses armes à Israël et met la tête à prix d'un petit juif Ukrainien qui ose lui résister : "Ave Trump, ceux qui vont mourir te saluent bien!". La connerie du dernier Président des États-Unis prend des accents bibliques.

LA TROISIÈME GUERRE MONDIALE

La troisième guerre mondiale est donc économique et américaine. Elle a commencé le 4 Mars 2025, en multipliant les tarifs douaniers américains et en refusant de protéger l'Ukraine contre la Russie de Poutine. La guerre en Ukraine  n'est plus que le sous-produit d'une alliance entre bandits, et la variable d'ajustement entre les gangsters de Washington et la mafia de Moscou.

Trump utilise l’économie et les tarifs douaniers comme une arme: il veut faire payer au monde entier la dette américaine de 31 trillions de dollars, en imposant un tribut économique sévère à l’Europe "conçue pour entuber l'Amérique" et en monnayant l’Ukraine directement avec la Russie, au grand mépris de l'Europe qui courbe l'échine et pointe les fesses.

Trump ne veut pas la paix des justes: il veut botter le cul de l’Europe et renforcer ses liens avec la Russie pour redessiner l’ordre mondial à son avantage. Les BRICS ? Oubliés si Trump réussit à rétablir la Russie criminelle DE PLEIN DROIT DANS LE COMMERCE ET LES INSTANCES INTERNATIONALES. 

LE DOLLARS  RESTERA ROI

Mais Trump est faible intellectuellement, inculte, fier d'être ignorant (pour ne pas dire complètement sénile), très accessible à la PROPAGANDE RUSSE pour avoir établi des liens d'intérêts antérieurs avec Poutine, et surtout facilement manipulable par "Les Chiens de Trump", à commencer par Musk qui représente les oligarques américains et par tous les autres manipulateurs professionnels: le vice-président Vance et sa meute, assis comme un tribunal sur le petit sofa du Bureau Ovale, face au Président Zelensky acculé par ces chiens enragés. Trump attendait de porter le coup de couteau fatal, dans la pure tradition des chasses à cour : "Voilà, c'est fait !". Ça fera une bonne émission...

L’Europe doit ouvrir les yeux : cette scène enregistrée est un signal d’alarme. Soit elle prend en main la défense de l'Ukraine, soit elle sera la prochaine à subir l’humiliation de Washington et l'invasion des armées russes... Y compris des armées ukrainiennes entraînées par l'Europe, à l'occasion d'un simple retournement du commandement et de la prise de pouvoir de Poutine en Ukraine. 

Le point faible, l'homme à abattre? Zelensky. Voilà pourquoi Trump, comme Poutine, est une grosse baderne sénile, prétentieuse et dangereuse. Les Américains n'auraient pas pu choisir pire représentant et chef des armées. La troisième guerre mondiale a déjà commencé : comment Trump ose-t-il prétendre qu'il est aligné sur l'intérêt de l'Europe et du Monde ? C'est une insulte à la démocratie européenne !